cours 9: la mémoire sémantique Flashcards
définition de la mémoire sémantique
La mémoire sémantique (MS) est formée des concepts, de leur définition et des relations qu’ils entretiennent. C’est une partie de notre connaissance à long terme
le contenu de la mémoire sémantique
– abstrait
–stable relativement, par rapport à la MCT, certains infos vont rester pendant des années comme d’autres non
Contenu de la mémoire épisodique
beaucoup dans la MCT, car ce sont des évènements et objects particulier
–concret, particulier, peut être amené à la mLT avec beaucoup de travail
–évolution constante
* nouveaux événements ajoutés
constamment
* oublié plus facilement
au moins un mois
Modèle de réseau hiérarchique: Bower, Clark, Winzenz, & Lesgold (1969)
résultats: on va mieux se rappeler des mots organisé de manière hiérarchique. S’il n’a pas de hiérarchie ça amène à une performance faible, la tâche va être difficile. le groupe aléatoire à moins bien fait
Modèle de réseau hiérarchique: Collins et Quillian (1969):
Résultats:
1- Il est globalement plus long de juger des propriétés. Donc quand on parle sur les traits d’un membre d’une catégorie. Le TR augmente quand il fait récupéré des traits stocké à un des niveau hiérarchique
2- Le TR augmente en fonction du niveau hiérarchique impliqué dans
l’énoncé. Il faut du temps pour se déplacer entre les niveaux
l’effet de niveau: plus il a de niveau qui a entre les concepts, plus de temps que la réponse va prendre. le niveau a laquelle l’info est stocké influence le TR. Plus l’info est spécifique plus il faut aller chercher
organisation hiérarchique
les concepts sont représentés par un ensemble de caractéristiques.
organisation économique
les propriétés des niveaux supérieurs ne sont pas répétées aux niveaux inférieurs.
problème: effet d’inversion de niveaux
le temps de vérification n’est pas en fonction des niveaux hiérarchique. Même si une information est a un niveau plus bas, on peut se rappeler de l’infos d’un niveau plus haut plus rapidement
effet de représentativité
ce qu’on voit plus et ce qui représente plus quelque chose pour nous va être rappeler plus rapidement
l’effet de fréquence
on entend plus, voit plus tel chose on va plus s’en rappeler rapidement
le modèle de comparaison de traits (Smith, Shopen et Rips, 1974)
les exemples sont classés en comparants les traits aux attribues des deux noms représentant le membre et la catégorie. ce qu’on doit posséder pour être membre du catégorie
-la signification des mots peut être représentée en mémoire par liste de traits
les deux stades du le modèle de comparaison de traits (Smith, Shopen et Rips, 1974)
stade 1
1) Retrouver les listes des traits.
2) Comparaison des listes.
3) Production d’un indice de similarité (décision, 0-1).
stade 2: si on en a besoin, en mesure que diminue la ressemblance des concepts
Indice intermédiaire: les traits de définition sont examinés de façon minutieuse.
la fréquence de production
La notion de fréquence de production réfère à la fréquence selon laquelle les individus nomment une catégorie pour un concept donné.
le modèle de la propagation de l’activation Collins, Quillian, Collins & Loftus (19
- Certains éléments peuvent être plus ou moins associés sémantiquement.
- Il existe donc une certaine distance sémantique entre les items en MS.
Lorsque qu’on active un item, ce qui est lié est activer aussi
l’activation ce propage à partir du concept le long des voies du réseau, mais elle devient plus efficace au fur à mesure quelle se propage.
la longueur de chaque voies représente le degré de similarité sémantique entre les concepts
La MS est un ensemble de réseaux formés par des concepts en interaction, à travers lesquels se propage l’activation.
l’effet stroop
Plus long de nommer la couleur de l’encre si le mot représente une couleur différente.
* Activation automatique du concept représenté par le mot.