Cours 2 - Reconnaissance des formes Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : La reconnaissance de formes est un processus très rapide et efficace.

A

Vrai

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2
Q

Quel processus permet d’identifier les frontières entre les objets, même si elles ne sont pas visuellement perceptibles ?

A

Le processus de reconnaissance de formes

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3
Q

Vrai ou faux : Les frontières ne sont pas créées par les processus de reconnaissance.

A

Faux

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4
Q

Est-ce que le processus de reconnaissance de formes est dépendant du point de vue ?

A

Non, le processus de reconnaissance de forme ne dépend pas du point de vue. L’individu peut reconnaitre un objet, peu importe l’angle sous lequel l’objet est présenté, et ce, même si l’individu n’a jamais vu l’objet sous cet angle spécifique.

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5
Q

À quoi le processus de reconnaissance de formes doit s’adapter ?

A

Il s’adapte à une grande variabilité des stimuli. Chaque objet dans l’environnement peut prendre plusieurs formes. Le système de reconnaissance est très efficace pour reconnaitre toute les formes.

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6
Q

Est-ce qu’un objet peut être reconnu même s’il est partiellement caché ?

A

Oui, même si toutes les parties d’un objet ne sont pas visibles, l’individu peut le reconnaitre.

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7
Q

Quel est le rôle d’un modèle ?

A

Un modèle fournit une explication théorique qui permet de comprendre le fonctionnement à la base des phénomènes. Il s’agit d’un ensemble de postulats théoriques qui représente une hypothèse quant au fonctionnement cognitif.

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8
Q

Objectif d’un modèle

A

Expliquer le plus grand nombre de phénomène avec le moins de postulats possibles.

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9
Q

Nommer les deux modèles proposés pour expliquer la reconnaissance de formes

A
  1. Appariement à un gabarit
  2. L’analyse des caractéristiques
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10
Q

Explication du modèle d’appariement à un gabarit

A

Selon ce modèle, une copie en miniature de chaque objet connu est emmagasinée en MLT. La reconnaissance repose sur un appariement entre le forme perçue et les objets en mémoire.

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11
Q

Vrai ou faux : Dans le modèle d’appariement à un gabarit, lorsqu’il y a correspondance entre la stimulation et le modèle, il n’y a pas de reconnaissance.

A

Faux, il y a reconnaissance

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12
Q

Points négatifs du modèle d’appariement à un gabarit

A

Limité par la très grande diversité de présentation d’une même forme :
-L’individu doit nécessairement avoir une représentation de chaque variante que peut prendre un objet.
- Requiert une capacité d’emmagasinage considérable.

Peu flexible :
- Si l’individu reconnait un item, c’est qu’il possède une représentation de cet item en mémoire. Cependant, l’individu peut aussi reconnaitre un objet qu’il n’a jamais vu auparavant.

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13
Q

Vrai ou faux : La reconnaissance est influencée par les caractéristiques des items.

A

Vrai, cela suggère que ces caractéristiques sont analysées lors de la reconnaissance de formes.

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14
Q

Comment fonctionne l’analyse des caractéristiques selon le modèle de l’analyse des caractéristiques ?

A
  1. Le stimulus est d’abord décomposé en caractéristiques.
  2. Ces caractéristiques sont ensuite comparées à un ensemble d’items en MLT.
  3. Il y a reconnaissance lorsque les caractéristiques détectées correspondent à un objet en MLT.
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15
Q

Nommer les caractéristiques sur lesquelles se base la reconnaissance des lettres selon Gibson (1969)

A
  • Ligne droit (horizontale, verticale, oblique)
  • Courbe (fermée, ouverture verticale, ouverture horizontale, intersection)
  • Redondance (changement cyclique, symétrie)
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16
Q

Vrai ou faux : Dans l’expérience de Gibson, Shapiro et Yonas (1968), le temps de réponse diminue en fonction du nombre de caractéristiques différentes entre les deux lettres.

A

Vrai, cela supporte l’hypothèse que les caractéristiques sont analysées lors de la reconnaissance.

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17
Q

Nommer les limites au modèle d’appariement à un gabarit et d’analyse des caractéristiques

A
  • Les modèles ne peuvent pas expliquer pourquoi la reconnaissance est possible même si l’objet est partiellement caché.
  • Les modèles ne considèrent pas l’influence du contexte dans la reconnaissance des objets.
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18
Q

Est-ce que la reconnaissance dépend uniquement des caractéristiques de la stimulation ?

A

Non, elle dépend aussi de la MLT, des connaissances, des attentes et de l’expérience

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19
Q

Qu’est-ce que l’effet d’appréhension du mot ?

A

La probabilité de rappeler les lettres d’une série de lettres est plus élevée si ces lettres forment un mot.

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20
Q

Vrai ou faux : Dans l’étude de Cattell (1885), plus de lettre sont reconnues si elles forment un mot que si elles ne forment pas de mot.

A

Vrai

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21
Q

Nommer les 3 hypothèses qui ont été proposées pour expliquer pourquoi l’effet d’appréhension du mot survient.

A
  1. Le mot fournit un contexte qui facilite la reconnaissance.
  2. Le participant peut deviner les lettres.
  3. Le mot facilite la mémorisation et réduit l’oubli.
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22
Q

Définition de la mémoire sensorielle

A

Mémoire à très court terme qui enregistre l’information pendant environ 200-300 ms.

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23
Q

Explication de l’hypothèse 1 de pourquoi l’appréhension du mot survient

A

Le mot forme un contexte permettant aux lettres d’être reconnues en parallèle.

La MLT influencerait directement le contenu en mémoire sensorielle ce qui permet de reconnaitre toute les lettres en même temps. Puisque toute les lettres sont reconnues en même temps, elles sont toutes transférée à la MCT et peuvent ainsi être rappeler.

Quand les lettres sont présentés de manière aléatoire, il n’y a aucune représentation existante en MLT pour ce regroupement de lettres. La MLT ne pourra donc pas offrir de support à la reconnaissance ce qui fait que les lettres ne pourront pas être traité en parallèle. Elles seront traité de manière sérielle.

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24
Q

Explication de l’hypothèse 2 de pourquoi l’appréhension du mot survient

A

Lorsque les lettres formant un mot sont présentés, celles-ci ne sont pas toutes reconnu mais le participant peut deviner les lettres non reconnu, car il connait les mots.

Selon cette hypothèse, la MLT n’est pas directement relié à la mémoire sensorielle mais plutôt à la MCT. Ainsi, lorsque le mot “doigt” est présenté, toutes les lettres ne sont pas transférée à la mémoire sensorielle car elles sont traitées séquentiellement. Donc seule certaines lettres peuvent être transférées en MCT. Mais, puisque le participant connait le mot “doigt”, il peut deviner les lettres qu’il n’a pas reconnu.

Cependant, lorsque des lettres ne formant pas un mot sont présentés, le participant ne peut pas deviné car les lettres ne réfère à aucun mot en MLT. La MLT ne peut donc pas offrir de support pour deviner les lettres manquantes.

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25
Q

Explication de l’hypothèse 3 de pourquoi l’appréhension du mot survient

A

Le mot facilite la mémorisation et réduit l’oubli qui se déroule généralement durant le rappel. Selon cette hypothèse le MLT aide la mémorisation en MCT. Ainsi, toutes les lettres accèdent à la mémoire sensorielle, même si elles sont traités de façon séquentielle et sont toutes transférées à MCT. Comme le mot possède une représentation en MLT, le mot est plus facile à mémoriser qu’une série de lettre aléatoire. Pour cette raison, il n’y a pas d’oubli. Toutes les lettres peuvent donc être rappelés.

Cependant, lorsque des lettres aléatoires sont présentés, le participant ne peut pas arriver à maintenir toutes les lettres en MCT car il n’existe aucune représentation en MLT ne pouvant aider le maintien actif de l’information en MCT. Ainsi, certaines lettres sont oubliés et le participant ne pourra pas toutes les rappeler.

26
Q

Explication de la tâche de Reicher

A

Présentation d’une série de lettres au participant un bref instant (50 ms). Ensuite, un choix de deux lettres est présentés. Le participant doit dire laquelle de ces deux lettres a été présentée dans la position indiquée.

Pour vérifier l’hypothèse selon laquelle le mot fournit un contexte qui facilite la reconnaissance, une condition “mot” est comparée à une condition “non-mot” dans laquelle les lettres étaient présentées aléatoirement.

27
Q

Qu’est-ce que la tâche de Reicher à permis de déterminer ?

A

Cette expérience à permis de déterminer laquelle des trois hypothèses permet d’expliquer l’effet d’appréhension du mot. Celle-ci suggère que l’effet d’appréhension du mot est dû au fait que le mot fournit un contexte qui facilite la reconnaissance des lettres.

28
Q

Vrai ou faux : Le phénomène mot-lettre ne permet pas de démontrer que le mot facilite la reconnaissance des lettres.

A

Faux

29
Q

Explication du phénomène mot-lettre

A
  • Le taux de réponses correctes est plus élevé dans la condition mot que dans la condition lettre.
  • Le participant reconnait plus facilement la lettre lorsqu’elle fait partie d’un mot que lorsqu’elle est présentée seule sans contexte.
30
Q

Vrai ou faux : L’effet d’appréhension du mot et le phénomène mot-lettre ont permis de développer un nouveau modèle de reconnaissance.

A

Vrai

31
Q

Qu’est-ce que le modèle d’activation interactive ?

A
  • Postule 3 niveaux d’analyse en interaction.
  • Propagation de l’activation et de l’inhibition du bas du réseau vers le haut du réseau et vice versa.
  • Graduellement, le système arrive à un état d’équilibre.
32
Q

Nommer les niveaux postulés dans le modèle d’activation interactive

A
  1. Caractéristiques
  2. Lettres
  3. Mots
33
Q

Vrai ou faux : Dans le réseau d’activation, les caractéristiques activées déterminent les lettres activées qui elles, déterminent les mots activés.

A

Vrai
Ensuite, il y a un retour d’activation du niveau mot vers le niveau lettre et du niveau lettre vers le niveau caractéristiques.

34
Q

Vrai ou faux : Dans la théorie du réseau d’activation, l’activation et l’inhibition opèrent de manière sérielle.

A

Faux, ils opèrent en parallèle

35
Q

Quel type de traitement constitue la propagation de l’activation vers le haut (activation se propage aux mots qui commencent par les lettres activées) ?

A

Un traitement dirigé par les données

36
Q

Quel type de traitement constitue la propagation de l’activation vers le bas ?

A

Un traitement dirigé par les concepts

37
Q

La reconnaissance est déterminée par deux types de traitement. Lesquel ?

A
  1. Traitement dirigé par les données : la reconnaissance est déterminée par la stimulation
    - Dans le modèle d’activation interactive, ce traitement est reflété par la propagation de l’activation du bas du réseau vers le haut.
  2. Traitement dirigé par les concepts : La reconnaissance dépend des connaissances, des attentes, etc.
    - Dans le modèle d’activation interactive, ce traitement est reflété par la propagation de l’activation du haut du réseau vers le bas.
38
Q

Comment étudie-t-on les deux types de traitement ?

A

Tâche de Rueckl et Oden (1986) : tâche de lecture

  • Pour étudier le traitement dirigé par les données, on manipule les caractéristiques du mot.
  • Pour étudier le traitement dirigé par les concepts, on manipule le contexte de la phrase.
39
Q

Conclusion de l’étude de Rueckl et Oden (1986)

A

Une conclusion intéressante de cette étude est que lorsque la stimulation n’est pas ambigüe, le traitement dirigé par les données est prédominant. Dans une telle situation, le contexte n’influence pas beaucoup le reconnaissance.

Le traitement dirigé par les concepts est plus important lorsque la stimulation est ambigüe. Dans une telle situation, le contexte a un rôle important à jouer dans la reconnaissance.

40
Q

Qu’est-ce que la reconnaissance de visages ?

A

La capacité à reconnaitre et à discriminer des visages est une faculté très développée chez l’humain, et ce, malgré la complexité des visages ainsi que leur grande similitude (ils sont tous composés des mêmes éléments de base positionnés de façon similaire). On peut même percevoir des visages dans des objets inanimés.

41
Q

Quels éléments sont utiles pour la reconnaissance des visages ?

A

Les éléments fixes comme la distance entre les yeux et la longueur du nez sont plus utiles à la reconnaissance de visages que les éléments mobiles tels que la bouche.

42
Q

Vrai ou faux : Les changements d’éclairage et d’ombrage peuvent aussi affectées la reconnaissance d’un visage.

A

Vrai

43
Q

Qu’est-ce que le modèle multidimensionnel de l’espace-visages ?

A

Chaque visage rencontré est encodé dans un espace multidimensionnel en mémoire (espace-visages) selon sa valeur sur plusieurs dimensions :
- distance entre les yeux
- couleur des yeux
- couleur de la peau
- forme du visage
- longueur du nez
etc.

Chaque nouveau visage rencontré est comparé à la norme, représentée par le centre de l’espace-visages. Le visage représentant la norme possède une valeur moyenne sur toutes les dimensions nécessaires à la reconnaissance de visages.

44
Q

À partir de quoi le visage moyen dans le modèle multidimensionnel de l’espace-visage est construit ?

A

À partir de tous les visages rencontrés au cours de la vie d’un individu.

45
Q

Qu’est-ce que la modèle multidimensionnel de l’espace visage permet d’expliquer ?

A

Il explique plusieurs phénomènes associés à la reconnaissance des visages :
- L’effet du caractère distinctif
- L’effet trans-ethnique

46
Q

Expliquer ce qu’est le caractère distinctif des visages

A

Ce sont des visages moins typiques. Ils sont mieux rappelés que les visages plus typiques. Ils sont rencontrés moins fréquemment donc ils sont encodés plus loins de la norme, où la densité des visages est plus faible. Ainsi, il y a moins de risque de confusion dans le cas des visages distinctifs.

47
Q

Expliquer la reconnaissance des caricatures

A

Étant donné qu’une caricature accentue les éléments distinctifs d’un visage, sa représentation en mémoire s’éloigne davantage des représentations des visages plus typiques. La possibilité de confusion avec les autres visages est donc diminuée.

Les participants reconnaissent des visages familiers plus rapidement sur une caricature que sur une image véridique.

48
Q

Qu’est-ce que l’effet trans-ethnique ?

A

Ce phénomène est aussi expliquer par le modèle multidimensionnel de l’espace-visage.

C’est la reconnaissance plus précise des visages de sa propre ethnie comparativement aux visages d’une autre origine ethnique.

49
Q

Explication de l’effet trans-ethnique

A

Il ne faut pas oublier que la norme représente une moyenne de tous les visages rencontrés. Généralement, on rencontre davantage de visage de notre propre ethnie.

Les dimensions composant l’espace-visages sont optimales pour distinguer les visages de sa propre ethnie puisque c’est visages ont été rencontrés plus fréquemment. Les visages distinctifs intraethniques sont donc distribués à travers tout l’espace-visages.

Les visages d’une autre ethnie, quant à eux, sont comparés à une norme qui n’est pas nécessairement appropriée puisqu’ils ont généralement été rencontrés moins souvent. Ces visages sont distinctifs, mais sont situés dans la même région de l’espace-visages. Il y a donc plus de risques de confusion entre eux.

50
Q

Qu’est-ce que l’effet d’inversion ?

A

L’inversion d’une image de visage nuit davantage au processus de reconnaissance de cette image que l’inversion d’une image représentant un autre stimulus.

51
Q

Qu’est-ce que l’illusion de Thatcher ?

A

Des changement dans les éléments qui composent un visage sont plus difficile à détecter lorsque le visage est inversé comparativement à lorsqu’il est à l’endroit.

52
Q

Nommer les deux types de traitement qui peuvent être impliqués dans le processus de reconnaissance de visages.

A
  1. Traitement des caractéristiques :
    - Analyse individuelle des éléments constitutifs du visage.
  2. Traitement configural :
    - Analyse des relations entre les éléments du visage.
53
Q

Quel type de traitement est interrompu lors de la reconnaissance d’un visage orienté d’une manière inhabituelle (effet d’inversion) ?

A

L’inversion du visage nuit au traitement configural (les relations spatiales entre les éléments sont plus difficilement observables). Le traitement des caractéristiques est préservé.

54
Q

Vrai ou faux : L’effet d’inversion n’est pas spécifique aux visages.

A

Faux, l’effet d’inversion (la diminution de la performance de reconnaissance lorsqu’une image est inversée) est spécifique aux visages puisque le traitement configural est seulement utilisé avec les visages.

55
Q

Quelle conclusion tirent-ont du fait que l’effet d’inversion est uniquement présent avec les visage ?

A

Le type de reconnaissance utilisée dans la reconnaissance des visages sollicite des processus distincts de la reconnaissances d’autres stimuli tels que les objets.

56
Q

Nommer les deux écoles de penser quant à la reconnaissance des visages

A
  1. Selon certains, il existe des processus spécifiquement dédiés à la reconnaissance des visages.
  2. Selon d’autres, la reconnaissance des visages repose sur les mêmes processus que la reconnaissance des objets.
57
Q

Vrai ou faux : Plusieurs indices neuropsychologiques suggèrent que le traitement des visages sollicite des processus spécifiques.

A

Vrai

58
Q

Quelle région du cerveau est responsable de la reconnaissance des visages ?

A

Aire faciale fusiforme

59
Q

Outre l’activation de l’aire fusiforme en réponse à la reconnaissance d’un visage, y a-il d’autres indices de neuro imagerie ?

A

La réponse cérébrale N170 : Modification du potentiel électrique du cerveau après la présentation d’un stimulus visuel (présentation d’un visage).

60
Q

Qu’est-ce que la prosopagnosie ?

A

Il s’agit d’un trouble affectant spécifiquement la reconnaissance de visages suite à des lésions cérébrales, laissant la reconnaissance de d’autres stimuli relativement intacte.

Il s’agit d’un autre indice neuropsychologie que la reconnaissance des visages est un processus spécifique.

61
Q

Le rôle de l’expertise dans la question de la spécificité de la reconnaissance des visages

A

Certaines études ont suggérées que le processus de reconnaissance des visages n’est pas différent du processus de reconnaissance des autres stimuli. L’utilisation du traitement configural lors de la reconnaissance des visages serait attribuable à l’expertise que développent les humains pour distinguer des visages au cours de leur vie.

62
Q

Vrai ou faux : L’activation de l’aire fusiforme et la réponse N170 sont spécifiques au traitement des visages.

A

Encore débattue,

Certains disent que oui alors que d’autres croient que cela est dû à l’expertise.