Cours 1: Les théoriciens Flashcards

1
Q

Qui est le père du béhaviorisme ?

A

Watson

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Q

Je suis l’instigateur du conditionnement classique

A

Watson

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3
Q

Le conditionnement classique est défini par quels éléments ?

A

Le conditionnement classique est un processus d’apprentissage qui se produit par le biais d’associations entre un stimulus environnemental (objet: cloche, animal: rat) et un stimulus naturel (salivation, transpiration, peur).

Un stimulus amène une réponse (S-R). Nos comportements sont appris, conditionnés et non innés, il n’y a pas d’instinct.

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4
Q

Quel est le but de la théorie du conditionnement classique ?

A

De pouvoir prédire les comportements et réactions selon le stimulus présenté. Pouvoir contrôler les comportements et réactions.

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5
Q

Le conditionnement classique est un conditionnement non opérant et donc il est également nommé ?

A

Répondant

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6
Q

L’expérience _____ a permis à Watson de valider que le conditionnement classique pouvait être appliqué à ___ ?

A

a) du Petit Albert
b) l’humain

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7
Q

Vrai ou faux. La réaction, par exemple la peur créé par conditionnement classique, ne peut se transposer vers un autre stimulus.

A

Faux. La réaction de peur (réponse conditionnelle) peut se transposer vers un stimulus qui lui ressemble et même vers un stimulus qui lui ressemble peu. La preuve: l’expérience de peur des rats du petit Albert: cette peur a été transposée vers une barbe, un manteau de fourrure, un autre animal poilu, etc.

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8
Q

La peur peut avoir un impact sur le développement de ______

A

la personnalité

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9
Q

Qu’est-ce qu’à créé l’expérience du petit Albert ?

A

La peur qui s’est transformée en phobie des rats

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10
Q

Vrai ou faux. Une fois un comportement conditionné, on ne peut plus le changer.

A

Faux. Nous pouvons déconditionner un apprentissage par conditionnement classique. Par exemple: l’expérience du bébé Peter. Sa phobie a été retirée par un processus de renforcement + (donner des bonbons) en rapprochant un rat du bébé Peter).

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11
Q

Que disait Watson au sujet des problématiques en santé mentale développées chez les humains ?

A

Si une personne développe un problème de santé mentale, c’est qu’elle y a été conditionnée, elle est donc inadaptée à son environnement.

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12
Q

Décrivez la séquence des éléments qui composent le conditionnement classique.

A

1) stimulus inconditionnel entraîne une réponse inconditionnelle
2) stimulus inconditionnel + stimulus neutre entraîne une réponse inconditionnelle
3) Si l’on répète plusieurs fois l’étape #2: association du SN + SI, nous allons créer une réelle association. Le SN devient donc un SC
4) SC entraîne RC

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13
Q

Guthrie est l’instigateur de quelle théorie ?

A

Le conditionnement simultané

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14
Q

Qu’est-ce que le conditionnement simultané ?

A

Procédure de conditionnement classique au cours de laquelle le stimulus conditionnel et le stimulus inconditionnel, d’une durée équivalente, sont présentés en même temps.

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15
Q

Guthrie a fait quelle expérience pour valider sa théorie ?

A

L’observation de 800 sorties de chats à l’extérieur d’une boîte.

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16
Q

Le _______ de ______ est le résultat des travaux de Guthrie qui fait référence à son expérience de 800 sorties de chats à l’extérieur d’une boîte. Expliquez-le.

A

principe de contiguïté. C’est la tendance à faire la même chose dans une même situation à un autre moment. Ex: le chat sort la JG et après la JD, ensuite le BD et le BG, etc. Il sortira toujours de la même manière à chaque sortie à l’extérieur d’une boîte.

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17
Q

Définition officielle du principe de la contiguïté

A

Une 1re réponse (JG suivie JD) à un 1er stimulus (être dans la boîte) tendra dans l’avenir à accompagner le même stimulus.

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18
Q

Peut-on dire que l’expérience de Guthrie et de Thorndike sont identiques ?

A

Non car il n’y a pas de mécanisme spécial dans la boîte de l’expérience de Guthrie. Tandis que, pour l’expérience de Thorndike, le chat devait bouger un levier pour pouvoir sortir de la boîte. Thorndike n’évaluait pas la même chose que Guthrie, il évaluait le temps et la capacité du chat à sortir de la boîte par conditionnement, soit en recevant une motivation (nourriture) lorsqu’il réussissait.

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19
Q

Selon Guthrie, les habitudes crées avec le principe de la contiguïté peuvent ou ne peuvent être renversées ?

A

Les habitudes peuvent être renversées seulement si elles sont remplacées par de nouvelles habitudes.

Les habitudes qui sont bien établies disparaissent seulement s’il y a des nouvelles habitudes qui les remplacent.

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20
Q

Comment se nomme la théorie qui est basée sur les fonctions mathématiques ? Qui est le théoricien ?

A

La théorie de la connaissance de Hull.

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21
Q

Vrai ou faux. La théorie de la connaissance fait partie du béhaviorisme pure ?

A

Faux. Elle fait partie du néobéhaviorisme, elle fait une jonction entre le béhaviorisme et le cognitivisme.

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22
Q

Quels sont les principes de Hull et combien y en a-t-il ?

A

3 principes de Hull:
1) il existe une variable intermédiaire entre le stimulus et la réponse. Cette variable est non observable.
2) toute variable intermédiaire, non observable doit être accompagnée d’une variable observable.
3) les relations s’expriment sous forme de fonctions mathématiques.

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23
Q

Que veut dire SOR et ce concept provient de quel théoricien et de quelle théorie ?

A

SOR: stimulus, organisme = réponses physiologiques (variable intermédiaire non observable. Ex: faim, soif, libido), réponse. C’est la théorie de la connaissance de Hull.

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24
Q

Quel est le but de la psychologie selon Watson ?

A
  • Faire des déductions sur ce qui a amené un comportement ou réaction = connaître la nature du stimulus
  • Prédire le comportement qui va se produire selon un stimulus spécifique présent
  • Établir des données et des lois
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25
Q

Les comportements sont ______ et non _____ selon le père du béhaviorisme.

A

a) acquis/appris
b) innés

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26
Q

Définition de comportement selon Watson

A

Une réponse donnée (suite) à un stimulus

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27
Q

Définition de stimulus selon Watson

A

Provoque une réponse/comportement

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28
Q

Définition de la pensée selon Watson

A

comportement comme les autres, discours silencieux

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29
Q

Définition du langage selon Watson

A

Comportement comme les autres, mouvement de la langue (moteur)

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30
Q

Dans l’expérience de Watson, afin de créer un conditionnement chez le Petit Albert, il a _______ ?

A

Frappé sur une barre d’acier avec un marteau à plusieurs reprises à chaque fois que l’animal était présent et proche du Petit Albert.

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31
Q

Quel est le lien entre les phobies et le conditionnement classique ?

A

Le conditionnement classique joue un rôle important dans le développement des peurs et des phobies et des associations: certaines phobies peuvent être dues, en partie à un conditionnement classique.

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32
Q

Quelles sont les questions que s’est posé Watson suite à son expérience du Petit Albert ?

A
  • combien de temps le conditionnement durera-t-il ?
  • dois-je renforcer le conditionnement afin qu’il continue à être présent ? (refaire l’expérience afin de renforcer la peur)
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33
Q

Vrai ou faux. Watson et la mère du béhaviorisme ont induit une phobie au bébé Peter.

A

Faux. Bébé Peter avait déjà une phobie des animaux (rats et lapins) et Watson voulait voir s’il pouvait déconditionner bébé Peter = pour qu’il n’ait plus peur des animaux.

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34
Q

Vrai ou faux. Le discours de Watson au sujet de la psychologie faisait partie de ce qui ce partageait dans le monde de la psychologie.

A

Faux. Il était à l’encontre de ce qui se partageait à l’époque où l’on croyait beaucoup à l’inconscient. Watson ne croyait pas à l’inconscient.

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35
Q

Comment Watson aurait aimé pouvoir conditionner les enfants par l’entremise de l’environnement ?

A

En créant une table qui produirait des chocs électriques lorsque l’enfant se rapprocherait de quelque chose de fragile, comme d’un vase. Il serait tout de même possible pour les enfants de jouer librement sans recevoir de choc électrique.

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36
Q

Qui a dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait avec les enfants, qu’il pouvait les mouler les enfants et les éduquer et ce peu importe la race, la culture ?

A

Watson

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37
Q

Qui a influencé Guthrie ?

A

Watson

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38
Q

Est-ce que tous les chats sortent de la même façon dans l’expérience des 800 sorties de chats de Guthrie ?

A

Non. Ils ne sortent pas de la même façon lorsqu’on les compare.

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39
Q

Donnez un exemple du principe de la contiguïté

A

Lorsque je prend ma douche, je lave mon BG et ensuite mon BD, ensuite mon torse et mon ventre, ensuite mon dos, ensuite, etc. et je répète cela à chaque fois que je prend une douche. C’est toujours la même séquence.

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40
Q

Quelle expérience personnelle a fait Guthrie concernant les mauvaises habitudes ?

A

Il a demandé à sa fille qui est entrée avec son imperméable et qui l’a déposé au sol, de ressortir de la maison et d’entrer en accrochant son imperméable. Il voulait corriger le comportement de sa fille avant que ça se transforme en une mauvaise habitude.

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41
Q

Quel théoricien n’était pas d’accord avec les travaux de Watson car il disait que la conception de celui-ci était trop simple et que c’est certain qu’il y avait autre chose ?

A

Hull

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42
Q

Hull voulait créer une véritable théorie _______

A

de la connaissance

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43
Q

____ souhaite établir les lois de tous les comportements des ______ ________

A

a) Hull
b) organismes supérieurs

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44
Q

Qu’avait-on appris avant Hull ?

A

S-R: qu’un stimulus provoque une réponse

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45
Q

Que veut dire organisme selon Hull ?

A

les signes physiologiques, c’est la variable intermédiaire non observable. Existe entre le stimulus et la réponse.

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46
Q

_____ fait la jonction entre le béhaviorisme et le ___________

A

a) Hull
b) cognitivisme

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47
Q

Je suis le théoricien qui vint après Watson et qui se distingue du conditionnement classique. Qui suis-je et quel est le nom de ma théorie ?

A

Skinner. Le conditionnement opérant.

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48
Q

Quelle est la différence entre un comportement répondant et un comportement opérant ?

A

Répondant: fait référence au stimulus réponse du conditionnement classique. Concerne les réflexes innés = très rare que nous présentons cela dans la vrai vie.

Opérant: ensemble des autres comportements.
- Si un comportement est suivi de quelque chose d’agréable, + nous aurons tendance à reproduire le comportement.
- Si un comportement est suivi de quelque chose de négatif ou de désagréable, - nous aurons tendance à reproduire le comportement. Ceci nous permet d’éviter quelque chose de négatif, qu’on n’aime pas.

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49
Q

Quelle est la différence entre Skinner et Thorndike ?

A

**Thorndike a été un précurseur dans le domaine du comportementalisme. Sa théorie est basée sur l’expérience des chats (la boîte à problèmes) qui doivent sortir de la cage par essais-erreurs. Il nomme sa théorie la loi de l’effet et la loi de l’exercice (fréquence d’association: plus souvent une association est fait, plus elle devient forte).

Skinner lui a repris les mêmes idées que Thorndike, mais a appelé sa théorie le conditionnement opérant.

Les théories de Thorndike et de Skinner présentent de nombreuses similitudes et différences.** Les deux théories reconnaissent que les conséquences dues aux comportements ont un impact direct sur le conditionnement du comportement humain.** Cependant, dans la théorie de Skinner, un comportement est susceptible de se reproduire en fonction d’un renforçateur plutôt que de savoir si le stimulus est positif ou négatif.

La théorie de Thorndike, quant à elle, repose principalement sur les renforcements et les punitions, qui en théorie pourraient être stimulants.

Les deux théories peuvent se croiser pour tenter de renforcer positivement quelqu’un pour un bon comportement. Les théories sont moins susceptibles de coexister dans les comportements négatifs. Par exemple, si un enfant fait quelque chose qu’il n’est pas censé faire, vous êtes susceptible de lui crier non, ce qui est une punition négative, mais toujours très stimulante pour un enfant.

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50
Q

Que stipule la Loi de l’effet de Thorndike ?

A

Une réponse/comportement suivie d’une conséquence agréable est plus susceptible d’être répétée, alors qu’une réponse/comportement suivie d’une conséquence désagréable est plus susceptible d’être diminuée ou cessée.

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51
Q

Quel était le but de la cage de Skinner ?

A

Renforcer l’apprentissage en faisant du renforcement + (le rat obtient une récompense = nourriture quand son comportement correspond au stimulus que l’on veut renforcer) et renforcement négatif (le rat va recevoir une punition= décharge électrique , quand son comportement ne correspond pas au stimulus que l’on veut renforcer).

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52
Q

Selon Skinner, les animaux ont une grande capacité de _______

A

réflexion

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53
Q

La ____ des _____ et le ___ ____ ont sont des expériences qui ont permis à Skinner de renforcer l’apprentissage grâce au conditionnement opérant.

A

danse des pigeons et le ping-pong des pigeons.

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54
Q

Qu’est-ce que le projet Pellican ?

A

C’est un des projet de Skinner, cela visait à former des pigeons pour les guider à lancer des missiles. Un projet payé par le Pentagone.

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55
Q

Quelle objet a inventé Skinner suite à une expérience personnelle ? Décrivez cette expérience.

A

La boîte nouveau genre. C’est une boîte vitrée avec un environnement sécuritaire très contrôlé (air filtré, température, humidité). Skinner a placé sa fille dans cette boîte pour permettre à sa femme de vaquer à ses occupations.

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56
Q

À quel concept d’aujourd’hui ressemble la boîte nouveau genre ?

A

Par à jeux où on place les enfants.

57
Q

Qu’est-ce que Skinner voulait inventer afin d’amener un renouveau dans l’enseignement ?

A

Une machine automatique qui pourrait effectuer le conditionnement opérant seule en félicitant l’élève lorsqu’il avait une bonne réponse. Le but étant de souligner les événements positifs des élèves directement dans l’environnement.

58
Q

Selon Skinner: la seule différence entre le comportement des pigeons et des rats et des humains repose dans le domaine _______

A

du comportement verbal (le langage). Mis à part les différences de complexité.

59
Q

Vrai ou faux. Selon Skinner: les comportements s’apprennent de la même façon, avec les mêmes principes, que ce soit des animaux ou des humains (on obtient les mêmes résultats).

A

Vrai

60
Q

Qui a dit cette phrase: Il faut abandonner l’idée que les hommes sont dirigés par un être intérieur ou un pouvoir décisionnel.

A

Skinner

61
Q

Selon Skinner: Si on se comporte comme on se comporte c’est qu’on a été _______ dans notre propre environnement par _____ et etc.

A

a) conditionné à le faire
b) la famille, l’éducation

62
Q

Selon Skinner: on fait les choses qu’on a appris et on les fait pour _______ ou ________

A

a) obtenir quelque chose de +
b) éviter quelque chose de -

63
Q

Selon Skinner: Le monde est une ____ _____ qui façonne l’individu.

A

immense boîte

64
Q

Quelle est la théorie de Kelly ?

A

La théorie des construits personnels

65
Q

Définition d’un construit:

A

Une construction mentale qui guide nos pensées, nos interprétations, nos comportements et nos émotions = façon de voir la vie, de voir les choses.

66
Q

Kelly a parlé de ______ dans sa théorie des construits personnels.

A

corollaires = conséquences des construits

67
Q

Combien de corollaires (conséquences/construits) existent-ils ?

A

3

68
Q

Nommez les corollaires/construits/conséquences selon la théorie des construits personnels et nommez le théoricien.

A

Kelly.
1) Construction
2) Individualité
3) Organisation

69
Q

Qu’est-ce que la corollaire de construction selon Kelly ?

A

On se construit des constructions mentales qui sont basées sur l’expérience dès notre naissance. Quand on naît, on construit notre façon de voir le monde, de voir les relations.

Ex: Mes parents crient tout le temps, j’ai donc l’impression que c’est comme ça les parents, ça se chicane toujours = mon expérience se transpose aux autres. Ma construction mentale que j’ai construite: les parents interagissent en hostilité.

70
Q

Qu’est-ce que la corollaire de l’individualité selon Kelly ?

A

Les construits varient d’une personne à l’autre. On a tous des construits différents car on a tous évolués dans des environnements différents.

71
Q

Qu’est-ce que le corollaire de l’organisation selon Kelly ?

A

Nos construits sont organisés, reliés, un construit est associé à un autre ou un construit est plus important (plus haut hiérarchiquement) qu’un autre.

Ex: mon amour du bacon est plus > que mon amour des animaux. J’ai plus peur des hommes vieux que des hommes jeunes.

72
Q

Que ce passe-t-il lorsque nos actions ne sont pas en accord avec nos construits selon Kelly ?

A

1) on ressent de la culpabilité
2) on rend la réalité conforme à nos construits = défense des construits. Ne veut pas changer son construit même si confrontée à celui-ci.
3) on argumente et on prend tous les chemins pour valider nos construits
4) de + en + que la personne devient inconfortable lorsqu’elle argumente son construit (défend son construit), elle utilisera la légèreté et l’humour pour diminuer l’inconfort. Ex: c’est trop bon du bacon!

73
Q

Quel est le nom de la théorie d’Ellis ? Définissez les composantes de cette théorie.

A

**La théorie ABC:
**A: un événement **
+
B: une croyance au sujet de cet événement
Conduit à des:
Conséquences émotionnelles et comportementales

74
Q

Selon Ellis, les gens _____ à leurs propres _____ et ______ au moyen d’_____ qu’ils font.

A

a) contribuent
b) troubles
c) symptômes
d) interprétations

75
Q

Selon Ellis, les émotions proviennent d’où ?

A

Des croyances, interprétations et des réactions aux situations de la vie.

76
Q

Quel est l’objectif de la thérapie selon Ellis ?

A

Modifier les croyances irrationnelles qui mènent à des comportements irrationnels.

77
Q

Qui est le premier théoricien à avoir proposé l’idée de modifier les croyances irrationnelles chez les gens ?

A

Ellis

78
Q

Selon Ellis. Nous avons un système de _____ des _____ qui se passe au ______.

A

a) traitement
b) événements
c) quotidien

79
Q

Décrivez le système de traitement et des risques selon la théorie d’Ellis.

A

1) Interprétation (distorsions cognitives)
2) Évaluation (attitudes dysfonctionnelles)
3) Croyances sous-jacentes (croyances irréalistes majeures)

80
Q

Les distorsions cognitives d’Ellis sont semblables au concept de ______ du théoricien _____.

A

a) erreurs de logique
b) Beck

81
Q

Donnez un exemple d’interprétation causant une distorsion cognitive (théorie d’Ellis).

A

Quand une amie passe devant moi sans me dire allo. J’interprète qu’elle ne m’aime pas, qu’elle se fou de moi. Le risque ici est ne pas interpréter adéquatement ce qui se passe dans la réalité.

82
Q

Vrai ou faux. Beck a détaillé les distorsions cognitives d’Ellis puisqu’il n’aimait pas les explications données par Ellis.

A

Faux. Ellis n’a pas détaillé les composantes des distorsions cognitives. Beck les a détaillé, mais en les nommant des erreurs de logique.

83
Q

Quelles sont les types d’attitudes dysfonctionnelles détaillées par Ellis dans sa théorie ABC ?

A

1) Exigences rigides
2) Non-acceptation
3) Dramatisation
4) Jugement global sur la valeur personnelle

84
Q

Qu’y a-t-il de particulier au niveau des types d’attitudes dysfonctionnelles détaillées par Ellis ?

A

Il existe une triade d’attitudes dysfonctionnelles qui sont reliées entre-elles. 1 élément de la triade découle de l’autre = s’enchaînent = dépend de ce qui précède.

Les éléments de la triade sont:
1) exigences rigides
2) non-acceptation
3) dramatisation

85
Q

Qu’est-ce que l’exigence rigide selon Ellis ?

A

Fait partie de la théorie ABC, est une attitude dysfonctionnelle suite à une évaluation d’un événement. C’est de confondre un besoin avec un désir ou une préférence. C’est de penser qu’on a vraiment besoin de quelque chose pour notre survie ou pour être heureux.

86
Q

Donnez un exemple d’évaluation causant une attitude dysfonctionnelle d’exigence rigide (théorie d’Ellis).

A

Je dois (j’ai besoin) de gagner 300 000$ pour être heureuse.

87
Q

Comment savoir si nous faisons face à une exigence rigide selon Ellis ?

A

L’exigence rigide est présente à partir du moment où on ressent que ce n’est plus un désir, mais que c’est un besoin pour être heureux.

88
Q

Ces débuts de phrases vous font penser à quoi ?
- Il faut que…
- Je dois…
- Ils doivent…

A

Aux exigences rigides de la théorie d’Ellis. C’est au niveau de l’évaluation qui crée des attitudes dysfonctionnelles.

89
Q

Quelles sont les catégories d’exigences rigides et combien en a-t-il ?

A

4 catégories:
- biens matériels
- volet affectif
- volet plaisir
- évitement de l’inconfort

90
Q

Définissez la non-acceptation selon la théorie d’Ellis. Elle fait partie de quel concept ?

A

C’est lorsque je n’accepte pas le refus de quelqu’un. Ex: Je refuse que mon amie ne vienne pas souper avec moi car elle est trop occupée. La non-acceptation est une attitude dysfonctionnelle et fait partie de l’évaluation que nous faisons d’un événement (B). La non-acceptation est le 2e élément de la triade d’attitudes dysfonctionnelles.

91
Q

Définissez la dramatisation selon la théorie d’Ellis. Elle fait partie de quel concept ?

A

C’est d’exagérer les conséquences de ce qui est entrain de se passer. Ex: Mon amie refuse de venir souper avec moi aujourd’hui. Je ne peux plus lui faire confiance. La dramatisation est une attitude dysfonctionnelle et est le 3e élément de le triade des attitudes dysfonctionnelles et fait partie de l’évaluation que nous faisons d’une événement (B).

92
Q

Définissez le jugement global selon la théorie d’Ellis. Elle fait partie de quel concept ?

A

C’est de mettre une étiquette sur la personne. Ex: elle est égoïste car… Le jugement global ne fait pas partie de la triade des attitudes dysfonctionnelles, mais est tout de même considérée comme une attitude dysfonctionnelle se produisant lors de l’évaluation que nous faisons de l’événement (B).

93
Q

Quel est le 3e et dernier concept du système de traitement et ses risques selon la théorie d’Ellis ?

A

Les croyances sous-jacentes qui peuvent mener à avoir des croyances irréalistes majeures. Ces croyances sont basées sur les expériences qu’on a vécu et qui nous font agir de manière dysfonctionnelle.

94
Q

Qui est Beck ?

A

C’est le fondateur de la thérapie cognitive.

95
Q

Beck avait déjà traité des patients avec la _______, mais avait remarqué que c’était non aidant.

A

psychanalyse

96
Q

Quel est le diagnostic de trouble de santé mentale pour lequel Beck a créé des outils ?

A

La dépression

97
Q

Comment Beck explique-t-il la dépression ?

A

Par la triade cognitive de la dépression:

1) la vision négative de soi
2) la vision négative du monde et de l’entourage
3) la vision négative du futur, de l’avenir

98
Q

Quelle similarité existe-t-il entre Ellis et Beck ?

A

Ellis a établi un modèle incluant des distorsions cognitives, mais ne les a pas détaillées, tandis que Beck a repris ce concept et l’a nommé erreurs de logique et a détaillé ces dernières.

99
Q

Selon Beck: plus souvent on fait des _____, plus souvent on vit des _______ et _____ qui durent longtemps.

A

a) erreurs de logique
b) émotions désagréables
c) intenses

100
Q

Quels sont les types d’erreurs de logique selon Beck et combien y en a-t-il ?

A

1) Les déductions sans preuve
2) Les généralisations excessives

101
Q

Nommez les déductions sans preuves selon la théorie de Beck.

A

Les déductions sans preuves sont présentes lorsque :
- nous avons un raisonnement émotif
- nous faisons de la personnalisation
- nous faisons la lecture des pensées d’autrui

102
Q

Définissez le raisonnement émotif selon la théorie de Beck

A

Il fait partie des déductions sans preuves qui peuvent activer la triade cognitive de la dépression. Le raisonnement émotif est présent lorsque je me sert d’une émotion comme étant la preuve de quelque chose. C’est une erreur de logique car l’émotion n’est pas une preuve suffisante que c’est vraiment ça qui se passe. Ex: Je ne me sent pas belle aujourd’hui, donc je ne suis pas belle.

103
Q

Est-ce un raisonnement émotif selon Beck: Je me sens en colère, je suis donc en colère. Je me sens triste, je suis donc triste.

A

Non, les émotions pures ne sont pas des erreurs de logique.

104
Q

Définissez la personnalisation selon la théorie de Beck

A

Quand on surestime notre implication dans quelque chose de négatif. Je fais une déduction sans preuve car je me dit que puisque je me sent responsable de quelque chose, je le suis vraiment. Toutefois, ce n’est pas la représentation logique de la réalité. Ex: Une amie a une contravention en se stationnant devant chez moi. Je me sens coupable et responsable de sa contravention car c’est moi qui l’a invité à venir souper pour m’aider à décompresser. Je fais une personnalisation lorsque je me dis: si seulement je ne l’avais pas invité, elle n’aurait pas eu de contravention.

105
Q

Quelle phrase pouvons-nous nous poser afin de savoir si nous faisons face à une erreur de logique faisant partie des déductions sans preuves: personnalisation ?

A

Est-ce que ça peut s’appliquer à quelqu’un d’autre ? Si la réponse est non, c’est que nous faisons une personnalisation qui mène à une erreur de logique de déduction sans preuves.

106
Q

Définissez la lecture des pensées d’autrui selon la théorie de Beck.

A

C’est une erreur de logique faisant partie des déductions sans preuves. C’est de penser connaître les idées qui sont dans la tête de l’autre. C’est de faire comme si on était dans sa tête. C’est une déduction sans preuve et une erreur de logique puisque je ne peux pas deviner à 100% les pensées des autres. Ex: La personne ne me salue pas, cela veut dire qu’elle ne veut pas me parler.

107
Q

Quelles sont les généralisations excessives selon Beck ? Nommez ces concepts.

A

Les généralisations excessives font partie des erreurs de logique et sont composées de 4 éléments:
1) dramatisation
2) disqualification du positif
3) penser tout ou rien
4) jugement global sur la valeur personnelle

108
Q

Qui sont les 2 théoriciens qui ont parlé de jugement global sur la valeur personnelle ?

A
  • Ellis dans les attitudes dysfonctionnelles ne faisant pas partie de la triade d’attitudes dysfonctionnelles
  • Beck: dans les erreurs de logique au niveau des généralisations excessives qui peuvent déclencher la triade cognitive de la dépression.
109
Q

Qu’est-ce que la dramatisation selon Beck ? Donnez un exemple.

A

C’est une erreur de logique et c’est d’exagérer ce qui se passe ou ce qui est dit. Ex: mon amie annule les plans que nous avions ce soir. Elle va toujours annuler les plans, elle annule toujours les plans de toute manière, je ne l’a verrai plus si ça continue.

110
Q

Qu’est-ce que la disqualification du positif selon Beck ? Donnez un exemple.

A

C’est de sous-estimer notre implication dans un événement ou une situation positive. C’est le contraire de la personnalisation qui est de surestimer notre implication dans quelque chose de négatif. Ex: Mon amie me dit qu’elle me trouve bonne et impressionnante car je réussi bien à l’école et que j’ai un bon travail et que je suis organisée dans la vie. Je lui réponds, oui mais c’est parce que j’ai eu beaucoup d’aide, je suis chanceuse. C’est de ne pas accepter les compliments en quelque sorte.

111
Q

Qu’est-ce que la pensée tout ou rien selon Beck ? Donnez un exemple.

A

C’est une erreur de logique et c’est de ne pas avoir de nuance. C’est une généralisation excessive puisque la vérité et la réalité se retrouve peut-être dans la nuance et non aux 2 extrêmes. Ex: Je décide de commencer à m’entraîner et d’être plus en forme. Je coupe tout le sucre dès demain et je vais au gym à tous les jours. Une semaine après, je me sens fatiguée. Je ne vais pas au gym 1 jour et je mange une barre de chocolat. Je me dis ok, c’est fini, je n’ai pas réussi, j’arrête tout. Donc je débute tout et j’arrête tout. Je fais tout ou rien.

112
Q

Qu’est-ce que le jugement global sur la valeur personnelle selon Beck ? Donnez un exemple.

A

C’est de mettre une étiquette sur quelqu’un. C’est de faire une généralisation excessive: un comportement ne définit pas une personne. Ex: Elle a utilisé tous mes tampons démaquillants, elle est égoïste et ne pense pas aux autres.

113
Q

Est-ce qu’il existe une différence entre le jugement global sur la valeur personnelle d’Ellis et de Beck ?

A

Les deux se définissent de la même façon. Mais pour Ellis, le jugement global de la valeur personnelle fait partie des attitudes dysfonctionnelles incluses dans l’évaluation du système de Tx et des risques, tandis que pour Beck, ça fait partie des erreurs de logique: généralisations excessives.

114
Q

Quelle imagerie pouvons-nous utiliser afin de voir les erreurs de logique chez un client selon Beck ? Décrivez les étapes explicatives.

A

L’image du projecteur qui nous permet de voir une image qui a été déformée comparativement à l’image réelle.

Il existe un projecteur + une ampoule + une lumière + diapositive + l’image réelle + la lentille + la lumière qui traverse la lentille + l’image déformée + le regard du psychologue.

1) Ampoule + lumière + diapositive : la réalité
2) Lentille : système de valeurs de la personne
3) Lumière qui traverse la lentille : erreurs de logique
4) Image déformée sur l’écran : discours intérieur de la personne
5) Les yeux : regard du psychologue qui a accès seulement au discours intérieur de la personne et pas ce qu’il y a avant.

115
Q

Selon la théorie de Beck et l’imagerie de l’image déformée à travers un projecteur, à quoi a accès le psychologue ?

A

Au discours intérieur de la personne, à ses pensées, mais pas nécessairement à la réalité, des pensées peut-être biaisées, qui peuvent tendre souvent à gauche ou à droite. Le psychologue peut également déterminer le système de valeurs de la personne et voir quelles sont les erreurs de logique qu’elle fait.

116
Q

Expliquez le système cognitif de Beck

A

Ce sont des éléments qui s’enchaînent un à la suite de l’autre, le premier étant le plus inconscient et allant vers le moins inconscient. Plus ce qui se trouve en haut est dysfonctionnel, plus ce qui se trouve en bas le sera aussi. C’est un modèle qui s’applique en tout temps, que ce soit positif ou négatif et il dépend des perceptions et croyances de la personne.

117
Q

Nommez les 5 éléments du système cognitif de Beck

A

1) schémas et croyances fondamentales
2) croyances intermédiaires
3) processus cognitifs
4) événements cognitifs
5) réactions

118
Q

Mise à part Beck et son modèle cognitif hiérarchique, quel théoricien a également un concept hiérarchique ?

A

Kelly : la théorie des construits personnels, au niveau des corollaires/construits/conséquences: organisation (hiérarchique).

119
Q

Comment se nomme la théorie de Ellis ?

A

La théorie ABC et le système de traitement (suite à une situation ou un événement) et ses risques.

120
Q

Dans le modèle cognitif de Beck. Quels sont les éléments inclus au niveau des croyances intermédiaires ?

A

1) présomptions
2) règles
3) attitudes mentales

121
Q

Quel est le nom du concept d’Ellis qui pourrait ressembler au concept de règles de Beck ?

A

les exigences rigides

122
Q

Quelle est la différence entre un processus cognitif et un événement cognitif selon le modèle cognitif de Beck ?

A

Processus cognitifs : c’est le processus que l’on fait pour arriver à une réponse. Ex: l’addition entre nombres: 5 + 4 + 8. C’est un processus qui est inconscient, on n’a pas accès aux processus cognitifs.

Événements cognitifs : C’est d’avoir une pensée et c’est conscient. Ex: je me parle à moi-même, je me dis…, j’interprète. En mathématique, ça serait le résultat obtenu suite à l’addition des nombres (processus cognitif).

*Penser au TDAH et à quel point il est difficile d’expliquer le processus cognitif par lequel on est passé pour arriver à une réponse ou un résultat, une pensée (événement cognitif).

123
Q

Si on se trompe dans le processus cognitif, on fait une _______ et cela entraîne un ________ .

A

a) erreur de logique
b) pensée non adaptée

124
Q

Quels sont les types de réactions dans le modèle cognitif de Beck ?

A

1) émotions
2) comportements
3) symptômes physiologiques

125
Q

Il existe 2 types d’événements cognitifs selon Beck. Lesquels sont-ils ?

A

2 types de pensées:

1) automatiques : pas de contrôle, ça vient tout seul mais j’ai quand même conscience : je ne suis pas belle aujourd’hui.
2) contrôlées : je souhaite penser à telle chose : qu’est-ce que j’aimerais souper ce soir ?

126
Q

Quel théoricien a élaboré plusieurs instruments de mesure concernant la dépression, l’anxiété, le désespoir et les idéations suicidaires ?

A

Beck

127
Q

Quel est le nom de la thérapie de Young ?

A

La thérapie des schémas

128
Q

La thérapie des schémas de Young cible quel type de clientèle en particulier ?

A

La clientèle avec un trouble de personnalité qui ne répond pas adéquatement à la TCC classique.

129
Q

La thérapie des schémas de Young est très pratique pour les personnes ayant un même ______.

A

pattern

130
Q

Définition de schéma selon Young.

A

Un schéma est un modèle ou thème envahissant constitué de souvenirs, émotions, cognition, sensations corporelles concernant soi-même et ses relations avec les autres et est constitué à l’enfance ou l’adolescence et s’enrichie tout au long de la vie. Les schémas sont dysfonctionnels de façon significative.

131
Q

Quel est le but du psychologue et de la thérapie des schémas selon Young ?

A

Aider le client à modifier ses schémas. Le travail du psychologue porte sur les éléments centraux et inconscients fondamentaux pour la personne. C’est tout ce qui guide notre façon de penser.

132
Q

La thérapie des schémas de Young est une thérapie courte ou longue ?

A

Longue, elle peu prendre de 1 à 2 années.

133
Q

La thérapie TCC classique prend combien de temps environ ?

A

quelques mois à 6 mois.

134
Q

Vrai ou faux. Nous avons tendance à vouloir changer nos schémas.

A

Faux. Nous avons tendance à répéter la vision que nous avons de nous-même, du monde et de notre entourage.

135
Q

Comment change-t-on les schémas selon Young ?

A
  • prendre conscience du schéma
  • se re-construire mentalement
  • prendre conscience de chaque inclinaison qu’on a à tendre vers ce schéma
  • développer une nouvelle façon de se percevoir et de percevoir nos relations avec les autres.
136
Q

Quelle thérapie devrait faire un client avec un diagnostic borderline ?

A

La thérapie dialectique béhaviorale de Linehan

137
Q

Définition de dialectique

A

Ensemble de moyens mis en oeuvre dans la discussion en vue de démontrer, réfuter (argumenter, raisonner).

138
Q

La thérapie de Linehan se base sur le courant ______ en intégrant des éléments de la _____ et ____

A

a) béhavioriste
b) TCC
c) pratiques zen