Cours 7 Flashcards

1
Q

Il y a une forte prévalence de l’intimidation et de la victimisation par les pairs. Réponds aux questions suivantes :
a) Quelle proportion des adolescents (%) rapportent avoir été victime de harcèlement par les pairs à au moins une reprise dans la dernière année?
b) Quelle proportion des adolescents (%) rapportent avoir été menacé physiquement?
c) Quelle proportion des adolescents (%) rapportent avoir été physiquement agressés?
d) Quelle proportion des adolescents (%) rapportent être fréquemment victimisés sur une base hebdomadaire (chaque semaine)?
e) Quelle proportion des adolescents (%) rapportent agir fréquemment comme agresseurs (intimidateurs)?
**Lis, car les % ne sont Ø à apprendre.

A

a) 57%. Beaucoup de personnes en ont vécu, mais ce qui est grave c’est quand c’est répétitif et à long terme
b) 37%.
c) 12%.
d) 10 à 15%. Il y a une forte stabilité des différences individuelles = stable à travers le temps (ex. 1e année, se poursuit en 2e année, etc.).
e) 10-12%.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Sur les cours de récréation à l’école élémentaire : un enfant est victime de mauvais traitement à tous les combien de temps?
**Lis, je pense Ø que c’est à apprendre.

A

À toutes les 4 minutes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Durant quelle année scolaire est-ce qu’on observe une augmentation de l’intimidation et de la victimisation?

A

Durant la première année du secondaire.
- Recours aux conduites agressives afin d’établir leur dominance et acquérir un statut social enviable au sein de leur nouveau groupe de pairs.
- Retour à la normale lorsque les relations de dominance entre les élèves se sont rétablies et stabilisées.
-> L’intimidation et la victimisation diminuent au long du primaire, augmentent en secondaire 1 et rediminuent au cours du secondaire.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Fait la distinction entre l’intimidation et la victimisation en définissant les deux concepts :
a) Intimidation
b) Victimisation
**EXAM (très probable)

A

a) Modèle de comportement agressif et répétitif ayant une intention négative, manifesté par un enfant envers un autre enfant et où il y a un déséquilibre des forces.
- Intention de faire mal, de blesser ou de menacer.
- Rapport de force inégal (ex. plus vieux vs plus jeune ou 6 vs 1, etc.).
- Caractère répété des agressions.
- La victime se sent impuissante/peu de recours pour se défendre par elle-même.
b) Toute forme d’agression sans pour autant faire référence à l’intention, au rapport de force (ex. peut être entre deux amis) ou au caractère répété des actes commis.
-> Les deux sont des comportements de violence (agressifs).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Nomme les différentes formes d’agression (de victimisation). (4)

A
  • Verbale
  • Physique
  • Harcèlement sexuel (puberté)
  • Relationnelle/indirecte/sociale (Ø nécessaire de faire la distinction entre les 3 pour l’exam)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Def. de l’agression relationnelle/indirecte/sociale

A

Violence faite à autrui de façon détournée et sournoise dans le but d’endommager le statut social, d’isoler et d’exclure l’autre.
-> Ex. fausses rumeurs, exclusion sociale, etc.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quelle forme de victimisation (d’agression) est le meilleur prédicteur de la détresse psychologique.

A

L’agression relationnelle/indirecte/sociale (la rumeur plus déterminante que les faits).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Vrai ou faux : Un adolescent victimisé est souvent victime de plusieurs formes d’agression à la fois.

A

Vrai. Il y a une forte intercorrelation entre les différentes formes de victimisation.
-> Les agresseurs utilisent souvent plusieurs formes d’agression.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Vrai ou faux : Il y a des différences entre les sexes concernant la forme de victimisation utilisée. Nomme les différentes formes utilisés par les sexes.

A

Faux. Il y a peu de différences entre les sexes.
- Garçons > Filles : victimisation physique.
- Garçons = Filles : victimisation extrême; victimisation verbale et relationnelle (on croyait que les filles l’utilisaient plus que les garçons, mais on s’est aperçu qu’il n’y a Ø de différences entre les deux sexes).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Quelles sont les raisons évoquées par les filles pour avoir recours à l’agressivité relationnelle? (8)
**EXAM (probable qu’il demande d’en nommer quelques unes)

A
  • Se désennuyer, créer de l’excitation.
  • Recherche d’attention, être incluse dans le groupe, faire partie du groupe « in ».
  • Suivre le leader, avoir du support.
  • Maintenir une position dans le groupe.
  • Se venger, résoudre un conflit.
  • Par jalousie, recherche l’attention des garçons.
  • Mousser sa propre réputation, être importante aux yeux du groupe.
  • Parce que c’est un moyen efficace d’atteindre ses buts.
    -> Elles cherchent notamment à promouvoir l’image positive qu’elles entendent projeter d’eux-mêmes (façon de se donner de l’importance et d’avoir un contrôle sur les autres).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Vrai ou faux : On observe un lien entre la cyberintimidation et les autres formes de victimisation (d’agressivité).

A

Vrai. Habituellement, les victimes de cyberintimidation sont également victimes de d’autres formes de victimisation.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Choisis une réponse parmi les suivantes :
a) La cyberintimidation est un facteur de risque des autres formes de victimisation.
b) Les autres formes de victimisation sont un facteur de risque de la cyberintimidation.
c) Les deux s’inter-influencent.

A

b) Les autres formes de victimisation sont un facteur de risque de la cyberintimidation.
- La victimisation directe et indirecte comme facteur de risque de la cyberintimidation et non l’inverse (le fait de se faire victimiser dans la vie réelle = facteur de risque de la cyberintimidation).
- Rares sont les élèves victimes uniquement de cyberintimidation.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Qui sont les élèves les plus enclins à faire de la cyberintimidation?

A

Les élèves perçus comme étant agressifs à l’école (ils sont aussi agressifs en ligne).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quels sont les conséquences de la cyberintimidation, qui sont différentes de celles de la victimisation effectuée dans la réalité? (5)

A
  • Peut être consulté de façon continue et répétée.
  • Anonyme.
  • Extérieur de l’école.
  • Audience plus grande (+ grand sentiment de honte, effet d’entraînement).
  • Impacts susceptibles d’être plus importants (favorise la rumination, le manque d’indices contextuels favorisent les biais d’attributions).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Les impacts sont susceptibles d’être plus importants pour quel type de victimisation :
a) La cyberintimidation
b) Les autres types de victimisation

A

a) La cyberintimidation
-> Elle favorise la rumination et le manque d’indices contextuels favorisent les biais d’attributions (on n’a Ø les émotions des autres par exemple sur internet).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Nomme les déterminants de la victimisation (raisons qui augmentent les probabilités qu’un enfant soit victimisé). (5)
**EXAM (très probable) = jusqu’à flashcard 21.

A
  • Caractéristiques comportementales.
  • La façon de réagir des victimes.
  • Caractéristiques socio-cognitives.
  • Faible estime de soi.
  • Statut social négatif et absence d’amis.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Explique comment les caractéristiques comportementales augmentent la probabilité qu’un enfant soit victimisé (en mentionnant les deux types de victimes et leurs caractéristiques). (3)
DÉTERMINANTS DE LA VICTIMISATION

A
  • Victime passive : Anxiété-retrait social (cibles faciles, car Ø d’amis et s’affirment Ø).
  • Victime provocatrice : Agressivité réactive, immaturité, hyperactivité (les agresseurs aiment les faire réagir).
  • Manque d’habiletés sociales (comportements sociaux qui sont hors normes = perçus par les autres comme étant bizarres).
18
Q

Explique comment la façon de réagir des victimes augmente la probabilité qu’un enfant soit victimisé.
DÉTERMINANTS DE LA VICTIMISATION

A

La façon de réagir des victimes peut renforcer les agresseurs :
- Victimes passives : Soumission (se laissent faire).
- Victimes provocatrices : Perte de contrôle émotionnel (agresseurs aiment quand ils “pognent les nerfs”).

19
Q

Explique comment les caractéristiques socio-cognitives augmentent la probabilité qu’un enfant soit victimisé (en mentionnant les deux types de victimes et leurs caractéristiques).
DÉTERMINANTS DE LA VICTIMISATION

A
  • Victimes passives : Pas de déficit apparent sur le plan du traitement de l’information et des stratégies de résolutions de problèmes. Difficultés à « performer » les habiletés de résolution de problèmes adéquates (ex. affirmation personnelle) (savent quoi faire, mais ne sont Ø capable de le faire quand c’est le temps).
  • Victimes provocatrices : Attribution d’intentions hostiles dans les situations ambiguës (ex. reçoit un ballon par la tête, c’est peut-être accidentel, mais ces jeunes vont attribuer des mauvaises intentions aux personnes) et valorisation des conduites agressives pour résoudre les problèmes (Ø la bonne solution).
20
Q

Explique comment le fait d’avoir une faible estime de soi augmente la probabilité qu’un enfant soit victimisé.
DÉTERMINANTS DE LA VICTIMISATION

A

Souvent, les deux types de victimes ont une faible estime de soi. Dans ces cas, ce sont des cibles plus faciles, puisqu’ils ne savent Ø ce qu’ils valent.

21
Q

Explique comment le fait d’avoir un statut social négatif et aucun amis augmentent la probabilité qu’un enfant soit victimisé.
DÉTERMINANTS DE LA VICTIMISATION

A

Ce sont des facteurs de risque important pour les deux types de victimes.
- Le fait de s’en prendre à un jeune qui a un statut social négatif peut faire en sorte que l’agresseur soit bien perçu par les autres, car les autres n’aiment Ø nécessairement la victime.
- Le fait de ne pas avoir d’amis fait en sorte que personne ne peut l’aider à se défendre.

22
Q

Quelles sont les conséquences de la victimisation (chez les victimes)? (3)
**EXAM (probable)

A
  • Détresse psychologique, solitude, dépression, anxiété et évitement social.
  • Comportements agressifs, toxicomanie, délinquance.
  • Rendement et engagement scolaire (les victimes n’aiment souvent Ø aller à l’école si elles sont victimes dans cet environnement et sont moins réceptives aux apprentissages).
23
Q

Les conséquences de la victimisation sont susceptibles de varier en fonction de quels facteurs? (9)
**EXAM (probable qu’il demande d’en nommer quelques unes)

A
  • De la fréquence (intensité) (+ grave si + souvent).
  • De la durée (chronicité) (+ grave si depuis + longtemps).
  • De la généralisation dans le groupe de pairs (+ grave s’ils vivent de la victimisation dans tous leurs groupes de pairs).
  • De la généralisation des contextes (école, quartier, groupe de pairs, amis, relations amoureuses, parents) (+ grave si difficultés dans tous ces contextes).
  • De la motivation sociale.
  • De la qualité des relations d’amitié (avoir des amis = facteur de protection).
  • De la nature des comportements agressifs dont les enfants sont victimes.
  • Des biais attributionnels et des sentiments de contrôle (victime = pourquoi moi = auto-dénigrement = anxiété-dépression = retrait social -> attribution interne)
  • De la prévalence du phénomène dans l’école!! (- grave si plusieurs enfants sont victimisés, car c’est + normalisé).
24
Q

Quelle proportion (%) des agressions ont lieu devant témoins?
**Lis, car les % ne sont Ø à apprendre.

25
Q

L’intimidation est un phénomène de groupe. Quelle proportion du groupe se retrouve dans chacune des catégories suivantes :
a) Victimes
b) Agresseurs
c) Assistants (aident les agresseurs)
d) Renforçateurs (ex. rient)
e) Défendeurs
**Lis, car les % ne sont Ø à apprendre.

A

a) 12 %
b) 8 %
c) 7 %
d) 20 %
e) 17 %, plus souvent des filles
-> On a aussi une majorité silencieuse (des témoins) :
- Par crainte ne font rien.
- Par leur inaction renforcent agresseurs (ils sont tout aussi partie prenante du problème).

26
Q

Réponds aux questions suivantes en lien avec les défendeurs :
a) Quelle proportion (%) de l’intimidation cesse immédiatement lorsqu’un défendeur intervient (au moins temporairement)?
- Quelle proportion (%) des victimes rapportent avoir au moins un camarade de classe qui prend parfois leur défense (souvent leurs amis)?
**Lis, car les % ne sont Ø à apprendre.

A

a) 90 %
b) 72,3%

27
Q

Vrai ou faux : Les enseignants sont souvent au courant de l’intimidation dans leur classe.

A

Faux. Les élèves rapportent rarement leurs expériences d’intimidation aux enseignants (< 20% du temps).

28
Q

Qui sont les agresseurs? On en a deux types. Nomme les. (2)

A
  • Bully-victims (victimes agressives) (4-6 %).
  • Agresseurs proactifs (majorité des agresseurs).
29
Q

Décris les bully-victims. (3)

A
  • Ce sont ceux qui sont victimisés et agressifs-réactifs.
  • Ils sont rejetés.
  • Source de préoccupation, car ils sont à risque de problèmes intériorisés et extériorisés.
30
Q

Décris les agresseurs proactifs. (5)

A
  • Valorisation de l’agressivité pour atteindre leurs buts (dominance sociale). Se perçoivent comme dominant, aspirent à l’être encore davantage et pensent que les autres attendent d’eux qu’ils soient dominants.
  • Valorisent peu les comportements prosociaux, peu empathiques.
  • Statut social dominant (perçus comme étant populaires, dominants et “cool”, notamment auprès du sexe opposé). Normes injonctives en faveur des comportements des intimidateurs… (perçus comme étant populaires, mais Ø nécessairement appréciés = les plus populaires sont ceux qui sont bistratégiques, car sont agressifs et prosociaux en même temps).
  • Choisissent méticuleusement les victimes en fonction de leurs vulnérabilités et de leur faible statut social afin de s’assurer de ne pas perdre l’affection des autres…
  • Les agresseurs se tiennent ensemble, partagent les mêmes cibles et se renforcent mutuellement…
31
Q

Qui est-ce qu’on cherche à cibler dans les interventions en lien avec la victimisation? (2)

A
  • Il est important de chercher à influencer le comportement des témoins lors des situations d’intimidation (modification des contingences sociales associées à la manifestation des comportements agressifs susceptible d’affecter la motivation des agresseurs à agir ainsi) (on veut intervenir avec le groupe).
  • Dans les cas d’intimidation, les agresseurs ont toutefois besoin d’être confrontés et les victimes soutenues.
32
Q

Pourquoi est-ce qu’il est important de cibler les témoins dans notre intervention? (5)

A
  • La probabilité d’être intimidé est plus forte dans les classes où les jeunes sont plus enclins à renforcer les agresseurs.
  • Dans ces classes, les facteurs de risque individuels (i.e. retrait social et rejet par les pairs) sont plus fortement associés aux expériences d’intimidation.
  • Difficile de changer le comportement des élèves agressifs lorsque les conduites agressives sont renforcées par les pairs. Il importe de chercher à modifier les contingences sociales liées à la manifestation de ces comportements (plus facile de changer le comportement des témoins).
  • Les victimes vivent moins de détresse psychologique lorsqu’elles sont soutenues et défendues.
  • À long terme, les souvenirs les plus négatif associé aux expériences de victimisation est souvent «no-one cared» (tout le monde s’en foutait).
33
Q

On a parlé de deux types d’interventions. Nomme les.

A
  • Interventions de type universelle.
  • Interventions de type ciblée.
34
Q

Nomme l’utilité principale de chaque type d’intervention :
a) Interventions de type universelle
b) Interventions de type ciblée

A

a) Prévenir l’intimidation (surtout avec les témoins).
b) Intervenir lorsqu’il y a présence d’intimidation (surtout avec les agresseurs et les victimes).
-> Le prof a dit que pour faire une différence dans l’intervention, il doit y avoir un volet prévention et un volet intervention.

35
Q

Nomme un programme d’intervention utilisé en Finlande.

A

Prévention de l’intimidation et du harcèlement par les pairs : KiVa.

36
Q

Le programme d’intervention KiVa a deux volets. Nomme les. (2)

A
  • Volet universel : intervention auprès des témoins.
  • Volet indiqué.
37
Q

Lire diapos 19-28 pour le programme d’intervention KiVa.

38
Q

La majorité des programmes d’intervention s’adresse aux enfants à risque de rejet sans pour autant cibler directement les enfants rejetés socialement. Quelques études s’intéressent à ces enfants rejetés socialement. Quels sont les objectifs de ces études? (2)

A

Diminuer les comportements agressifs et accroître les habiletés sociales, de gestion de la colère et de résolution de conflit.

39
Q

Quels sont les résultats de ces études qui ont ciblés des enfants agressifs et perturbateurs (enfants rejetés socialement).

A

Ces études ont obtenu des effets positifs sur l’acceptation sociale de l’enfant.

40
Q

Parmi les programmes d’intervention qui s’adressent directement aux enfants rejetés, lesquels sont les plus prometteurs (quelle technique est-ce qu’ils ont utilisé pour avoir l’impact le plus important sur les jeunes rejetés socialement)?

A

Les plus prometteurs se sont avérés être ceux qui ont su tirer profit des pairs prosociaux en les désignant comme agent de promotion des habiletés sociales.
-> Ils ont recours à des jeunes prosociaux pour faire leur intervention auprès des jeunes rejetés.

41
Q

Quels sont les rôles des pairs prosociaux dans ces programmes d’intervention? (3)

A
  • Agissent comme modèles et renforcent les habiletés nouvellement apprises (ex. disent aux jeunes rejetés qu’ils sont bons).
  • Sont en mesure d’apprécier le changement de comportement qu’ils ont influencé, ce qui favorise la modification de leurs perceptions à l’égard des enfants rejetés.
  • Entravent les processus d’entraînement à la déviance (puisqu’on n’a Ø un groupe de jeunes déviants, mais un mélange de jeunes déviants et de jeunes prosociaux).
42
Q

Lire diapos 31-35 pour l’étude de Bierman et Furman concernant l’intervention à l’aide de jeunes prosociaux.