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Psychologie cognitive > Cours 9 - Langage > Flashcards

Cours 9 - Langage Flashcards

1
Q

Que permet le langage? 5 points?

A
  • Système de communication symbolique partagé
  • Fait partie de la communication
    o Mais communication = plus large
  • Permet de faire référence à des idées / des faits pas immédiatement présents / visibles
  • Permet de faire références à des choses inexistantes, inventées, ou abstraites
    o Non verbal
  • Permet d’échanger des idées
    o Connecter monde interne avec celui des autres
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2
Q

Quelles sont les 5 étapes cognitives pour comprendre un langage?

A
  • Décoder : Entendre le message.
  • Accéder aux sens : Langue parlée.
  • Comprendre règles régissant ordre des mots : L’ordre dans lequel les mots sont placés + sens.
  • Détecter l’intonation : Appuyer l’intention du message
  • Faire inférence : Résultat du message
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3
Q

Combien de mots par secondes un humain peut comprendre?

A
  • 3 mots
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4
Q

Nommez les 5 structures de langages? Définissez-les?

A
  • Phonème
    o Plus petite unité de son (saper vs. zaper)
  • Morphème (Préfixe et suffixe)
    o Plus petite unité de sens (défaire, désunir, désintéresser)
  • Syntaxe (grammaire)
    o Ordre des mots dans la phrase
  • Sémantique
    o Sens des mots, sens de la phrase
  • Pragmatique
    o À qui parle-t-on, dans quel contexte, pourquoi?
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5
Q

Dans la structure de langage, quel est la plus petite unité de son?

A
  • Phonème
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6
Q

Dans la structure de langage, quel est la plus petite unité de sens?

A
  • Morphème
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7
Q

Dans la structure de langage, qu’est-ce qui définit le sens dans une phrase?

A
  • Sémantique
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8
Q

Dans la structure de langage, qu’est-ce qui définit le sens des mots dans une phrase?

A
  • Sémantique
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9
Q

Dans la structure de langage, qu’est-ce qui définit l’adaptation à qui l’on parle, le contexte et pourquoi?

A
  • Pragmatique
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10
Q

Produire un langage veut dire d’émettre ou de recevoir un message?

A
  • Émettre
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11
Q

Structurer un langage veut dire d’émettre ou de recevoir un langage?

A
  • Recevoir
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12
Q

Quel sont les 5 étapes pour produire un langage?

A
  • Sémantique
    o Planification signification générale
  • Syntaxe
    o Structure générale phrase
  • Lexique
    o Choix mots spécifiques
  • Grammaire / phonèmes
    o Sélectionner forme appropriées des mots
  • Phonétique
    o Prononcer un son
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13
Q

A quelle étape de production de langage sommes lorsque nous planifions la signification générale?

A
  • Sémantique
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14
Q

A quelle étape de production de langage sommes-nous lorsque nous faisons une structure générale de phrase?

A
  • Syntaxe
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15
Q

A quelle étape de production de langage sommes-nous lorsque nous faisons un choix de mots spécifique?

A
  • Lexique
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16
Q

A quelle étape de production de langage sommes-nous lorsque nous sélectionnons la forme appropriées des mots?

A
  • Grammaire/phonème
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17
Q

A quelle étape de production de langage sommes-nous lorsque nous prononçons un son?

A
  • Phonétique
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18
Q

Nommez 3 caractéristiques du langage? Définissez l’association de chacun

A
  • Symbolique
    o A propos e quelques chose
    o Association arbitraire
  • Structuré
    o Selon les règles grammaticales
    o Ordre des mots
  • Génératif
    o Ombre infini de phrase peuvent être généré
    o Récursion : Ajout d’élément dans une phrase. Devenir de plus en plus spécifique
     Le chapeau bleu : Le chapeau bleu est à Gaston
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19
Q

Résumé Intro

A
  • Le langage est un des processus cognitifs les plus complexes. Il permet la communication, la coordination et la coopération, et facilite certaines formes de pensées.
  • Le langage est un système symbolique arbitraire structuré. Une de ses caractéristiques les plus importantes est sa générativité.
  • La compréhension et la production du langage impliquent la phonétique, la sémantique, la syntaxe et la pragmatique.
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20
Q

Combien y a-t-il de phonèmes au totale?

A
  • 150
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21
Q

Combien de phonème y a-t-il dans la langue française?

A
  • Entre 25 – 37
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22
Q

Combien de phonème y a-t-il dans la langue anglaise?

A
  • Entre 47 – 52
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23
Q

Nombre minimum de phonème dans une langue

A
  • Entre 10-11
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24
Q

Graphème : Définition

A
  • Différente façon d’écrire un son
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25
Q

Que peut-il se produire comme erreur lors de l’étape du lexique / choix de mot?

A
  • Erreurs de prononciation
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26
Q

Que se passe-t-il au niveau cognitif lorsque qu’une erreur de prononciation se produit?

A
  • Le mot choisit était préalablement choisit avant de le dire.
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27
Q

Quelles sont les « erreurs possibles » lors d’erreurs de prononciation ?

A
  • Suivent la phonétique de la langue

- Rarement mot impossible

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28
Q

Qu’est-ce que la pré-activation d’une erreur de prononciation ?

A
  • Phonèmes activés / planification
  • Erreurs = souvent autres phonèmes prévus ; activés par le contexte
  • Au niveau du lexique (Production du langage / choix des mots) 2 mots semblable ce mélange par leur différences phonétique (phonèmes) et le mot choisit est un de ceux qui est implacable dans le contexte où l’erreur se produit.

Ex. Les chites soisis (Les sites choisis)

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29
Q

Quels sont les muscles impliqués dans la production de phonèmes

A
  • Muscles articulatoire du langage
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30
Q

De très grandes différences musculaires sont nécessaires pour produire de grandes différences auditives? Vrai ou Faux?

A
  • Faux. Il suffit d’infime différence
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31
Q

Les voyelles sont produites uniquement avec la gorge? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai.
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32
Q

Il existe 2 types de production de phonème de voyelle. Nomme-les?

A
  • Antérieur / postérieure

- Ouverte fermée

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33
Q

Les consonnes sont produites uniquement avec la gorge? Vrai ou Faux?

A
  • Faux. Les consonnes sont produites par la combinaison de la gorge et de la mâchoire.
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34
Q

Il existe 2 types de production de phonème de consonnes. Nomme-les?

A
  • Point d’articulation

- Mode d’articulation

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35
Q

Perception phonèmes

Développement / spécialisation

Kuhl (1993)

  • Bébés de partout dans le monde peuvent discriminer tous les sons de toutes les langues du monde
  • Spécialisation pour sons de sa propre langue (avant l’âge de 1 an)
  • Relié aux statistiques d’exposition
  • Perd la possibilité d’entendre certains sons l / r ou / u é / e / è te, the
A

Observation : Les bébés sont tous polyglotte à la naissance. Ils ont tous la capacité de reconnaitre les 150 phonèmes possibles représentés dans toutes les langues.

Ex. Développement et spécialisation : Jusqu’à 10 mois, les bébés japonais font la différence entre les « L » et les « R ». Après 10 mois, ils n’ont plus cette capacité.

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36
Q

Compréhension phonèmes

Perception catégorielle

  • Différences acoustiques subtiles font grande différence perception da (0-30) / ta (50-80)
  • Pas que auditif
  • Aide visuelle Effet McGurk
A

Observation : La différence acoustique s’observe sur une échelle de temps. L’influence du changement d’environnement visuel influence aussi la différence acoustique.

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37
Q

Résumé – Phonétique

A
  • La compréhension et production de phonèmes sont des processus extrêmement complexes. Ils requièrent contrôle moteur extrêmement précis et habiletés perceptuelles fines.
  • La très grande variabilité, entre les langues, entres les prononciations individuelles, rend la tâche encore plus complexe.
  • Il y une spécialisation développementale qui fait en sorte que l’efficacité augmente pour les sons de sa propre langue, au détriment des autres phonèmes possibles.
  • La perception du langage n’est pas qu’auditive, l’information visuelle aide.
  • Les erreurs de production reflètent la spécialisation et la planification.
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38
Q

Syntaxe

Une phrase est une simple suite de mots? Vrai ou Faux?

A
  • Faux. Une phrase comprend différent éléments qui doit être utilisé dans un ordre et une structure précise.
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39
Q

Qu’est-ce qu’une structure hiérarchique d’une phrase?

A
  • La façon dont on regroupe les mots
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40
Q

Syntaxe

Comment appel-t-on les règles qui gouverne la suite logique des mots?

A
  • Syntaxe
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41
Q

Syntaxe

Qu’est-ce qu’un apprentissage implicite?

A
  • Apprentissage inconscient
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42
Q

Syntaxe

Définissez générativité?

A
  • Création probable des phrases dans une langue.
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43
Q

Syntaxe

L’enfant développe sa capacité à combiner mots pour faire des phrases qui sont permise dans sa langue? Vrai ou Faux

A
  • Vrai. L’enfant évolue en même temps que son langage. Celui-ci je complexifie avec l’âge.
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44
Q

Syntaxe (à lire seulement)

A
  • Phrase ≠ simple suite de mots : Le médecin, avec beaucoup de précautions, lui a annoncé la nouvelle.
  • Structure hiérarchique à respecter : Étude, analyse descriptive appliquée à un ensemble d’énoncés et fondée sur des critères explicites. AKA La façon dont on regroupe les énoncés est quelques chose d’appris.
  • Règle qui gouverne suite des mots : Syntaxe
  • Apprise implicitement

o Apprentissage inconscient. Ex. Enfant reconnait tous les phonèmes. Lien avec génétique de l’espèce

  • Syntaxe = caractéristique essentielle du langage humain

o Permet générativité : possibilité de création de phrase d’une langue

  • Enfant développe capacité à combiner mots pour faire des phrases qui sont permise dans sa langue : évolution d la complexité phrase

o Bébé – Bébé mange – Bébé mange biscuit – Moi mange biscuit – Je mange un biscuit
o Chat noir vs Black cat

45
Q

Grammaire

En quoi consistent les règles grammaticales? Et de quel façon?

A
  • A établir le temps
    o Ordre des mots (sujet-verbe)
    o Utilisation pronoms (on, je, il, …)
    o Temps des verbes
46
Q

Qu’est-ce que la surgénéralisation?

A
  • Accord de verbe défaillant / erreur de language
47
Q

La grammaire est égale à …?

A
  • Morphème + syntaxe
48
Q

Définissez « morpho-syntaxique »?

A
  • Qui étudie la syntaxe et la morphologie (morphème) dans un rapport indissociable.
49
Q

Quel est le plus petit élément significatif, isolé par segmentation d’un mot, le plus souvent dépourvu d’autonomie linguistique? Et donner des exemples?

A
  • Morphème

o -é (mange, mangé)
o -re (fait, refait)
o -er (jouet, jouer)
o -ment (joyeux, joyeusement)

50
Q

Règles grammaticales (à lire seulement)

A

Règles grammaticales (à lire seulement)

  • Ordre des mots (sujet-verbe)
  • Utilisation pronoms (on, je, il, …)
  • Temps des verbes

Surgénéralisation

  • Révèle apprentissage de la règle
  • Caractère génératif du langage : Accord de verbe défaillant / erreur de language
    o Il a mangé, marché, parlé… Il a rié, répondé, metté Vend, rend, prend… vendu, rendu, prendu…
51
Q

En quoi consiste (en 3 points) la théorie de Chomsky en lien avec la grammaire universelle?

A
  • Nait avec connaissances reliées au langage
  • Règles communes à toutes les langues
  • Récursivité, Concepts de noms, verbe, sujet
52
Q

La théorie Chomsky en psycholinguistique s’appuie sur quoi?

A
  • Grammaire universelle
  • Langage comme un organe mental
  • Structure de surface
  • Structure profonde
53
Q

Chomsky parlait d’un « Langage comme un organe mental ». Comment le définissait-il?

A

o Séparé de la cognition générale : Portion du cerveau indépendant
o Habileté syntaxique typiquement et exclusivement humaine Robert livre lit le vs. Les idées vertes incolores dorment furieusement
o Syntaxe représente de l’information indépendamment du sens

54
Q

Lorsque l’on parle de structure de surface de phrase…Définissez?

A
  • Utilisation du langage observable : Les mots que l’on dit, parle, signe…
55
Q

Lorsque l’on parle de structure de profonde de phrase… Définissez?

A
  • Représentation mentale à la base de la structure superficielle
56
Q

Résumé – Structure

A
  • Les règles qui régissent la composition des mots et des phrases sont apprises, la plupart implicitement.
  • Certaines règles déterminent la structure de surface des phrases; des règles plus « universelles » sont à la base des structures profondes, qui elles correspondent aux représentations mentales à la base du langage.
  • La syntaxe permet la générativité. Le caractère génératif du langage est mis en évidence, entre autres, dans les erreurs de généralisation, qui ne sont pas de simples reproductions.
  • Chomsky a proposé une théorie en psycholinguistique concernant le caractère inné, universel et modulaire du langage (dont certains postulats sont maintenant remis en question).
57
Q

Quel est la plus petite unité de son dans le langage?

A
  • Phonème
58
Q

Le morphème se divise en 3 éléments? Lesquels?

A
  • Racine
  • Préfixe
  • Suffixe
59
Q

Que permettent les morphèmes (racine, préfixe et suffixe)?

A
  • Permet de générer de nouveaux mots
60
Q

Qu’est-ce que le lexique mental?

A
  • Une sorte de dictionnaire. Une toile raccordant tous les mots entre eux.
61
Q

Qu’est-ce qu’une ambiguïté lexical?

A
  • 2 mots ayant une même structure, mais une signification différente.
    o Ex. Josée sent la rose.
    o Il a payé pour l’avocat.
    o J’ai reçu une amande/amende.
62
Q

Qu’est-ce qu’une ambiguïté structurale?

A
  • 2 mots ayant une même signification, mais une structure différente.
    o Il a vu l’homme avec ses lunettes
63
Q

Quelles sont les 2 méthodes pour étudier résolution ambiguïté?

A
  • Tâche de décision lexicale

- Eye tracking

64
Q

Que fait-on dans une tâche de décision lexicale?

A
  • Choisir le mot qui représentent le plus le contexte dans une liste de mots ayant la même structure.
65
Q

Que fait-on dans une tâche de « eye tracking »?

A
  • Choisir une image qui représentent le plus le contexte dans une liste d’image ayant la même structure.
66
Q

Qu’est-ce que l’on calcul lors d’un test de variation SOA (stimulus onset asynchrony)?

A
  • Le temps de réaction à choisir le bon mot approprié au bon contexte.
67
Q

Lors d’un test de variation SOA (stimulus onset asynchrony), tous les sens (variation de mot) sont activés? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai. Toutes les structures associable au mot sont activées. Par la suite l’inhibition s’active pour inclure le contexte avec le choix du mot le plus associable.
68
Q

Résolution ambiguïté
Une fois le choix du mot le plus associable fait, il existe un système de maintien du sens le plus probable. Quel sont les 2 structures qui maintiennent se choix?

A
  • Statistique : plus probable

- Contexte : meilleur association

69
Q

Quel sont les 3 différences individuelles qui aide à la résolution d’ambiguïté?

A
  • Intelligence
  • Vocabulaire
  • Empan MCT
70
Q

Une grande capacité de résolution d’ambiguïté =…?

A
  • Capacité de lire passage plus complexe
71
Q

Nommez 2 facteurs de formulation de phrase qui diminue la compréhension du message?

A
  • Forme négative

- Forme passive

72
Q

Décrivez une formulation « forme négative »?

A
  • Utiliser une négation inutilement dans une phrase

o Ex. Ils ne sont pas allés à droite. vs. Ils sont allés à gauche.

73
Q

Décrivez une formulation « forme passive »?

A
  • Sujet subit l’action
  • Utilisation de l’auxiliaire être suivit du participe passé
    o Passive : Les participants ont reçu les instructions des expérimentateurs.
    o Active : Les expérimentateurs ont donné les instructions aux participants.
74
Q

Quel est le type de mémoire qui gère la résolution d’ambiguïté?

A
  • Mémoire de travail
75
Q

Lors que message complexe, on doit utiliser les mots les plus simple possible? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai. Utiliser des mots simples permet de faire comprendre à plus large auditoire le message à transmettre.
76
Q

Quels sont les facteurs affectant la compréhension / résolution d’ambiguïté?

A
  • Tâche décision lexicale
  • Eye tracking
  • Vitesse de résolution ambiguïté : Variation SOA (stimulus onset asynchrony)
  • Maintient sens le plus probable
  • Différences individuelles et résolution ambiguïté
  • Utilisation de la forme négative
  • Utilisation de la forme passive
77
Q

Résumé - Sémantique

A
  • Le sens des énoncés et des mots est souvent ambigu. La compréhension implique résolution de l’ambiguïté (lexicale, structurale)
  • Différentes méthodologies ont été utilisées pour étudier le processus de résolution de l’ambiguïté, incluant des tâches de décision lexicale.
  • Les résultats montrent que divers sens sont initialement actifs en MCT ce qui permet l’utilisation du contexte pour adopter un sens plutôt qu’un autre.
78
Q

Définissez pragmatique?

A
  • Connaissance des règles sociales, d’interaction, nécessaires à l’utilisation du langage
79
Q

Que comprends les Maximes de conversation de Grice?

A
  • Être pertinent
  • Être informatif
  • Prendre en considération le niveau de connaissance de l’interlocuteur
  • Utiliser des marqueurs non linguistiques pour mettre l’accent sur les choses importantes
80
Q

Pragmatique

Qu’est-ce qu’un « lexical entrainment »

A
  • Coopération lexicale
  • Interlocuteurs tendance à adopter consensus lexical au cours d’une conversation.
    o Toute la partie d’une discussion adapte leur langage pour en venir à un consensus verbal
81
Q

Pragmatique

Qu’est-ce qu’un « common ground »?

A
  • Prendre en considération le niveau de connaissance de l’interlocuteur
82
Q

Pragmatique

Qu’est-ce qu’un « requête »?

A
  • Politesse = adapté à la situation / interlocuteur

o Plus poli = plus de mots

83
Q

Résumé – pragmatique

A
  • La capacité à tenir une conversation et à comprendre les communications dépend aussi de nos connaissances concernant une série de règles plus ou moins implicites sur les aspects sociaux et relationnels.
  • Notre capacité de se représenter mentalement l’état d’esprit de notre interlocuteur affecte beaucoup notre langage.
84
Q

L’humain est différent sur quels aspects en rapport aux autres animaux?

A
  • L’humain est doté de capacité de langage complexe.
85
Q

Est-ce que les primates peuvent parler?

A
  • Selon certaine théorie, le manque de contrôle moteur fin au niveau de la mâchoire empêcherait les autres primates de parler.
    o Par contre des données récentes semblent contredire cette théorie.
86
Q

Les autres primates peuvent apprendre à communiquer avec 3 systèmes de langage? Lesquels?

A
  • Symbolique
  • Structuré
  • Génératif
87
Q

3 approches sont utilisées pour l’apprentissage de langage aux autres primates. Lesquels?

A
  • Vocalisation naturelles : playback ; Faire rejouer un enregistrement
  • Langue des signes
  • Lexigramme : panneau remplis de touche marquer d’un chacune
88
Q

Vocalisation et playback

Enregistre vocalisations & « playback »

Phase 1 : En captivité
Phase 2 : Environnement naturel

Identifie « vocabulaire » / lexique mental des singes

  • p.ex. singes vervet
o	Aigle (se cacher dans buisson)
o	Serpent (regarder sous soi)
o	Léopard (grimper dans les arbres)
A

Observation : Les singes Servet ont un langage simpliste mais propre à eux. Il s’agit d’un langage de survit, pour prévenir du danger.

89
Q

Vocabulaire appris auprès humains

Champion: Alex le perroquet

  • Vocabulaire environs 150-200 mots

Autres exemple

  • Rico le chien environ 20 mots
A

Observation : Il est possible d’apprendre des mots au perroquet. Celui-ci ne pourra qu’imiter/répéter les mots. Aucune action de création ou d’échange sur un sujet n’est possible. Pour le chien, cela reste des commandes à suivre. Il ne communique pas avec les mots, il sent sert comme des guide de commandes/d’ordre.

90
Q

Langue des signes : Nim Chimpsky

Terrace, Petitto, Sanders & Bever (1979)

Lexique : 125 signes (ou plutôt 25…)

Grammaire

  • Maximum de 2combinaison/concepts
    o Banana me eat; banana eat; give apple; tickle chase
  • Énoncés plus longs pas nécessairement plus complexes
A

Observation : La complexité des énoncés ne croit (croissance) pas avec le temps.

91
Q

Langue des signes: Nim Chimpsky

Pas de langage spontané

  • Ses énoncés (100 000 énoncés analysés)

o 90% ici et maintenant (jouer, manger, boire)
o 40% répétition
o Ajoute rarement de l’information
o 5,4% commentaires ou affirmation
o 11 : nomme quelque chose pour le montrer ou l’offrir

« You can teach that to a dove with operant conditioning » (Herbert Terrace)

A

Observation : Il n’y a pas de langage spontané/création.

92
Q

Lexigrammes: Kanzi

Sue Savage-Rumbaugh (1990, etc.)

  • Lexigramme de 100 symboles

o Dicte des mots et Kanzi appuie sur les touches correspondantes sur le lexigramme

A

Observation : Aucun langage spontané/création.

93
Q

Koko

Penny Patterson

  • Capacité de parler le langage des signes
  • Maîtrise plus de 1000 signes dont 500 couramment
A

Observation :

  • Des phrases de jamais plus de 3-4 mots
  • Récursion
  • Passé futur
94
Q

La primatologie est une science qui été développer en majorité par des femmes? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai.
95
Q

Quel est l’objectif de la primatologie?

A
  • Démontrer que l’on ait différent des autres primates
96
Q

Différence entre langage humain vs autres primates (Lecture seulement)

Langage autres primate

-	Thèmes limités 
o	Territoire, nourriture, danger 
-	Contrôle émotionnel 
o	Vocalisations =Sous cortical 
-	Pas de récursion 
-	Lexique limité 
-	Présent 
-	Pas de syntaxe 
-	Pas de notion de symbole

Langage humain

  • Thèmes illimités
  • Contrôle cognitif
  • Récursion
  • Lexique illimité
  • Marqueurs de temps (+ hypothétique)
  • Syntaxe
  • Symbole
A

Observation : Les autres primates ont une capacité langagière limité et l’humain non.

97
Q

Résumé – langage chez les primates

A
  • La question de la communication animale, particulièrement celle des primates, fascine. Ceci peut nous informer sur l’origine et l’évolution du langage humain.
  • Différentes approches ont été utilisées pour étudier la communication naturelle chez les primates (et autres animaux) ou pour voir leur capacités d’apprentissage du langage.
  • Bien qu’il y ait des apprentissages impressionnants, et des modes de communication sophistiqués chez différents animaux, les limites sont importantes.
  • Il n’y a pas de données suggérant que les animaux peuvent utiliser un langage symbolique, structuré et génératif comme les êtres humains.
98
Q

Combien y a-t-il de langue dans le monde?

A
  • 6000-7000 langues
99
Q

Quel est le pays où il y a le plus de langue parlée?

A

o Afrique du Sud (11)

100
Q

1 langue disparait à chaque 4 mois? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai.
101
Q

Plus de la moitié des langues du monde sont en danger? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai.
102
Q

Plus de la moitié des individus sur la planète sont bilingue? Vrai ou Faux?

A
  • Vrai.
103
Q

Existe-t-il une période critique pour la phonologie d’une langue?

A
  • La phonologie décline avec âge d’acquisition, mais pas période critique
104
Q

Le vocabulaire décline-t-il avec l’âge?

A
  • Non.
105
Q

Le Grammaire décline-t-il avec l’âge?

A
  • Probablement pas… sauf si 2 langues très similaires en termes de grammaire
106
Q

Nommez 3 avantages langagiers d’être bilingue?

A
  • Maîtrise de la langue

o Plus grande maîtrise des subtilités de langue maternelle

 English canadian immersion pupils
 The dog meows = grammatically correct

  • Augmente le sens pragmatiques de la langue

o Genesee, Tucker & Lambert (1975)
o Enfants décrivent jeu à partenaire qui voit ou non

  • Protection contre la démence
107
Q

Nommez 5 avantages non langagiers d’être bilingue?

A
  • Rendement scolaire
  • Habileté à suivre instructions complexes
  • Formation de concepts
  • Flexibilité mentale « task switching »
  • Attention sélective (Byalistock, 2001; 2005)
    o Inhiber réponse plus automatique
    o Ignorer information non pertinente
108
Q

Résumé : Bilinguisme

A
  • Le bilinguisme n’est pas exceptionnel, c’est une réalité pour une majorité de la population mondiale.
  • On peut apprendre une langue à tout âge, il ne semble pas y avoir une période critique comme telle (débattu), même si la maîtrise de la phonétique décline avec l’âge d’acquisition.
  • Le bilinguisme confère des avantages cognitifs importants et il ne semble pas y avoir de désavantages importants documentés

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