E2 - C8 - Concepts & Catégories Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un concept ?

A

Concept:
Représentation mentale ABSTRAITE qui ne représente aucun objet concret particulier.

abstrait = imp. Concept d’un chien. = abstrait = pas ton chien à la maison ou chien (image) qu’on connait mais l’ensemble de propriétés quirecouvrent chiens

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Q

Qu’est-ce qu’une catégorie ?

A

Catégorie:

un regroupement d’objets concrets illustrant le concept

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3
Q

Pourquoi avoir des catégories?

4 raisons :

  1. __________ notre environnement
  2. _______ ________ des objets
  3. ________ le besoin d’apprentissage
  4. _______ nos connaissances
A

Pourquoi avoir des catégories?

a. Simplifier notre environnement
b. Faciliter l’identification des objets
c. Diminuer le besoin d’apprentissage
d. Structurer nos connaissances

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4
Q

On utilise aussi nos connaissances d’un concept pour faire des ____________

X est un tigre.
Les tigres sont dangereux.
X doit être dangereux

A

On utilise aussi nos connaissances d’un concept pour faire des PRÉDICTIONs

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5
Q

L’hypothèse de Worf stipule que les ________ _________ que nous apprenons déterminent la façon que nous ________ le monde.

A

L’hypothèse de Worf stipule que les représentations linguistiques que nous apprenons déterminent la façon que nous PERCEVONS le monde.

Animaux peuvent communiqués =Utiliser nos connaissances d’un concept
pour communiquer – transmettre des
messages

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6
Q

Selon l’hypothèse de Worf, qu’est-ce que nous apprenons qui détermine la façon que nous percevons le monde ?

A

les représentations linguistiques

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7
Q

Former des concepts, c’est _____ des ______ à

partir d’exemples.

A

Former des concepts, c’est DÉFINIR des CATÉGORIES à partir d’exemples.

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8
Q

Dans une catégorie, les objets partagent des _____________.

Exemple :
Une table a des pattes et une surface plane:

A

Dans une catégorie, les objets partagent des CARACTÉRISTIQUES

Exemple :
Une table a des pattes et une surface plane:

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9
Q

Des concepts précis sont donc définis par des ______ logiques simples

Les _______ regroupent différemment les éléments d’un même ensemble (faire des catégories).

A

Des concepts précis sont donc définis par des règles logiques simples

Les règles regroupent différemment les éléments d’un même ensemble (faire des catégories).

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10
Q
Nommez les 4 règles :
1.
2.
3.
4.

Règles logiques un peu abstraite,.

A
  1. Règle conjonctive
  2. Règle disjonctive
  3. Règle conditionnelle
  4. Règle biconditionnelle
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11
Q

Qu’est-ce que la Règle conjonctive ?

A

utilise la relation ‘’ et ‘’

Carré ET rouge

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12
Q

Qu’est-ce que la Règle disjonctive ?

A

utilise la relation ‘’ ou ‘’.

Triangle OU carré rouge

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13
Q

Qu’est-ce que la Règle conditionnelle ?

A

utilise la relation ‘’ si … alors ‘’.

Si il est rouge, il doit être carré

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14
Q

Qu’est-ce que la Règle biconditionnelle ?

A

s’applique dans les 2 directions et utilise la relation “ si…alors “.

Si il est rouge, il doit être carré, si carré, il doit être rouge.

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15
Q

Bourne (1970)

Apprentissage de règles logiques dans une tâche
de classification.

  • Tâche :
    Le sujet doit classer des éléments qu’on lui présente. Catégorie: 2 attributs associés par une règle
    (fixe pour 9 essais).
  • Résultats :
    Après _____ essais, les participants savent ce qui est attendu d’eux (la règle à utiliser)
A
  • Résultats :

Après 5-6 essais, les participants savent ce qui est attendu d’eux (la règle à utiliser)

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16
Q

Bruner, Goodnow et Austin (1956) Étude des stratégies utilisées par les individus pour identifier les concepts.

Apprentissage des attributs

  • Tâche :
    Identifier les attributs
  • Matériel: cartes
  • Règles logiques: e.g., conjonctive, disjonctive, etc

– L’expérimentateur donne au sujet la règle qui définit le concept (e.g., conjonctive).

– Le sujet prend une carte et on lui indique si le concept est représenté sur cette carte

Manipulation : Sur les cartes, ils manipulent 4 attribues : (nombre, couleur, forme et bourdure).
Ils ne donnent pas la règle aux individu.

À chaque attribu = 3 valeurs possibles.

A

Attribus : formes, couleurs, nombres, épaisseur des bordures des cartes

Participant pige 2 cartes au hazard et dois donner la règle qui a été indiquer par le chercheur. P.ex. Conjonctive :

croix ET blanche

Forme ET couleur

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17
Q

Comment les concepts sont-ils définis en mémoire sémantique?

A

Hypothèse : Par les règles logiques !

18
Q

Les règles logiques ont plusieurs suppositions (assumptions). Nommez les :

  • Un objet ne peut appartenir qu’à ____ _______
    catégorie. Ceci suppose qu’un jugement
    d’appartenance est ________ et ______.
  • Les caractéristiques de base qui déterminent l’appartenance à une catégorie sont ________.
    Exemple :
  • ___________ à une catégorie se fait selon des règles décisionnelles qui sont logiques (qui utilisent des opérateurs tels que ‘si’, ‘ou’, etc.).
    Exemple :
A
  • Un objet ne peut appartenir qu’à UNE SEULE
    catégorie. Ceci suppose qu’un jugement
    d’appartenance est DICHOTOMIQUE et CERTAIN
  • Les caractéristiques de base qui déterminent l’appartenance à une catégorie sont DISCONTINUES.
    Exemple : Chien a quatre pattes. Pas 3 1/2, pas 2 1/2, sinon pas chien.
  • L’APPARTENANCE à une catégorie se fait selon des règles décisionnelles qui sont logiques (qui utilisent des opérateurs tels que ‘si’, ‘ou’, etc.).
    Exemple : Un chien est un objet qui a 4 pattes, une tête, un corps et une queue et qui est (1) brun ou (2) noir
19
Q

Il existe des problèmes avec avec les règles logiques :

  • Les _________ des catégories ne sont pas très bien définies
    Exemple : Arbre ou arbuste ?
  • Les dimensions utilisées pour définir les catégories sont souvent ________.
    NB: Peut se modifier selon le contexte : qq1 grand en psycho est p-e le plus petit dans équipe de basket.
  • L’appartenance à une catégorie n’est pas ________
    NB : certains éléments sont jugés comme étant ____ __________ d’une catégorie que d’autres
A
  • Les frontières des catégories ne sont pas très bien définies.
  • Les dimensions utilisées pour définir les catégories sont souvent CONTINUES.
    NB: Peut se modifier selon le contexte : qq1 grand en psycho est p-e le plus petit dans équipe de basket.
  • L’appartenance à une catégorie n’est pas DICHOTOMIQUE.
    NB : certains éléments sont jugés comme étant plus caractéristiques d’une catégorie que d’autres.
20
Q

Donnez exemple d’une caractéristique continue :

A

âge, taille, vitesse, temps pour faire tâche

21
Q

En réponse à ses critiques, arrive une nouvelle théorie, celle des concepts et catégories naturelles de Rosch !

Cette théorie a quatre composantes essentielles :

  1. Définies par rapport à des ________ _______
  2. Organisation _______
  3. Les membres sont _______
  4. Certaines caractéristiques sont ________
A
  1. Définies par rapport à des dimensions continues
    (couleurs, grandeur des gens)
  2. Organisation hiérarchique
    (Catégories animales, végétales, …)
  3. Les membres sont inégaux
    Catégorie artificielle: les membres sont typiques.
    Catégorie naturelle: certains sont plus typiques.
  4. Certaines caractéristiques sont dépendantes
    (marcher et avoir des pattes).
22
Q

Rosch démontrent que les concepts sont organisés

__________ dans des niveaux qui ______ selon leur ____________ ____________(ex. animal - chien - terrier).

A

Rosch démontrent que les concepts sont organisés

HIÉRARCHIQUEMENT dans des niveaux qui VARIENT selon leur DEGRÉ D’ABSTRACTION (ex. animal - chien - terrier).

23
Q

La structure hiérarchique des catégories naturelles, selon Rosch, est composée de 3 niveaux.

1.
2.
3.

A
  1. Supérieur
  2. De base
  3. Subordonné
24
Q

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, une catégorie élevée, donc supérieure, est ______ (mais _______).

A

Selon Rosch, une catégorie élevée est abstraite (mais économique)

25
Q

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau ____________ est le plus utilisé dans la vie courante.

A

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau DE BASE est le plus utilisé dans la vie courante.

26
Q

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau le plus concret où les personnes peuvent former une image mentale du concept est le niveau ______________

A

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau le plus concret où les personnes peuvent former une image mentale du concept est le niveau DE BASE

27
Q

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau où les catégories du niveau sont plus distinctives que celles du niveau subordonné est le niveau _______________

A

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, le niveau où les catégories du niveau sont plus distinctives que celles du niveau subordonné est le niveau DE BASE

poisson VS chien = distinctif des niveau de base = avantage niveau + abstrait. Tale à manger = plus précis que table.

28
Q

Selon Rosch et sa théorie des concepts et catégories naturelles, il existe 3 niveaux. Donnez, pour chacun, deux exemples :

1.
2.
3.

(du plus au moins abstrait)

A
  1. Supérieur
    Exemples : Véhicule — Vêtements
  2. De base
    Exemples : Voiture — Chemise
  3. Subordonné
    Exemples : Voiture de course — Chemise à manches courtes
29
Q

Rosch et al. (1976), concernant la théorie des concepts et catégories naturelles, on voulu vérifier si le nombre d’attributs communs à différents niveaux hiérarchiques différaient.

En bref,

A

Rosch et al. (1976),

Le nombre d’attributs communs à différents niveaux hiérarchiques varient en fonction du dit niveau.

Les participants ont donnée une plus grand nombre d’attributs communs moins c’était abstraits. I.e.: Le niveau subordonné à un meilleur score que le niveau de base. Ce dernier (niv. de base) a un meilleur score que le niveau supérieur.

30
Q

Rosch et al. (1976), concluent que l’appartenance se fait selon le principe de la ____________________ (nombre d’attributs partagés avec les autres membres).

T.IMP

A

Rosch et al. (1976), concluent que l’appartenance se fait selon le principe de la ressemblance familiale (nombre d’attributs partagés avec les autres membres).

T.imp

31
Q

Qu’est-ce que Rosch entends par “Prototype” / modèle prototype ?

IMP

A

Rosch entends par “Prototype” / modèle prototype :

la moyenne des caractéristiques des membres

32
Q

Donnez un exemple d’un prototype tel que définit par Rosch :

A

Prototype de chien :

  • 4 pattes longues
  • Brun ou blanc
  • Grandeur moyenne
  • Nez foncé
  • 2 Oreilles
  • museau
33
Q

Quelle est la différence entre un prototype tel que définit par Rosch et un concept ?

Pourquoi ?

T.IMP

A

Prototype, environ = à concept.

CAR :

  1. L’appartenance à une catégorie n’est pas dichotomique (pas oui ou non). Plein de races de chiens ne ressemblent pas à la moyenne des chiens. DONC la force d’association varie selon le degré de typicalité d’un objet.
    Exemple : 100% berger allemand ou doberman, 5% chiwuawua.
  2. Un objet peut appartenir à plus d’une catégorie s’il est similaire aux prototypes de deux catégories.
    Exemple : Avocat = Légume ou fruit ?
  3. Les exemples prototypiques sont jugés plus rapidement
34
Q

VRAI ou FAUX

L’appartenance à une catégorie n’est pas dichotomique (pas oui ou non). Plein de races de chiens ne ressemblent pas à la moyenne des chiens. DONC la force d’association varie selon le degré de typicalité d’un objet. (100% berger allemand ou doberman, 5% chiwuawua.)

A

VRAI

35
Q

Qu’est-ce que signifie Rosch quand elle affirme que les exemples prototypiques sont jugés plus rapidement ?

A

Les exemples prototypiques font références à la moyenne des caractéristiques des membres.

I.e. : Si on dit chien, on va penser à un ‘‘vrai’’ chien (Berger) qui es tplus près de la moyenne des caractéristiques des membres.

DONC

Jugement plus rapide !

36
Q

Rosch, Simpson et Miller (1976):

L’effet de la représentativité

• Tâche :
- 2 catégories
- 4 dimensions
- un prototype 
(2 bonhommes allumettes dessiné avec différentes tailles de traits)

• Résultats :

A

Plus que le niveau de représentativité diminuait ( d’élevé, moyen, faible), plus les TR et le nombre d’erreur augmente

car

difficile à discriminer

37
Q

Nous avons aussi des prototypes de séquences d’actions nommé …..

A

Scripts !

38
Q

Un script c’est

A

Un prototype de séquence d’action

39
Q

Un stéréotype c’est :

A

d’exagérer les caractéristiques similaires des membres d’un groupe.

Lien avec les Catégories supérieures
– Groupes religieux;
– Groupes sociaux (par ex., activistes
environnementales);
– Etc.
40
Q

L’expérience de Bourne (1970) sur l’apprentissage de règles logiques a 2 hypothèse qui sont confirmées par les résultats :
1.
2.

A
  1. Certaines règles sont plus faciles que d’autres.

2. Régles logiques sont différentes selon le type de régles

41
Q

Les régles ______ et ______ sont les deux que nous apprenons plus rapidement et, avec lesquelles, les participants faisaient le moins d’erreurs.

A

Conjonctive & Disjonctive = On les apprends plus vite en faisant moins d’erreurs,