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Processus cognitif > Cours 1 - Introduction > Flashcards

Cours 1 - Introduction Flashcards

1
Q

Définition de base de la cognition

A

La cognition fait référence à notre habileté à apprendre, à penser et à communiquer.

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Q

Objectifs de la psychologie cognitive

A

Elle vise à comprendre le fonctionnement et les limites de la cognition humaine.

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3
Q

Pourquoi utiliser la méthode scientifique en recherche sur la cognition humaine ?

A

Pour comprendre comment l’individu utilise et traite l’information présente dans son environnement.

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4
Q

Qu’est-ce que la cognition humaine ?

A

Elle désigne tous les processus mentaux par lesquels les stimulations dans l’environnement sont transformées, réduites, élaborées, emmagasinées, rappelées et utilisées.

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5
Q

À quoi s’intéresse l’étude de la cognition ?

A
  • Les processus
  • Les fonctions
  • Les représentations mentales
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6
Q

Donner la définition et des exemples de processus mentaux

A

Unités élémentaires du fonctionnement mental à la base du traitement de l’information.

Ex : La perception, la mémoire et l’attention.

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7
Q

Donner la définition et des exemples de fonctions mentales

A

Activités cognitives supérieures dont le fonctionnement repose sur l’interaction entre les processus.

Ex : Le langage, la résolution de problèmes et la prise de décision.

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8
Q

Donner la définition et des exemples de représentations mentales

A

Codes internes qui contiennent les caractéristiques des objets qu’ils représentent.

Ex : Une image mentale

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9
Q

Par quoi est guidé le développement des méthodes et des questions de recherche ?

A

Par une approche du traitement l”information

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10
Q

Qu’est-ce que l’approche du traitement de l’information ?

A

Cette approche considère que le système cognitif se décompose en étapes (processus). Le fonctionnement cognitif repose sur l’interaction entre les différentes étapes. Afin d’étudier la cognition, les chercheurs développent des tâches sur mesure qui permettent d’en isoler les étapes. L’étude de la cognition se base sur l’analyse de la performance lors de ces tâches.

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11
Q

Nommer les étapes du traitement de l’information

A

Stimulus
1. Perception
2. Représentation de la stimulation
3. Comparaison de la représentation issue de la stimulation avec les représentations emmagasinées en mémoire.
4. Réponse

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12
Q

Explication des étapes du traitement de l’information avec l’exemple de la reconnaissance d’un visage

A
  1. Lorsqu’un visage est présenté (stimulus), ses caractéristiques sont d’abord perçues par les sens.
  2. Une représentation mentale du visage est alors formée. Cette représentation comporte les caractéristiques perçues, un peu comme une photographie.
  3. La représentation mentale nouvellement formée est ensuite comparée avec les représentations déjà existantes en mémoire.
  4. S’il a correspondance entre la nouvelle représentation et une représentation déjà existante en mémoire, il y a reconnaissance.
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13
Q

Nommer des raisons pour étudier la cognition

A
  1. Avancement des connaissances
    - Comprendre le fonctionnement cognitif
    - Identifier les limites de la cognition humaine
  2. Contribution à d’autres domaines
    - Neuropsychologie clinique : renseigne sur le profil cognitif des différentes pathologies
    - Neurosciences : met en lien le fonctionnement cérébral et la structure du cerveau avec la cognition
    - Ergonomie : maximiser les performances humaines en situation de travail (nécéssaire de comprendre le fonctionnement cognitif afin de prévenir les erreurs humaines.)
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14
Q

À quoi s’intéresse les neurosciences ? Quelle est la différence avec la psychologie cognitive ?

A

À l’activité cérébrale et à la structure du cerveau. La psychologie cognitive se concentre plutôt sur le fonctionnement de la cognition sans objectif de localisation ou d’association entre un processus cognitif et une région du cerveau.

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15
Q

Est-ce que les approches des neurosciences et de la psychologie cognitive sont complémentaires ?

A

Oui, puisque l’activité neuronale est à la base de toute activité mentale.

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16
Q

Comment la neuropsychologie clinique se distingue de la psychologie cognitive ?

A

La neuropsychologie clinique concerne l’évaluation de déficits cognitifs et de troubles du comportement à l’aide de batteries de tests standardisés tandis que la psychologie cognitive concerne la recherche fondamentale sur le fonctionnement cognitif normal à l’aide de tâches conçues sur mesure pour analyser des processus spécifiques.

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17
Q

Quel lien étroit existe entre la neuropsychologie clinique et la psychologie cognitive ?

A

Plusieurs tests neuropsychologues proviennent initialement d’une tâche expérimentale.
Ex : Tâche de Stroop

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18
Q

Nommer des défis liés à l’étude de la cognition

A
  1. Science jeune.
  2. Il y a un risque à se fier à nos impressions dans la compréhension de la cognition.
  3. La nature abstraite et non directement observable de la cognition.
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19
Q

Nommer les grandes étapes de la méthode expérimentale

A
  1. Théorie à partir de laquelle on fait des prédictions : X devrait avoir un effet sur Y
  2. Observer la phénomène (expérience) : contrôler la variable X et observer son effet sur Y
  3. Modifier, améliorer, confirmer la théorie
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20
Q

Nommer les propriétés de la méthode expérimentale

A
  • L’objectivité de la mesure
  • La rigueur
  • La testabilité des théories
  • La reproductibilité des résultats
  • Le lien de causalité
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21
Q

Expliquer la caractéristique de l’objectivité de la mesure dans la méthode expérimentale

A

L’interprétation des résultats ne doit pas être influencée par les croyances de l’expérimentateur.

Les mesures en psychologie expérimentale se différencient donc de l’introspection autrefois utilisée par les structuralistes.

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22
Q

Expliquer la caractéristique de la rigueur dans la méthode expérimentale

A

Les variables nuisibles doivent être contrôlées le plus possible.

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23
Q

Expliquer la caractéristique de la testabilité des théories dans la méthode expérimentale

A

Une bonne théorie doit pouvoir permettre de générer des prédiction qui peuvent être testées en laboratoire.

Si une théorie ne peut pas faire de prédiction, c’est qu’elle peut difficilement expliquer le comportement. Elle est donc peu utile vu l’objectif de la psychologie cognitive qui est de comprendre et d’expliquer le comportement humain.

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24
Q

Expliquer la caractéristique de la reproductibilité des résultats dans la méthode expérimentale

A

Les résultats doivent pouvoir être reproduits dans d’autres contextes expérimentaux. La psychologie cognitive s’intéresse aux processus fondamentaux qui sont utilisés par tous les individus, dans plusieurs situations. Si les résultats observés sont spécifiques à une seule condition expérimentale, il est peu probable qu’ils reflètent l’utilisation de ces processus fondamentaux.

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25
Q

Expliquer la caractéristique du lien de causalité dans la méthode expérimentale

A

En psychologie cognitive, les chercheurs manipulent des variables (VI) afin de voir l’effet sur les mesures (VD).

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26
Q

Qu’est-ce que permet la recherche en psychologie cognitive ?

A

Elle permet d’inférer le fonctionnement cognitif à partir d’observations empiriques.

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27
Q

Qu’est-ce qui est important avant d’inférer le fonctionnement cognitif à partir d’observations empiriques ?

A
  1. L’opérationnalisation :
    - Consiste à transformer les construits abstraits en comportements mesurables.
    - Bien définir les variables.
  2. L’isolement des processus et des fonctions :
    - Contrôle des variables nuisibles.
    - L’expérimentation en laboratoire permet une décontextualisation (c-à-d minimisation du rôle de la motivation, des émotions, de la culture…)
  3. Les conclusions doivent aller au-delà des différences individuelles et s’appliquer à la population générale.
    - Les expériences sont effectuées par plusieurs participants et le chercheur tient compte de la moyenne plutôt que de la variabilité entre les participants.
28
Q

Quel type de mesure à longtemps été privilégiée par l’approche du traitement de l’information ? Pourquoi ?

A

La mesure du temps de réaction qui s’école entre une stimulation et une réponse, car elle permet d’isoler les étapes du traitement.

29
Q

Nommer trois types de tâches qui utilisent le temps de réaction

A
  • Tâche de temps de réaction simple
  • Tâche de temps de réaction Go-NoGo
  • Tâche de temps de réaction au choix
30
Q

Expliquer la tâche de réaction simple

A

Le participant doit appuyer sur un bouton dès qu’il perçoit le stimulus.

Dans cette tâche, le seul processus impliqué est la perception du stimulus.

31
Q

Expliquer la tâche de réaction Go-NoGo

A

Le participant doit appuyer sur un bouton si le cercle vert apparait et ne faire aucune action si le cercle noir apparait.

Dans cette tâche, le participant perçoit le stimulus (1ère étape de traitement), puis il doit catégoriser en fonction de sa couleur afin de déterminer si une réponse est requise (2e étape de traitement).

32
Q

Expliquer la tâche de temps de réaction au choix

A

Le participant doit appuyer sur la touche A si le cercle bleu apparait et appuyer sur la touche L si le cercle jaune apparait.

Dans cette tâche, le participant doit percevoir (1ère étape de traitement) et catégoriser la stimulation (2e étape de traitement), puis il doit sélectionner la réponse correspondante à la stimulation (3e étape de traitement).

33
Q

Qu’est-ce que la méthode soustractive de Donders ?

A
  • Il s’agit de la première méthode permettant l’estimation de la durée requise par une étape de traitement en soustrayant de façon appropriée les temps de réaction aux diverses tâches.
  • Afin d’estimer le temps de requis pour percevoir la stimulation, aucune soustraction n’est requise puisque la perception est la seule étape effectuée lors de la tâche de temps de réaction simple.
34
Q

Vrai ou faux : Dans la méthode soustractive de Donders, le temps requis pour percevoir la stimulation correspond au temps de réaction simple ?

A

Vrai, Perception = A

35
Q

Schéma de temps de catégorisation (Donders)

A

Go-NoGo (C) = Perception + catégorisation
Simple (A) = Perception

Donc,

C-A = catégorisation

36
Q

Schéma de temps de sélection de la réponse (Donders)

A

Au choix (B) = Perception + Catégorisation + sélection

Go-NoGo (C) = Perception + Catégorisation

B-C = Sélection

37
Q

Définition de la variable dépendante

A

Il s’agit de la mesure. Elle permet de vérifier comment les manipulations affectent les processus étudiés.

38
Q

Définition de la variable indépendante

A

Variable ou facteur manipulé par le chercheur. L’effet de cette manipulation est alors observé sur la VD.

39
Q

Définition de prédiction

A

Relation prédite entre la variable indépendante et la variable dépendante.

40
Q

Définition de théorie

A

Proposition portant sur le fonctionnement cognitif

41
Q

Quel philosophe avec exprimer un intérêt pour les processus mentaux ?

A

Platon : Il attribuait le fonctionnement de l’esprit au coeur plutôt qu’au cerveau.

42
Q

Comment Platon traitait la nature des représentations mentales et de l’apprentissage ?

A

Selon lui nos sensations sont différentes de la stimulation. Autrement dit, notre perception de la réalité ne correspond pas tout à fait à la réalité.

43
Q

En quoi s’intéressait Aristote ?

A

Il s’intéressait à la mémoire humaine et à l’utilisation des représentations mentales.
- Reccueil de réflexion qui propose une distinction entre “se souvenir” et “se rappeler”.
-Il croyait en la possibilité de visualiser mentalement le monde extérieur.

44
Q

En quoi s’intéresse la psychophysique ?

A

Elle s’intéresse aux relations quantitatives entre les mondes physique et mental (perception). On peut mesurer quantitativement l’expérience mentale.

45
Q

Nommer la période et des acteurs importants de la psychophysique

A

Milieu du 19e siècle
- Weber
- Fechner

46
Q

Nommer la période et des acteurs importants du structuralisme

A

Fin du 19e siècle, début du 20e siècle
- Wundt
- Titchener

47
Q

Qu’est-ce que le structuralisme ?

A

Un mouvement qui s’est intéressé à qualifier (via l’introspection) l’expérience mentale afin de comprendre le comportement. Cette école de pensée à permis à la psychologie de devenir une discipline scientifique indépendante de la philisophie.

Selon eux, la cognition est le résultat de plusieurs composantes (processus). Les images mentales, les sensations, les sentiments, etc, sont des exemples de composantes.

48
Q

Avec quelle méthode sont étudiées les composantes du structuralisme ?

A

Avec la méthode de l’introspection :
- Un expérimentateur tente de décrire son propre fonctionnement lors de l’exécution d’une activité mentale.
- Cette méthode est toutefois subjective et susceptible au biais de l’expérimentateur.
- Les résultats quant à la description d’une activité mentale varient considérablement d’une personne à l’autre même d’une session expérimentale à l’autre pour la même personne.

49
Q

Quel acteur vient contredire le structuralisme ? Comment ?

A

Selon Ebbinghaus, la mémoire n’est pas constituée que de processus conscients pouvant être décrits par la participant. Elle fait aussi appel à des processus inconscients. Pour lui, les activités mentales sont mesurables et il a développé un devis expérimental afin d’étudier l’apprentissage et l’oubli.

50
Q

Vrai ou faux : Ebbinghaus est son propre sujet dans ses études.

A

Vrai

51
Q

Quel est le devis expérimental d’Ebbinghaus ?

A

La méthode de l’épargne :

1ère essai :
1. Le participant apprend une liste de 13 syllabes sans signification.
2. Le participant attend ensuite pendant un délai de 20 minutes.
3. La participant apprend une 2e fois la même liste de 13 syllabes sans signification.
4. Calcul de l’épargne = temps pour apprendre la première fois - temps pour apprendre la deuxième fois.

2e essai :
1. Le participant apprendre une nouvelle liste de 13 syllabes sans signification.
2. Calcul de l’intervalle de temps entre les deux apprentissages

52
Q

Nommer la période et un acteur important du fonctionnalisme

A

1890
- William James

53
Q

Nommer la période et des acteurs importants du béhaviorisme

A

Milieu du 20e siècle
- John Watson
- Skinner

54
Q

Qu’est-ce que le fonctionnalisme ?

A

William James cherchait à comprendre l’utilité de la cognition humaine plutôt que de seulement en décrire le contenu comme le faisaient les structuralistes.

Ouvrage “Principe de psychologie” : distinction entre la mémoire primaire (court-terme) et secondaire (long-terme) ; traite de la capacité de concentration sur un objet (attention sélective) ou sur plusieurs objets (attention divisée).

55
Q

Qu’est-ce que le béhaviorisme ?

A

Watson croit que les thèmes étudiés par le structuralisme sont trop abstraits.

L’esprit est un concept inutile afin de comprendre le comportement. Il est impossible, selon eux d’étudier l’activité mentale objectivement et sans biais.

Les béhavioristes favorisent l’étude des comportements observables. Leur objectif est de déterminer les facteurs qui influencent le comportement. Étude de l’association stimulus-réponse sans inférence quant aux processus mentaux qui les supportent.

56
Q

Vrai ou faux : Selon les béhavioristes, la cognition est considérée comme une boite noire.

A

Vrai, les sensations ne résultent que des stimulations de l’environnement. La boite noire est un simple passage entre la stimulation et la réponse.

57
Q

Qui est le fondateur de la Gestalt ?

A

Max Wertheimer

58
Q

Qu’est-ce que la Gestalt ?

A

Wertheimer suggère qu’il y a un traitement actif des stimuli entre leur entrée dans le système de traitement de l’information et la réponse. Selon cette école de pensée, la formation de représentations provient de l’interaction entre la stimulation des sens et l’action des facultés mentales.

59
Q

Qui est Noam Chomsky ?

A

Il a contribuer à démontrer les limites du béhaviorisme et la nécessité d’étudier l’activité mentale. Il a démontré que la simple association stimulus-réponse ne peut pas expliquer l’apprentissage d’une langue. Cet apprentissage repose sur des représentations mentales et une généralisation de règles. À partir de quelques règles, on peut formuler une infinité de phrases différentes.

60
Q

Nommer la période et des acteurs importants de la psychologie cognitive

A

Moitié du 20e siècle
- Chomsky
- Miller
- Neisser
- Broadbent
- Hebb

61
Q

Vrai ou faux : Le béhaviorisme permettait de décrire le comportement mais pas de l’expliquer.

A

Vrai

62
Q

Vrai ou faux : En psychologie cognitive, les comportements sont observés afin de comprendre les processus mentaux.

A

Vrai

63
Q

Quel acteur apporte un cadre théorie afin de permettre l’étude des processus cognitifs ?

A

Neisser = approche du traitement de l’information

64
Q

Quels domaines ont inspirés le cadre théorique de Neisser ?

A
  1. Les réseaux de communication
  2. L’informatique
65
Q

Apport des réseaux de communication en psychologie cognitive

A
  • Notions de capacité limitée de traitement, de filtre attentionné et de traitement parallèle et sériel.
  • L’analogie des canaux de transmission de l’information entre une entrée et une série.
  • Les fonctions de transmission de l’informations représentent l’aspect actif du traitement cognitif.
66
Q

Apport de l’informatique en psychologie cognitive

A
  • L’analogie de l’ordinateur qui encode, emmagasine et manipule de l’information symbolique, représenterait les structures fondamentales du système cognitif.
  • La conception de l’architecture de notre système cognitif est en effet fortement inspirée de celle d’un ordinateur.
67
Q

Architecture cognitive

A
  1. Arrivée des stimuli par les sens, entrée dans le registre sensoriel.
    2.Filtrage de l’information par l’attention. Seule une partie des stimuli est transférée jusqu’à la mémoire à court-terme. Traitement volontaire et maintien actif de l’information.
  2. L’information est encodée en mémoire à long-terme.
  3. Des connaissances sont aussi récupérées à partir de la MLT et activées en MCT.
  4. L’information est maintenue, manipulée et transformée en MCT, ce qui permet une réponse ou une action appropriée.

Processus cognitif (6 decks)

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