Eval Santé Mentale Automne Flashcards
Donnez des ddx du trouble délirant
Et pensez à 1 élément pouvant les différencier
Tp parano
Idées surinvesties
Folie à deux
Tumeur cérébrale
Obsession dans le toc
Schizo
Démence
Delirium
Tr. Affectif majeur ( dépression psychotique ou manie bipolaire 1)
Quel élément est le plus déterminant dans le risque de développer un Tlu d’alcool?
La génétique … explique 50-60% le développement du trouble . Confirmé par les études sur les jumeaux adoptés
Quels neurotransmetteurs sont impliqués dans la dépendance à l’alcool ?
Gaba : agit sur récepteurs gaba et cause effets sédation
Bloque recepeteurs nmda qui normalement exercent un blocage de dopamine ( donc plus de dopamine)
Sérotonine entraîne aug de dopamine qui entraîne motivation à vouloir répéter la conso
Prédisposition à l’alcoolisme
Dépression et Anxiété en jeune âge
Impulsivité
Personnalité antisociale
Recherche de sensations et nouveauté
Homme 3x plus
Pourquoi Alcool chronique entraîne risque de convulsion?
Usage chronique modifié la composition des récepteurs nmda et les concentre dans les synapses où le glutamate ( excitateur) peut les activer .
Pourquoi l’alcool augmente la sensibilité au stress et crée un état émotionnel négatif ?
Usage chronique aug. L’activité de la corticoliberine (crf) et de ses récepteurs au niveau de l’amygdale.
la corticolibérine est une hormone qui stimule la production de cortisol (hormone de stress)
Quel type de renforcement offre l’alcool?
Un renforcement négatif , par retrait du stimulus désagréable, soit l’état d’anxiété pouvant être causé par exemple par une situation sociale
Facteurs protecteurs du tlus alcool
Encadrement parental supportant
Accès limité à l’alcool
Association a des pairs dont conso est faible
Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool
Sanction sociale sévère face alcool ( ex: pas beau une femme saoule )
Pourquoi les femmes ont une alcoolémie plus élevée que les hommes pour une même quantité ?
Contenu corporel plus faible en eau, masse musculaire inférieure et moins d’enzymes
Pourquoi les femmes ont une alcoolémie plus élevée que les hommes pour une même quantité ?
Contenu corporel plus faible en eau, masse musculaire inférieure et moins d’enzymes
Pourquoi les femmes ont une alcoolémie plus élevée que les hommes pour une même quantité ?
Contenu corporel plus faible en eau, masse musculaire inférieure et moins d’enzymes
Le delirium tremens est une complication du sevrage d’alcool et une urgence Medicale.
Quels en sont les symptômes ?
Comment on le traite ?
Benzo
Confusion
Pas d’attention
Désoriente
Hallucination visuelles
Agitation
Délire
Aug. De TA, pls, température subfebrile
L’encéphalopathie de wernicke est une complication aiguë du sevrage d’alcool et constitue une urgence Medicale .
Quels sont les symtôomes ?
Quelle est la cause ?
Quelle est la conséquence si non traité?
Triade classique:
Confusion
Ophtalmoplegie
Ataxie
Aussi signes de malnutrition, nystagmus, neuropathie périphérique, faiblesse muscu, hypotension. Hypothermie?
Cause : Alcool empêche l’absorption de la thiamine ( b1)
Conséquence : syndrome de korsakoff = lésions cérébrales causant troubles de mémoire
Nommez des éléments à évaluer lors d’un tlus alcool
Évaluation clinique du trouble lié à l’alcool
• Identification: âge, statut social, occupation, domicile
• Antécédents personnels médicaux, chirurgicaux, psychiatriques et thérapies pour l’alcool
• Antécédents familiaux de troubles de la consommation
• Profil pharmacologique, allergies et intolérances médicamenteuses
• Âge lors de la première consommation, de la consommation régulière (c.-à-d. trois jours ou plus par semaine), de la consommation problématique
• Nombre de consommations par jour, par semaine, par mois. Une consommation équivaut à 14 g d’alcool (environ une petite bière ou un verre de whisky). Date et heure de la dernière consommation
• Symptômes d’intoxication: en particulier chutes, blessures, troubles perceptuels ou psychotiques, épisode d’amnésie, comportements violents ou sexuels à risque
• Symptômes de sevrage : anxiété, insomnie, diaphorèse, nausées et vomissements, tremblements, troubles perceptuels ou psychotiques, crises convulsives et delirium induit par le sevrage
• Nombre de périodes d’abstinence et leur durée
• Problèmes conjugaux, familiaux, professionnels, financiers et judiciaires causés par la consommation d’alcool
• Utilisation d’autres psychotropes : tabac, benzodiazépines, cannabis,
v-hydroxybutirate (GHB), amphétamines, méthamphétamine, cocaïne,
opioïdes, phencyclidine, kétamine
• Objectifs du patient: abstinence totale ou contrôle de la consommation
Prévalence des troubles de la
Personnalité en clinique externe de psy?
33% des patients Lalonde p 928