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PSY 2226 > Cours 9 : intervention de couple > Flashcards

Cours 9 : intervention de couple Flashcards

1
Q

Vrai ou faux

le couple est un système

A

vrai, interaction constante

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2
Q

Quelle est l’unité d’analyse primaire pour la compréhension des problèmes conjugaux?

A

couple

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3
Q

Les partenaires dans le couple sont _____________ et ils exercent une ________ réciproque

A

interdépendants

influence

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4
Q

Quels sont les 3 pôles du modèle tripartite des relations de couple?

A

Engagement
intimité
passion

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Q

Qui suis-je?

Choix, intention et décision de s’investir dans la relation, actions volontaires, gestes, actions.

A

engagement

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6
Q

La passion, l’intimité, la satisfaction conjugale, le sens d’obligation moral, le désir d’éviter les coûts associés à une rupture influencent quel pôle du modèle tripartite des relations de couple?

A

engagement

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7
Q

Vrai ou faux,
l’engagement ne contribue pas à renforcer le sentiment de sécurité émotionnelle et la stabilité de la relation. Démonstration

A

faux, contribue

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8
Q

Qui suis-je?
pôle du modèle tripartite des relations de couple qui représente la proximité affective, le dévoilement émotionnel et réponses validantes des partenaires

A

intimité

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9
Q

L’intimité implique un dévoilement émotionnel de soi, cependant on remarque que ce n’est pas toujours une même personne qui va se dévoiler et l’autre va écouter, cela représente une ____________ fluide de ces rôles d’écoute et de dévoilement.

A

oscillation

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10
Q

Vrai ou faux

les problèmes conjugaux vont souvent effriter l’intimité

A

vrai

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11
Q

Pôle du modèle tripartite des relations de couple se caractérisant par un sentiment amoureux, une excitation sexuelle, des réponses motivationnelles, des comportements d’approche et d’exploration, expansion du sens de soi qui inclut une représentation du partenaire et au début elle est très présente et s’effrite un peu à mesure que la relation avant. Cependant c’est très important de l’entretenir à travers tous les stades de la relation.

A

passion

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12
Q

Quel est le nom du modèle qui est utile pour comprendre l’interaction entre plein de facteurs qui affectent satisfaction conjugale et stabilité des relations.

A

Modèle vulnérabilité-stress-adaptation

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13
Q

Qui suis-je?
tout ce que chacun des partenaires a dans leur sac à dos, background et qui amène à la relation, forces individuelles, histoire relationnelle/développementale, personnalité, style d’attachement, histoire, facteurs intrapsychiques, caractéristiques individuelles.

A

vulnérabilités individuelles

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14
Q

Qui suis-je?
qualité communication/interaction entre les conjoints, comment les conjoints règlent leurs conflits quand ils en ont, s’adapter aux stresseurs, et aux vulnérabilités individuelles de chacun, tout ce qui est plutôt dynamique et capacité d’adaptation ensemble en couple.

A

processus adaptatif

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15
Q

Qui suis-je?

tout événement qui vient créer stress sur le couple. Ex. problèmes financiers, maladie, préparation à la parentalité.

A

stresseur

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16
Q

Les stresseurs dans le modèle vulnarabilité-stress-adaptation peut venir de deux endroits lesquels?

A

vulnérabilités individuelles

environnement

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17
Q

Vrai ou faux,
dans le modèle vulnérabilité-stress-adaptation, les processus adaptatifs et les stresseurs s’inter influencent. C’est-à-dire que la quantité de stresseur vient influencer les processus adaptatifs des deux conjoints, mais la qualité des processus adaptatifs des conjoint vient aussi influencer les stresseurs et comment les conjoints les gèrent.

A

vrai

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18
Q

La qualité des processus adaptatifs des conjoints vient influencer la qualité de l’_______ et la stabilité de l’________

A

union

union

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19
Q

Quelle est la prévalence de divorces dans la société?

A

50%

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20
Q

Quelle théorie est centrale à la psychologie conjugale?

A

théorie de l’attachement

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21
Q

Quelles sont les deux dimensions de la théorie de l’attachement? Que représentent-elles?

A
  • anxiété d’abandon : détermine la représentation de soi. Quelqu’un anxiété d’abandon élevée pense qu’il mérite pas beaucoup de valeur, pas digne d’amour. Hyperactivation du système d’attachement -> quand activée -> cpts de poursuite, recherche de réassurance, de façon frénétique, maintenir plus grande proximité avec l’autre.
  • évitement de l’intimité : réfère plus à la représentation de l’autre. L’autre est fiable/digne de confiance? Je peux compter sur lui? Évitement faible : va plus vers l’autre, on peut recevoir du soutien, l’autre est là pour nous. Évitement élevé : très inconfortable avec l’intimité, alors l’évitent le plus possible. Évitement = désactivation du système d’attachement. Cpts de mise à distance, négation du besoin d’attachement, minimiser l’expérience émotionnelle, ne manifeste pas d’émotion, ne les ressent pas trop.
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22
Q

Vrai ou faux,

l’anxiété d’abandon élevée amène des émotions positives très fortes

A

faux émotions négatives

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23
Q

Quels sont les styles d’attachement adultes et où se situent-ils sur les dimensions de la théorie de l’attachement (évitement intimité, anxiété d’abandon)?

A
  • attachement sécure : peu d’anxiété d’abandon, peu d’évitement de l’intimité. bon sentiment de valeur personnelle, mérite l’amour et l’autre soutient au besoin.
  • attachement préoccupé : anxiété d’abandon intense et peu d’évitement de l’intimité. Cpts de poursuite et recherche de réassurance.
  • attachement craintif : anxiété élevée et évitement élevé. Mélange d’envie d’éviter et cpts de poursuite et emmène des cpts désorganisés. Personne oscille entre les 2 stratégies.
  • attachement détaché : Peu d’anxiété d’abandon et beaucoup d’évitement d’intimité. distanciation, replis sur soi, antisociales, psychopathiques, entrent en relation plus de manière instrumentale pour exploiter l’autre sans réel désir de proximité émotionnelle ou d’intimité.
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24
Q

Vrai ou faux,

on retrouve au moins un partenaire avec un attachement préoccupé dans la thérapie de couple

A

vrai

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25
Q

Quelle théorie je représente?
Organisation de la personnalité basée sur l’amalgame de relations d’objets avec donneurs de soins ou figures d’attachement, réactivées dans les relations de couple, favorise représentations d’objets souvent infantiles et parentales, ressemble le plus aux représentations avec les parents, favorise l’activation de ces relations d’objets.

A

théorie des relations d’objets

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26
Q

Vrai ou faux
les relations d’objet sont inconscientes. elles colorent les attentes, les buts relationnels et les stratégies d’interaction.

A

vrai

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27
Q

Les relations d’objet sont _________ parce que se reproduisent souvent et sont associées des réactions affectives fortes. Se cristallisent.

A

dominantes

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28
Q

Comment s’appelle le modèle athéorique de personnalité où on peut catégoriser tout le monde selon 5 catégories

A

modèle de la personnalité en cinq facteurs ou modèle des Big Five

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29
Q

Quels sont les 5 continuums de personnalité du modèle des big five? Indice OCEAN

A 
agréabilité/amabilité (antagonisme)
névrosisme (stabilité émotionnelle)
extraversion (introversion)
Ouverture (conservatisme)
Consciencieux (négligence/impulsivité)
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30
Q

Vrai ou faux
les troubles de personnalité selon le modèle des big five vient de matchs particulièrement dysfonctionnels (dépendant/narcissique)

A

vrai

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31
Q

Quel est le patron d’interaction dysfonctionnel le plus fréquent?

A

patron d’interaction demande-retrait

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32
Q

Dans le patron d’interaction demande-retrait, le partenaire en mode demande/poursuite :

  • ____________ et détection rapide de la diminution de la proximité affective
  • Mise en place de comportements visant à _________ la proximité affective.
A

hypersensibilité

restaurer

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33
Q

Le partenaire en en mode retrait :

  • hypersensibilité et détection rapide d’une _________ soudaine de proximité affective
  • Mise en place de comportements visant à créer une ___________, excluant le partenaire
A

demande

distance

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34
Q

Que signifie la rigidification du cycle demande-retrait?

A

À la longue, partenaire en demande perçoit la distance et essaie de devenir plus contrôlant/demandant, et l’autre veut encore plus s’éloigner.

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35
Q

Vrai ou faux,

dans le patron d’interaction demande-retrait, on peut observer un renversement des rôles chez les partenaires

A

vrai, partenaire retrait se met en mode poursuite (résolution ou oscillations), patron retrait-retrait peu se mettre en place (mutisme, boudent).

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36
Q

Quels sont les 5 thèmes unificateurs/patrons d’interaction dysfonctionnels selon jacobson et Christensen?

A
  • proximité/distance
  • contrôle/responsabilité
  • je m’aime mais tu ne m’aimes pas VS c’est toi qui ne m’aimes pas
  • artiste/scientiste
  • conventionnel/non-conventionnel
37
Q

que signifie une polarisation des rôles?

A

deux conjoints viennent graduellement à être les représentations de chacun des pôles.

38
Q

À quel patron d’interaction dysfonctionnel fais-je référence?
un conjoint veut contrôler une sphère conjugale mais confie toutes responsabilités à l’autre conjoint, mais critique tout ce qu’elle fait, façon. Partenaire qui se fait donner responsabilités, se sent critiqué

A

contrôle/responsabilité

39
Q

À quel patron d’interaction dysfonctionnel fais-je référence?
conjoints idéaux conjugaux et idée distincte de c’est quoi être en amour. Ex. langages d’amour, dire qu’on l’aime, VS faire taches. Chaque conjoint ne voit pas du tout les démonstrations d’amour de l’autre. Travail psychoéducation, amener les conjoints à percevoir façons que l’autre aime.

A

je m’aime mais tu ne m’aimes pas VS c’est toi qui ne m’aimes pas

40
Q

À quel patron d’interaction dysfonctionnel fais-je référence?
partenaire tempérament spontanéité, plaisir alors que l’autre planificateur, responsabilité. Partenaire plus scientiste impression que l’autre est irresponsable et l’autre est plate et rigide.

A

artiste/scientiste

41
Q

À quel patron d’interaction dysfonctionnel fais-je référence?
terre à terre, conventionnel dans valeurs, veut se stabiliser, Vs autre partenaire plus libre, spontané. Impression que non conventionnel veut se ranger avec partenaire conventionnel. Conventionnel voit vent de fraîcheur chez non conventionnel. Impression d’être renfermé non conventionnel, et l’autre pas assez stable.

A

conventionnel/non-conventionnel

42
Q

Quels sont les 4 chevaliers de l’apocalypse?

A
  • critique
  • mépris
  • évitement
  • attitude défensive
43
Q

Quel est le ratio optimal de comportements négatifs : positifs pour qu’on ait une relation conjugale satisfaisante

A

1:4

44
Q

Quel type de cognition est représenté ci-dessous dans un couple?
Croyances en lien avec les relations intimes ou les caractéristiques propres aux partenaires. Croyances fonctionnelles ou dysfonctionnelles (les conflits sont nuisibles -> pas vrai).

A

assomptions

45
Q

Quel type de cognition est représenté ci-dessous dans un couple?
Croyances en lien avec les caractéristiques que les gens ou situations devraient posséder. Relation devrait avoir ou que partenaire devrait avoir pour que relation soit positive. Ex. s’il m’aime, il devrait réussir à me comprendre même sans que j’aie à m’exprimer. Peut créer du blâme, insatisfactions, frustrations.

A

normes

46
Q

Quel type de cognition est représenté ci-dessous dans un couple?
Processus momentané au sein duquel un partenaire remarque certains aspects d’une situation en en omettant d’autres. Quand ça arrive, 2 partenaires ont vécu deux expériences différentes. Ex. partenaire tu as été distant toute la soirée Vs l’autre qui dit ben voyons on a écouté un film ensemble, j’ai essayé de me rapprocher de toit toute la soirée.

A

perceptions ou attentes sélectives

47
Q

Quel type de cognition est représenté ci-dessous dans un couple?
Inférences quant aux éléments influençant un événement.
peuvent être positives ou négatives et internes ou externes au partenaire

A

attributions

48
Q

Quel type de cognition est représenté ci-dessous dans un couple?
Tentatives de prédiction des événements. Qu’est-ce qui va arriver dans le futur. Ex. si j’émets des cpts sexuels, il ou elle va me rejeter. Positif = bénéfique pour la relation, mais négatives plus à travailler en thérapie.

A

attentes

49
Q

À quel type d’attribution fait-on référence?

généralement événements positifs ou négatifs

A

attributions positives ou négatives

50
Q

À quel type d’attribution fait-on référence?

propre au partenaire ou facteurs extérieurs

A

intérieurs ou extérieurs au partenaire

51
Q

À quels types d’attribution fait-on référence?

tu es bon compagnon de voyage, j’ai tellement de plaisir avec toi,

A

attribution positive interne

52
Q

À quels types d’attribution fait-on référence?

il faisait tellement beau, les plages étaient magnifiques.

A

attribution positive externe

53
Q

Pourquoi la sexualité a été négligée dans le domaine de la thérapie conjugale pendant un long moment?

A

thérapeutes étaient mal formés et peu confortables à aborder les aspects sexuels. Malaisant pour les couples et thérapeute.

54
Q

Vrai ou faux

la sexualité est une sphère du fonctionnement conjugal qu’on peut ignorer

A

faux, Facteurs intra-individuels, biologiques, relationnels important qui affectent la sexualité.

55
Q

La sexualité d’un couple est un processus _____________ : les facteurs dyadiques jouent un rôle dans le développement et le maintien des ________ sexuelles.

  • réciprocité entre les problèmes conjugaux et sexuels : ils ne sont pas _______ , attaquer autres sphères de la relation conjugale pas juste la sphère sexuelle.
  • deux entités cliniques à part entière : problèmes sexuels ne sont pas exclusifs, attaquer autres sphères de la relation conjugale pas juste la sphère sexuelle. on doit traiter les deux en même temps car ils s’inter influencent
A

interpersonnel
difficultés
exclusifs

56
Q

qu’est-ce qui peut affecter la sexualité dans un couple? (4 choses)

A
  • insatisfaction avec qualité échanges sexuels
  • Disparité dans niveau de désir sexuel
  • disparités de fréquence souhaité des contacts sexuels
  • dysfonctions sexuelles
57
Q

Qui suis-je?
ce qui se passe quand partenaires ont contacts sexuels
peuvent devenir plus rigides/restreints.

A

scripts sexuels ou registre des comportements sexuels

58
Q

Vrai ou faux

Lorsqu’il y a violence conjugale, on doit toujours entamer une thérapie conjugale

A

faux

59
Q

À quel type de violence conjugale fait-on référence?

propos méchants, harcèlement

A

psychologique

60
Q

À quel type de violence conjugale fait-on référence?

frapper, gifler, coups de pieds

A

physique

61
Q

À quel type de violence conjugale fait-on référence?

pression verbale pour avoir rapports sexuels, forcer le partenaire à avoir des relations

A

sexuelle

62
Q

À quel type de violence conjugale fait-on référence?

contrôler les relations de la personne, l’isoler, la rabaisser devant amis

A

relationnelle

63
Q

À quel type de violence conjugale fait-on référence?

rendre la personne dépendante de soi, profiter d’elle financièrement, contrôler ses finances

A

financière

64
Q

Qui suis-je?
violence qui vise à contrôler et dominer le partenaire, gérer financer pour mieux le contrôler, plus sévères/dangereuse, un agresseur identifié, plus souvent l’homme qui exerce ce contrôle sur l’autre qui est plus souvent la femme.

A

Violence avec contrôle coercitif (ou terrorisme intime)

65
Q

Qui suis-je?
beaucoup plus courante. Violence plus mineure, psychologique ou physique, escalade des événements qui vient hors de contrôle, bidirectionnel (chacun des partenaires du couple). Conflit qui vient hors de contrôle.

A

Violence situationnelle ou commune

66
Q

Dans quel contexte de violence conjugale la thérapie conjugale est non recommandée? Que doit-on faire?

A

violence physique actuelle grave et potentiellement dangereuse (peut augmenter les risques de violence, dangers pour vie de la victime) -> référer le partenaire violent vers des ressources et victime vers des ressources.

67
Q

Quand quel contexte de violence conjugale on peut recommander la thérapie conjugale?

A

la violence psychologique mineure

68
Q

Dans quel contexte de violence conjugale la thérapie conjugale est est-elle recommandée sous conditions? et quelles sont les conditions?

A

violence psychologique sévère
violence sporadique dans le passé
violence physique actuelle mais mineure
violence physique grave dans le passé qui n’est plus active.

Les partenaires doivent prendre conscience de la gravité de la violence, prêts à entamer la thérapie, comprennent bien que c’est des cpts nocifs pour la relation, ils doivent prendre responsabilité de leurs actions, s’engagent à cesser ces cpts

69
Q

L’évaluation est l’étape centrale à la thérapie. :

  • exploration systématique des différentes ________ du fonctionnement conjugal.
  • augmente efficacité des interventions et (augmente/réduit) les risques d’erreurs thérapeutiques
  • répercussions positives sur l’alliance : 5-6 séances pour l’évaluation
  • diminution des __________ prématurés
  • peut conduire à des bénéfices thérapeutiques ______________ : comme une meilleure compréhension des difficultés conjugales et aspects positifs du couple et la mobilisation des partenaires.
A

sphères
réduit
abandons
immédiats

70
Q

Le motif de consultation et précipitant de la demande d’aide, l’histoire générale de la relation et aspects positifs, l’histoire des relations amoureuses précédentes, l’histoire développementale de chacun des partenaires, la sexualité, la santé mentale et physique, la perception du partenaire et des figures importantes (relations d’objets), stresseurs (passés et présents), violence, degré de satisfaction/détresse, relation avec les enfants, caractéristiques individuelles des conjoints, qualité de communication sont tous des ….

A

cibles d’évaluation

71
Q

Vrai ou faux,

dans l’évaluation, il n’est pas important de faire des séances individuelles avec chaque partenaire

A

faux, très important une pour chaque partenaire. aspects personnels de chaque partenaire, parfois, violence, qqch peur de mentionner en présence de l’autre. Avant séances individuelles, on peut partager dans les séances de couple plus tard, infidélité divulguée dans séance personnelle et veut pas travailler dessus, bien expliquer au partenaire pourquoi c’est important et freine travail thérapeutique ou contre-indication à thérapie conjugale.

72
Q

On peut faire de l’observation directe des __________ conjugales, on peut passer des questionnaires et faire des séances de _________ aussi dans l’évaluation

A

interactions

rétroaction

73
Q

Vrai ou faux,
dans la ou les séances de rétroaction, il y a une discussion ouverte sur la conceptualisation de la nature des problèmes. C’est-à-dire que les partenaires peuvent également offrir leur feedback au thérapeute et rectifier l’hypothèse de conceptualisation du thérapeute

A

vrai

74
Q

Vrai ou faux

il est aussi important dans le bilan d’offrir une rétroaction sur les éléments positifs dans la relation.

A

vrai, important, car contraste avec détresse, partenaires oublient ces aspects. Thérapeute peut communiquer aspects remarqués que partenaires pas remarqué ou oublié. Aspects solides et fonctionnent encore bien.

75
Q

Qu’est-ce que le mandat thérapeutique?

A

qu’est-ce qui est à travailler pour chaque couple, sphère sexuelle, habiletés de résolution de conflit, infidélité récente. Problèmes spécifiques à chaque couple.

76
Q

Il y a 4 mandats thérapeutiques qui existent lesquels?

A
  • amélioration de la relation
  • gestion de l’ambivalence
  • gestion de crise
  • thérapie de séparation
77
Q

À quel type de mandat fait-on référence?

sauver la relation, problèmes relationnels à régler

A

amélioration de la relation

78
Q

À quel type de mandat fait-on référence?
Pas certain s’il souhaite poursuivre la relation, 1 ou 2 partenaires. Un veut se désengager mais pas certain, aborder très ouvertement. But thérapeute : on ne veut pas nécessairement sauver la relation. Aider de prendre décision. Peut évoluer sur rupture ou amélioration de la relation.

A

gestion de l’ambivalence

79
Q

À quel type de mandat fait-on référence?
: mandat pour couples qui vivent un événement majeur (infidélité), gestion de crise, partenaire qui vient de recevoir diagnostic grave de santé. Perturbent système conjugal. Temporairement gérer la crise, même si fonctionnent bien, momentané, ou ça ne va pas bien -> crise, et on la gère et on poursuit avec mandat amélioration de la relation.

A

gestion de crise

80
Q

À quel type de mandat fait-on référence?
quand conjoints décident de se quitter, essayé améliorer relation ou gestion ambivalence, même s’ils se séparent, doivent encore être en contact ensemble (enfants, coparentalité). Comprendre ce qui s’est passé, deuil de la relation (vue comme un échec), ne pas recommencer les mêmes erreurs dans futures relations.

A

thérapie de séparation

81
Q

Vrai ou faux,

il est important d’avoir une relation égale avec chaque partenaire

A

vrai, le client est le couple

82
Q

Le thérapeute doit être :

  • _______ : Va très vite, 2 personnes, penser vite, comprendre rapidement ce qui se joue, séances chargées affectivement.
  • actif
  • plus ou moins directif
  • facilite l’________ d’information entre les partenaires et l’expression des émotions
  • Capacité de gestion des affects intenses (_________)
  • alerte au ______-________
A

alerte
échange
contenir
contre-transfert

83
Q

Quels sont les 3 étapes de la thérapie de couple centrée sur les émotions?

A
  • désescalade/désintensification de la dynamique relationnelle : Assouplir la dynamique relationnelle très figée et cristallisée. Déterminer sujets de conflits, déterminer danse des partenaires, demande/retrait, nommer en termes d’émotions primaires et besoins d’attachement non comblés.
  • restructuration de la dynamique : encourager partenaires à reconnaître et accepter besoins d’attachement (relié à la honte, blâme mutuel, needy). Soutenir la compréhension empathique de chacun. Empathie du conjoint favorisée quand on comprend que dans le fond, il se sent insécure et c’est ce qui fait qu’il nous critique. Bien nommer émotions primaires, avec demandes de changement, on veut changer la danse (je veux être présent pour toi, je sais que j’ai tendance à être évitant, mais je ne supporte plus tes critiques), partenaires sont prêts à changer la dynamique et prendre nouvelles positions.
  • consolidation: accompagner trouver nouvelles solutions, plus facile car moins d’émotions fortes, moins blessés, consolide les gains thérapeutiques.
84
Q

Vrai ou faux
La thérapie de couple basée sur les émotions est basée sur la théorie de l’attachement, les émotions primaires et secondaires et le besoin de sécurité et de connexion

A

vrai

85
Q

La thérapie de couple basée sur les relations d’objet fait partie de quelle approche?

A

psychodynamique

86
Q

l’identification des relations d’objets dominantes activées au sein de la relation de couple, l’interprétation de ces relations d’objet et de leurs influences sur les interactions et l’expérience de la relation, la prise conscience des conjoints des impasses relationnelles et possibilité de les surmonter, l’augmentation de la compréhension et de l’empathie des partenaires l’un envers l’autre sont toutes des méthodes utilisées dans quelle thérapie?

A

thérapie basée sur les relations d’objet

87
Q

Lorsqu’on travaille sur l’influence des apprentissages, les patrons d’interactions dysfonctionnels très cristallisés, les cognitions et biais d’attribution, l’entraînement à la communication et l’acceptation des différences individuelles irréconciliables, on utilise quelle thérapie?

A

Thérapie de couple comportementale intégrative faisant partie de l’approche TCC

88
Q

Les stratégies d’intervention en lien avec la sexualité dans la sexothérapie sont :

  • l’________ à la sexualité (psychoéducation)
  • exercices entre les séances (___________, masturbation dirigée, sensibilisation coporelle)
  • retour détaillé sur les _________ en séance avec restructuration cognitive au besoin
  • travail en parallèle sur les autres aspects de la relation
A

éducation
autoexploration
exercices

89
Q

Quelles sont les contre-indications à la thérapie conjugale? (6) nommes en 2

A
  • Problème de santé mentale important chez un partenaire
  • Violence physique sévère
  • Infidélité courante avec refus de mettre fin à la relation extraconjugale
  • Secret qu’un des partenaires ne veut pas dévoiler (certains thérapeute font la thérapie quand même, mais collusion, alliance thérapeutique affaiblie, trahison)
  • Motivation trop faible d’un partenaire
  • Consommation d’alcool ou de d rogues importante et désorganisée

PSY 2226 (6 decks)

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