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Développement de l'enfant > Développement social et émotif 2-3 ans > Flashcards

Développement social et émotif 2-3 ans Flashcards

1
Q

Les grandes avancées sociales et émotives (4)

A
  • Conscience accrue de soi et des autres
  • Suite du développement émotionnel
  • Début du contrôle des impulsions et du développement moral
  • Sociabilité accrue et formes d’interactions sociales plus matures
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2
Q

La conscience de soi

A
  • Les enfants deviennent conscients d’eux-mêmes comme individu, stable à travers les contextes, grâce à la performance de l’objet et aux capacités représentationnelles
  • Représentation mentale de qui je suis, de moi
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3
Q

Ce qui définit qui je suis (5)

A
  • Mes habiletés
  • Mes attributs
  • Mes caractéristiques
  • Mes qualités
  • Mes défauts
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4
Q

L’enfant se base sur quelles sortes de caractéristiques sur lui-même?

A

Caractéristiques observables

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5
Q

Quand (période) est-ce que l’enfant peut se baser sur des caractéristiques psychologiques?

A

À l’âge scolaire

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6
Q

La conscience de soi vers 20 mois

A

Ils se reconnaissent dans le miroir (test du point rouge)

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7
Q

La conscience de soi vers 2 ans

A

Ils se reconnaissent sur des photos et utilisent “je” et “moi”

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8
Q

La conscience de soi vers 18 et 30 mois

A

Ils développent la capacité de se placer dans les catégories simples
- Ex: enfant/adulte; fille/garçon; etc.

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9
Q

Les bases de la conscience de soi aux différents âges développeront plus tard…? (2)

A
  • Un concept de soi psychologique
  • L’estime de soi
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10
Q

D’où vient le concept de soi? (2)

A
  • Relations d’attachement à la petite enfance
  • Conversations parent-enfant “élaboratives”
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11
Q

Quelle type de relation d’attachement à la petite enfance favorise un concept de soi plus favorable?

A

Attachement sécurisant

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12
Q

Que sont les conversations parent-enfant “élaboratives”?

A
  • Focaliser sur les états internes de l’enfant, lui poser des questions sur comment il s’est senti
  • Parler des causes et des conséquences des états internes
  • Évoquer des épisodes où l’enfant a réussi à se remettre d’une émotion douloureuse
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13
Q

Quand est-ce que les conversations parents-enfants devraient-elles se développer et pourquoi?

A

Lors de la période toddlerhood (2-3 ans) pour favoriser le développement du soi psychologique au préscolaire

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14
Q

La compréhension des autres

A
  • À cet âge (2-3 ans/toddlerhood), les enfants démontrent une conscience et une compréhension grandissante des autres qui donne lieu à des interactions sociales beaucoup plus sophistiquées
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15
Q

Exemple de conscience et de compréhension des autres

A
  • Partage des découvertes (veulent que les autres portent attention à un nouvel objet)
  • Démontrent une certaine capacité à répondre aux désirs et aux préférences des autres, même quand ceux-ci sont différents des leurs
  • Comprennent la notion de possession
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16
Q

Développements émotifs

A
  • Le tempérament est un peu plus stable que lors de la petite enfance (Réactions émotionnelles de plus en plus stables à travers le temps et les contextes)
  • Les enfants deviennent de plus en plus conscients et ouverts aux signaux émotifs des autres, l’un des premiers signes de l’empathie
  • Ils utilisent ceci pour guider leur comportement (éviter de provoquer colère ou tristesse)
  • Plus marqué à partir de 3 ans
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17
Q

Développement émotif de certains enfants

A

Beaucoup d’affect positif et d’intérêt pour la nouveauté
- Facile à gérer pour les adultes

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18
Q

Développement émotif des autres enfants

A
  • Prédominance d’affect négatif (irritabilité), de timidité ou de difficulté à s’adapter à la nouveauté
  • Risque développemental si les parents expriment peu d’émotions positives, nient les émotions de l’enfant, gèrent mal leur propre
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19
Q

Développements émotifs: Anxiété de déviance

A
  • Les enfants de 2-3 ans démontrent de l’anxiété de déviance lorsqu’ils font ou sont sur le point de faire quelque chose d’interdit
  • Ils font des auto-corrections spontanées lorsqu’ils ressentent de l’anxiété de déviance
  • Début du développement moral
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20
Q

Développements émotifs: les émotions fondamentales

A

Les émotions fondamentales de la petite enfance (joie, peur, surprise, colère, tristesse) sont mieux gérées
- Les enfants peuvent supporter de plus hauts niveaux d’activation émotive, sont submergés moins aisément

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21
Q

Développements émotifs: émergence des émotions secondaires

A

Émotions auto-évaluatives qui requièrent une certaine conscience objective de soi et une connaissance des standards (l’enfant se compare aux standards)

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22
Q

2 types d’auto-évaluations

A
  • Auto-évaluation négative = honte
  • Auto-évaluation positive = fierté
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23
Q

Les débuts du contrôle des impulsions (18-24 mois/Avant 2 ans-2ans)

A
  • Développements des lobes frontaux n’est pas encore complet (insuffisant pour le contrôle des impulsions)
  • La présence des adultes est nécessaire pour contrôler les impulsions (régulation externe)
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24
Q

Les débuts du contrôle des impulsions (2-3 ans)

A
  • L’auto-régulation émerge, permettant à l’enfant de suivre des directives en l’absence de surveillance adulte
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25
Q

Auto-régulation

A
  • 1ère étape: Ne pas émettre les comportements interdits
  • 2e étape: Émettre les comportements convenables et désirables socialement, mais ennuyants ou désagréables
  • Progression de l’obéissance à l’internalisation des règles (se consolide au préscolaire)
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26
Q

Progression développementale dans l’auto-régulation: Obéissance engagée

A
  • Obéissance enthousiaste aux directives des parents
  • Ouvre éventuellement la porte à l’internalisation
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27
Q

Progression développementale dans l’auto-régulation: Internalisation

A

Intégration des normes de comportements des parents à ses propres normes

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28
Q

Développement moral: les bases

A
  • L’enfant doit commencer à internaliser les règles qui lui ont été inculquées de l’extérieur
  • Apprendre les règles de la vie en société, à la maison et/ou à la garderie constitue le tout début du respect de l’ordre social
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29
Q

Développement moral: 3 mois

A
  • 1ères manifestations (très tôt)
  • Les enfants de cet âge préfèrent un personnage qui aide
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30
Q

Développement moral: 14-18 mois

A

Les enfants de cet âge aident spontanément, même quant cela n’a aucun bénéfice pour eux

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31
Q

Développement moral: 18 mois

A

Les enfants de cet âge s’attendent à un partage juste

32
Q

Développement moral: 21 mois

A

Les enfants de cet âge préfèrent aider une personne bien intentionnée

33
Q

Développement moral: héritage évolutionniste

A

Ces rudiments de moralité expliqué selon les différents âges feraient partie de notre héritage évolutionniste et de la fonction adaptative

34
Q

Développement moral: les limites à la moralité naturelle

A
  • Si le geste moral n’enlève rien et ne donne rien à l’enfant, celui-ci va aider
  • Si le geste moral implique une perte personnelle, le gain personnel peut l’emporter sur la moralité (ne va pas aider)
  • Aider à ses propres dépens est rare chez les petits
  • Le développement moral a donc besoin d’être façonné
35
Q

Développement moral: vision traditionnelle

A
  • Vu comme un processus par lequel les règles et les valeurs sont imposées à un enfant par ses parents et les autres adultes
  • La moralité émane de l’extérieur
36
Q

Développement moral: les 2 perspectives liées à la vision traditionnelle

A
  • Perspective psychanalytique
  • Perspective de l’apprentissage social
37
Q

Développement moral: vision récente

A
  • Proposent que les enfants internaient naturellement les règles et les valeurs
  • La moralité émane de l’intérieur
38
Q

Développement moral: 1 perspective liée à la vision récente

A

Perspective cognitive-développementale

39
Q

Perspective psychanalytique: croyances de Freud sur l’enfant

A
  • L’enfant est un réservoir de pulsions; le travail des parents est d’aider l’enfant à les contrôler
  • L’enfant serait motivé par la peur de la punition ou de perdre l’amour parental
  • L’émotion centrale que l’enfant tente d’éviter est la culpabilité
40
Q

Perspective psychanalytique: L’appui empirique

A

Très peu d’appuis empiriques pour les idées de Freud, sauf pour l’importance des émotions, telles la culpabilité

41
Q

Perspective psychanalytique: conclusion

A

Utiliser les émotions pour favoriser le développement moral de l’enfant se fait idéalement par discipline inductive

42
Q

Quand doit-on appliquer la discipline inductive et comment? (perspective psychanalytique)

A

Après un méfait:
- Faire remarquer la détresse de l’autre
- Souligner l’impact du geste posé sur l’autre
- Clarifier que c’est l’enfant qui est en est la cause
- Expliquer avec gentillesse et ajustée au niveau développemental
- Insister: il est important d’écouter les explications et de ne pas recommencer

43
Q

La discipline inductive dès 2 ans

A

Permet de diminuer les méfaits et augmente les actes de réparations

44
Q

Pourquoi est ce que la discipline inductive facilite le développement moral?

A
  • Explique comment se conduire, utile dans le futur
  • Met l’accent sur l’impact du geste, encourage donc à l’empathie
  • Le rationnel donné peut motiver l’enfant à adopter de bons comportements: il comprend la logique des standards de comportement (facilite l’internalisation)
45
Q

Les variations des bienfaits de la discipline inductive chez les enfants:

A
  • Les enfants génétiquement prédisposés à l’empathie réagissent particulièrement bien à la discipline inductive
  • Les stratégies douces suffisent aux enfants anxieux/timides (pas besoin d’insister)
  • La discipline inductive doit être ferme et répétée pour les enfants impulsifs/peu timides
46
Q

Perspective de l’apprentissage social

A
  • Le comportement acceptable est enseigné directement par l’utilisation de récompenses sélectives et de la punition
  • MAIS le bon comportement doit avoir lieu avant de pouvoir être renforcé
  • Les enfant apprennent aussi par imitation et sur la base des récompenses et punitions qu’ils observent (processus vicariant)
47
Q

Que savons-nous sur la punition?

A

Si elle est dure (s’emporter, crier) ou corporelle (gifler), elle va avoir très peu d’effets positifs à long terme et va avoir beaucoup d’effets négatifs

48
Q

Quelles sont les alternatives à la punition dure?

A
  • Le retrait dans un lieu ennuyant
  • Le retrait de privilèges
  • Une relation parent-enfant chaleureuse où les règles sont expliquées à l’enfant
  • Constance des règles dans le temps et entre les adultes
  • Reconnaître l’émotion de l’enfant
49
Q

Perspective cognitive-développementale

A

Les enfants s’intéressent aux règles sociales et souhaitent s’y conformer

50
Q

Perspective cognitive-développementale (âge préscolaire)

A

Les enfants vont poser des jugements moraux basés sur les concepts de justice et d’équité

51
Q

Perspective cognitive-développementale (2-3 ans)

A
  • L’enfant éprouverait surtout du plaisir à coopérer avec les adultes qui sont agréables et gentils avec lui
  • En faisant ceci, l’enfant en viendrait graduellement à s’approprier les règles (préscolaire)
52
Q

La clé selon la perspective cognitive-développementale

A

La communication parent-enfant
- Ex: expliquer la raison derrière les règles

53
Q

Présence des interactions entre les enfants (Début de l’aspect de la sociabilité - diapo 26)

A

Les interactions avec d’autres enfants deviennent de plus en plus présentes pendant cette période (2-3 ans)

54
Q

Progression du jeu social

A

1- Jeu solitaire
2- Jeu parallèle
3- Jeu associatif
4- Jeu coopératif

55
Q

Définir le jeu solitaire

A

Non-social, mais observation des autres

56
Q

Définir le jeu parallèle

A

Jouent côte à côte avec les mêmes objets, sans tenter de s’influencer

57
Q

Définir le jeu associatif

A

Activités séparées, mais avec commentaires et échanges de jouets

58
Q

Définir le jeu coopératif

A

Jouent véritablement ensemble, avec un but commun
- Ex: jeu socio-dramatique

59
Q

Est-ce que les différents types de jeux sociaux peuvent co-exister?

A

Oui

60
Q

Fréquence des jeux

A
  • Le jeu solitaire et parallèle ne diminuent pas beaucoup en fréquence à mesure que le jeu associatif et coopératif apparaissent
  • Le jeu solitaire demeure fréquent même au préscolaire et n’est généralement pas inquiétant
61
Q

Ordre des jeux associés à la sophistication (ou maturité) cognitive

A

1- Jeu fonctionnel
2- Jeu constructif
3- Jeu de “faire-semblant”

62
Q

Définir le jeu fonctionnel

A

Mouvements simples et répétitifs, peu d’élaboration

63
Q

Définir le jeu constructif

A

Créer une histoire, construire un objet

64
Q

Exemple de jeu de “faire-semblant”

A

Jeux de rôles

65
Q

Quelle est la caractéristique des jeux de la sophistication cognitive concernant leur évolution?

A

Leur évolution s’observe dans les 4 types de jeu social

66
Q

Le tempérament des enfants dans leurs interactions avec les autres enfants

A

Le tempérament a une forte influence sur la sociabilité
- Ex: Les enfants timides ont de la difficulté à se joindre aux groupes d’enfants

67
Q

Qu’est ce qui est déconseillé à faire chez les adultes avec un enfant au tempérament timide?

A
  • Critiquer l’enfant
  • Brusquer l’enfant
  • Surprotéger l’enfant
68
Q

Qu’est-il conseillé de faire avec un enfant au tempérament timide?

A
  • Encourager doucement et patiemment l’enfant à s’approcher graduellement des autres pour lui donné l’opportunité de se faire au moins un bon ami éventuellement
69
Q

Est ce que les enfants de 2-3 ans distinguent les amis des partenaires de jeu dans les interactions entre les enfants?

A

Non. Les enfants jouent de plus en plus ensemble (jeu associatif, coopératif), mais ne distinguent pas encore les amis des partenaires de jeu
- Ce sont tout de même les fondations du comportement social et des relations d’amitié (qui émergeront vers 4 ans)

70
Q

Définir les influences parentales directes sur les relations avec les pairs

A
  • Organiser des activités entre enfants
  • Être un modèle (ex: gentillesse)
  • Conseils: Comment agir avec autrui
71
Q

Définir les influences parentales indirectes sur les relations avec les pairs

A
  • Attachement sécurisant
  • Communication sensible et riche émotivement
  • Jouer, se mettre au niveau de l’enfant
72
Q

Quels sont les 2 grandes tâches des parents auxquels les parents sont confrontés avec les enfants de 2-3 ans et expliquer pourquoi l’équilibre entre les 2 est crucial?

A
  • Soutenir l’exploration du monde à laquelle l’enfant se consacre (autonomie)
  • Établir des limites appropriées pour l’enfant

L’équilibre entre ces 2 aspects est crucial, parce qu’elle procure un cadre clair et rassurant, à l’intérieur duquel l’enfant peut expérimenter à loisir

73
Q

Quels comportements très précis ont peu d’importance?

A
  • Accepter ou refuser tel ou tel comportement spécifique
  • À quel âge donner quelle permission
74
Q

Qu’est-ce qui prédit l’adaptation ultérieure de l’enfant?

A

Le ton général de la relation: Des règles claires, constantes et raisonnables communiquées à travers une relation chaleureuse et affectueuse

75
Q

Définir l’implication paternelle

A
  • Plusieurs pères ont tendance à devenir plus impliqués avec les enfants vers 12-24 mois
  • Le comportement paternel est parfois de nature différente de celui des mères (ex: plus de jeux) et n’est ni plus ni moins important
76
Q

Quelles sont les 3 mesures de l’implication paternelle qui ont été utilisées jusqu’à aujourd’hui?

A
  • Traditionnellement, vision grossière: Père interagit avec l’enfant ou pas avec l’enfant
  • Par la suite, vision quantitative (ex: fréquence hebdomadaire par activité: donner le bain, accompagner à divers endroits, lire des histoires)
  • Maintenant, vision qualitative: quelle est la qualité affective des échanges père-enfant?
77
Q

Définir l’importance de l’implication paternelle

A
  • Se retrouve dans diverses cultures
  • Se retrouve dans divers groupes socio-économiques
  • S’additionne aux influences maternelles (donc, ne fait pas que compenser pour des lacunes maternelles)

Développement de l'enfant (6 decks)

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