cours 7- motivation Flashcards

1
Q

renforcement continu

A

être toujours récompensé amène un apprentissage plus rapide, mais moins résistant à l’extinction

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2
Q

renforcement intermittent

A

n’être récompensé que parfois amène un apprentissage plus résistant, donc est généralement meilleur

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3
Q

à proportion

A

basé sur la fréquence du comportement et est plus efficace qu’à intervalle

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4
Q

programmes variables

A

sont plus résistants

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5
Q

renforcement intermittent `proportion variable

A

le programme le plus efficace

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6
Q

apprentissage social

A

apprentissage par récompense d’ordre social

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7
Q

apprentissage par observation

A

Par exemple, voir la façon de vivre d’un professionnel peut nous motiver à devenir un professionnel

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8
Q

théorie de l’attribution

A

contient les lieux de contrôle et les styles d’attribution

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9
Q

lieu de contrôle

A

dépendamment de notre type de personnalité, nous pouvons avoir un ……………. interne ou externe

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10
Q

style d’attribution

A

en ce qui concerne notre style d’attribution causale (la responsabilité des autres), cela influence aussi notre motivation

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11
Q

théorie de la cohérence cognitive

A

nos comportement vont de pair avec nos pensées, attitudes, opinions, etc. et vice versa

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12
Q

dissonance cognitive

A

contraire de la cohérence cognitive

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13
Q

lavage de cerveau

A

si on dit quelque chose de contraire à ce que l’on pense, on sera alors motivé à se comporter en conséquence, ou si on fait quelque chose de contraire à ce que l’on fait habituellement. pour que cette technique de modification des attitudes fonctionne, la personne doit se sentir libre

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14
Q

théorie de l’arousal

A

En général les individus sont motivés à rechercher un niveau modéré d’excitation, toutefois d’autres recherchent un niveau bas et d’autres encore un niveau élevé d’excitation.

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15
Q

recherche de sensations selon Zuckerman

A

est un trait de personnalité normal qui est défini par le besoin de sensations complexes et d’expériences variées et nouvelles, ainsi que par la propension à prendre des risques physiques et sociaux dans le but d’effectuer ces expériences.

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16
Q

théorie des pulsions

A

aussi connue sous le nom de théorie de la drive. Nous sommes motivés à réduire nos pulsions ou besoins biologiques

17
Q

hiérarchie des besoins de Maslow

A

Nous sommes motivés à combler nos besoins selon une hiérarchie allant des besoins physiologiques, en passant par la sécurité, l’appartenance, l’estime et le besoin de réalisation de soi ou épanouissement. Il est donc inutile d’essayer de motiver quelqu’un en estimant son travail (estime) s’il n’a pas de sécurité d’emploi (sécurité). Il est donc essentiel de savoir où se situe une personne dans sa hiérarchie des besoins si on veut la motiver

18
Q

les conflit de motivation

A

Il est rare qu’un seul besoin se fasse sentir à la fois. Souvent, plusieurs besoins sont présents en même temps et ces besoins entrent parfois en contradiction

19
Q

approche-approche

A

conflit entre deux valences positives (désirables) (exemple:choisir entre deux emplois si on est en chômage et que l’on veut travailler)

20
Q

évitement-évitement

A

conflit entre deux valences négatives (inévitables) (exemple: choisir entre le mercredi ou le vendredi soir pour assister à un cours de psychologie que l’on veut réussir)

21
Q

approche-évitement

A

(conflit entre une valence positive et une négative pour une même situation) (exemple: vouloir suivre un cours de psychologie qui ne se donne que le soir)

22
Q

approche-évitement multiple

A

(conflit entre plusieurs valences positives et négatives à la fois) (exemple: vouloir étudier pour plusieurs raisons (diplôme, prestige, connaissances, etc.) et en même temps vouloir avoir une vie sociale pour plusieurs raisons (se cultiver, s’amuser, avoir des amis, etc.). C’est le genre de conflit de motivation que l’on retrouve le plus fréquemment dans la vie.

23
Q

processus fondamental de la motivation

A

Un besoin insatisfait génère une tension qui amène l’individu à rechercher des moyens de réduire cette tension (théorie de la drive) ou de satisfaire ce besoin (théorie de la hiérarchie des besoins).

L’individu adoptera par la suite des comportements orientés vers un but ou fera une action vers un objectif. Lorsque son objectif sera atteint, le besoin sera peut-être satisfait et la tension sera réduite. Entre-temps, l’individu aura peut-être été récompensé (ce qui le motivera à émettre encore ce comportement même si le besoin à la base de ce comportement a été satisfait) ou puni pour son comportement (ce qui le démotivera à émettre encore ce comportement), ce qui est approfondi dans le chapitre sur les Comportements. Si le besoin est satisfait, l’individu révisera alors ses besoins et aura un autre besoin à satisfaire

24
Q

théorie SRP d’alferfer

A

théorie dans laquelle on ne retrouve plus que 3 besoins qui regroupent les 5 de Maslow. la régression est envisagée dans cette théorie (on peut redescendre de besoin)

25
Q

théorie des facteurs de motivation et d’hygiène de vie (herzberg)

A

découle des deux théories des besoins et est directement appliquée au monde du travail. Cette théorie postule l’existence de deux facteurs (motivation et hygiène de vie) qui correspondent aux besoins des deux théories des besoins

26
Q

théorie de la motivation par l’accomplissement (McClelland)

A

le besoin d’appartenance peut être satisfait si une personne bénéficie de facteurs d’hygiène de vie dans son travail. Si l’emploi lui-même est stimulant et fournit à l’individu l’occasion de prendre des décisions importantes, il est motivant

27
Q

la théorie des attentes (Vroom)

A

considère que le comportement humain s’explique par ses conséquences. Toutefois, à l’inverse de la théorie du renforcement, elle implique plutôt un choix rationnel entre plusieurs moyens pour atteindre des objectifs préférés.
En résumé, cette théorie considère qu’avant d’agir, l’individu réfléchit aux alternatives possibles et prend une décision fondée sur les trois considérations suivantes :
1- Ses chances de réussir ce qu’il veut entreprendre. Par exemple, suis-je capable de réussir cette tâche dans mon travail.
2- Les conséquences d’une telle réussite. Par exemple, si je réussis cette tâche, qu’est-ce que cela va m’apporter ?
3- La valeur anticipée ou la désirabilité de ces conséquences. Par exemple, est-ce que ces conséquences sont suffisamment désirables pour que ça vaille la peine de faire un tel effort ?

28
Q

la théorie de l’équité (Adams)

A

Tout travailleur est impliqué dans un échange avec une organisation et se fait une idée assez précise de l’équité ou de la justice de ce qu’il retire de cet échange

Pour y arriver, il compare périodiquement le ratio de ce qu’il reçoit (Résultats) sur ce qu’il contribue (Apports) d’une part, avec le ratio de ce que d’autres reçoivent par rapport à ce qu’ils contribuent, d’autre part

Lorsque l’individu perçoit une inégalité dans la comparaison des ratios, il est porté à prendre diverses mesures pour rétablir l’équilibre entre les deux termes de l’équation. La perception d’une telle inégalité crée donc un sentiment d’iniquité (injustice) qui pousse à l’action