Droit Pénal I Cas Pratique Flashcards

1
Q

Délai droit de plainte

A

Selon l’art. 31 CP, le délai pour déposer plainte est de trois mois dès le moment où l’ayant droit/le lésé connaît l’infraction et l’auteur de l’infraction. Le jour de l’échéance correspond à son quantième au jour qui a déclenché le délai.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Le meurtre

A

111 CP

–Un comportement homicide

–la mort d’un être humain autre que l’auteur

–un lien de causalité naturel entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

–intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable.

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

L’assassinat

A

112 CP

-Un comportement homicide

–la mort d’un être humain autre que l’auteur

– un lien de causalité naturel entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

–Une absence particulière de scrupules. L’absence particulière de scrupule s’examine selon l’ensemble des circonstances, notamment lorsque le but/le mobile ou la manière d’agir de l’auteur sont particulièrement odieux, de telle sorte que l’auteur démontre du mépris pour la vie d’autrui.

(Mobile/but particulièrement odieux : l’auteur tue pour obtenir une rémunération ou pour voler sa victime, futile, élimine un témoin gênant ou une personne qui l’entrave dans la commission d’une infraction.

Façon d’agir particulièrement odieuse : barbare ou atroce, exploiter avec perfidie la confiance de la victime, sadisme)

–intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Le meurtre passionnel

A

113 CP

-Un comportement homicide

–la mort d’un être humain autre que l’auteur

–un lien de causalité naturel entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

  • l’auteur a agi en proie à une émotion violente que les circonstances rendent excusables ou a agi en état de profond désarroi. L’émotion est violente lorsque l’auteur est submergé par un sentiment violent qui restreint dans une certaine mesure sa faculté d’analyser correctement la situation ou de se maîtriser. Le profond désarroi est un état d’émotion qui mûrit pendant une longue période progressivement, couve pendant longtemps, jusqu’à ce que l’auteur soit complètement désespéré et n’y voit pas d’autres issue que l’homicide. Dans les deux cas, cet état doit être excusable.

–intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

L’homicide par négligence

A

117 CP

  • comportement homicide, qui résulte de la violation d’un devoir de prudence. Celui-ci doit être dû à la violation fautive du devoir de prudence découlant de règles sociales ou légales établies. Le caractère fautif doit être analysé selon les circonstances et la situation personnelle de l’auteur, plus précisément en regard de ses connaissances et de ses capacités.

–La mort d’une tierce personne

– un lien de causalité naturel et adéquat entre le comportement et le résultat.
Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.
En l’espèce,…

Il y a causalité adéquate si le comportement de l’auteur était propre, d’après le cours ordinaire, des choses et l’expérience général de la vie à entraîner un résultat du genre de celui qui s’est produit. (si la négligence consiste en une omission, le lien de causalité doit être admis lorsqu’à un haut degré de vraisemblance, l’acte omis aurait permis d’éviter le résultat dommageable). La causalité adéquate s’examine uniquement pour les infractions par négligence.
En l’espèce,…

– négligence : selon l’art. 12 al. 3 CP la négligence est une imprévoyance coupable. Il faut une absence d’intention de l’auteur de réaliser un comportement qui lèse ou met en danger un bien juridique. Une imprévoyance est la violation d’un devoir de prudence ou ne pas avoir pris les précautions commandées par les circonstances. Les devoirs ou les règles de prudence sont des normes juridique comme les règles LCR, règle des associations privées, règles, sportives, devoir découlant de la création d’un risque, circonstance, etc… Coupable : l’auteur, au moment des faits, aurait pu, compte tenu de ses connaissances et de ses capacités, se rendre compte de la mise en danger d’autrui et qu’il a simultanément dépassé les limites du risque admissible

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Lésions corporelles graves

A

–Un comportement tendant à infliger des lésions corporelles

–une lésion corporelle, physique ou psychique

–une lésion corporelle grave. L’atteinte à l’intégrité corporelle est grave lorsqu’elle met la vie en danger, avec une forte probabilité de décès, qu’elle provoque des lésions graves et permanentes ou qu’elle provoque toute autre atteinte grave.

–un lien de causalité naturel entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

–intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le dessein/dol simple/DOL ÉVENTUEL car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

Les lésions corporelles graves sont poursuivies d’office

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Lésions corporelles simples

A

123 CC

–Un comportement dangereux susceptible de provoquer des lésions corporelles simples

– des lésions simples : par opposition aux lésions graves (122 CP), les lésions simples ne mettent pas en danger la vie d’autrui, ou ne se traduisent pas par une infirmité/incapacité permanente ou ne représentent aucune mutilation

–une lésion corporelle grave. L’atteinte à l’intégrité corporelle est grave lorsqu’elle met la vie en danger, avec une forte probabilité de décès, qu’elle provoque des lésions graves et permanentes ou qu’elle provoque toute autre atteinte grave.
Qualifiées ou non qualifiées selon 123 ch. 2. La poursuite à lieu d’office.

–un lien de causalité naturel et adéquat entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

–intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le dessein/dol simple/DOL ÉVENTUEL car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

Les lésions corporelles graves sont poursuivies d’office

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Les voies de faits

A

126 CP

–comportement agressif

– qui doit induire une atteinte à l’intégrité physique de faible intensité qui excède ce qui est socialement toléré

–qui ne cause pas de lésions corporelles, pas d’attente à la santé physique ou psychique et voire aucune douleur physique

–un lien de causalité naturel et adéquat entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

  • intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
    En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le dessein/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Principe de la légalité

A

1 CP

En vertu du principe de la légalité art. 1 CP, une peine ne peut être infligée qu’en raison d’un acte expressément réprimé par la loi, ou on ne peut prononcer une peine pour quelqu’un que si son comportement correspond à une infraction définie dans la loi.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Lésions corporelles par négligence

A

125 CC

–Un comportement dangereux résultant d’une violation fautive d’un devoir de prudence

–des lésions corporelles simples ou graves. Une lésion corporelle est une atteinte physique ou psychique, c’est une dégradation du corps humain (fracture, coupure, etc.). Une lésion simple est une lésion qui n’est pas grave au sens de l’art. 122 CP, ce n’est ni une simple voie de fait au sens de l’art. 126 CP. Une lésion grave est une lésion qui met la vie en danger, provoque des lésions graves et permanentes ou tout autre atteinte grave (incapacité de travail de longue durée/souffrances importantes)

  • un lien de causalité naturel et adéquat entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.
    En l’espèce,…

Il y a causalité adéquate si le comportement de l’auteur était propre, d’après le cours ordinaire, des choses et l’expérience général de la vie à entraîner un résultat du genre de celui qui s’est produit. (si la négligence consiste en une omission, le lien de causalité doit être admis lorsqu’à un haut degré de vraisemblance, l’acte omis aurait permis d’éviter le résultat dommageable). La causalité adéquate s’examine uniquement pour les infractions par négligence.
En l’espèce,…

  • négligence : selon l’art. 12 al. 3 CP la négligence est une imprévoyance coupable. Il faut une absence d’intention de l’auteur de réaliser un comportement qui lèse ou met en danger un bien juridique. Une imprévoyance est la violation d’un devoir de prudence ou ne pas avoir pris les précautions commandées par les circonstances. Les devoirs ou les règles de prudence sont des normes juridique comme les règles LCR, règle des associations privées, règles, sportives, devoir découlant de la création d’un risque, circonstance, etc… Coupable : l’auteur, au moment des faits, aurait pu, compte tenu de ses connaissances et de ses capacités, se rendre compte de la mise en danger d’autrui et qu’il a simultanément dépassé les limites du risque admissible

La négligence peut être consciente ou inconsciente, ce qui dépend de si l’auteur à envisagé le résultat mais l’a exclu ou de s’il ne l’a tout simplement pas envisagé prise de conscience, soit nous soit

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Vol

A

139 CP

–Une chose mobilière : corps qui peut être transporté à l’état solide, liquide ou gazeux, pouvant être suffisamment délimité, et transporté, avec ou sans valeur.

–Appartenant à autrui : susceptible d’un droit de propriété.

–Une soustraction : possession, rupture de la possession, aboutissant à la création d’une nouvelle possession.

– intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

–Dessein d’appropriation illégitime : vouloir sans droit incorporer la chose dans son patrimoine ou «vouloir la chose pour soi»

– dessein d’enrichissement illégitime: l’auteur veut l’objet sans y avoir droit pour obtenir un avantage économique indu ou une augmentation du patrimoine

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Infractions d’importance mineure (contre le patrimoine)

A

172ter CP

–Élément patrimonial de faible valeur. Les éléments patrimoniaux sont tous les éléments matériels et immatériels qui composent le patrimoine, soit les choses, mais également les valeurs immatérielles, comme les créances. De faible valeur signifie que cela vaut au plus CHF 300.

– dessein d’enrichissement illégitime: l’auteur veut l’objet sans y avoir droit pour obtenir un avantage économique indu ou une augmentation du patrimoine.

  • intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
    En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Brigandage

A

140 CP

  • Une chose mobilière : corps qui peut être transporté à l’état solide, liquide ou gazeux, pouvant être suffisamment délimité, et transporté, avec ou sans valeur.

–Appartenant à autrui : susceptible d’un droit de propriété.

–Une soustraction : possession, rupture de la possession, aboutissant à la création d’une nouvelle possession.

–L’usage d’un moyen de contrainte. Cela peut être la violence, une menace ou la mise hors d’état de résistance.
Violence : emploi volontaire de la force physique sur la personne de la victime ou d’un tiers dans le but de la faire céder.
Menace : faire volontairement, redouter à la victime la survenance d’un préjudice dans le but de la faire céder. Un danger pour la vie ou l’intégrité corporelle de soi/d’autrui.
Mise hors d’état de résistance : mise de la victime, hors d’état de résister, par l’utilisation de drogue, somnifère ou détention.

– intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

–Dessein d’appropriation illégitime : vouloir sans droit incorporer la chose dans son patrimoine ou «vouloir la chose pour soi»

– dessein d’enrichissement illégitime: l’auteur veut l’objet sans y avoir droit pour obtenir un avantage économique indu ou une augmentation du patrimoine

Brigandage en bande (plus de 2 personnes + s’associer en vue de commettre ensemble plusieurs vols distincts)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Dommages à la propriété

A

144 CP

–Un comportement délictueux, consistant à endommager, détruire ou mettre hors d’usage une chose. Une chose mobilière ou immobilière, ayant ou non une valeur

–une chose appartenant autrui ou frappée d’un droit de gage ou d’usufruit.

–un dégât. C’est-à-dire le changement de l’état de la chose qui n’est pas immédiatement réversible sans frais, ni effort et qui porte atteinte à un intérêt légitime.

– un lien de causalité naturel et adéquat entre le comportement et le résultat. Il y a causalité naturelle lorsque l’acte de l’auteur apparaît comme une condition sine qua non à la survenance du résultat.

  • intention : selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. La conscience porte sur les faits/ECO de l’infraction. Cela implique que l’auteur ne se trouve pas dans une situation d’erreur sur les faits au sens de l’art. 13 CP.
    En l’espèce, …

L’auteur agit avec volonté lorsqu’il prend parti contre le bien juridique protégé.
En l’espèce, …

La forme de l’intention de X et le DESSEIN/dol simple/dol éventuel car …
XXX + évoquer les deux autres degré de culpabilité intentionnel (soit dessein, dol simple et dol éventuel et les définir)

Dessein = il y a dessein lorsque l’auteur veut l’infraction et qu’il adopte le comportement nécessaire pour la réaliser

Dol simple = l’auteur ne recherche pas les conséquences de son acte mais il les accepte comme un corollaire inévitable

Dol éventuel = il y a dol éventuel lorsque l’auteur tient pour possible la réalisation des éléments constitutifs de l’infraction et accepte pour le cas où elle se produirait. Le dol éventuel peut être admis même si l’auteur ne souhaite pas le résultat envisagé.

(Un dommage est considérable lorsqu’il est de plus de CHF 10’000).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Rupture de la chaîne causale

A

Le lien de causalité adéquat peut être rompu si une autre cause constitue une circonstance tout-à-fait exceptionnelle ou apparaît si extraordinaire que l’on ne pouvait s’y attendre. En pareil cas, il y a rupture de la chaîne causale.

Champ d’application : à la causalité adéquate. Un lien de causalité naturelle ne peut jamais être rompu, puisqu’il y a juxtaposition des causes.

Application très restrictive : la cause extraordinaire doit s’imposer comme la cause la plus probable et la plus immédiate, reléguant à l’arrière-plan, tous les autres facteurs qui ont contribué au résultat

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Erreur sur les faits

A

13 CP

L’erreur sur les faits concerne celui qui se méprend sur des éléments de faits, soit des circonstances personnelles ou matérielles d’un/des ECO de l’infraction. Il y a un écart entre la réalité et la perception qu’en a l’auteur. Elle peut porter sur un élément descriptif ou normatif de l’infraction, ou sur des éléments de nature juridique

17
Q

Erreur sur l’illicéité

A

21 CP

Il s’agit d’une erreur qui porte uniquement sur le caractère illicite au sens pénal du terme. Il n’y a aucune erreur sur les faits. Il se trompe sur le fait que son comportement est interdit par le code pénal. Ainsi, il n’y a pas d’écart entre la réalité et la perception qu’en a l’auteur. L’auteur pense qu’il a le droit d’agir comme il le fait, mais ne se trompe pas sur ce qu’il fait.

Elle n’est admise que s’il n’y avait pas de moyen d’éviter l’erreur. Or, nul n’est censé ignorer la loi. Dans la pratique, c’est donc très rarement admis.

18
Q

Irresponsabilité pénale

A

19 al. 1 CP

Il y a irresponsabilité pénale totale au sens de l’art. 19 al. 1 CP, lorsque l’auteur ne possédait pas la faculté d’apprécier le caractère illicite de son acte et/ou de se déterminer d’après cette appréciation au moment des faits. L’auteur n’est alors pas punissable.

(Alcool :
Si le taux dépasse 3 0/00 : présomption d’irresponsabilité
Si le taux dépasse 2 0/00 : présomption de responsabilité restreinte
Si le taux est inférieur à 2 0/00 : présomption d’absence de diminution de responsabilité

Stupéfiant : au moins une ivresse moyenne ayant entraîné une nette perturbation de la conscience, de la faculté votive ou de la capacité de réagir lors de la accomplissement de l’acte reproché)

19
Q

Responsabilité pénale restreinte

A

19 al. 2 CP

Il y a responsabilité restreinte au sens de l’art. 19 al. 2 CP, si l’auteur ne possédait que partiellement la faculté d’apprécier le caractère illicite de son acte ou de se déterminer d’après cette appréciation au moment des faits. Le juge doit alors atténuer la culpabilité.

20
Q

Actio libera in causa

A

19 al. 4 CP

Conformément à l’art. 19 al. 4 CP (Actio libera in causa), si l’auteur pouvait éviter l’irresponsabilité ou la responsabilité restreinte et prévoir l’acte commis en cet état, il est jugé comme s’il avait été entièrement responsable au moment des faits.

21
Q

Actes commis en état d’irresponsabilité fautive

A

263 CP

L’article 263 CP punit l’auteur qui, en état d’irresponsabilité fautive, due à l’ivresse/intoxication, commet un crime ou un délit.

22
Q

Commission par omission

A

11 CP

Le droit pénal réprime un comportement actif, dont on peut se rendre coupable en restant passif aux conditions de 11 CP.

Il faut une subsidiarité du comportement passif. On applique l’art. 11 CP que s’il n’y a pas de comportement actif qui réalise l’infraction.

  • position de garant (art. 11 al. 2 CP) : confère une obligation juridique d’agir et de protéger certains BJP ou de surveiller, certains risques, qui naît notamment en vertu de la loi, d’un contrat, d’une communauté de risques librement consentie, de la création d’un risque.
  • possibilité d’agir conformément au devoir. Pour pouvoir lui reprocher un comportement passif, un individu doit avoir eu effectivement la possibilité d’agir pour éviter le résultat intervenu.

– équivalence (11 al. 3 CP) : l’omission de l’auteur apparaît tout aussi coupable que si l’auteur avait agi de façon active/encourt le même reproche. Les tribunaux n’examinent jamais cette question.

–Causalité hypothétique (naturelle et adéquate). La causalité est le rapport existant entre le comportement répréhensible de l’auteur et le résultat. Ici, entre l’omission improprement dite et la lésion. (La causalité hypothétique est recherchée car c’est une infraction par omission et par négligence).
Il faut établir avec une haute vraisemblance et d’après le cours ordinaire des choses et l’expérience de la vie que, si l’auteur s’était conformé à ses devoirs, le résultat ne se serait très vraisemblablement pas produit.
Le juge pour atténuer la peine (art. 11 al. 4 CP)

23
Q

Actes préparatoires

A

260bis CP

Les actes préparatoires sont uniquement punissable s’ils sont prévus par la loi (260bis ou loi spéciale)

Selon cet article, est punissable le fait de prendre des dispositions concrètes qui indiquent qu’il va passer à l’exécution d’une des infraction listées à 260bis.

Il faut encore que la nature et l’ampleur des dispositions prises indiquent que l’auteur s’apprêtait à passer à l’exécution de l’infraction ou par leur nature et leur ampleur, les actes accomplis soient tels que l’on puisse raisonnablement admettre que l’auteur persévérera dans la volonté délictueuse qu’ils expriment jusqu’à l’exécution de l’infraction.

En l’espèce,…

Par conséquent, X a pris des dispositions concrètes/à démontré par ses actes qu’il allait commettre X, infraction listée à l’art. 260bis al. 1.

Le seuil de la tentative et atteint lorsqu’il y a un commencement d’exécution d’une infraction. Le commencement d’exécution est réalisé par tout acte qui, d’une part, dans l’esprit de l’auteur, représente la démarche ultime vers l’accomplissement de l’infraction/après lequel on ne revient plus en arrière. On est proche, en temps et en lieu de l’exécution .

En l’espèce,…

+ 260bis al. 2 éventuellement si applicable

24
Q

Tentative

A

22 CP

Il y a tentative au sens large si l’auteur a l’intention de commettre une infraction et qu’il commence son exécution sans toutefois réaliser tout ses éléments constitutifs objectifs (ECO)

25
Désistement
22 CP Il y a tentative au sens large si l’auteur a l’intention de commettre une infraction et qu’il commence son exécution sans toutefois réaliser tout ses éléments constitutifs objectifs (ECO) 23 al. 1 CP Il y a désistement lorsque l’auteur commence à exécuter l’activité punissable mais renonce de son propre chef à la poursuivre jusqu’au bout. Le renoncement doit être définitif et la conséquence est qu’il est possible qu’il y ait une atténuation de la peine selon l’art. 48a CP voire une exemption de peine.
26
Tentative achevée
22 CP Il y a tentative au sens large si l’auteur a l’intention de commettre une infraction et qu’il commence son exécution sans toutefois réaliser tout ses éléments constitutifs objectifs (ECO) TENTATIVE ACHEVÉE Il y a tentative achevé, sous la forme de : Délit manqué : lorsque l’auteur a poursuivi jusqu’au bout son activité coupable, mais le résultat ne se produit pas contre sa volonté (art. 22 al. 1 in fine) Délit impossible : lorsque le résultat escompté ne pouvait pas (art. 22 al. 1 CP) ou absolument pas se produire, ce que l’auteur n’a pas réalisé en raison d’un grave défaut d’intelligence (art. 22 al. 2 CP) Repentir actif : lorsque l’auteur a accompli tous les actes nécessaires à la consommation de l’infraction mais abandonne sa volonté délictuelle de telle sorte qu’il s’efforce d’empêcher ou de contribuer à empêcher la survenance du résultat. Il doit agir avec intention dans ce but et cela doit être spontané. Une atténuation de la peine est possible (48a CP), voire une exemption de peine.
27
Complicité
25 CP - La complicité revêt toujours un caractère accessoire. Elle implique l’action principale d’un tiers (réalisation d’une infraction intentionnelle), à laquelle le complice collabore de manière causale et intentionnelle. –Un acte de complicité matériel (physique) ou intellectuelle et morale (psychique) –un lien de causalité entre l’acte du complice et la réalisation de l’infraction - intention (même dol éventuel) sur la réalisation de l’infraction principale, et sur le fait que le complice la favorise. Selon l’art. 12 al. 2 CP, l’intention implique que l’auteur agisse avec conscience et volonté. Il suffit qu’il connaisse les principaux traits de l’activité délictueuse et les accepte. –Conditions négatives, ce n’est pas un acte de coactivité, le complice n’a pas de caractère déterminant dans la collaboration, pas d’animus auctoris. ! La participation d’un complice n’est possible aussi longtemps que l’acte n’est pas achevé
28
Coauteur
Le coauteur est celui qui collabore, intentionnellement et de manière déterminante, avec d’autres personnes, à la décision de commettre une infraction, à son organisation ou à son exécution, au point d’apparaître comme l’un des participants principaux. Pour être coauteur, il faut soit accomplir personnellement un ECO, soit participer à la décision, l’organisation ou l’exécution de l’infraction en ayant une certaine maîtrise de l’exécution de l’infraction et avec la volonté d’intervenir en tant qu’auteur (animus auctoris). Tester la coactivité et si n’est pas coauteur alors tester l’instigation
29
Instigation
Art. 24 CP L’investigation est définie à l’art. 24 CP, c’est le fait de décider intentionnellement autrui à commettre un crime ou un délit. –Un acte d’instigation, soit une suggestion, une demande, une offre de rémunération, etc. En l’espèce,… – (Au moins) un début d’exécution par l’instigué. À défaut, tentative d’instigation pour autant que l’infraction visée soit un crime. En l’espèce,… -Un lien de causalité En l’espèce,… - Une intention (même au stade du dol éventuel) En l’espèce,… L’instigateur encourt la peine applicable à l’auteur de l’infraction
30
Légitime défense
15 CP –Une attaque illicite et imminente –la riposte doit être dirigée contre l’attaquant et être proportionné (soit apte, nécessaire et proportionnée au sens étroit) Si légitime défense disproportionnée on doit à ce moment là examiner la question de la défense excusable 16 CP
31
Défense excusable
16 CP Défense excessive : la légitime défense est excessive lorsqu’elle est disproportionnée, soit en particulier si elle ne se limite pas à protéger le bien juridique, mais tend en plus à punir l’auteur de l’attaque, si ses moyens sont disproportionnés ou si l’auteur met en cause un bien juridique de valeur supérieure. En l’espèce,… Atténuation de la peine. État excusable d’excitation ou de saisissement : L’acte reste illicite mais n’est pas coupable (pas de peine)
32
État de nécessité licite
17 CP État de nécessité visé à l’art. 17 CP : fait justificatif légal consacrant le droit d’empiéter sur les droits d’autrui ou sur les biens de la collectivité pour préserver ses propres intérêts ou ceux d’un tiers en cas de danger imminent. –Un danger imminent : concerne toute situation dans laquelle la probabilité de lésion d’un bien juridique existe. Ni passé ni futur mais actuel et concret. Le danger risque de se réaliser dans les heures qui viennent. En l’espèce,… –Proportionnalité de l’infraction commise, ce qui nécessite : Aptitude : l’infraction est commise pour préserver le bien juridique du danger. La nécessité : le danger est impossible à détourner autrement, de sorte que l’infraction est un moyen subsidiaire. La jurisprudence exige une subsidiarité absolue. Il faut épuiser les moyens légaux. Proportionnalité au sens étroit : un acte n’est illicite qu’à la condition que le bien protégé soit plus précieux que le bien lésé. En l’espèce,… tester les 3 sous-conditions
33
État de nécessité excusable
18 CP –Un danger imminent : concerne toute situation dans laquelle la probabilité de lésion d’un bien juridique existe. Ni passé ni futur mais actuel et concret. Le danger risque de se réaliser dans les heures qui viennent. En l’espèce,… –Le bien protégé devra ressortir aux biens essentiels de l’ordre juridique (énumération 18 al. 1 CP) –Proportionnalité de l’infraction commise, ce qui nécessite : Aptitude : l’infraction est commise pour préserver le bien juridique du danger. La nécessité : le danger est impossible à détourner autrement, de sorte que l’infraction est un moyen subsidiaire. La jurisprudence exige une subsidiarité absolue. Il faut épuiser les moyens légaux. Proportionnalité au sens étroit : un acte n’est illicite qu’à la condition que le bien protégé soit plus précieux que le bien lésé. En l’espèce,… tester les 3 sous-conditions A REVOIR AVEC LA PROF
34
Sauvegarde d’intérêts légitimes
–Les voies et moyens droits ont tous été utilisés et épuisés précédemment. –Les intérêts lésés ou mis en danger sont manifestement de moindre d’importance que les biens sauvegardés
35
Consentement du lésé
Il permet de rendre licite un acte commis par un tiers, bien que cet acte réunisse les éléments constitutifs/soit typique de l’infraction. –L’acte doit léser des intérêts particuliers et le lésé doit pouvoir disposer de l’intérêt lésé. En l’espèce,… –Le consentement doit être donné valablement, c’est-à-dire de façon libre et éclairée et par une personne capable de discernement. Le consentement doit avoir été donné avant la lésion. En l’espèce,… (Consentement du risque et acceptation du risque dans le cadre d’un sport) –Absence de violation grave/grossière des règles du jeu. L’acceptation des risques par les participants ne justifie pas une faute grave ou volontaire.
36
Non rétroactivité du droit pénal et exception
2 CP
37
Prescription de l’action pénale
97 CP crimes et délits + 109 CP contraventions
38
Point de départ de la prescription
98 CP –Les actes isolés (art. 98 let. a CP) : Commission : le moment où l’auteur a agi, indépendamment du moment du résultat Omission : moment où l’auteur aurait dû agir ou lorsque cesse la position de garant. Participation de plusieurs personnes : le moment où le dernier acte a été commis par une personne qui vaudra pour tous. - Les activités répétées : le dernier acte commis qui déclenche le délai de prescription. Il y a un délai de prescription différent pour chaque infraction, sauf si il y a une unité naturelle d’action. –Les délits continus : le délai court dès que la situation illicite s’arrête.