Examen Final : Le Trouble De Stress Post-traumatique (TSPT) Flashcards
Vrai ou faux. Le TSPT survient après une exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles.
Vrai
Dans le TSPT il existe des symptômes e_______, tels que des souvenirs, rêves, réactions dissociatives, détresse psychique, réactions physiologiques.
Envahissants
Vrai ou faux. Les gens atteints d’un TSPT évitent souvent les stimuli associés à l’événement traumatique.
Vrai
Quel est le % de personnes qui vivent un événement de stress traumatique dans leur vie (au moins une fois) ?
90%
Vrai ou faux. Ce n’est pas parce qu’on vit un événement traumatique qu’on va développer un TSPT.
Vrai
Vrai ou faux. Les symptômes incapacitants suite à l’événement traumatique doivent être présents depuis plus d’1 mois avant de pouvoir le caractériser comme un TSPT.
Vrai
Le TSPT est le trouble le plus susceptible d’être ________ s’il n’est pas traité par une personne qui a les connaissances et l’expérience dans ce type de traitement.
Aggravé
Quand est-il suggéré que le psychologue commence à voir des clients ayant un TSPT ?
Une fois qu’il a beaucoup d’expérience sur les autres troubles. Il pourra commencer par un premier patient avec un TSPT, mais en étant supervisé par un psychologue ayant énormément d’expérience.
Votre amie a vécu un événement traumatique récemment et elle aimerait consulter un psychologue. Elle vous demande si c’est une bonne idée. Que lui dites-vous ?
Il est important de questionner le psychologue afin de savoir depuis combien d’années celui-ci traite le TSPT. Il est primordial qu’elle voit quelqu’un qui a beaucoup d’expérience ou qui est supervisé par quelqu’un avec beaucoup d’expérience en traitement d’un TSPT.
Vous rencontrez Marianne, une cliente qui vous consulte car depuis quelques mois elle vit beaucoup d’anxiété et elle sent qu’elle n’est plus pareil, qu’elle est différente. Elle vous dit se sentir comme ça depuis qu’elle a été agressée sexuellement par un ami.
Quelle serait la première étape dans le traitement d’un TSPT.
Indice : B______ É______
- Bien évaluer les symptômes et les facteurs associés
Vous décidez d’entreprendre des séances avec Marianne afin de l’aider avec son TSPT. Vous la rencontrez pour la première fois et vous vous assurez de bien évaluer les symptômes et les facteurs associés.
Listez la démarche à suivre pour cette première étape du traitement d’un TSPT.
Indice :
S_______
S_______
F_______
F_______
C_______
A_______
- survol de l’événement
- symptômes qui ont suivi l’événement
- facteurs prédisposants
- facteurs de maintien
- comorbidité
- attentes de la cliente
Qu’allez-vous-vous évaluer concernant le survol de l’événement dans le contexte de vouloir bien évaluer les symptômes et les facteurs associés ?
- De quel événement parle-t-on ? Agression physique, sexuelle, suicide d’un proche, accident de voiture, etc.
- La date de l’événement
- Les réactions de la personne pendant l’événement et après l’événement.
Lors du survol de l’événement, il est important de __________.
Ne pas aller dans les détails de l’événement, c’est un survol. La pire chose pour la personne qui a vécu un TSPT est d’en parler, elle ne veut pas reconnecter avec les images du trauma
Suite au survol de l’événement, vous décidez de poser des questions à Marianne sur les symptômes qui ont suivi l’événement.
Qu’allez-vous évaluer ?
- S’assurer que la personne répond bien aux critères diagnostics du TSPT
- On devrait poser des questions ouvertes et non fermées
- Comment est votre sommeil depuis l’événement ?
- Comment est votre humeur depuis l’événement ?
- Comment sont vos relations depuis l’événement ?
- Etc.
Pourquoi est-il important de poser des questions ouvertes au client avec un TSPT versus des questions fermées ?
On ne veut pas que la rencontre ressemble à un interrogatoire et on ne veut pas suggérer des réponses au client. On veut qu’il puisse s’exprimer et c’est le psychologue qui pourra répondre aux critères diagnostics selon son évaluation.
C’est ce qui va établir l’alliance thérapeutique entre le client et le psychologue.
Qu’allez-vous-vous évaluer concernant les facteurs prédisposants dans le contexte de vouloir bien évaluer les symptômes et les facteurs associés ?
Indices :
- D______
- P______ x 2
Listez
- Déjà vécu un événement traumatique dans le passé ? Ex : Si Marianne a vécu un accident de voiture traumatisant dans le passé.
- Il y a 2 types de personnalités, nous allons évaluer si Marianne fait partie du type de personnalité qui est considérée être plus à risque de développer un TSPT : arbre en chêne vs arbre roseau.
Lorsque vous tentez d’évaluer le type de personnalité de Marianne pour déceler ou non un facteur prédisposant, elle vous dit ceci :
« Je suis une personne qui vit des hauts et des bas dans ma vie. J’en parle souvent à mon amie car je vit de la tristesse et de l’anxiété à quelques moments. Je me relève bien suite à un événement, mais ça m’en prend pas beaucoup pour retomber. Je m’appuie beaucoup sur les autres. Je reste quand même optimiste que les choses vont s’arranger. Ce qui m’aide beaucoup est de parler de mes difficultés et de chercher de l’aide, comme je le fais avec vous. »
À quel type de personnalité appartient Marianne ?
Est-ce un facteur prédisposant pour un TSPT ?
Type de personnalité arbre roseau et non ce n’est pas un facteur prédisposant au TSPT.
Quel aurait été le type de personnalité à risque de développer un TSPT ?
Une personnalité de type arbre en chêne.
Comment décrivez-vous le type de personnalité d’arbre en chêne ?
C’est une personne qui se développe en étant très solide.
Quand elle vit des choses difficiles, elle est très solide, droite et elle est surtout là pour appuyer les autres.
Elle aide beaucoup les autres et ne demande pas beaucoup d’aide.
Pourquoi le type de personnalité d’arbre en chêne a plus de risque de développer un TSPT ?
Car l’arbre en chêne a 2 positions : debout ou cassé.
À partir du moment où le chêne casse, il n’est pas habitué de se retrouver dans cette position, la personne n’a jamais développé l’habitude de se reposer sur autrui.
Elle va avoir de la difficulté à solliciter de l’aide car ne l’a pas appris.
Ces personnes vont avoir plus de difficultés à se remettre d’un TSPT.
Vous voulez bien évaluer les symptômes et les facteurs associés à l’événement. Vous êtes rendue à évaluer les facteurs de maintien.
Qu’allez-vous évaluer ?
Si la personne se retrouve dans un contexte très stressant après l’événement : en procès pour la court, attend le retour de ses assurances pour couvrir les frais des consultations, attend la couverture de son assurance pour couvrir son salaire pendant qu’elle est congé du travail.
Vous voulez bien évaluer les symptômes et les facteurs associés à l’événement. Vous êtes rendue à évaluer la comorbidité.
Qu’allez-vous évaluer ?
Donnez un exemple.
S’il y a présence d’un 2e diagnostic (s’il y a au moins 2 diagnostics présents), peu importe si vient avant ou après le TSPT.
Ex : dépression
Vrai ou faux. Environ 50% des femmes vont avoir de manière concomitante une dépendance à une substance : drogues, alcool, etc.
Faux. Ce sont 50% des hommes qui vont avoir de manière concomitante une dépendance à une substance : drogues, alcool, etc.
Marianne vous dit qu’elle consomme du cannabis à tous les soirs pour l’aider à dormir et relaxer. Elle a commencé à faire cela après l’événement traumatique.
Où placeriez vous la consommation d’une substance dans l’évaluation des symptômes et des facteurs associés à l’événement ?
Dans la section comorbidité.
Vous voulez bien évaluer les symptômes et les facteurs associés à l’événement. Vous êtes rendue à évaluer les attentes de Marianne.
Qu’est-ce qui est important ici ?
Savoir ce que la personne aimerait réaliser lors de son traitement. Elle s’attend à quoi suite au traitement du TSPT.
C’est également d’avoir un objectif réaliste et de lui dire que cela est graduel, difficile et peut prendre du temps.
Dans le cas d’un TSPT, on connait le facteur ________, c’est le point tournant qui a amené la personne à développer le trouble en question.
Précipitant/déclencheur
Lors de la première rencontre avec Marianne, vous avez bien évalué les symptômes et les facteurs associés à l’événement traumatisant qu’elle a vécu. Quelle est la prochaine étape à réaliser avec Marianne pour l’aider ?
Indice :
É______ P________ I__________
- Élaborer un plan d’intervention personnalisé
Que devrait contenir un plan d’intervention personnalisé pour une personne avec un TSPT ?
- La stratégie que j’envisage utiliser
- Dans quel ordre je vais appliquer les stratégies
- Savoir comment je vais travailler avec le client
Vrai ou faux. Dans le cadre d’un traitement pour un TSPT, il est suggéré d’utiliser de la psychoéducation afin de diminuer la honte du client et de favoriser une meilleure compréhension de la situation et de ses émotions.
Vrai
Vrai ou faux. La restructuration cognitive n’est pas utilisée dans le traitement d’un TSPT.
Faux. On travaille les affects et la restructuration cognitive.
Vrai ou faux. Une partie du traitement du TSPT sera de travailler sur la gestion du stress.
Vrai
Vrai ou faux. Il existe 2 types d’expositions dans le traitement d’un TSPT.
Vrai.
1) exposition in vivo : lorsque le client fait de l’évitement
2) exposition en imagination : lorsque le client a des reviviscences
La conclusion du traitement du TSPT se déroule en s’assurant que le client ________.
Indice :
M_____
P_____
Maintienne les acquis et de prévenir la rechute.
Votre collègue de travail Valérie vous demande ce que vous faites lorsque vous faites de la psychoéducation sur le TSPT. Que lui répondez-vous ?
Indice :
- R_____ N______
- J______ R______
3) R_____ D_______
4) E_____ P_______
5) D_____ É_______
- Normaliser les réactions et les symptômes suite à l’événement
- C’est l’événement qui n’est pas normal - Il est facile, après l’événement, de juger ses réactions
- On ne peut pas savoir ce qui va se passer dans le futur, donc impossible d’anticiper ce qui arrivera. - Les réactions dissociatives ne sont pas des signes de folie
- C’est notre organisme qui nous protège d’états émotionnels trop intenses. - Il se peut que l’entourage ait des préjugés
- Savoir que l’entourage ne la blâme pas, mais essaie plutôt de se protéger en se disant qu’à eux ça ne leur arriverait pas. - La démarche à entreprendre ce fera en équipe
- On peut s’attendre à ce que la personne veuille éviter des séances, on devra travailler en équipe pour surmonter ces difficultés.
- On rassure la personne en lui disant que certaines séances seront plus difficiles et la personne peut vivre des émotions difficiles, mais ça va remonter par la suite.
- Ce n’est jamais le psychologue contre le client si le client s’absente d’une rencontre
- C’est un travail d’équipe = pas de confrontation
Si c’est approprié durant la rencontre avec le client, on pourrait lui dire que les symptômes sont souvent une r____ n_______ à un événement qui lui ___________.
- réaction normale
- n’est pas normal
Marianne vous demande s’il est normal d’éviter certains endroits depuis l’événement traumatisant. Que lui répondez-vous ?
Ce qui n’est pas normal c’est l’événement auquel Marianne a été confronté. Ses réactions elles, sont toutes normales considérant ce que la personne a vécu.
Cas clinique :
Une personne est armée en classe lors d’un examen. On se pose des questions, on réalise qu’on est à risque. On se dit de ne pas bouger pour ne pas attirer de l’attention, on est mieux de se coucher par terre, etc. Lorsque l’événement est passé, la personne réfléchie encore à ce qu’elle aurait pu faire autrement, elle se dit qu’elle a pris beaucoup trop de temps avant de se coucher par terre. Ce scénario lui tourne dans la tête depuis l’événement.
Que pourriez-vous dire à cette personne afin de l’aider avec ce qu’elle vous partage ?
C’est facile après coup de juger de ses réactions, MAIS :
C’est long de réaliser ce qui est en train de se passer quand on est pas préparé à affronter un événement traumatique.
Une fois que ça fait plusieurs secondes que c’est en train de se passer, c’est là qu’on réalise qu’on a pas les idées claires, on est pas vite, on ne peut pas prendre des décisions : c’est ce qui arrive lorsqu’une personne vit un événement traumatique.
C’est imprévisible. On va aider la personne à départager ces éléments.
On ne sait jamais d’avance comment on va réagir à une situation traumatisante.
Marianne vous partage que lorsqu’elle a des images qui lui reviennent dans la tête, elle se sent complètement déconnectée et décide de se changer les idées en faisant des activités qui font augmenter son adrénaline. Elle vous dit « je sais que ce n’est pas normal de faire ça, mais je ne sais pas pourquoi je le fais. »
Que pouvez-vous lui dire ?
Les réactions dissociatives sont normales et ne sont pas un signe de folie.
C’est notre organisme qui tente de nous protéger contre des états émotionnels trop intenses pour nous à ce moment-là de la journée.
On se déconnecte de la réalité actuelle.
La mère de Marianne lui dit souvent ceci : « Il faut que tu en reviennes, ça fait déjà 1 an. »
Marianne vous dit qu’elle se sent toujours mal car elle a l’impression que sa mère ne l’a comprend pas et qu’elle la juge.
Que pouvez-vous lui dire ?
C’est vrai que ce n’est pas aidant.
MAIS au contraire du jugement, c’est un sentiment d’impuissance de la part de l’entourage.
L’entourage qui est normalement très attentif, bienveillant, peut poser des questions comme : « ce que tu me dis c’est que c’est en sortant du bar à 2h30 am et tu étais toute seule, tu étais habillée comment ce soir là ? ». On pourrait penser que ce que l’entourage tente de faire c’est de tenir la personne responsable de ce qui lui est arrivé, mais ce n’est pas ça la raison de poser ce type de questions.
La raison : c’est pour préserver l’idée que à moi ça ne m’arrivera jamais. C’est quoi les caractéristiques qui me distinguent de cette personne qui s’est fait agressée ? L’entourage veut se sentir protégé que cela ne lui arrivera pas. Le désir de l’entourage c’est de se sentir rassuré que ça ne leur arriverait pas, le but n’est pas de blâmer.
C’est important que la personne comprenne cela pour qu’elle sache que son entourage ne la blâme pas, mais qu’ils essaient de se protéger contre cet événement.
Maintenant que vous avez bien évalué les symptômes et les facteurs associés à l’événement, que vous avez établi un plan de traitement personnalisé et que vous avez fait de la psychoéducation, quelle sera la prochaine étape ?
Indice :
T_____ A_______ plus précisément sur le P______ de G_______ É_______
- Travailler sur les affects reliés au TSPT, plus précisément, sur :
Le processus de gestion émotionnelle.
Vous travaillez sur les affects reliés au TSPT, plus précisément sur les processus de gestion émotionnelle. Comment cela peut-il être aidant pour Marianne ?
Indice :
R_____
I_____
A_____
E______
D______
Le processus de gestion émotionnelle facilitera :
- le ressenti des émotions
- l’identification et l’appropriation des émotions
- l’acceptation des émotions
- l’expression des émotions
Ce qui aidera la personne à éviter une dissociation = élément central de la thérapie.
Est-il essentiel que la personne ressente ses émotions lors du traitement du TSPT ? Pourquoi ?
Indice : D____
Oui, car sinon elle va faire de la dissociation au moment où on fera l’exposition in vivo ou en imagination.
C’est une étape cruciale pour le bon déroulement du processus thérapeutique.
Qu’arrive-t-il lorsque la personne fait de la dissociation en rencontre avec un psychologue ?
Elle n’est plus présente, plus là au présent, on a plus de contact avec elle et on est pas en mesure de l’aider si elle fait de la dissociation.
Comment peut-on faire pour que la personne ressente des émotions ?
R______
S______
S______
- Lorsqu’elle nous parle, faire des reflets : quand vous me parlez de ça, j’entends votre voix qui se durcie, je vois que votre mâchoire se contracte.
- Souligner les moments où la personne vit une émotion lorsqu’elle raconte quelque chose.
- Lorsque la personne nous parle de quelque chose qui fait remonter des émotions, on peut dire : j’aimerais qu’on prenne un petit moment ensemble. Est-ce que vous remarquez qu’il se passe quelque chose de particulier dans votre corps ?
Ex : boule dans la gorge, sensation de tension, mains qui tremblent, etc.
Vrai ou faux. Les techniques concernant le travail sur les affects reliés au TSPT ne doivent pas être en ordre, on peut commencer par la dernière technique sans problème.
Faux. Il faut toujours commencer par la première technique pour ces techniques car on amène la personne graduellement a faire face à ses émotions qu’elle a évité depuis l’événement = très difficile pour elle de faire cela. On ne veut pas la brusquer.
Marianne est maintenant capable de ressentir des émotions face à l’événement, elle se retient moins souvent lorsqu’elle vous rencontre. Quelle serait la prochaine étape ?
Indice :
I_______
A________
1) L’identification
2) L’appropriation des émotions.
Comment allons-nous savoir que Marianne est capable d’identifier ses émotions ?
Donnez un exemple.
Elle mettra des mots sur ses émotions. Il y aura une connection entre les symptômes physiques (corps) et les mots pour décrire les émotions vécues.
Ex : J’ai une boule dans la gorge car je ressens de la tristesse.
Ex : Mes mains tremblent car je me sens anxieuse.
Marianne ressent ses émotions et est en mesure de les identifier et de vous les partager en mots. Quelle sera la prochaine étape ?
Donnez un exemple.
Indice :
A_______ É_________
L’appropriation des émotions.
C’est d’utiliser le JE lorsqu’elle parle des émotions ressenties ou vécues. C’est d’arrêter d’utiliser le ON.
Le psychologue demande alors à Marianne si elle parle d’elle lorsqu’elle utilise le mot on, nous ou si c’est une impression générale que tout le monde vit cette émotion.
Ex : On se lève le matin et on a envie de rien faire —-> Je me lève le matin et j’ai envie de rien faire.
Maintenant que Marianne ressent ses émotions, les identifie et se les approprie, quelle sera la prochaine étape ?
Indice :
A_____ É______
L’acceptation des émotions : c’est de se donner le droit de ressentir les émotions.
En arriver à ce que Marianne dise : j’ai le droit de me sentir triste, en colère, anxieuse, etc.
Le client peut avoir peur de ________ une émotion et _________ son émotion de colère par exemple. Il a peur qu’il fera quelque chose de physique pour exprimer sa colère. On va l’aider à _________ entre ________ une émotion vs r_______ une émotion : ce n’est pas parce qu’on ressent de la colère qu’on va se mettre à agresser quelqu’un.
- ressentir
- accepter
- distinguer
- ressentir
- réagir
Marianne ressent ses émotions, les identifie et se les approprie, elle les acceptent aussi maintenant en se donnant le droit de les ressentir. Quelle serait la prochaine étape du processus de gestion émotionnelle dans le travail sur les affects reliés au TSPT ?
Indice :
E_______ É________
A_________ S________
L’expression des émotions versus les réprimer constamment :
On veut que la personne exprime ses émotions et on s’assure que l’expression de ses émotions est acceptable dans la société.
Ex : si vit de la colère : l’exprimer d’une façon acceptable.
Comment :
- En pleurant
- En s’isolant (se retirer)
- En le disant à autrui
- En écrivant pour soi-même ou à autrui
Marianne vous dit qu’elle a ressenti beaucoup d’émotions difficiles la dernière semaine et qu’elle est allée dans un bar pour voir un spectacle de comédie avec des amies pour se changer les idées le vendredi soir après le travail (moment où elle a commencé à avoir beaucoup d’émotions de tristesse et de colère).
Est-ce que Marianne a appliqué une bonne technique ?
Non. Le fait d’aller dans un bar pour se changer les idées n’est pas de permettre l’expression des émotions, c’est plutôt de les éviter. On ne veut pas dédramatiser nos émotions. On veut que la personne exprime son émotion plutôt que de la cacher.