Cours 7 Flashcards

1
Q

Qui suis-je?

A.Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins menant à
un poids significativement bas compte tenu de l’âge, le sexe, le stade de
développement et la santé physique . Est considéré comme significativement bas, un poids inférieur à la norme minimale ou pour les enfants et les adolescents, un poids inférieur au poids minimal attendu.
B.Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros , alors que le poids
est inférieur à la normale OU comportements persistants qui interfèrent avec le gain de poids , même si la personne a un faible
C.Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps,
influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi
OU manque persistent de reconnaissance de la gravité de la maigreur
actuelle.

A

Anorexie mental

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Q

Définir le type restrictif de l’anorexie mental.

A

•Pendant les 3 derniers mois , la personne n’a pas présenté d’accès récurrents
d’hyperphagie (gloutonnerie) ni recouru à des vomissements provoqués ou à des comportements purgatifs (c. à d. laxatifs, diurétiques, lavements). La perte de poids est essentiellement obtenue par le jeûne et/ou l’exercice physique excessif

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3
Q

Définir le type accès hyperphagique/purgatifs de l’anorexie mental.

A

•Pendant les 3 derniers mois , la personne a présenté des accès récurrents de
gloutonnerie et/ou a recouru à des vomissements provoqués ou à des comportements purgatifs ( à d. laxatifs, diurétiques, lavements).

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4
Q

Que faut-il spécifier lorsqu’on fait un diagnostic d’anorexie mentale?

A
  • Spécifier si:
  • Rémission partielle: Le critère A n’est plus rempli, mais il y a présence du B et/ou C
  • Rémission complète: Aucun critère n’est rempli depuis une période prolongée
  • Niveau de Sévérité:
  • Léger : IMC >=17 kg/m 2
  • Modéré: IMC entre 16 16.99 kg/m 2
  • Sévère: IMC entre 15 15.99 kg/m 2
  • Extrême: < 15 kg/m 2
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5
Q

Quelles sont les caractéristiques cliniques de l’anorexie mentale?

A
  • Envahissant
  • Occupe souvent toute l’esprit de la personne
  • La perte de poids ne soulage souvent pas
  • Certains se trouvent gros, d’autres sont conscients d’être minces mais sont tout de même préoccupé de certaines parties de leur corps
  • Ne reconnaissent pas la gravité de la situation telle qu’elle l’est
  • Vérifications fréquentes (pesées, mesures, miroirs)
  • Identitaire: estime régulé par le poids et la silhouette
  • Perte de poids = réussite et signe d’autodiscipline (valorise contrôle et perfectionnisme)
  • Prise de poids = échec inacceptable de maîtrise de soi
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6
Q

Qui suis-je?

•Perte de poids importante (ou, lorsque l’anorexie se développe durant l’enfance
ou au début de l’adolescence, absence de prise de poids normalement attendue)
•Consommation restreinte d’aliments, décompte des calories
•Quête obsessionnelle de la minceur et préoccupation à l’égard de tout ce qui
concerne l’alimentation
•Hyperactivité ou excessivité dans les activités (Tout ou rien)
•Évitement à l’heure du repas (excuses multiples, retrait, etc.)
•Choix sélectifs de produits diététiques, légers ou amaigrissants
•Peur de reprendre du poids si l’alimentation redevient normale

A

Signes et symptômes possibles de l’anorexie mentale

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7
Q

Qui suis-je?

  • Isolement
  • Instabilité émotive
  • Dysfonctions et modifications physiologiques (aménorrhée; perte de densité osseuse)
  • Sx dépressifs
  • Traits obsessionnels compulsifs/narcissiques (pensées rigides; besoin de contrôler l’environnement; exigences élevées; grandiosité incarnée dans la discipline, la minceur etc.; impulsivité; moi punitif; estime fragile; hypervigilance relationnelle et sociale etc.)
  • Troubles de la personnalité
  • Consommation de substance
A

Signes et symptômes possibles et concomitances de l’anorexie mentale

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8
Q

Qu’est-ce que la dysmorphie musculaire ou bigorexie?

A
  • Prise de masse au lieu de minceur
  • Suppléments; stéroïdes; chirurgie; entrainement à outrance etc.
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9
Q

Quels sont les facteurs de risques de la dysmorphie musculaire ou de la bigorexie?

A

Facteurs de risque similaires (estime de soi faible, perfectionnisme, traits obsessionnels, environnement invalidant, pression des pairs etc.)

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10
Q

Qui suis-je?

A.Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonneries)(« binge eating »). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes:

  1. Absorption, en une période de temps limitée (p.ex. moins de 2 heures), d’ une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
  2. Sentiment de perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p.ex. sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).

B.Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que: vomissements provoqués; emploi abusif de laxatifs, diurétiques ou autres médicaments; jeûne; exercice physique excessif.
C.Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) et les comportements compensatoires inappropriés surviennent tous deux, en moyenne, au moins 1 fois par semaine pendant 3 mois
D.L’estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
E.Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d’anorexie mentale.

A

Boulimie

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11
Q

Décrire la rémission en cas de boulimie.

A
  • Partielle: Alors que tous les critères de la boulimie ont été précédemment remplis, plusieurs, mais pas la totalité, ont persisté pendant une période prolongée.
  • Complète: Alors que tous les critères de la boulimie ont été précédemment remplis, aucun ne l’est plus depuis une période prolongée.
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12
Q

Décrire les niveaux de sévérité en cas de boulimie.

A

•Léger : En moyenne 1 à 3 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
•Modéré: En moyenne 4 à 7 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
•Sévère En moyenne 8 à 13 épisodes de comportements compensatoires inappropriés par semaine.
•Extrême: En moyenne 14 épisodes (ou plus) de comportements compensatoires
inappropriés par semaine.

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13
Q

Qui suis-je?

  • Besoin soudain et régulier d’aller à la salle de bain à la fin des repas
  • Camouflage de nourriture
  • Choix sélectifs de produits « diététiques », « légers » ou « amaigrissants »
  • Traces de vomis dans les toilettes ou dans les lavabos
  • Quête de la minceur et peur de devenir obèse
  • Autocritique sévère
  • Règles irrégulières ou aménorrhée chez les femmes
  • Symptômes gastro intestinaux et atteinte de la santé dentaire (vomissement)
  • Instabilité émotive (anxiété, irritabilité)
  • Impulsivité
  • Pensées suicidaires et automutilation
A

Signes et symptômes possibles de la boulimie

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14
Q

Qu’est-ce qu’un bon pronostic pour l’anorexie et la boulimie?

A
  • Apparition récente des symptômes
  • Absence de trouble de personnalité
  • Bonne relation parentale
  • Début du traitement en jeune âge
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15
Q

Qu’est-ce qu’un mauvais pronostic pour l’anorexie et la boulimie?

A
  • Apparition de l’anorexie avant la puberté
  • Autre trouble de santé mentale
  • Trouble de la personnalité
  • Présence de vomissements, de crises boulimie ou de prise de laxatifs
  • Présence d’automutilation, abus de substance (+ impulsif)
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16
Q

Qui suis-je?

A.Survenue récurrente d’accès hyperphagiques (crises de gloutonneries)(« binge eating »). Un accès hyperphagique répond aux deux caractéristiques suivantes:
1.Absorption, en une période de temps limitée (p.ex. moins de 2 heures), d’ une
quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et dans les mêmes circonstances.
2.Sentiment de perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (p.ex. sentiment de ne pas pouvoir s’arrêter de manger, ou de ne pas pouvoir contrôler ce que l’on mange, ou la quantité que l’on mange).

B.Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) sont associés à au moins trois des caractéristiques suivantes:
1.Manger beaucoup plus rapidement que la normale.
2.Manger jusqu’à éprouver une sensation pénible de distension abdominale .
3.Manger de grandes quantités de nourriture en l’absence d’une sensation
physique de faim .
4.Manger seul parce que l’on est gêné de la quantité de nourriture que l’on
absorbe.
5.Se sentir dégoûté de soi même, déprimé ou très coupable après avoir
mangé.

C.Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) entraînent une détresse marquée
D.Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) surviennent, en moyenne , au moins 1 fois par semaine pendant trois mois
E.Les accès hyperphagiques (de gloutonnerie) ne sont pas associées au recours régulier à des comportements compensatoires inappropriés comme dans la boulimie, et ne surviennent pas exclusivement au cours de la boulimie ou de
l’anorexie mentale.

A

Accès hyperphagiques (hyperphagie boulimique)

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17
Q

Quels sont les types de rémission après un accès hyperphagiques?

A

•Partielle: Après avoir précédemment rempli tous les critères de ce trouble, les
accès hyperphagiques surviennent à une fréquence moyenne de moins d’un
épisode par semaine pendant une période prolongée.
•Complète: Alors que tous les critères de ce trouble ont été précédemment
remplis, aucun ne l’est plus depuis une période prolongée.

18
Q

Quels sont les niveaux de sévértié de l’accès hyperphagique?

A
  • Faible: 1 3 accès hyperphagiques par semaine
  • Modéré: 4 7 accès hyperphagiques par semaine
  • Sévère: 8 13 accès hyperphagiques par semaine
  • Extrême: ≥ 14 accès hyperphagiques par semaine
19
Q

Qui suis-je?

  • Poids normal ou léger surpoids;
  • Accès hyperphagiques + comportements compensatoires (jeûne, activité physique excessive, vomissements auto provoqués, laxatifs, lavements, etc.);
  • Souffrance liée au désir de perdre du poids. Estime de soi en lien avec le poids et l’image.
  • Image corporelle négative + distorsionsde l’image
A

Boulimie

20
Q

Qui suis-je?

  • Surpoids ou obésité;
  • Accès hyperphagiques sans comportements compensatoires;
  • Souffrance liée au désir de perdre du poids. Les crises sont suivies de sentiments de dégoût, déprime, culpabilité.
  • Image corporelle négative, sans distorsions de l’image
A

Hyperphagie boulimique

21
Q

Qu’est-ce que l’anorexie mentale atypique?

A

•Tous les critères de l’Anorexie mentale sont remplis, mais malgré une perte de
poids significative, le poids de l’individu est dans la normale ou au dessus .

22
Q

Qu’est-ce que la boulimie (de faible fréquence ou durée limitée)?

A

•Tous les critères de la Boulimie sont remplis, mais les accès hyperphagiques et
les comportements compensatoires surviennent, en moyenne, moins d’une fois par semaine et/ou pendant moins de 3 mois .

23
Q

Qu’est-ce que l’accès hyperphagique (de faible fréquence ou de durée limitée)?

A

•Tous les critères de l’accès hyperphagiques sont remplis, mais les accès hyperphagiques surviennent, en moyenne, moins d’une fois par semaine et/ou pendant moins de 3 mois .

24
Q

Qu’est-ce que le trouble purgatif?

A

•Comportement purgatif récurrent visant à influencer le poids ou la forme du corps (p.ex. vomissements provoqués; mésusage de laxatifs, diurétiques, ou autres médicaments) en l’absence d’accès hyperphagiques

25
Q

Qu’est-ce que le syndrome d’alimentation nocturne?

A

•Épisodes récurrents d’alimentation nocturne, se manifestant par une alimentation après le réveil ou par une consommation excessive après un réveil nocturne ou par une consommation excessive après le repas du soir. Il existe une prise de conscience et un souvenir de l’épisode

26
Q

Qui suis-je?

Peur de grossir et perturbation de l’image corporelle = privation de la nourriture
•Perte de poids = renforcement négatif
•Sentiment de maîtrise lié à la perte de poids = renforcement positif

A

Hypothèses étiologiques cognitives comportementales des TCA

27
Q

Qui suis-je?

  • Combler besoin d’efficacité personnelle (exigences élevées; perfectionnisme)
  • Éviter la maturation sexuelle
  • Moyen de compenser des déficits personnels
  • Impact des relations familiales et désir de se sentir adéquat et éviter sentiment d’impuissance et d’incapacité
A

Hypothèses étiologiques psychodynamiques des TCA

28
Q

Quel est l’impact de la restriction?

A

Restriction –> privation calorique et frustration –> accès hyperphagique –> compensation par la restriction –> et ça recommence.

29
Q

Qui suis-je?

  • Rage, dépression, anxiété, labilité émotionnelle
  • Retrait social
  • Difficulté de concentration et attention
  • Jugement altéré
  • Trouble du sommeil
  • Intérêt sexuel
  • Hypothermie
  • Anémie
  • Crampe, diarrhée, constipation, saignement gastro intertinaux
  • Altération fonction rénale
  • Réduction de la densité osseuse
  • +++ Comorbidités
A

Conséquences médicales causés par les TCA

30
Q

Quels sont les différents traitements?

A
  • Hospitalisation
  • Hôpital de jour
  • Suivi nutritionnel
  • Suivi pharmacologique
  • Psychothérapie
31
Q

Décrire la psychothérapie cognitive-comportementale.

A

•Journal alimentaire
•3 repas, 2 collations, cesser décompte des calories, réintroduire aliments interdis
(exposition)
•Restructuration cognitive
•Normes sociale; attirance physique; privation nourriture
•Prise conscience rôle restriction accès
•But de reprendre une alimentation normale

32
Q

Décrire la psychothéraie psychodynamique.

A
  • Mieux comprendre ce qui fait que la personne utilise la nourriture pour tenter de remplir des besoins développementaux et émotionnels
  • Analyse du transfert et du contre transfert
  • Relation thérapeutique dans l’ici et maintenant
  • Limiter les agirs; tolérer la charge affective
  • Identifier les défenses du patient
  • La capacité de développer un lien interpersonnel dans le cadre de la relation thérapeutique diminue le surcontrôle ce qui permet d’évoluer vers une image de soi plus stable (diminuer le recours au MD basé sur le clivage).
33
Q

Qui suis-je?

A.Insatisfaction par rapport à la quantité et la qualité de sommeil associée à 1 ou plusieurs des symptômes suivants:
1.Difficulté d’endormissement
2.Difficulté de maintien du sommeil (réveils fréquents ou problèmes à retrouver le sommeil)
3.Réveil matinal précoce et difficultés à se rendormir
B.Dysfonctionnement/détresse significative ou altération du fonctionnement
C.Au moins 3 nuits par semaine
D.Difficultés de sommeil depuis au moins 3 mois

E.Malgré l’adéquation des conditions de sommeil
F.Pas mieux expliquée par un autre trouble du sommeil
G.Pas mieux expliquée par les effets physiologiques d’une substance
H.Pas mieux expliquée par un trouble mental/affection médicale

A

Insomnie

34
Q

Que faut-il spécifier lorsqu’on diagnostique l’insomnie?

A
  • Spécifier si:
  • Avec comorbidité d’un trouble mental non lié au sommeil
  • Avec une autre comorbidité médicale
  • Avec un autre trouble du sommeil
  • Spécifier si:
  • Épisodique (au moins 1 mois, mais moins que 3 mois)
  • Persistant (3 mois ou +)
  • Récurrent (2 ou + épisodes/année)
35
Q

Quels sont les facteurs de risque biologique de l’insomnie?

A
  • Rythme circadien
  • Décalage horaire
  • Température corporelle (devrait baisser le soir)
  • Sécrétion de la mélatonine
36
Q

Quels sont les facteurs de risque psychologique de l’insomnie?

A
  • Stress
  • Peurs
  • Mauvaise habitudes
  • Attentes irréalistes
37
Q

Quels sont les facteurs de risque environnementaux de l’insomnie?

A
  • Événement de vie stresseurs
  • Bruit, lumière, températures
38
Q

Décrire la thérapie cognitive-comportementale en lien avec l’insomnie.

A

1.Psychoéducation
•Expliquer les principes de base du sommeil
2.Restriction du temps au lit
3.Contrôle par le stimulus
4.Changement des croyances, attentes et attitudes
5.L’hygiène de sommeil
6.Prévention de la rechute
•Préparation à de situations éventuelles

39
Q

Qui suis-je?

Épisodes répétés au cours desquels la personne quitte son lit et déambule pendant son sommeil. Au cours de ses déambulations, le sujet a un visage inexpressif, le regard ixe et ne réagit guère aux efforts de son entourage pour communiquer avec lui ; il ne peut être réveillé qu’avec beaucoup de difficultés.

A

Somnambulisme

40
Q

Qui suis-je?

Épisodes récurrents de réveils brutaux et terrifiants, débutant habituellement par un cri d’effroi. Présence au cours de chaque épisode d’une peur intense et d’une activation neurovégétative se traduisant par des signes tels que mydriase, tachycardie, polypnée, transpiration. Pendant l’épisode, la personne ne réagit que peu aux efforts faits par son entourage pour la réconforter.

A

Terreurs nocturnes

41
Q

Qui suis-je?

  • Survenues répétées de rêves prolongés, extrêmement dysphoriques, dont le souvenir persiste lors de l’éveil, qui implique généralement des efforts pour éviter des menaces contre la survie, la sécurité ou l’intégrité physique et qui surviennent habituellement pendant la deuxième partie de la principale période de sommeil
  • Rapidement orienté et pleinement éveillé
A

Cauchemars