E2 - C9 - Mémoire sémantique Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la mémoire sémantique ?

A

La mémoire sémantique (MS) est formée des concepts, de leur définition et des relations qu’ils entretiennent.

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2
Q

Le contenu (les connaissances en) de la mémoire sémantique a deux caractéristiques distinctes.

1.
2.

A

Le contenu / les connaissances en MS sont :

  1. Abstrait
  2. Stable (relativement car c’est en MLT. P.ex : Concept de chaise ne change pas après un certain âge mais peut se modifier avec l’expérience)
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3
Q

La mémoire sémantique s’oppose à la mémoire épisodique en terme, aussi, de contenu et de caractéristiques.

Nommez lez caractéristiques de la mémoire épisodique :
1.
2.

A
  1. Concret, particulier
  2. évolution constante
    • nouveaux événements ajoutés constamment
    • oublié plus facilement
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4
Q

L’oubli est plus facile en :

  1. Mémoire sémantique
  2. Mémoire épisodique
A
  1. Mémoire épisodique
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5
Q

Comment l’information qui est inscrite dans la MLT est-elle organisée (selon le modèle de Bower, Clark, Winzenz (1969)) ?

A

De façon hiérarchique !!

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6
Q

Le modèle hiérarchique de Bower, Clark, Winzenz (1969) :

• 2 conditions :

  • Groupe ‘‘organisée’’ = mots présenté en hiérarchies
  • Groupe aléatoire = mots présenté sans hiérarchies

• Tâche :

  • Stimuli aléatoires présentés au sujets :
    • 112 mots divisé en 4 hiérarchie (p.ex. : Minéraux –> métaux –> Rares (argent), courants (cuivre), alliages (acier)
  • Étape de Familiarisation avec la matière (avant test de rappel)

• Résultats :

A

• Résultats :

Test de rappel : Groupe non aléatoire (organisé) = meilleur rappel !

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7
Q

Collins & Quillian (1969) affirment qu’on intègre nos nouveaux exemplaires (connaissances acquises sur un truc) avec notre connaissance déjà établie et ça entre dans le hiérarchique.

Ce modèle est cohérent avec celui de Rosh (catégorie naturelle avec différents niveaux).

On peut dire que le modèle de Collins & Quillian (1969) a une vision ________________________

A

On peut dire que le modèle de Collins & Quillian (1969) a une vision taxonomique

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8
Q

Collins & Quillian (1969) ont 4 postulats principaux dans leur modèle taxonomique.

a.

b.

c.

d.

e.

IMP +++

A

a. Les concepts sont représentés par des ‘noeuds’ qui contiennent la définition du concept et des pointeurs à d’autres noeuds
b. Les concepts sont organisés hiérarchiquement en trois niveaux (niveaux décrits au derniers cours - de base = chien, connecté à niveau subordonnée : caniche)

c. Un concept du niveau intermédiaire (niveau de base) contient des pointeurs
• à un seul concept plus abstrait (chien – > mammifère) et
• à tous les exemples plus concrets du concept (chien – > caniche, terrier, etc.) (niveau subordonnée)
IMP :
- Il n’y a aucun lien direct entre des concepts de même niveau (chien et oiseau n’ont pas de lien direct).

d. Principe d’économie
• La définition d’un concept qui est à un niveau plus bas n’inclut pas explicitement les éléments qui font partie de la définition du concept plus élevé auquel il est attaché.

Exemple : si animal contient dans sa définition “être vivant”, chien n’aura pas “être vivant” dans sa définition.

e. Le temps requis pour comparer deux concepts varie selon le nombre de noeuds qui doivent être parcourus entre les deux. Ce parcours doit respecter les liens explicites (pointeurs) entre les concepts.

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9
Q

Donnez un exemple du modèle de Collins & Quillian (1969) :

Animal (vivant) < — > Oiseau (ailes) < — > _____ (_____)

Identifiez un pointeur :

Identifiez un noeuds :

A

mésange (tête noir)

Identifiez un pointeur : une des lignes qui pointes d’un concept à un autre

Identifiez un noeuds : mésange (fin de la série de pointeurs)

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10
Q

Collins & Quillian (1969) ont également fait une étude pour valider leur modèle en mémoire sémantique (MS)

• Tâche :
- Le sujet indique le plus rapidement (TR) possible si l’énoncé est vrai ou faux.
Énoncés concernant:
1– l’appartenance à une catégorie.
2– les propriétés d’un objet ou d’un organisme vivant (plante, animal…)

• Prédictions (2) :
1. Le temps requis pour prendre une décision portant sur l'inclusion d'un concept dans un autre ("est-ce qu' un X est un Y?) variera selon le nombre de noeuds qui séparent les deux concepts.
Exemple : 
A. Un serin est un serin.
B. Un serin est un oiseau.
C. Un serin est un animal.
  1. Selon le modèle de Collins & Quillian, qu’est-ce qu’on peut prédire des différences dans les temps de réaction aux énoncés suivants ?
    D. Un serin peut chanter.
    E. Un serin peut voler.
    F. Un serin a une peau.

• Résultats possibles aux prédictions :
1.
2.

• Résultats de l’étude :

A
• Résultats :
1. :
A. Un serin est un serin.
B. Un serin est un oiseau.
C. Un serin est un animal.
A = plus court
B = Intermédiaire 
C = plus long

3 + long car on doit voyager + loin dans la hiérarchie cognitive

  1. :
    D. Un serin peut chanter.
    E. Un serin peut voler.
    F. Un serin a une peau.
D = oui, dans oiseaux (comme caractéristique)
E = Oui, aussi dans oiseaux comme caractéristiques
F = Peau = dans la définition d'animal !

Donc, F plus lent (en TR) que D ou E car on doit chercher l’info plus loin !

• Résultats de l’étude :

Les TR respectent en effet les prédictions !

TOUTEFOIS, la vérification d’appartenance (vérification d’inclusion à un ensemble, (prédiction 1)) est plus rapide que la vérification de propriétés. (car pas besoins de voyager entre pointeurs)

• Résultats
DONC :
1- Il est globalement plus long de juger des propriétés.

2- Le TR augmente en fonction du niveau hiérarchique impliqué dans l’énoncé. = EFFET DE NIVEAU !!!
(Voyager entre plusieurs niveaux = prend plus de temps)

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11
Q

Collins & Quillian (1969) montrent un effet de niveau. Cet effet revient à dire que …

A

Voyager (cognitivement) entre plusieurs niveaux prend plus de temps !

2- Le TR augmente en fonction du niveau hiérarchique impliqué dans l’énoncé. = EFFET DE NIVEAU !!!

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12
Q

L’organisation de la mémoire sémantique serait _________ et __________.

A

Hiérarchique et économique

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13
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par organisation hiérarchique en mémoire sémantique ?

A

Organisation hiérarchique :

dans laquelle les concepts sont représentés par un ensemble de caractéristiques.

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14
Q

Qu’est-ce qu’on veut dire par organisation économique en mémoire sémantique ?

A

Organisation économique:

les propriétés des niveaux supérieurs ne sont pas répétées aux niveaux inférieurs.

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15
Q

Vrai ou Faux

En mémoire sémantique, les propriétés des niveaux supérieurs ne sont pas répétées aux niveaux inférieurs..

A

VRAI,

Organisation économique

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16
Q

Vrai ou Faux

En mémoire sémantique, les concepts sont représentés par un ensemble de caractéristiques.

A

VRAI,

Organisation hiérarchique :

17
Q

Nommez trois problèmes du modèle des niveaux de Collins & Quillian (1969) :

1.
2.
3.

A
1. Effet d'inversion de niveaux
P.ex. : 
A. Un cheval est un mammifère.
B. Un cheval est un animal.
Cheval + proche mammifère qu'animal mais une fois testé, les TR montrent que le B est plus rapide.
  1. Effet de représentativité
    P.ex. :
    A. Un poulet est un oiseau.
    B. Un pigeon est un oiseau.
    Selon le modèle hiérarchique = Mm temps de réponse
    MAIS
    en Expé : pigeon (B) + rapide que poulet !
  2. Les TR sont très variable pour le jugement d’items d’un même niveau.
    P.ex. :
    vache = mammifère (1258ms)
    porc = mammifère (1476ms)
18
Q

Vrai ou faux

Le modèle de comparaison des traits de Smith, Shopen et Rips (1974) partagent la vision de Rosch.

A

VRAI et IMP

Le modèle de comparaison des traits de Smith, Shopen et Rips (1974) partagent la vision de Rosch.

19
Q

Qu’est-ce que la similarité sématique ?

A

Similarité sématique = évalue distance entre ces deux concepts. Ici, pas très loin l’un de l’autre

20
Q

Qu’est-ce que la similarité sématique ?

A

Similarité sématique = évalue distance entre ces deux concepts. Ici, pas très loin l’un de l’autre.

21
Q

Le modèle de comparaison des traits de Smith, Shopen et Rips (1974) stipule qu’il y a deux stades pour la comparaison des listes de traits sémantique.

• Ces stades sont effectués ______ et _________

  1. A trois processus
    1.1 :
    1.2 :
    1.3 :
    Dans le processus 1.3, 0 = ?, 1 = ?

2.

IMP

A

• Ces stades sont effectués rapidement et inconsciemment

  1. A trois processus :
  2. 1) Retrouver les listes des traits.
  3. 2) Comparaison des listes.
  4. 3) Production d’un indice de similarité (décision, 0-1).
    - Dans le processus 1.3, 0 = pas de relation alors que 1 = oui, relation. P.ex. : Chaise = meuble ? 1 = oui ! Car dans définition de meuble, liste des traits = bcp de termes reviennent. Pas limité à 0 ou 1. Peut être entre les deux. 0 pas de relation, 1 oui, fait partie de l’autre. 1 et 0 = on est très confiant de la réponse.

– Si entre les 2 (0 et 1), on ne sait pas = on fait 2e stade :

  1. Indice intermédiaire: les traits de définition sont examinées de façon minutieuse.
    On va chercher dans la liste les définitions des traits. Est-ce pulet = oiseau ? 1er stade, globalement, pas 0 ou 1. Faut aller dans nuances. P.ex. : ça prend ‘‘rouge-gorge’’ sinon, c’est pas vrm pareil !
22
Q

La similarité sémantique dépend de la ______ de ________

A

La similarité sémantique dépend de la fréquence de production:

23
Q

La similarité sémantique dépend de la fréquence de production.

I.e. : Que la fréquence de production peut influencer l’accès à la liste sémantique pour effectué la comparaison.

  • La notion de fréquence de production réfère à la _________ selon laquelle les individus ______une catégorie pour un concept donné.

Donc, si on entend svt une vache est un mamifère = influence TR vs cocho = mamifère

A

La notion de fréquence de production réfère à la fréquence selon laquelle les individus nomment une catégorie pour un concept donné.

24
Q

Vrai ou faux

La fréquence de production peut influencer l’accès à la liste sémantique pour effectué la comparaison.

A

VRAI

25
Q

Smith, Shopen et Rips (1974) étude sur le modèle de comparaison des traits :

• Tâche :
On présente des triades de mots exemplaire 
- catégorie(petite)
- catégorie(grande)
Le S doit dire à quelle catégorie l’exemplaire appartient.
par ex.:
papillon = insecte
papillon = animal

Réponse = fréquence. Gens + insecte = représente leur fréquence sémantique

• Prédiction :
Selon la notion de fréquence de production, la catégorie la plus fréquemment rapportée devrait être associée à un temps de jugement plus court (TR moins long).

• Résultats :
- Ensemble 1 = Effet ....
Gens disent + fréquemment poire = fruit
- Ensemble 2 = Effet ....
Gens disent plus fréquemment cantaloup = fruit.

DONC
L’effet de niveau correspond à …..

A

• Résultats :

  • Ensemble 1 = Effet de niveau standard
  • Ensemble 2 = Effet d’inversion de niveau

L’effet de niveau correspond à la fréquence de production.

26
Q

Dans le modèle où l’information en mémoire sémantique (MS) est organisé de façon non-hiérarchique (modèle de Collins, Quillian, Collins & Loftus (1975)) :

  • Certains éléments peuvent être plus ou moins ___________ _____________.
  • Il existe donc une certaine ________ sémantique entre les items en MS.
A
  • Certains éléments peuvent être plus ou moins associés sémantiquement.
  • Il existe donc une certaine distance sémantique entre les items en MS.
27
Q

où l’information en mémoire sémantique (MS) est organisé de façon non-hiérarchique est le modèle de Collins, Quillian, Collins & Loftus (1975). Ils postulent que :

  • La MS est un ensemble de réseaux formés par des concepts en interaction, à travers lesquels se propage l’activation.

• Les concepts sont mis en relation par la _______ (_________) ______. **IMP

Sorte de schéma comme celui d’identité en psycho sociale où plein de trucs sont reliés à des caractéristiques ‘‘de base’’. P.ex. : Rouge –> Pomme (mais aussi) –> camion de pompier

A

• Les concepts sont mis en relation par la propagation (distribution) d’activation.

28
Q

Donnez un exemple de propagation (distribution) de l’activation dans le modèle de Collins, Quillian, Collins & Loftus (1975) :

A

Consigne:

Nommez la couleur des Stimuli qui seront présentés Le plus rapidement possible !

29
Q

Meyer et Schvaneveldt (1976) travail sur la préparation sémantique :

• Tâche :

  • Présente au S 2 mots/non-mots
  • S doit indiquer si les deux sont des mots
  • Mesure = temps de réaction
Exemple :
Herbe
Pain
----
Beurre
Pain

On regarde ensuite les différences dans les TR pour groupe 1 (Herbe, Pain) VS groupe 2 (Beurre, Pain)

• Conclusion :
- Lorsque les 2 mots sont associés, il y a propagation de l’activation sémantique.

I.e. : Le mot d’en haut _________ le ________ du mot d’en bas. **

• Démontrant la préparation sémantique :
I.e. : Un concept ________ est _______ plus ________ qu’un concept __________. **

A

• Conclusion :
- Lorsque les 2 mots sont associés, il y a propagation de l’activation sémantique.

I.e. : Le mot d’en haut accélère le traitement du mot d’en bas.

• Démontrant la préparation sémantique:
Un concept activé est traité plus rapidement qu’un concept non-activé.

30
Q

Vrai ou faux

Meyer et Schvaneveldt (1976) démontrent l’existence de la préparation sémantique.

A

VRAI

31
Q

Selon Meyer et Schvaneveldt (1976), qu’est-ce que la préparation sémantique ?

A

Un concept activé est traité plus rapidement qu’un concept non-activé.

32
Q

Nommez les trois implications de la préparation sémantique tel que démontré par Meyer et Schvaneveldt (1976) :

1.
2.
3.

A
  1. Réduit le temps de réponse à des informations subséquentes qui sont fortement associées en MLT.

MLT = mémoire à long terme

  1. Influence l’interprétation des informations.
  2. Augmente le temps de réponse à des informations subséquentes qui sont faiblement associées en MLT.
33
Q

En prenant en compte les implications de la préparation sémantique tel que démontré par Meyer et Schvaneveldt (1976), quels de ces deux énoncés va être traitée plus rapidement ?

1;
J’ai visité une ferme hier.
Les chevaux étaient en forme.
2.
J’ai visité une ferme hier.
J’y ai acheté un ordinateur.
A

2 car plus de sens

34
Q

La préparation sémantique tel que démontré par Meyer et Schvaneveldt (1976) montre que :

  • Le système cognitif essaie constamment d’anticiper les _______ d’une information
  • Cette anticipation prend la forme de _______ ________ d’éléments associés.
Activation = \_\_\_\_\_\_\_\_\_
\_\_\_\_\_\_\_ = organisation en MLT

• Donc,
La façon que l’information est organisée en MLT reflète fondamentalement la …………

IMP***

A
  • Le système cognitif essaie constamment d’anticiper les suites d’une information
  • Cette anticipation prend la forme de l’activation automatique d’éléments associés.
Activation = attentes
Attentes = organisation en MLT

• Donc,
La façon que l’information est organisée en MLT reflète fondamentalement la compréhension que nous avons du monde.

35
Q

Nommez une des limites du modèle de la propagation de l’activité de Meyer et Schvaneveldt (1976) :

• Difficile de _______ le modèle.
I.e. : Il est trop flexible, manquant le pouvoir de faire des prédictions précises (et donc, pas facile à vérifier).

A

Nommez une des limites du modèle de la propagation de l’activité de Meyer et Schvaneveldt (1976) :

• Difficile de tester le modèle.
I.e. : Il est trop flexible, manquant le pouvoir de faire des prédictions précises (et donc facile à vérifier).

36
Q

Le modèle ACT, d’Anderson (1976) :

• Les hypothèses sont les mêmes que le modèle de la propagation de l’activation de Meyer et Schvaneveldt (1976)
– La connaissance est stockée dans un réseau sémantique constitué de noeuds interconnectées;

– La propagation de l’activation le long du réseau

• Prédictions empiriques

• Stimuli
PHRASES-TESTS VRAIS:
3-3 Un hippie est dans le parc.
1-1 Un avocat est à la cave.
1-2 Une débutante est à la banque.
PHRASES-TESTS FAUSSES:
3-1 Un hippie est à la cave.
1-3 Un avocat est dans le parc.
1-1 Une débutante est à la cave.
2-2 Un capitaine est à la banque.

• Expérience de Anderson, 1976 :
- Voie = Dans un réseau sémantique, un “arc” qui relie 2 concepts.

  • Effet de fan = La découverte que l’augmentation du nombre ______ vers un concepts accroît le temps nécessaire pour vérifier un de ces ______.

• Résultats et conclusion de Anderson, 1976 :
Le temps de vérification __________ avec l’accroissement du nombre _______ en direction de la personne ou du lieu.

A

• Expérience de Anderson, 1976 :
- Voie: Dans un réseau sémantique, un arc qui relie 2 concepts.

  • Effet de fan: La découverte que l’augmentation du nombre d’arcs vers un concepts accroît le temps nécessaire pour vérifier un de ces arcs.

• Résultats et conclusion de Anderson, 1976 :
Le temps de vérification augmente avec l’accroissement du nombre d’arcs en direction de la personne ou du lieu.

37
Q

La théorie du schéma nous donnent trois définitions importantes :

  • Schéma:
    Une ________ générale de la connaissance qui offre un _______ permettant d’organiser des regroupements de ________ (par ex., Bartlett, 1932; Minsky, 1975; Rumelhart, 1980)

– Script:
Les connaissances relatives à ce qui a lieu lors ______ ________

– Mémoire autobiographique:
La mémoire de nos _________ _____________

A
  • Schéma:
    Une structure générale de la connaissance qui offre un cadre permettant d’organiser des regroupements de connaissances (par ex., Bartlett, 1932; Minsky, 1975; Rumelhart, 1980)

– Script:
Les connaissances relatives à ce qui a lieu lors d’activités routinières

– Mémoire autobiographique:
la mémoire de nos expériences personnelles