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PSY 1095 - développement de l'enfant > Examen 1 par coeur > Flashcards

Examen 1 par coeur Flashcards

1
Q

2 grands types de changement développementaux

A

changement quantitatif
changement qualitatif

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2
Q

2 grands types de développement + définition

A

développement normatif: les changements et réorganisations qui arrivent à pratiquement tous les enfants humains.
développement individuel: Les variations individuelles autour des trajectoires de développement normatives.

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3
Q

définition de modelage

A

Apprendre en imitant les comportements des autres, surtout ceux qui ont eu des conséquences positives.

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4
Q

4 stades du développement cognitif de Piaget

A
  • 0-2 ans: période sensori-motrice
  • 2 - 7 ans : période pré-opératoire
  • 7-12 ans: période des oéprations concrètes
  • à partir de 12 ans: période des opérations formelles
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5
Q

décrit la période sensori-motrice de Piaget

A

De 0 à 2 ans
la connaissance du monde vient entièrement de ce que l’enfant recueille par ses sens et ses comportements moteurs

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6
Q

Décrit la période pré-opratoire de Piaget

A

de 2 à 7 ans
l’enfant peut former des représentations mentales de choses non présente, et s’en servir pour raisonner, ,mais son raisonnement n’est pas logique.

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7
Q

Décrit la période des opérations concrètes de Piaget

A

de 7 à 12 ans
L’enfant utilise des opération logique, mais sur des objets concrets.

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8
Q

Décrit la période des opérations formelles de Piaget

A

à partir de 12 ans
le jeune peut raissoner systématiquement au sujets d’idées abstraites et de situations hypothétiques.

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9
Q

Décrit la théorie du traitement de l’information.

A

Cherche à expliquer les processus de pensée humains en les comparant au fonctionnement d’un ordinateur.

  • est d’accord avec Piaget sur le plan que l’enfant explore le monde et s’adapte selon les besoins de l’environnement, mais n’est pas d’Accord qu’il y ait des stades. ici continuous.
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10
Q

La théorie du traitement de l’information se penche sur 4 sujets:

A
  • l’attention
  • le stockage en mémoire
  • le bagage de connaissance
  • La récupération des informations
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11
Q

La théorie socio-culturelle se fait en 2 étapes (nomme et définition)

A
  • discours privé: Discours audible que les enfants se tiennent à eux-même pour réguler leur comportement.
  • discours interne: discours inaudible que les enfants se tiennent à eux-mêmes pour réguler leur comportement.
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12
Q

Définition zone de développement proximale

A

Écart entre la performance actuelle et la performance possible si l’enfant est guidé par quelqu’un de plus compétent.

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13
Q

Quelle est la théorie éthologique ou évolutionniste la plus influente aujourd’hui?

A

La théorie de l’attachement de John Bowlby.

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14
Q

Quelles sont les 3 composantes du bagage biologique?

A
  • héritage évolutionnsiste partagé par tous les humains
  • le bagage génétique de l’enfant
  • Les influences environnementales sur la biologie de l’enfant
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15
Q

Quelles sont les influences environnementales sur la biologie?

A

tous les aspects de l’environnement affectent la biologie de l’enfant
- prénatal: comportements maternels
- précoce: contaminants, stimulation, accidents,
- au cours de l’enfance : exercice, alimentation.

  • la biologie ne vient pas uniquement des gènes.
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16
Q

Définition canalisation

A

La capacité des gènes à limiter les influences environnementales sur un trait particulier.

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17
Q

Décrit le REM

A

sommeil actif ou irrégulier:
l’enfant bouge beaucoup, se tourne, bouge les bras, jambes et figure, respire plus rapidement et irrégulièrement.

*apparait vers 6 mois, avant ça pas de stade.

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18
Q

Décrit le non-REM

A

sommeil calme ou régulier
relativement immobile, respiration et activité cérébrale lente et régulière.

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19
Q

Définition orientation (dans l’apprentissage)

A

Réponse initiale à la présentation d’un stimulus (changements comportementaux et physiologiques)

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20
Q

Définition habituation

A

Diminution graduelle de la réponse d’orientation lorsque le même stimulus est présenté à répétition, et reconnu par l’enfant.

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21
Q

Définition déshabituation

A

Retour de la réponse d’orientation face à un nouveau stimulus après l’habituation à un stimulus précédent.

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22
Q

Définition de l’apprentissage associatif. 2 types

A

Apprendre que certains stimuli ou événements ont tendance à aller ensemble, à être associés.

conditionnement classique
conditionnement opérant

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23
Q

définition conditionnement classique

A

Apprentissage lors duquel un nouveau stimulus en vient à provoquer une réponse établie de par son association avec un stimulus déjà connu.

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24
Q

Définition conditionnement instrumental (opérant)

A

apprentissage lors duquel les comportements sont influencés par leurs conséquences.

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25
Q

Quel sont les développements physiques de la première année de vie?

A
  • augmentation de poids et de taille
  • durcissement des os
  • augmentation de la masse musculaire
  • changements des proportions (tête change peu, membres beaucoup)
  • développement moteur doit se re-calibrer au fur et à mesure.
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26
Q

Chaque nouvelle habileté est le produit conjoint de 4 facteurs:

A
  • le développement du SNC
  • capacité de mouvement du corps
  • les objectifs de l’enfant
  • le soutien de l’environnement.
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27
Q

Décrit le développement de la vision

A

le sens le moins développé à la naissance
- voit bien les couleurs vers 3-4 mois
- acuité visuelle comme l’Adulte à 4 ans.

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28
Q

décrit le développement de l’audition

A
  • débute à 26 semaine de grossesse.
  • nouveau né entend les sons fort
  • audition mature à 12-13 ans
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29
Q

Décrit le développement du goût et de l’odorat

A

Sens très développé à la naissance, probablement pour la survie.
peu faire la discrimination du sucré, acide et amer.

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30
Q

Décrit le développement du toucher

A

Le toucher est le sens le plus précoce. Le sens le mieux développé à la naissance, surtout la douleur, le bébé ressent la douleur très fortement

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31
Q

Définition Adaptation

A

Processus par lequel les enfants changent et construisent de nouvelles structures cognitives (schèmes) en interagissant avec leur environnement.

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32
Q

définition assimilation

A

Application d’une habileté existante à des situations diverses, sans modification (Ex: succion, marche).

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33
Q

définition accomodation

A

Modification d’une habileté existante pour relever un nouveau défi de l’environnement (ex: biberon vs tasse, plat vs pente (pour la marche))

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34
Q

Définition équilibration

A

Processus qui permet au développement cognitif de progresser (en réponse au déséquilibre, changer (accomoder) pour retrouver l’équilibre (et assimiler))

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35
Q

Définition schèmes

A

Structures cognitives pouvant être appliquées à une variété de situations (support cognitif pour les habiletés motrices)

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36
Q

définition organisation

A

Façon d’inter-relier, d’associer ses schèmes pour qu’ils forment des réseaux (se fait mentalement et non en contact avec l’environnement.

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37
Q

6 sous-stades de la période sensori-motrice (0-2 ans) de Piaget

A

stade 1: réflexes
stade 2: réactions circulaires primaires
stade 3: réaction circulaire secondaire
stade 4: Coordination des schèmes (ou coordination of secondary circular reactions)
stade 5: réactions circulaires tertiaires
stade 6: Début de la pensée représentationnelle (mental representation)

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38
Q

Définition d’une réaction circulaire

A

Comportement qui produit un événement sensoriel intéressant/agréable, d’abord par hasard, et est répété.

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39
Q

définition d’une réaction circulaire primaire

A

réaction circulaire qui implique le corps de l’enfant.

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40
Q

définition réaction circulaire secondaire

A

Réaction circulaire qui implique les effets du comportement de l’enfant sur un objet externe.

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41
Q

Définition d’une réaction circulaire tertiaire.

A

Réaction circulaire qui implique des expérimentations délibérées par essais-et-erreurs, avec une variété d’objets.

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42
Q

Définition des pensée symbolique ou représentationnelle

A

L’habileté à utiliser une chose pour en représenter une autre.

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43
Q

Définition imitation différée

A

Imitation, après délai, d’un comportement observé.

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44
Q

Décrit l’évolution (développement) de l’imitation différée.

A

6 semaine: imite expressions faciales (le lendemain)
6 et 9 mois: imite une série de gestes et généralise (le fait sur autre marionnette)
12 mois: imitation devient rationnelle; Déduit l’intention du modèle, adapte son imitation au but du modèle.
14-18 mois: imite (et complète) des actes intentionnels, même si l’action du modèle était inachevée.

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45
Q

Définition de la référence déplacée

A

Lorsqu’entendre un mot fait appel à son image mentale.

vers 1 an, peut se référer à un objet qui n’est pas présent physiquement grâce aux mots ( ex: réagit au nom de sa soeur qui vient de sortir, regarde vers l’endroit où devrait se trouver le jouet nommé).

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46
Q

Définition décalage

A

Temre de Piaget pour référer à la non-uniformité des stades chez un enfant. ex: un enfant peu être au stade 4 dans une tâche, mais au stade 3 ou 5 pour d’autres.

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47
Q

Définition permanence de l’objet

A

La compréhension que les objets continuent d’exister lorsqu’on ne peut les voir.

48
Q

Définition de l’erreur A-B.

A

Lorsque l’enfant continue à chercher un objet à la localisation A, où on l’a précédemment trouvé, plutôt qu’à la localisation B, où on a vu qu’il était maintenant caché.

49
Q

Décrit le concept d’objet aux différents stades de la période sensori-motrice.

A

stade 1 & 2: Les enfants s’intéressent aux objets, mais n’en comprennent pas la permanence.
stade 3: une vue partielle est suffisante pour leur rappeler l’objet complet. Ne cherchent pas les objets cachés.
stade 4: Les enfants cherchent les objets cachés, mais en faisant l’erreur A-B
stade 5: Ne font plus l’erreur A-B, mais cherche l’objet au dernier endroit où ils l’ont vu.
stade 6: pleine compréhension de la permanence de l’objet, peuvent concevoir des déplacements qu’ils n’ont pas vus (pensée représentationnelle).

50
Q

Définition du registre sensoriel

A

Partie de la mémoire où l’information en provenance des sens est brièvement entreposée.

51
Q

Définition de la mémoire de travail (court-terme)

A

Partie de la mémoire où l’information notée consciemment est entreposée 10-20 secondes.

52
Q

Définition de la mémoire à long-terme.

A

Partie de la mémoire où l’information est entreposée pour une longue période.

53
Q

Définition des habiletés d’attention.

A

Processus qui contrôle le transfert d’information du registre sensoriel à la mémoire de travail.

54
Q

Définition de l’entreposage et de la récupératon.

A

Processus qui transfèrent l’information de la mémoire de travail vers la mémoire à long-terme puis la récupèrent au besoin.

55
Q

Définition de la mémoire de reconnaissance

A

Un type de mémoire par laquelle un stimulus est perçu comme familier.

56
Q

Définition de rappel (au niveau de la mémoire).

A

Récupération active d’information de la mémoire.

57
Q

Définition d’un rappel suscité/provoqué (au niveau de la mémoire).

A

Processus par lequel un stimulus familier suscite le rappel d’information emmagasinée.

58
Q

Définition de la mémoire implicite (procédurale).

A
  • inconsciente et automatique
  • mémoire pour les procédures ou les habiletés (ex: marcher).
  • Difficile à verbaliser, à expliciter
59
Q

Définition de la mémoire explicite (déclarative).

A

consciente
représentations mentales d’images ou d’idées
peut aisément être verbalisée “déclarée”

60
Q

Définition de la zone de développement proximal (ZDP) dans la théorie de Vygostsky.

A

Tâches que l’enfant ne peut pas faire seul, mais peut faire avec l’aide d’un partenaire plus compétent.

61
Q

Définition de l’étayage (échaffaudage) dans la théorie de Vygotsky.

A

Façon des adultes à soutenir l’enfant face à des tâches situées dans sa ZDP en lui offrant de l’aide, des conseils et du soutien appropriés à son âge.

62
Q

Deux grands processus du développement émotionnel.

A

-L’émergence des émotions
- la régulation de ces émotions

63
Q

Définition de la régulation émotionnelle dyadique.

A

Gestion des émotions de l’enfant qui est réalisée par l’enfant et l’adulte ensemble, conjointement.

64
Q

Quels sont les outils de base du jeune enfant pour entrer en relation avec les adultes? (4)

A
  • Habiletés innée à signaler ses besoins d’une façon que les adultes peuvent comprendre.
  • Capacité à détecter les contingences dans l’environnement (ex: pleur-parent).
  • Attrait inné pour les stimuli sociaux (visage humain: sensoriellement attrayant)
  • Inclinaison à s’adapter aux réponses de l’adulte qui prodigue les soins.
65
Q

Définition de la réciprocité

A

Interactions sociales véritables impliquant des échanges mutuels et volontaires entre les partenaires.

66
Q

Définition assimilation de reconnaissance.

A

Capacité du petit enfant à reconnaître un stimulus (personne ou objet) comme étant familier (dû au développement cognitif).

67
Q

Définition du tempérament

A

Les différences individuelles dans les domaines de la réactivité et de l’auto-régulation, telles qu’on peut les observer dans les sphères de l’émotivité et du comportement.

C’est la base (présumément biologique) à partir de laquelle la personnalité se développe.

68
Q

Définition de l’aspect de la réactivité du tempérament.

A

La rapidité et l’intensité des réponses émotionnelles, motrices et attentionnelles de l’enfant.

69
Q

Définition de l’aspect de l’auto-régulation du tempérament.

A

Les stratégies pour réguler cette réactivité. Incluent l’approche, l’évitement, les pleurs, la régulation de l’attention, etc.

70
Q

Quelles sont les 6 dimensions du tempérament de Rothbart?

A
  • niveau d’activité
  • persistance attentionnelle
  • Peur et détresse
  • irritabilité
  • affect positif
  • contrôle volontaire
71
Q

Deux formes d’interaction entre le tempérament et l’environnement de l’enfant:

A
  • la susceptibilité différentielle
  • Le degré d’ajustement (godness-of-fit)
72
Q

Définition de la susceptibilité différentielle.

A

Renvoie à l’idée que les enfants qui ont un tempérament difficile sont plus affectés que d’autres par les influences positives et négatives émanant de leur environnement.

donc plus affecté par le négatif (atteint plus qu’un autre)
MAIS AUSSI
plus affecté par le positif (alors plus d’impact positif qu’un autre).

73
Q

Définition du degré d’ajustement.

A

C’est le degré d’ajustement entre la personnalité du patent et le tempérament de l’enfant.

Des fois ce ressemble, des fois plus difficile.

74
Q

Définition d’attachement

A

Lien affectif durable avec un individu qui n’est pas aisément remplaçable, vers qui on se tourne en période de détresse, et dont on n’apprécie pas se séparer.

75
Q

Définition du patron d’attachement sécure

A

L’enfant recherche clairement le contact lors des réunions: plaisir, recherche claire et non-ambigüe de proximité. Ce contact le rassure et lui permet de retourner à l’exploration (équilibre).

76
Q

Définition du patron d’attachement ambivalent/résistant.

A

L’enfant est en détresse lors des séparations, mais démontre de l’ambivalence envers l’adulte lors des réunions. Difficulté à se réconforter et à retourner à l’exploration.

77
Q

Définition du patron d’attachement évitant.

A

L’enfant se sépare sans problème de l’adulte, se centre sur l’exploration et évite le contact lors des réunions. Ne souligne pas le retour du parent: indifférence, focus sur les jouets.

78
Q

Définition du patron d’attachement désorganisé.

A

L’enfant démontre des comportements étranges ou contradictoires, ne déploie pas une stratégie organisée et cohérente. La forme la plus extrême d’insécurité.

79
Q

Quelles sont les 2 qualités de réponse de la figure adulte constante pour développer une sécurité de la relation d’attachement adéquate?

A

la sensibilité et la synchronie.

80
Q

Définition de la sensibilité comme qualité de réponse de l’adulte.

A

La capacité de l’adulte à répondre de façon prompte, appropriée et constante aux signaux de l’enfant.

81
Q

Définition de synchronie comme qualité de réponse de l’adulte.

A

La coordination émotionnelle entre l’adulte et l’enfant: l’adulte adapte l’intensité et le rythme de la stimulation qu’il procure selon les réponses de l’enfant.

82
Q

Quelles sont les origines de l’attachement?

A
  • Facteurs propres à l’enfant: les caractéristiques de l’enfant (tempérament, génétique, interaction complexe entre caractéristique de l’enfant et du parent)
  • Facteurs familiaux: Les caractéristiques du milieu familiale
  • Facteurs parentales: les représentations mentales qu’a le parent de SES expériences d’attachement
83
Q

Décrit les effets que peuvent avoir le bagage génétique individuelle sur le développement de l’enfant.

A

effet direct: effets sur le développement social, affectif, émotionnel et physique de l’enfant.

Effet indirecte: effets sur comment les gens se comportent avec l’enfant (ex: tempérament difficile vs facile).

84
Q

Le rôle des adultes de toutes les cultures (3).

A
  • Assurer aux enfants les soins de base qu’ils ont besoin pour se développer.
  • Préparer les enfants pour leur rôle adulte dans leur contexte social particulier.
  • Transmettre les règles, standards et valeurs de leur culture par la socialisation.
85
Q

Grande lacune de la psychologie du développement.

A

Le fait qu’elle est majoritairement étudié dans les contextes occidentales et donc ne prend pas en compte les différentes cultures. Nécessaire de faire des recherches ailleurs pour tester le caractère universel.

86
Q

Attachement en bas âge et développement ultérieur: la théorie

A

Les modèles inernes/opérant de l’enfant = représentation que se fait l’enfant de lui même et des autres.

Les MCO vont influencer comment l’enfant interprète les situations sociales en grandissant et comment il se comporte dans des situations sociales ou de résolution de problème.L

87
Q

Latéralisation du cerveau

A

gauche: réaction positive et langage
droit: réaction neg et habileté spatiale

hand preference 50% développé vers 6 à 14 mois.

88
Q

État de détresse

A

en détresse environ 10% du temps.
3 patrons:
- faim
- douleur
- émotion neg
** pré-adapté**

89
Q

État de veille

A
  • somnolence: juste après le réveille ou juste avant le sommeil. temps varie
  • éveil calme : 2 à 3 heures
90
Q

Transition entre les états

A

au début brusque puis moins. 5 mois = prévisible.

91
Q

âge de disparition du réflexe de succion

A

4 mois

92
Q

âge de disparition du réflexe des points cardinaux

A

3 semaines

93
Q

âge de disparition du réflexe d’agrippement

A

3-4 mois

94
Q

âge de disparition du réflexe tonique du cou

A

4 mois

95
Q

âge de disparition du réflexe de Moro

A

6 mois

96
Q

âge de disparition du réflexe babinski

A

8 à 12 mois

97
Q

âge de disparition du réflexe de marche

A

vers la fin de la 1ière année

98
Q

âge de disparition du réflexe de nage

A

4-6 mois

99
Q

dév de l’apprentissage par imitation

A

première année: imite des comportements déjà acquis
après 1 ans: imite des comportements de plus en plus complexe (essentiel au langage & soutenu par les neurones miroirs).

100
Q

dev de la préhension

A
  • début: réflexe de préhension
  • vers 3-4 mois: mvt volontaire de préhension
  • 4-5 mois: ajustement de la prise de préhension à l’objet et début de l’indépendance des bras
  • 7 mois: indépendance des bras et capacités de faire deux actions différente
  • 8-11 mois: reaching et grasping maitrisé: maintenant se concentre sur l’intention du mouvement, modifie son mvt d’approche dépendamment de son intention.
  • 12 mois: développé
101
Q

dev moteur dépend de 5 facteurs

A
  • dev du SNC
  • disponibilité de l’environnement et support de l’environnement
  • tonus musculaire
  • motivation/intérêt de l’enfant
  • habiletés cognitives et perceptuelles
102
Q

Dev de la vision

A
  • naissance = sens le moins bien développé,
  • ce développe pendant la première année avec l’audition et le moteur.
    -3-4 mois = voit en couleur,
  • 4 ans = acuité visuelle 20/20.
103
Q

Dev auditif

A
  • même si les canaux auditifs ne sont pas complètement développé à la naissance, l’enfant distingue les rythmes et les fréquences dans les sons.
  • attention aux sons forts
  • se développe pendant la première année.
  • reconnait des patterns dans le rythme et fréquence.
  • début foetale: 26 semaine de gestation
  • mature 12-13 ans
104
Q

dev goüt et odorat

A

bien développé à la naissance pour la survie: distingue le sucré, amer et acide.
vers 4 mois: comment à avoir un gout plus salé.
début des préférences in utéro
reconnait le caregiver par l’odeur.

105
Q

dev du toucher

A

sens le mieux développé à la naissance: pré-adapté pour l’exploration du monde.
ressent majoritairement la douleur.
- aide à stimuler le dev physique
- important pour le dev affectif

106
Q

dev des habiletés perceptuelles

A
  • distance et profondeur: acquis vers 8 mois, perception binocculaire à 8 semaines. Quand il est temps de crawling: enfant est capable de distinguer une surface profonde d’une surface shallow. importance de la perception du mouvement dans la perception de la profondeur
  • constance de la forme et de la taille: déjà présente à la naissance (pré-adapté), se concrétise vers 3-5 mois.
  • visages:
    –> naissance: intérêt pour les stimuli complexe (patterns complexe du visage)
    –> 2-3 mois: préférences pour le visage des parents par reconnaissance: habileté de scanning (le pattern au complet). statistical learning.
    –> 3 mois: commence à distinguer l’étranger.
    –> 4-5 mois: réaction à l’étranger
    –> 5-7 mois: discrimine les expressions faciales.
107
Q

Dev de l’imitation différé (après Piaget)

A

-6 semaines: imite des expressions faciales le lendemain
- 6 à 9 mois: imite des séries de geste et généralise à la marionnette
- 12 mois: imitation devient intentionnelle, déduit l’intention du modèle et adapte son imitation au but du modèle
- 14 à 18 mois: capable d’imiter un comportements inachevés.

108
Q

dev de la résolution de problème

A

10-12 mois: capable d’extrapoler une solution à un autre problème
- importance de la flexibilité de la représentation mentale.

109
Q

dev de la compréhension symbolique

A
  • vers 1 an: entend un mot (objet ou nom) et est capable de se faire une image mentale.
    –> compréhension symbolique photo:à la naissance, reconnait qu’une photo = son référent (parent). vers 9 mois: ne va pas reach comme si c’était un objet. continue dans la 2ième année
110
Q

le concept d’objet dev:

A

stade 1 & 2: intéressé par les objets
stade 3: une vue partielle de l’objet est assez pour lui rappel l’objet au complet
stade 4: cherche l’objet mais fait erreur A-B
stade 5: cherche l’objet sans faire l’erreur A-B, mais cherche initialement à A
stade 6: permanence de l’objet acquise: capable de prédire un mouvement qu’il ne voit pas : pensée représentationnelle.

111
Q

Causalité et relation entre les objets

A

Les enfants doivent comprendre la relation entre les objets pour tirer une signification du flot d’information perceptuelle qu’ils reçoivent du monde. (causalité physique ou sonore)

vers 6-7 mois: capable de comprendre la causalité entre un comportement et un évènement simple

8-10 mois: commence à comprendre le principe de support physique

112
Q

les nombres

A

notion de qté vers 4 mois: se limite à 3.

113
Q

la mémoire dev:

A

0-6 mois
- mémoire implicite (procédurale)
- temps de souvenir augmenté
- passe de reconnaissance simple à rappel suscité
- très dépendant du contexte
- majoritairement par le cervelet et l’hippocampe.

6 - 12 mois:
- émergence de la mémoire de travail
- commence à entreposer dans la mémoire à long terme
- encore amélioration du temps de souvenir
- moins dépendant du contexte
- de plus en plus de connexion entre le cortex et l’hippocampe.
- souvenirs et reproduction de séquence de plus en plus complexe.

114
Q

catégorisation dev:

A

Au départ: difficile de catégoriser chat-chat
petit enfant: capable de catégoriser chat-chat
fin de la première année: apparition des catégories conceptuelles qui s’ajoute aux habiletés perceptuelles. –> catégorisation chiens-chats
14 à 18 mois: ajuste le comportement à la catégorie : ne fait pas boire un camion
18 à 24 mois: différence animé vs inanimé.

115
Q

Définition d’une réaction circulaire primaire

A

Une réaction circulaire impliquant le corps de l’individu

116
Q
A

PSY 1095 - développement de l'enfant (7 decks)

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