Cours 6 - Encodage Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la MCT permet de faire ?

A

La MCT permet de retenir une petite quantité d’information pendant quelques secondes et de maintenir active l’information nécessaire aux activités courantes.

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2
Q

Qu’est-ce que la MLT permet de faire ?

A

La MLT permet de retenir (emmagasiner) beaucoup d’information pendant des heures, des jours, ou des années

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3
Q

Quels sont les trois types de MLT que le modèle de Tulving propose ?

A
  1. La mémoire sémantique
  2. La mémoire épisodique
  3. La mémoire procédurale
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4
Q

Nommer des distinctions entre la MCT et la MLT

A

MCT :
- Moment présent
- Capacité limitée à peu d’information
- Trace limitée à quelques secondes sans maintien actif
- Souvent associée à la conscience

MLT :
- Notre passé
- Aucune limite connue
- Entreposage permanent des connaissances
- Concepts, signification des mots, événements marquants

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5
Q

Vrai ou faux : La distinction entre le MCT et la MLT s’appuie sur un ensemble de données empiriques.

A

Vrai

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6
Q

Pourquoi le rappel libre est utilisée ?

A

Le rappel libre est une tâche qui a été utilisée afin de dissocier la MLT de la MCT.

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7
Q

Expliquer la tâche de rappel libre

A

Des items sont présentés un à la fois et le participant doit les rappeler dans n’importe quel ordre.

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8
Q

Nommer les deux résultats (courbe de positions sérielles) qu’on observe habituellement dans une tâche de rappel libre

A

On observe un effet de primauté associé à une récupération en MLT et un effet de récence associé à une récupération en MCT

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9
Q

Vrai ou faux : La longueur du délai de présentation n’affecte pas l’effet de récence

A

Faux

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10
Q

Expliquer la technique de la double tâche de Baddeley et Hitch (1974)

A
  1. Tâche de rappel libre : La performance à cette tâche est évaluée en fonction de la charge mnémonique (la quantité d’information déjà en mémoire).
  2. Tâche de rappel sérielle : 0, 3 ou 6 items à maintenir en mémoire pendant que le participant effectue la tâche de rappel libre. Le nombre d’items à maintenir dans cette tâche détermine le degré de charge mnémonique.
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11
Q

Nommer le lien entre la charge mnémonique et le modèle de Baddeley et Hitch (1974)

A
  1. La présentation de 16 mots implique le rappel libre des mots : aucune charge mnémonique associée
  2. La présentation de 3 chiffres implique un rappel sériel de ces chiffres et la présentation de 16 mots par après implique la rappel libre des mots : charge mnémonique modérée
  3. La présentation de 6 chiffres implique un rappel sériel de ces chiffres et la présentation de 16 mots par après implique la rappel libre des mots : charge mnémonique élevée
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12
Q

Nommer les résultats de Baddeley et Hitch qui concerne la primauté et la charge mnémonique

A
  • La charge mnémonique n’a pas d’effet sur la récence.
  • L’effet de primauté est affecté par la charge mnémonique.
  • La charge mnémonique nuit à l’autorépétition de la liste de mots.
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13
Q

Nomme les résultats de Sumby (1963) par rapport à la primauté et la fréquence des mots

A

La tâche de rappel libre montre que la fréquence des mots dans la langue est associée aux connaissances emmagasinées en MLT. L’effet de primauté est considérablement réduit lors du rappel de mots rares.

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14
Q

Nommer les résultats de Baddeley et Warrington (1970) concernant la primauté et l’amnésie

A

Comparaison entre un groupe de patients amnésiques et un groupe contrôle (non amnésique). Les deux groupes présentent un effet de récence similaire, mais un effet de primauté différent. L’amnésie est liée à l’incapacité de consolider l’information en MLT.

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15
Q

Qu’est-ce que l’effet de primauté ?

A

Liée à l’autorépétition de type II (élaboration)
* L’autorépétition permet le transfert de l’information de la MCT à la MLT.
* La primauté serait liée à la récupération en MLT.

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16
Q

Qu’est-ce que l’effet de récence ?

A

Diminuée lorsque le participant ne peut ni rappeler l’information immédiatement, ni la transférer en MLT par l’autorépétition.
* L’information s’estompe rapidement si elle n’est pas rappelée.
* La récence serait liée à la récupération en MCT.

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17
Q

Nommer les deux études de cas en neuropsychologie qui concerne la MCT et la MLT

A
  • Patient H.M. : présente un trouble en MLT mais aucune atteinte au traitement de l’information en MCT. Amnésie antérograde à la suite d’une intervention chirurgicale pour diminuer l’épilepsie. H.M. est capable de retenir de l’information pendant quelques secondes en MCT. Toutefois, H.M. ne peut conserver l’information nouvelle en MLT.

– Patient K.F. : présente le patron inverse. Ce patient souffre d’un trouble sévère de la MCT, mais ne semble pas atteint à la MLT. K.F. a subi une lésion aux régions pariéto-occipitales gauches. K.F. présente un déficit important de la MCT verbale, tel qu’indiqué par un empan de 2 items. Toutefois, K.F. semble pouvoir enregistrer l’information en MLT.

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18
Q

Nommer les arguments logiques concernant la dissociation entre un système MCT et un système distinct MLT

A
  1. Un effet de récence est observé lors du rappel d’information en MLT.
  2. Différences sur le plan de l’encodage : comment faisons-nous pour comprendre un texte, apprendre une langue, ou se souvenir de visages ?
  3. Pourquoi K.F. peut-il encoder de l’information en MLT alors que la MCT est essentielle au passage de l’information ?
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19
Q

Nommer les contre-appuis empiriques concernant la dissociation entre un système MCT et un système distinct MLT

A

Selon plusieurs chercheurs, les caractéristiques de l’information (format, durée) semblent davantage liées au type de traitement qui lui est donné (autorépétition, élaboration) qu’à l’« endroit » où elle est entreposée.
– Une information traitée sur le plan sémantique sera plus durable qu’une information traitée sur le plan phonologique.
– La durabilité de la trace (ainsi que le format) dépendrait donc du type de traitement qui est effectué au moment de l’encodage.

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20
Q

Qu’est-ce que l’encodage ?

A

Processus qui transforme un événement ou un fait en une trace mnésique. Les activités mises en branle lors de l’encodage permettent de déterminer le contenu de la trace mnésique.

Elle consiste en un transfert de l’information traitée vers la MLT afin de permettre une éventuelle récupération.

21
Q

Comment étudie-t-on l’encodage ?

A

À l’aide d’une tâche d’orientation

22
Q

Qu’est-ce que la tâche d’orientation ?

A
  1. La tâche d’orientation consiste à demander au participant d’effectuer un traitement donné sur l’information présentée.
    * Il s’agit d’un apprentissage incident, parce que le participant ne sait pas qu’il sera testé sur cette information.
    * L’objectif est de vérifier l’effet du type de traitement sur la mémoire.
  2. Cette tâche est suivie d’un test de mémoire où on évalue la quantité d’information que le participant peut récupérer.
23
Q

Qu’est-ce que Hyde et Jenkins (1969) ont réalisé ?

A

Comparaison de l’effet de diverses tâches d’orientation par rapport à la mémorisation intentionnelle

24
Q

Expliquer la tâche de Hyde et Jenkins (1969)

A

Diverses tâches :
- Sémantique : le participant doit juger de la qualité plaisante des mots.
- Structurale : le participant doit identifier si le mot contient la lettre « E ».
- Mémorisation intentionnelle

  • Pour les tâches sémantique et structurale, un groupe est informé qu’il devra rappeler les mots (conscient), l’autre ne le sait pas (incident).
25
Q

Quels sont les résultats de Hyde et Jenkins (1969) concernant l’intention ?

A
  1. L’intention n’est pas essentielle pour la mémorisation : Le traitement sémantique est équivalent à la mémorisation intentionnelle, même si le participant ne sait pas qu’il devra rappeler l’information.
  2. L’intention peut s’avérer importante : La mémorisation intentionnelle est meilleure que le traitement structural. L’intention de mémoriser permet au participant d’utiliser les
    stratégies de mémorisation qui vont permettre un meilleur rappel.
  3. Le type de traitement est plus important pour le rappel que l’intention de rappeler l’information.
26
Q

Vrai ou faux : Dans l’expérience de Hyde et Jenkins (1969), la performance change en fonction de la tâche d’orientation qui est utilisée.

A

Vrai, ce résultat s’expliquerait par le fait que ces tâches demandent des niveaux de traitement différents (selon Craik et Lockhart, 1972).

27
Q

Qu’est-ce que l’expérience 2 de Craik et Tulving (1975) ?

A

Les auteurs ont manipulé la tâche d’orientation effectuée par le participant. La tâche d’orientation pouvait être :
1. Structurale : minuscule / majuscule
2. Phonétique : rime
3. Sémantique : insertion dans une phrase

28
Q

Comment est séparé l’expérience 2 de Craik et Tulving (1975) ?

A

Première partie de l’expérience : La tâche d’apprentissage incident
- Une question est d’abord présentée au participant.
- Le mot à traiter est ensuite présenté.
- Le participant doit indiquer la réponse à la question (oui ou non).

Deuxième partie de l’expérience : La tâche de reconnaissance
- Tous les mots traités dans la première partie ainsi qu’un nombre équivalent de leurres sont présentés. Le participant doit sélectionner les mots qui ont été traités dans la première partie.

29
Q

Résultats de l’expérience 2 de Craik et Tulving (1975) ?

A
  • Le pourcentage de reconnaissance à la partie 2 augmente en fonction de la profondeur de traitement.
  • Les résultats montrent aussi que le temps de latence à la partie 1 augmente en fonction du niveau de traitement.
  • Ce résultat est problématique puisqu’il suggère que le taux de rappel peut aussi dépendre de la durée de traitement : Plus l’item est traité longtemps, plus il est reconnu facilement.
30
Q

Qu’est-ce que l’expérience 5 de Craik et Tulving (1975)

A

Une tâche d’orientation structurale plus longue à exécuter a été utilisée.
- Deux tâches d’orientation : structurale et sémantique

Résultats :
- Même si le temps de latence est plus élevé dans la condition structurale, la performance est plus élevée dans la condition sémantique. Le temps de traitement n’est donc pas déterminant pour la performance. Le type de traitement est le facteur important.

31
Q

Vrai ou faux : Le niveau de traitement détermine la richesse et la persistance de la trace.

A

Vrai, un traitement sémantique produit une trace plus riche et plus durable qu’un traitement structural.

32
Q

Vrai ou faux : Plus la trace en mémoire est riche, moins elle sera facile à rappeler.

A

Faux, contraire

33
Q

Nommer les deux types d’autorépétition

A

Type I : maintien sans élaboration
* Traitement permettant de maintenir l’information en mémoire sans qu’elle soit élaborée.
* Ce type de traitement réfère à l’autorépétition qui permet de garder une information active en MCT (abordée dans le cours sur la mémoire à court terme).

Type II : élaboration de la trace
* Traitement permettant de rendre la trace mnésique plus riche grâce à l’élaboration. Il existe 2 types d’élaboration :
‒ Élaboration distinctive
‒ Élaboration relationnelle

34
Q

Pourquoi le traitement sémantique permet-il de mieux rappeler l’information ?

A

Car il y a l’élaboration (richesse) de la trace mnésique. L’élaboration consiste à établir des liens entre la nouvelle information et l’information en MLT de deux façons :
‒ en reliant la nouvelle information à nos connaissances générales
‒ en reliant la nouvelle information au contexte dans lequel elle est présentée

35
Q

Lorsque les traitements sont différents, expliquer l’élaboration de la trace lors de l’encodage

A
  1. Lorsque le traitement est structural, la trace en mémoire est peu élaborée, c’est-à- dire qu’aucun ou très peu de liens sont créés entre l’item et son contexte.
  2. Lorsque le traitement est phonétique, la trace en mémoire est un peu plus élaborée. La forte distance sémantique entre le mot « pomme » et le contexte « rhum » crée un lien plutôt faible et peu durable en MLT.
  3. Lorsque le traitement est sémantique, la trace en mémoire est élaborée, c’est-à- dire que plusieurs liens sont créés entre l’item et son contexte. Les éléments du contexte « rouge » et « arbre » sont encodés avec le mot « pomme » en MLT.
36
Q

Lorsque les traitements sont différents, expliquer l’élaboration de la trace lors du rappel

A
  1. Lorsque le traitement est structural, le mot est difficile à rappeler parce que peu d’indices* sont disponibles afin d’aider la récupération : peu d’items lui ont été associés lors de l’encodage.
  2. Lorsque le traitement est phonétique, le lien faible entre le contexte et le mot fait du contexte un indice peu efficace pour le rappel.
  3. Lorsque le traitement est sémantique, le mot est plus facile à rappeler parce que les éléments du contexte ayant été encodés avec ce mot peuvent aider la récupération. Ces éléments servent d’aide-mémoire lors du rappel.
37
Q

Nommer des facteurs qui influencent la richesse de la trace en mémoire

A

‒ La compatibilité avec le contexte
‒ La complexité du contexte
‒ La précision du contexte

38
Q

Est-ce que le niveau d’élaboration (la richesse de la trace) dépend de la compatibilité entre l’item traité et le contexte ?

A

Oui

39
Q

Vrai ou faux : Dans l’expérience de Craik et 100 Tulving (1975; Expérience 2), la performance est plus élevée lorsque le participant doit répondre « oui » que lorsqu’il doit répondre « non ».

A

Vrai,

Dans les essais positifs (réponse = oui), la performance généralement supérieure comparativement aux essais négatifs. Le contexte est compatible avec l’item, ce qui lui permet d’être encodé avec cet item. Il en résulte donc une trace élaborée.

Dans les essais négatifs (réponse = non), la performance généralement inférieure comparativement aux essais positifs. Le contexte n’est pas compatible avec l’item. Il n’est donc pas encodé avec cet item, ce qui produit une trace peu élaborée.

40
Q

Qu’est-ce que l’expérience 7 de Craik et Tulving (1975) ?

A
  • Cette expérience avait pour objectif d’évaluer l’influence de la complexité du contexte sur la mémorisation (en rappel indicé).
  • Plus le contexte est complexe, plus la performance est élevée. Cette amélioration n’apparaît que lorsqu’il
    y a possibilité d’élaboration (condition OUI).
41
Q

Vrai ou faux : La précision est définie par la pertinence du contexte par rapport à l’information qui doit être mémorisée.

A

Vrai

42
Q

Qu’est-ce que l’expérience de Stein et Bransford (1979) par rapport à la précision du contexte ?

A

Les participants doivent juger si la phrase présentée est cohérente.
1. “Le gros monsieur lit la pancarte de 60 cm de haut.”
- Contexte imprécis : la hauteur de la pancarte n’est pas pertinente au fait que le monsieur soit gros.

  1. “Le gros monsieur lit la pancarte « danger, glace fragile.”
    - Contexte précis : l’indication que la glace est fragile est pertinente au fait que le monsieur soit gros.

Résultat :
La richesse de la trace dépend de la précision du contexte par rapport à l’item qui doit être traité. Pour être efficace, une élaboration doit clarifier le sens ou la pertinence de l’item-cible.

43
Q

Vrai ou faux : Le traitement sémantique utilisé dans les tâches d’orientation permet généralement de créer une trace distincte en mémoire.

A

Vrai, parce que le contexte qui est encodé avec l’item lui est propre. Il s’agit de l’élaboration distinctive.

44
Q

Qu’est-ce que l’élaboration distinctive permet de diminuer ?

A

L’élaboration distinctive permet de diminuer la confusion entre les items à mémoriser puisque chacun d’entre eux est encodé avec un contexte distinct. Plus il y a d’élaboration, plus l’item se distinguera des autres items.

45
Q

Quel est le type d’élaboration qui peut se faire lors d’un traitement sémantique ?

A

C’est l’encodage relationnel : celui-ci consiste à organiser ou à regrouper les items étudiés autour de certaines catégories définies par un attribut perceptif, associatif ou conceptuel.

46
Q

Qu’est-ce que l’expérience de Bower et al. (1969) quant à l’encodage relationnel ?

A

Question de recherche : L’encodage relationnel (le traitement des liens sémantiques entre les items à mémoriser) favorise-t-il le rappel ?

Ils ont présentés des listes organisées :
‒ Structure conceptuelle : inclusion de classes
‒ Structure associative : liens basés sur le partage d’attributs divers
‒ Liste aléatoire

Résultats :
La structure améliore nettement le rappel.
– Les listes structurées associatives et conceptuelles sont mieux rappelées que les listes non structurées (aléatoires).
– Le traitement des liens sémantiques entre les items (l’encodage relationnel) améliore le rappel.

47
Q

Vrai ou faux : Lors d’une tâche de rappel, l’autorépétition de type 2 (élaboration de la trace) n’améliore pas la performance.

A

Faux

48
Q

La quantité d’autorépétition de maintien (type I) est-elle un bon prédicteur de la performance ?

A

L’expérience de Craik et Watkins (1973) se penche sur cette question.

Tâches utilisées :
1. Tâche d’orientation : maintien du dernier mot débutant par une lettre cible
‒ La quantité d’autorépétition est manipulée
- Le nombre d’items intervenant entre deux items-cibles varie de 0 à 12.
- Plus il y a d’items intervenant à la suite d’un item-cible, plus cet item pourra être autorépété.

  1. Rappel libre de tous les mots présentés lors de la tâche d’orientation
    ‒ Le nombre de mots-cibles (mots commençant par la lettre-cible) rappelés est calculé.

Résultats :
Le temps qu’un item a été autorépété n’influence pas le rappel. Ainsi, la quantité d’autorépétition de maintien n’est pas un bon prédicteur du rappel.

49
Q

Quels sont les 2 types d’élaboration qui s’effectuent lors d’un traitement profond (autorépétition de type 2) et permettent un bon rappel ?

A
  1. Création d’une trace distincte (élaboration distinctive)
  2. Création de liens sémantiques entre les items traités (élaboration relationnelle)