Douleurs neuropathiques Flashcards
Définition neuropathie
Secondaire à une atteinte du SN somatosensoriel
Chronique et persistante post guérison
Impact considérablement la QdV
Tx distinct de la dlr neuroceptive
FR neuropathie
Femme 50-65 ans
Catastrophisme
DB débalancé (hyperglycémie = vasoconstriction des nerfs + réponse immunitaire contre myéline
Néphropathie
Description de la dlr neuropathique
Picotement
Engourissement
Brûlure
Déchirement
Arrachement
Impulsions électriques
Continue
Paroxystique (en pics)
Spontannée
Provoquée
Fibres nerveuses (calibre)
- Gaine
- Stimuli
- Test
PETIT : Peu gainé, dlr/température, monofilament
MOYEN : Moyen gainé, vibration/toucher, Diapason et réflexes
GROS : Plus gainé (plus rapide), proprioception, appuie monopodal, positionnement des orteils
Mononévite VS Polynévrite
- Zone
- Latéralité
Cause
Atteinte
Dx
Tx
MONONÉVRITE :
Licalisée ou multiple si nerfs distincts
Unilatéral, trauma ou compression. Déficit moteur ou sensitif selon le nerf atteinte, dx clinique Tx analgésique adapté
POLYNÉVRITE
Diffus, bilatéral, immunitaire (DB VIH) néo (progressif). Electromyogramme, Tx analgésique + soins de support
Tunnel carpien
FR
Sx
Dx
FR : Grossesse, DB, PAR, mvmt répétés, hypoT4
Sx : paresthésie palmaire, Dlr poignet/paume, irradiation max aux coudes, déficit abduction, pire en soirée (inflammation de la journée)
Dx : Clinique
Ddx : Discopathie C6 (nécessite EMG)
Questionnaires
DN4 (positif si >4) ; ne permet pas d’évaluer un Tx ; limité pour la douleur légère, neuropathie diffuse et si la zone est lésée
NPSI (intensité des Sx) 12Q, sur 100.
Tx non pharmaco
TENS (théorie du portillon)
Stimulation médullaire (implanté)
Stimulation magnétique transcranienne (non invasive, impulsion a/n cerveau)
Hypnose / accuponcture : non
Psychothérapie TCC si composante anxieuse
Pharmaco
- Lido / TENS VS Velafaxine Gabapentine
- Capsaicine / Botox VS Pregabalin Tramadol
- Stimulation médullaire VS opioides
E2 : sédation étourdissement constipation nausées vision trouble hallucination
Physiopatho
Inflammation chronique diminue le seuil d’activation de la douleur et augmente la réponse aux stimulis
Long terme.: signaux continus vers SNC = altération des récepteurs de la douleur = hyperactivité et hyperstiumulation = perception altérée (zone élargie)