Examen 2 Flashcards
Théorie psychosexuelle de Freud, stade phallique
-Nom de l’auteur; Freud
-Nom de la théorie: psychosexuelle
- Nom du stade: phallique (3 à 6 ans)
-Zone érogène: les organes génitaux
-Enjeu central: Le complexe d’oedipe
-Angoisse de base: castration
-Risque ou non de fixation: si l’une des deux résolutions n’est pas faite. Identification au parent du même sexe: garçon sera agressifs envers son père fille: adopte de comportement plutôt féminin. Désexualisation du parent opposé: cherchera une réplique du parent dans son partenaire.
- Caractéristique du stade phallique: complexe d’oedipe, formation accélérée du Surmoi ainsi que masturbation et curiosité sexuelle.
Complexe d’Oedipe
Amour profond de l’enfant pour le parent du sexe opposé.
Rivalité avec le parent du même sexe.
Par analogie avec le héros Œdipe
Complexe d’Œdipe : Désir intense du petit garçon de posséder sa mère et d’évincer son père pour prendre sa place auprès de l’objet d’amour
Inconscience de l’enfant par rapport à tout cela.
Résolution: grâce à l’angoisse de castration
Complexe d’Électre
La petite fille sait qu’elle n’a pas de pénis. Elle cherchera donc à se rapprocher de son père qui en a un et à recevoir de l’amour de cette personne (l’envie du pénis qu’elle aurait perdu= angoisse de castration).
Angoisse de castration: désire avoir un pénis.
La mère devient donc la rivale.
La résolution sera plus lente que chez le garçon et elle aura besoin du regard positif de son père afin de se sentir bien dans sa féminité. (elle est séduisante)
4 étapes de l’identité de genre
1: conscience du genre
2: identification du genre
3: stabilité du genre
4: consolidation du genre
Quelques influences sur l’identité de genre
-Gènes
-Hormones
-Influence de la famille
-Influence sociale
Théorie psychosociale d’Erikson 3-6 ans
-Initiative et Culpabilité
-Définition dupôle positif: Initiative (Élan intérieur qui pousse à agir. Capacité de planifier et d’entreprendre une action en fonction d’un objectif.)
-Définition du pôle négatif: Culpabilité (: Sentiment d’avoir commis une faute, d’auto-accusation, de condamnation.)
- Définition de la vertu: But (Courage de poursuivre ses propres objectifs, jugés valables, sans être inhibé par la culpabilité ou la peur d’être puni. )
Caractère impitoyable et inhibition (phénomène psychique consistant en un blocage des fonctions intellectuelles ou de certains actes ou conduites.)
Distinction entre autonomie et initiative
Il est possible de faire une chose seul, mais de ne pas avoir planifié cette action ni d’avoir pris la décision de la faire.
Trouver l’équilibre dans la crise intiative et culpabilité
Il est nécessaire de maintenir un cadre disciplinaire sécurisant, mais de l’ajuster aux nouvelles capacités de l’enfant.
Il faut établir des règles et une routine qui créeront une zone sécuritaire à l’intérieure de laquelle l’enfant pourra prendre des initiatives. L’enjeu éducationnel est ici de trouver où installer la limite pour qu’elle puisse assurer la sécurité physique et émotionnelle de l’enfant et lui permettre d’exercer une liberté d’action.
Absence de limites: ne développe pas de culpabilité
Trop de limites: ne développe pas d’initiative
Théorie du développement cognitif de Piaget, préscolaire
-Nom du stade: préoppératoire
-Capacité principale: acquisition de la fonction symbolique (Fonction qui permet de se représenter des personnes, des objets ou des évènements absents ou qui n’ont pas lieu au moment de cette représentation. Également, compréhension des symboles. )
Autres capacités: imitation différée (reproduction action observée, mais en l’absence du modèle) et jeu symbolique (utilisation objet afin d’un représenter un autre)
-Limite principale: absence opération mentale, de logique. L’enfant se fie souvent aux apparences.
Les différentes limites du stade préopératoire de Piaget
Préconcept: fait des associations qui sont plus ou moins vrai entre choses qui ont un lien ensemble (ex: : L’enfant va nommer chat, tous les animaux de petite taille qui ont quatre pattes )
Transduction:Établissement de lien de causalité, logique ou non, entre deux évènements particuliers, sur la seule base de leur proximité dans le temps.
Égocentrisme: Incapacité de faire la distinction entre son propre point de vue et celui d’autrui; incapacité d’adopter un autre point de vue que le sien, de se mettre à la place de l’autre.
Dérivée de l’égocentrisme:
Animisme: mode de pensée qui prête des caractéristiques humaines à des objets ou des phénomèmes. C’est comme les humains
Finalisme:
Mode de pensée selon lequel il doit exister une raison à tous les phénomènes. Tous les objets existent en vus d’une fin ou d’un usage humain.
C’est pour les humains.
Artificialisme: Tous les objets ont été fabriqués par les humains
Centration: Caractéristique qui fait en sorte que la pensée de l’enfant est unidimensionnelle. L’enfant dirige son attention sur un seul aspect de la situation et néglige les autres (par exemple se concentre seulement sur la longueur)
Irréversibilité: Incompréhension qu’une opération sur un objet peut être faite en sens inverse pour revenir à l’état initial de l’objet.
Non-conservation: Incapacité de comprendre la conservation, c’est-à-dire que deux quantités égales (liquide, poids, nombre, surface, etc.) demeurent égales malgré une transformation de leur apparence si rien n’est enlevé ou ajouté.
Pensée statique: Caractéristique qui fait en sorte que la pensée ne tient pas compte des transformations dans un résultat. L’enfant ne considère que les états successifs sans les lier par les transformations. Ce mode de pensée amène à croire que toute transformation implique nécessairement un changement.
Non inclusion des classes: Incapacité de comprendre qu’un objet peut appartenir à plus d’une classe simultanément
Deux types de morales selon Piaget
- Morale de contraintes
Centrée sur des règles et des conséquences concrètes des actions.
Les règles sont inaltérables, c’est-à-dire qu’elles ne peuvent pas être modifiées.
Le comportement est soit bon, soit mauvais. C’est blanc ou noir.
Toute offense, même mineure, mérite une punition sévère.
Donc Louise est plus coupable parce qu’elle a fait une tache plus grande.
-Morale de coopération
Basée sur les intentions de l’auteur.
Les règles peuvent être changées, même par des enfants.
Comprend qu’il n’existe pas de code moral unique, absolu et immuable.
Jugement nuancé. En teinte de gris.
La sévérité de la punition doit correspondre à la gravité de la faute commise.
Donc Claire est plus coupable parce qu’elle s’amusait alors que Louise avait une bonne intention.
6 stades du développement moral de kohlberg
…
Théorie psychosexuelle de Freud: période de latence
…
Concept de soi
Raisonnement syncrétique
lors de la classification, l’enfant change constamment la règle et ne voit pas l’utilité d’utilisé une règle de façon constante
