Cours 9 - Santé au travail et psychologie positive Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’on étudie quand on observe la santé psychologique au travail?

A

On étudie les facteurs (positifs et négatifs) au travail qui on un impact sur la santé psychologique.

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2
Q

À partir de quand la santé psychologique au travail est apparue dans la PTO?

A

En 1986, le terme psychologie de la santé au travail est apparu.

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3
Q

Quel est le but de la psychologie de la santé au travail?

A

Favoriser un état de bien-être et un fonctionnement optimal de l’individu en contexte de travail.

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4
Q

Quels sont les thèmes de prédilection de l’étude de la santé psychologique au travail?

A
  • Santé et sécurité au travail.
  • Stress au travail et burnout.
  • Conflit travail-famille vs enrichissement famille-travail.
  • Réactions aux conditions de travail.
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5
Q

Vrai ou Faux? 1/3 travailleur aurait un niveau de stress au travail élevé.

A

Vrai.

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6
Q

Vrai ou Faux? L’impact économique liés à des problèmes de santé psychologique est moindre dans les entreprises.

A

Faux. L’impact économique liés à des problèmes de santé psychologique est estimé à environ 20M$ pour les employeurs canadiens.

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7
Q

Vrai ou Faux? Le coût mondiale de la perte de productivité dû à des troubles de santé mentale s’éleve à environ 1 milliard $.

A

Vrai.

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8
Q

Qu’est-ce que la santé psychologique?

A

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.
Avoir des affectes positifs, pas uniquement de ne pas souffrir de trouble mental!
C’est un construit bidimensionnel:
- Négatif = Détresse psychologique.
- Positif = Bien-être psychologique.

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9
Q

Que sont les (2) indicateurs négatifs de la santé psychologique?

A
  • Détresse psychologique au travail.

- Épuisement professionnel (burnout).

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10
Q

Que sont les (2) indicateurs positifs de la santé psychologique?

A
  • Bien-être psychologique au travail.

- Engagement professionnel.

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11
Q

Vrai ou Faux? Il est possible de vivre des affects psychologiques positifs et négatifs en même temps.

A

Vrai. Mais il faut travailler afin de réduire les affects négatifs pour ne pas qu’ils deviennent trop importants et se transforment en problèmes à long terme.

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12
Q

Qu’est-ce que le bien-être au travail?

A

État renvoyant à un rapport positif incluant trois dimensions : l’individu, les relations avec autrui et l’environnement de travail permettant un fonctionnement optimal de l’individu.

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13
Q

Quelles sont les (2) approches qui étudient le bien-être?

A
  • Approche hédonique

- Approche eudémonique

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14
Q

Qu’est-ce que l’approche hédonique du bien-être?

A

Évaluation cognitive de la satisfaction d’un évènement précis: Correspond au niveau de plaisir, de confort, de bonheur ressentit et de satisfaction dans la vie.

Dépend deux aspects :

  • Présence d’émotions positives.
  • Absence d’émotions négatives.
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15
Q

Qu’est-ce que l’approche eudémonique du bien-être?

A

Centrée sur le fonctionnement optimal plus dans le temps: le sens, le développement de soi, l’actualisation de soi, l’excellence, l’engagement.
Basée sur la prémisse que les gens sont heureux s’ils connaissent une croissance personnelle et ont des buts qui ont du sens pour eux.
Perspective de réalisation et d’actualisation de soi.

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16
Q

Quelles sont les (5) sphères de l’approche eudémonique du bien-être?

A
  • Adéquation interpersonnelle au travail: Vivre des relations positives avec les individus étant en interaction avec soi dans le cadre de son travail.
  • Épanouissement dans le travail: Perception d’accomplir un travail significatif et stimulant à ses yeux, qui permet de s’y réaliser comme individu.
  • Sentiment de compétence au travail: Perception de posséder les aptitudes requises pour effectuer efficacement son travail et se sentir en contrôle sur les tâches à réaliser.
  • Volonté d’engagement au travail: Volonté de s’engager pro-activement dans l’organisation et de contribuer à son bon fonctionnement et son succès.
  • Reconnaissance perçue au travail: Perception d’être apprécié dans l’organisation, pour son travail et sa personne.
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17
Q

Vrai ou Faux? Quand l’adéquation interpersonnelle, l’épanouissement, le sentiment de compétence, la volonté d’engagement et la reconnaissance perçue au travail sont tous comblés, alors la personne va avoir un état de bien-être psychologique au travail (BEPT) eudémonique.

A

Vrai.

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18
Q

Quel type de bien-être suis-je? Après une belle journée à la plage avec mes amies, je retourne heureuse à la maison.

a) Hédonique
b) Eudémonique
c) Les deux

A

a) Hédonique, car c’est la satisfaction suite à un évènement précise qui est observée.

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19
Q

Quel type de bien-être suis-je? Je trouve qu’en général, je me réalise bien dans la vie. Mes relations sont bonnes, mon travail va bien et mes études aussi.

a) Hédonique
b) Eudémonique
c) Les deux

A

b) Eudémonique, car c’est le sentiment d’actualisation plus global qui est observé.

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20
Q

Quel type de bien-être suis-je? Après une merveilleuse journée à la Ronde avec mes amies, je rentre chez moi en contemplant à quel point ma vie va bien et que je suis heureuse dans chacune des sphères de celle-ci.

a) Hédonique
b) Eudémonique
c) Les deux

A

c) Les deux, car je vie un état complet de bien-être. Don je vie à la fois du bien-être hédonique et du eudémonique

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21
Q

Vrai ou Faux? Le bien-être hédonique est plus durable que l’eudémonique?

A

Faux. C’est le contraire.

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22
Q

Quel est le niveau de bien-être de Yenefer? «Je m’entends super bien avec mes collègues et j’aime beaucoup ma superviseure, mais je ne sens pas que j’apprends beaucoup, j’ai plutôt l’impression de faire du sur-place.»

A

Haut niveau de bien-être hédonique.

Faible niveau de bien-être eudémonique.

23
Q

Qu’est-ce que l’engagement au travail?

A

Évaluation cognitive positive, expérience épanouissante et liée au travail. L’engagement au travail se manifeste par:

  • la vigueur: haut niveau d’énergie et de résilience. Volonté de s’investir dans son travail et de persister face aux difficultés.
  • le dévouement: forte implication au travail accompagné d’un enthousiasme, faire du sens et un sentiment de fierté et d’inspiration (l’acceptation des buts de l’organisation et de son désir de déployer des efforts).
  • l’absorption: réfère à un état plaisant d’immersion dans son travail.
24
Q

Qu’est-ce que la détresse psychologique?

A

La détresse psychologique est un état de souffrance émotionnelle qui lorsque présente sur une longue période de temps se caractérise par des symptômes de dépression et d’anxiété. (Est souvent passagé.)

25
Q

Comment se manifeste la détresse psychologique (4)?

A
  • Auto dévalorisation (ex. auto-critique, diminution de l’estime de soi etc.).
  • Irritabilité/agressivité (arrogance, générer des conflits plus facilement, colère etc.).
  • Anxiété/dépression (tristesse, préoccupation, stress).
  • Désengagement sociale (désintérêts, être moins réceptifs èa son entourage etc.).
26
Q

Qu’est-ce que l’épuisement professionnel?

A

L’épuisement professionnel se définit comme une réponse prolongée à des stresseurs émotionnels et interpersonnels chroniques dans le cadre de son occupation.

27
Q

Comment se manifeste l’épuisement professionnel?

A
  • Fatigue physique : Diminution importante de l’énergie qui nuit au fonctionnement de l’individu.
  • Épuisement émotionnel : Incapacité / difficulté à ressentir de l’empathie et à jouer un rôle actif dans les relations interpersonnelles au travail
  • Lassitude cognitive : Incapacité / difficulté à se concentrer ou à se mobiliser intellectuellement.
28
Q

Dans les processus du stress, qu’est-ce qu’un stresseur?

A

Facteur dans notre environnement menaçant notre état d’homéostasie (état d’équilibre).

29
Q

Qu’est-ce que le stress?

A

Réaction face à un stresseur suite à une série d’évènements.

30
Q

Expliquez le processus du stress.

A

1- Facteur stressant
2- Perception du stresseur.
3- Évaluation cognitive: Est-ce que c’est menaçant pour moi?
4- Si évalué comme une menace = tension.
* Possible de passer du facteur stressant à la réaction physiologique directement sans évaluation cognitive face à un stresseur soudain et très dangereux.*
5- Réponse:
- Réaction physiologique.
- Réaction psychologique.
- Réaction comportementale.
6- Peut être une réponse à court terme ou à long terme.

31
Q

Qu’est-ce qu’une réaction physiologique au stress?

A

Activation d’une réponse de survie de l’organisme (activation système sympathique et inhibition système parasympathique) pour mobiliser les ressources afin de faire face au stresseur.
À long terme : possible d’avoir des maux de tête, maux de ventre.

32
Q

Qu’est-ce qu’une réaction psychologique au stress?

A

Inquiétude, rumination, frustration. Peut être plus difficile de se concentrer, de planifier, d’être créatif ou de gérer ses émotions.

33
Q

Qu’est-ce qu’une réaction comportementale au stress?

A
  • Fuite : se soustraire psychologiquement ou physiologiquement à la situation stressante (ex: quitter son emploi, consommation de substances).
  • Combat : réponses physiques pour faire face au stresseur (ex: comportement antisociaux, entrer en compétition).
34
Q

Expliquez le syndrome d’adaptation générale lorsque la réaction au stress reste de manière prolongée.

A

1- Face au stresseur, on entre dans une phase d’alarme, donc toutes nos ressources sont mobilisées.
2- Si le stresseur persiste à être présent, alors on entre dans la phase de résistance où notre corps continue d’utiliser des ressources supplémentaires et faire face au stress (donc on mange plus de sucre et gras pour conserver le haut niveau d’énergie).
3- Si le stresseur persiste encore (pendant des mois/années), alors la notre corps aura été trop sollicité pour continuer à combattre et ses ressources commence à s’épuiser; on entre dans la phase d’épuisement. C’est là qu’on connait des problèmes de dérèglement (obésité, diabète, hypertension, etc.).

35
Q

Que sont les conséquences du stress au travail?

A

Symptômes psychologiques:

1) Détresse psychologique
- État anxieux et dépressif
- Autodépréciation
- Irritabilité / Agressivité
- Désengagement social
2) Épuisement professionnel
- Difficulté de concentration
- Fatigue physique
- Épuisement émotionnel
- Manque d’épanouissement
- Dépersonnalisation

Symptômes physiologiques:

  • Perturbation du sommeil
  • Fatigue, maux de tête, etc.

Patterns comportementaux typiques:

  • mauvaise nutrition
  • isolement
  • cynisme
  • apathie
  • détachement
  • absentéisme
  • présentéisme (se présenter au travail sans être en mesure de pouvoir se concentrer et avancer)
  • comportements antisociaux
  • Etc.
36
Q

Quels facteurs peuvent être des facteurs stressant au travail?

A
  • Ambiguïté de rôle: Les employés sont incertains de quelles sont leurs fonctions et responsabilités.
  • Fonction conflictuelle (role conflict): Les travailleurs vivent des demandes incompatibles (intrarôle = demandes incompatibles au travail ; extrarôle = demandes incompatibles à travers leurs sphères de vie.)
  • Charge de travail: Surcharge de travail quantitative (quantité),
    qualitative (difficulté) et télépression du travail (devoir rester connecté en permanence).
  • Facteurs sociaux stressants: Conflits interpersonnels, comportements/ pratiques de gestion du gestions, mauvais traitement au travail (bullying).
  • Stratégies organisationnelles: Perception des employés que les autres membres de l’organisation commettent des gestes pour servir leurs propres intérêts au détriment de ceux de l’organisation et des autres.
  • Les contraintes reliée à la tâche: Aspects qui nuisent à la performance au travail.
  • Le manque de contrôle/Latitude décisionnelle: marge de manœuvre avec laquelle chaque travailleur peut prendre des décisions concernant son travail.
  • Tâches illégitimes: Tâches irraisonnables (tâche importantes, mais qui devraient être effectuées par quelqu’un d’autres); tâches non-nécessaire (tâches qui n’ont pas besoin d’être effectuées).
37
Q

Qu’est-ce que le modèle Demandes-Contrôle de Karasek?

A

Modèle développé en lien avec la latitude décisionnelle. Karasek explique comment le fait de manquer de contrôle provoque du stress. Un fort niveau de latitude décisionnelle vient modérer la tension vécue.

  • Fort contrôle: Faible tension même avec de fortes demandes.
  • Faible contrôle: Forte tension avec de fortes demandes.

La « bonne » santé psychologique au travail découlerait d’un d’équilibre entre les demandes en emploi et d’une latitude décisionnelle adaptée.
La « mauvaise » santé psychologique au travail découlerait d’un déséquilibre entre des demandes en emploi élevées et une latitude décisionnelle faible.

Quelqu’un qui a de faibles demandes ne vivra pas de haut stress, mais à la base il y a tout de même un peu plus de tension pour ceux qui ont un faible contrôle.

38
Q

Qu’est-ce que la théorie Demandes-Ressources de Bakker et Demerouti?

A

L’ensemble des caractéristiques d’un emploi peuvent se qualifier comme étant une demande ou une ressource selon les circonstances organisationnelles:

  • Les demandes sont l’ensemble des caractéristiques physiques, psychologiques, sociales et organisationnelles du travail requérant un effort physique et/ou psychologique.
  • Les ressources représentent des caractéristiques physiques, psychologiques, sociales ou organisationnelles qui permettent notammentd’être performant en emploi  et de réduire l’impact des coûts psychologiques ou physiques associés aux demandes en emploi.
39
Q

Vrai ou Faux? Dans le modèle demandes-ressources, un niveau élevé de demandes constantes nécessitant des efforts excessifs et soutenus entraîneraient à long terme d’un processus de détérioration de la santé de l’employé pouvant mener un état d’épuisement.

A

Vrai.

40
Q

Vrai ou Faux? Dans le modèle demandes-ressources, un niveau élevé de ressources pourrait entraîner un processus de motivation où les ressources encourageraient l’employé à atteindre ses objectifs.

A

Vrai.

41
Q

Dans le modèle de demandes-ressources, nommez (3) exemples de demandes au travail.

A
  • La surcharge de travail.
  • Un conflit famille-travail.
  • Des demandes émotionnelles comme un conflit.
42
Q

Dans le modèle de demandes-ressources, nommez (3) exemples de ressources au travail.

A
  • Autonomie/ Contrôle
  • Possibilités de développement.
  • Support social.
43
Q

Vrai ou Faux? Dans le modèle demandes-ressources, les ressources en emploi permettent de réduire l’impact des coûts psychologiques ou physiques associés aux demandes en emploi et ainsi modérer la relation demandes en emploi et épuisement au travail. Ainsi un employé avec un haut niveau de ressources pourrait développer un état d’engagement au travail

A

Vrai.

44
Q

Dans le modèle demandes-ressources, que cause le fait d’avoir des demandes au travail?

A

Du stress au travail.

45
Q

Dans le modèle demandes-ressources, que cause le fait d’avoir des ressources au travail?

A

Un sentiment d’engagement au travail (motivation). Également, elles viennent modérer la relation entre demandes et stress au travail.

46
Q

Comment peut-on prévenir les demandes au travail et ainsi le stress?

A
  • Diminuer le conflit famille-travail (Horaire flexibles /Support des superviseurs /Garderie sur les lieux de travail).
  • Respecter le contrat psychologique.
  • Augmenter la clarté des rôles et des tâches
  • Fournir les ressources et le contrôle nécessaires.
  • Former les gestionnaires.
47
Q

Qu’est-ce que la psychologie positive?

A

«Science du bonheur»
La psychologie positive est «l’étude des conditions et des processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des personnes, des groupes et des institutions».
Donc, c’est le principe que le bonheur dépend de la perception qu’on a des épreuves et évènements se passant dans notre vie.

48
Q

Les thématiques étudiées en psychologie positive peuvent se diviser en trois niveaux, quels sont-ils?

A
  • Niveau individuel: bien-être et bonheur, créativité, sentiment d’efficacité personnelle, estime de soi, humour, sens de la vie, optimisme, capital psychologique etc.
  • Niveau interpersonnel: altruisme, amitié et amour, coopération, empathie, pardon, etc.
  • Niveau social : courage, engagement militant, médiation internationale, etc.
49
Q

Pourquoi favoriser les émotions positives au travail?

A
  • Conséquences d’être de bonne humeur au travail: Plus de créativité, Plus de satisfaction au travail, Moins de taux de roulement, Plus de performance contextuelle, Plus de performance dans la tâche, Meilleur collaboration d’équipe.
  • Conséquences d’être de mauvaise humeur au travail: Moins de satisfaction au travail, Plus d’absentéisme, Plus de taux de roulement, Plus de comportements antisociaux au travail (contre-productifs).
50
Q

Quels sont les (8) micro-interventions positives?

A
1- Exprimer de la gratitude
2- Savourer les joies de la vie
3- Poser des gestes de gentillesse
4- Nourrir ses relations sociales au travail / dans la vie en générale
5- Cultiver l’optimisme
6- Donner un sens aux épreuves
7- Challenger ses pensées négatives
8- Éviter la comparaison sociale
51
Q

En quoi consiste la micro-intervention de challenger ses pensées négatives?

A

Souvent, nos pensées négatives sont erronées, trop pessimistes, biaisées et distordues … Il faut alors:
1- Identifiez le fait à la source du problème.
«Que s’est-il passé, objectivement?»
2- Cernez vos pensées négatives suscitées par le problème.
«Qu’est-ce que je me dis en réaction à cet événement?»
3- Identifiez les conséquences négatives de vos idées négatives.
«Quel est l’impact pour moi de penser comme ça?»
4- Confrontez vos pensées négatives.
Faites-vous détective, et cherchez les preuves du contraire!
5- Remplacez vos pensées négatives.
… par une interprétation positive, plus encourageante et plus indulgente.

52
Q

Pourquoi est-il important de challenger ses pensées négatives?

A

Les individus qui se comparent aux autres se sentent plus vulnérables, menacés, insécures.
Et ils tendent à être soulagés, plutôt que sympathisants, devant les échecs des autres…
Ceux qui ne se comparent pas aux autres utilisent plutôt leurs propres standards internes pour s’évaluer
Et ils sont capables de se réjouir du succès des autres…

53
Q

Selon la micro-intervention de challenger ses pensées négatives, que faut-il faire quand on commence à se comparer?

A

1- Coupez court à vos idées négatives
2- Agissez sur le problème, pas à pas
3- Identifiez les situations où vous avez tendance à vous comparer
4- Regardez le portrait d’ensemble.

54
Q

En quoi consiste la micro-intervention de donner un sens aux épreuves?

A

Face à une épreuve il faut prendre du temps pour réfléchir à la situation en essayant de la voir sous un nouvel angle. Posez-vous les questions ci-dessous et notez vos réponses. Vous pourrez y revenir dans vos moments de doute et de découragement.

  • Quelles leçons ai-je tirées de cette situation?
  • Qu’est-ce que cette situation peut m’apporter de positif?
  • Quelles forces ai-je dû développer dans cette situation? Quel est le sens de cette situation?