Cours 6 Flashcards

1
Q

Interventions psychosociales

Objectifs des interventions

A

Bien qu’il existe différents types d’intervention offerts aux victimes, le principal objectif est de réduire les symptômes associés à la violence sexuelle et favoriser un état fonctionnel de la personne.
Exemples:
• Réduire les symptômes de stress post-traumatique, les difficultés intériorisées et extériorisées, les difficultés sexuelles
• Encourager l’expression des sentiments et des pensées par rapport à l’AS
• Contrer les sentiments d’isolement, de honte et de culpabilité et corriger les attributions négatives (ex: blâme)
• Connaître et solliciter les sources de soutien disponibles

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2
Q

Types d’intervention

A

Thérapie cognitivo-comportementale = diminuer symptomes via l’enseignement de stratégies d’adaptation efficaces, comme la relaxation, la reconstruction cognitive et la régulation émotionelle

Thérapie axée sur les émotions = amener la victime à approfondir sa compréhension de son expérience émotionnelle et des actions qui en découlent (ex : colère vécue comme source d’empowerement)

Thérapie psychodynamique = rendre conscient ce qui était inconscient à la vctime en explorant la signification donnée au trauma

Intervention basée sur le modèle féministe = accompagner les femmes survivantes d’agression sexuelle à reprendre le pouvoir sur leur vie en mettant l’accent sur l’action et la conscientisation

  • En autres : thérapie par le jeu, groupe de soutien, Eye Mouvement Therapy and Reprocessing (EMDR)

Nouveau ! : des interventions qui misent sur les forces des participant.es.

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3
Q

Évaluation - Intervention

A

Avant de débuter une intervention, il est important de procéder à l’évaluation des besoins de la victime:
• Parcours de vie
• Description de la violence sexuelle subie
• Autres traumas interpersonnels vécus par la personne
• Symptômes associés à la situation de violence sexuelle
• Facteurs pouvant moduler les symptômes
Varier les méthodes d’évaluation: - Outils standardisés - Entrevue - Observation

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4
Q

Interventions psychosociales auprès des enfants

A

Exemple à Montréal: Marie-Vincent
Volet traitement = Thérapie cognitivo-comportementale axée sur le trauma (TF-CBT)
Modalités du traitement
• Durée: 12 rencontres x 90 minutes
• Rencontre individuelle avec enfant (45 minutes)
• Rencontre individuelle avec le parent (45 minutes)
• Rencontre dyadique parent-enfant

Exposition graduelle au trauma : Amener l’enfant a faire le récit de son expérience pour que ça ne cause plus de la détresse (dessin, etc…). Pas l’amener à oublier, qu’elle ne soit plus envahi.

Particularités
• Modèle structuré selon des composantes spécifiques tout en offrant une flexibilité
• Accent sur les compétences et les forces de l’enfant
• Parent non-agresseur est positionné comme un agent actif du changement

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5
Q

** LA TF-CBT **

A

P = Psychoeducation and parenting skills - psychoed relatives aux réactions associées au truma ainsi qu’à la problématique de l’AS et composante centrée sur les pratiques parentales : coach parents, expliquer les réactions normales

R = Relaxation skills - Habiletés de relaxation : trucs pour relaxer

A = Affective modulation skills - développement d’habiletés de reconnaissance, d’expression et de gestion des émotions - amener à reconnaitre, partager et gérer l’émotion et ne pas l’éviter

C = Cognitive coping - Développement d’habiletés de reconnaissance et de restructuration des pensées _ habiletés visant une meilleure compréhension des liens entre les pensées, les émotions et les comportements associés au trauma - travailler les pensées de victime-responsable

T = Trauma narrative : Exposition relative aux souvenirs liés au trauma et maitrise des émotions liées au trauma = Tranquillement l’amener à parler pour l’amener à désensibiliser pour qu’il le partage à son parent

I - In-vivo mastery of trauma reminders - sessions dyadiques permettant à l’enfant et au parent de s’exercer à appliquer les habiletés apprises et favorisant une discussion sur le trauma vécu - mettre en application les skills parentaux

C - Conjoint parent child sessions - Sessions dyadiques permettant à l’enfant et au parent de s’exercer à appliquer les habiletés apprises et favorisant une discussion sur le trauma vécu - mettre en application les skills parentaux

E - Enhancing personal safety and optimal development - Éducation sexuelle et élaboration de stratégies d’adaptation et d’affirmation de soi ainsi que des habiletés de protection de soi afin de promouvoir la sécurité et le développement optimal de l’enfant - expliquer cest quoi une AS, partie du corps, stratégies de protection de soi

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6
Q

Autres organismes pour les enfants

A

Divers organismes à travers le Québec qui offrent des interventions pour les enfants victimes, leur famille et les personnes qui ont commis des agressions sexuelles envers des enfants
• Centre d’intervention en abus sexuels pour la famille: www.ciasf.org - organisme qui font les deux
• Parents-Unis Lanaudière: www.parentsunis.org
• Programme d’évaluation et de traitement des agressions sexuelles

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7
Q

Interventions psychosociales auprès des adultes

A

Les CALACS: organismes essentiels
Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel
Soutenir les femmes et les adolescentes victimes d’agression sexuelle (à l’enfance ou à l’âge adulte): approche féministe
Trois volets d’action:
• Aide directe (rencontre individuelle ou groupe de soutien)
• Prévention et sensibilisation (ex: promotion des relations amoureuses saines)
• Lutte et défense des droits (ex: journée internationale des droits des femmes)

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8
Q

Groupe de soutien - Avantages

A
  • Aide à briser l’isolement - crée des amitiés
  • Offre une place pour ventiler\l’entraide
  • Permettre de cheminer ensemble (travailler ensemble sur les pensées erronées)
  • Partager par bcp de gens - se rendre compte que c’est pas un problème individuel
  • Parler des tabous
  • Mettre en pratique ce qu’on apprend (affirmation de soi, gestion de conflits, de se dévoiler)
  • Générer de l’espoir (célébrer les petits succès de l’autre)
  • Sentir qu’on fait du bien
  • Réduit les dynamiques de pouvoir
  • Lieu de partage d’informations
  • Valoriser l’expression des sentiments et émotions
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9
Q

Groupe de soutien -désavantages

A

• Certains trouvent que c’est difficile de s’ouvrir (anxiogène)
• Peu être décourageant
• Les situations trop différentes difficiles à gérer
• Partage de stratégies (genre se nuire entre-elles)
• Contaminée par mon propre récit
• Gestion d’un groupe (tour de parole, silence, etc…)
• Enjeux de confidentialité
• Décalage de l’AS (pas les mêmes besoins de chaque personne, PTSD
Il n’y a pas de meilleur façon de faire. C’est selon les besoins de la personne devant nous.

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10
Q

Organismes pour les hommes

A

CRIPHASE = Centre de ressources et d’intervention pour hommes abusés sexuellement dans leur enfance http://www.criphase.org/index.php
• Interventions individuelles, mais surtout des groupes de soutien
• Différentes phases avec des groupes fermés (ex: phase sexo, phase artistique)

Nouveau au CIASF! Le Groupe Momentum qui vient en aide aux hommes victimes d’abus sexuel durant l’enfance http://ici.radio-canada.ca/tele/le-telejournal-ottawa-gatineau/2016- 2017/segments/reportage/37871/projet-pilote-aide-hommes-abus

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11
Q

Le rôle de l’IVAC

A

IVAC = Indemnisation des victimes d’actes criminels (organisme gouv. Pas nécessairement AS)
• Support et dédommagement financier (ex: perte de journées de travail, dommages psychologiques subis, consultation psychologique)
• Pour les enfants et les adultes ayant subi un acte criminel au Québec
• Indépendant du système judiciaire
• Service très utile, mais qui peut causer certaines frustrations… (sentiment d’injustice)

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12
Q

CAVAC

A

« Les Centres d’aide aux victimes d’actes criminels, présents dans toutes les régions du Québec, sont des organismes sans but lucratif qui offrent des services d’aide à toute personne victime d’un acte criminel. » (p. 39)
Organisme qui accompagne les victimes dans toute la trajectoire de services (rencontrer médecins, police, tribunal, etc) Les calacs peuvent faire aussi

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13
Q

Investigation - • Qui dirige les entrevues?

A

Policiers.ères et intervenants.es de la protection de la jeunesse Ex: Section Agressions sexuelles au SPVM (ils sont formés)

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14
Q

Investigation - • Dans quel but?

A

Évaluer si l’agression sexuelle est fondée ou non
• Quels sont les défis auxquels les services policiers font face?
1- la mémoire; 2- la suggestibilité; 3- le développement

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15
Q

Défis auxquels les services policiers font face

1- Mémoire

A

La mémoire est un processus reconstructif plutôt qu’une reproduction de la réalité.
❖ Difficultés pour les enfants à gérer les informations, les souvenirs à retenir. Quelques notions liées à la mémoire:
• encodage: perception, interprétation de l’événement, enregistrement au moment de l’événement
• entreposage: conservation de l’information dans la mémoire (en partageant)
• rappel: façon d’accéder aux souvenirs de manière spontanée, par la personne elle-même (vs. mémoire de reconnaissance) - long dév.
Plus la personne est jeune, symptômes de dissociation, plus difficile d’entreposer (pas raconter son récit souvent. «Raconte moi = plus d’info». C’est difficile de raconter son discours. Les enfants c’est difficile d’encoder pcq pas de référence dans la sexualité.

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16
Q

Défis auxquels les services policiers font face

2- Suggestibilité

A

La suggestibilité est le degré auquel les individus reçoivent, acceptent et incorporent dans leur mémoire des informations données après l’événement vécu.
• Les enfants sont particulièrement vulnérables à la suggestibilité
• Facteurs influençant la suggestibilité: le type de questions posées et le style de l’interviewer

Les questions posées devraient être les ouvertes possible.

17
Q

Défis auxquels les services policiers font face

1- Développement

A

Le défi le plus important pour les interviewers et autres intervenants-es
• Devoir d’adapter le style d’entrevue et l’interprétation des réponses des enfants
• Stade de développement lié au taux de dévoilement, à la quantité de détails dans les récits ainsi qu’à leur cohérence et leur complexité
• Défis liés aux habiletés cognitives, langagières et socio-affectives, surtout chez les victimes
• Compréhension des questions posées

18
Q

Types de questions à poser - investigation

A

À FAIRE

  • Invitations générales : raconte moi ce qui s’est passée
  • Invitations avec indices : Parle moi plus de sa main sur ta cuisse
  • Invitations avec segmentations de temps : Dis moi ce qui s’est passé entre le moment ou tu te couches jusquau moment ou ton père enlève ton pyjama

À NE PAS FAIRE

  • Questions fermées : ecq il ta touché les seins ?
  • Questions à choix de réponses : Arrivé dans ta chambre ou celle des parents ?
  • Questions suggestives : Tavais peur nest ce pas ?
  • Poser deux fois la même question
19
Q

Style de l’interviewer -

davantage d’info et davantage d’accusations

A
L’interviewer devrait favoriser un style soutenant. 
❖ Compliments, encouragements 
❖ Sourires, regards fréquents 
❖ Renforcements positifs 
❖ Employer le prénom de la personne 
❖ Faire preuve d’empathie
20
Q

À retenir de l’investigation policière

A
  • Les investigations policières auprès des victimes d’agression sexuelle doivent être réalisées par des personnes compétentes ayant suivi une formation spécialisée.
  • La mémoire de rappel, les questions ouvertes et un style soutenant de la part de l’interviewer sont essentiels pour favoriser les détails et la cohérence du récit.
  • Certains facteurs peuvent diminuer les chances d’avoir un récit menant à suffisamment de détails pour porter des accusations (ex: jeune âge, temps depuis les événements, difficultés de langage).
21
Q

Intervention médicale

A

Champ d’expertise de plus en plus reconnu en médecine
• Les interventions médicales se font dans des centres désignés (établissements de santé et de services sociaux une expertise médicolégale)
• 24h/24, 7 jours/7
Le rôle du médecin n’est pas de confirmer s’il y a eu ou non une agression sexuelle. C’est de chercher des signes physiques.
La grande majorité des examens médicaux des victimes ne révèlent aucun signe physique d’agression sexuelle.

22
Q

Facteurs favorisant la tenue d’une intervention médicolégale:

A

• Temps écoulé depuis le dernier épisode d’agression sexuelle
- 5 jours ou moins: intervention médicolégale - indices physiques, il n’y en a pu. Prévenir une grossesse, prévenir ITSS. Indices physiques pu présents.
- 6 jours ou plus: intervention médicale habituelle (médicosociale)
• Symptômes de la victime (ex: pertes vaginales, douleurs, troubles de comportement, détresse importante)
• Désir de porter plainte / Pertinence de procéder à des prélèvements médicolégaux
L’équipe du centre désigné peut soutenir les victimes, déterminer leurs besoins, les informer, les rassurer sur leur intégrité physique

23
Q

Trousse médicolégale

A

La trousse médicolégale est administrée lors de l’intervention médicolégale d’urgence, soit 5 jours ou moins après l’agression sexuelle.
• Contient des formulaires pour recueillir les informations pertinentes liées au récit de l’AS, à l’examen médical, aux tests et prélèvements effectués
• Prélèvements (sang, salive, sperme et sécrétions génitales de l’agresseur) sont analysés au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale du Québec
• Prélèvements faits seulement si la victime souhaite porter plainte. Si la personne hésite à porter plainte, elle a 14 jours pour prendre une décision. Après ce délai, si aucune plainte n’a été faite, les prélèvements

24
Q

Différences enfance vs. Adolescence - intervention médicale

A

rien inséré chez un enfant.

Pour les adolescentes et les adultes:
• Examen des organes génitaux externes et internes
• Utilisation du spéculum si nécessaire: instrument médical inséré dans le vagin permettant d’observer le col de l’utérus et de procéder aux prélèvements (écartement des parois vaginales)
• Test de grossesse
• Dépistage d’ITSS

25
Q

Signes spécifiques à un contact sexuel

A

On recense certains signes spécifiques à un trauma ou à un contact sexuel qui permettent de corroborer les verbalisations de la victime.
(ex: lacérations aiguës ou ecchymoses importantes sur les organes génitaux externes, ITSS) *** La perforation de l’hymen n’est pas un signe spécifique d’un contact sexuel.
Il n’y aurait que deux signes réellement spécifiques à un contact sexuel:
• grossesse
• spermatozoïdes dans les prélèvements effectués sur le corps de la victime

26
Q

À retenir de l’examen médical

A
  • Dans la grande majorité des cas, l’examen médical à la suite d’une situation d’agression sexuelle est normal.
  • Dans de rares cas (moins de 5 % chez les enfants), des signes spécifiques servent de preuves corroborant les verbalisations des victimes.
  • Donc, l’absence de preuves médicales ne signifient pas qu’il n’y a pas eu d’agression sexuelle.
  • L’examen médical demeure important, car il permet de rassurer l’intégrité physique de la personne et d’identifier ses besoins d’intervention. Il n’est toutefois pas obligatoire et on s’assure du consentement.
27
Q

Prévention de la violence sexuelle

A

Modèles des cercles d’influence (pas seulement faire de la prévention auprès des victimes, c’est aussi l’entourage, milieu scolaire, organisme communautaire, etc, )

28
Q

Objectifs des programmes- enfants

A
  • Diminuer la vulnérabilité des jeunes en favorisant:
  • De meilleures connaissances face aux agressions sexuelles (comment reconnaître une situation d’abus)
  • L’affirmation de soi et le sens de ses droits (dire non)
  • Favoriser l’identification d’un réseau de soutien et le dévoilement à une personne de confiance.

Similitudes entre les programmes :
• La majorité des programmes se déroulent en milieu scolaire
• Le contenu proposé évite souvent la référence directe à la sexualité

Thèmes abordés - enfants
• Les secrets (quand qqchte fait sentir pas bien ) et le fait de dévoiler à un adulte de confiance une situation abusive
• L’affirmation de soi et apprendre à dire non
• L’éducation à la sexualité
• Le continuum de l’abus
• Être maître de son corps
• Les types de touchers (bon ou mauvais toucher, sentir bien, mélange et pas bien )
• Les situations sécuritaires et à risque

À partir de quel âge?
Dès l’âge de 3 ans!
Mais, important d’adapter les activités au développement cognitif de l’enfant :
• Répétition ++ (plus il est jeune)
• Concepts concrets (plus il est jeune)
• Matériel plus animé : jeux de rôles, chansons, films
• Activités qui engagent le mouvement (ex: imitation et répétition de comportements)
• Sessions courtes
• Périodes de révision
• Inclure les parents : permet de soutenir et renforcer les apprentissages

Principal points négatif des programmes : ça met la responsabilité sur la potentiel victime. Ça déresponsabilise l’auteur des AS.

Ça la des impacts sur plusieurs sphères. Pas vraiment d’effets négatifs.
Exemple : d’exercise de feu = détresse. Ça arrive aussi là dedans. Et la détresse descend. Ces anxieux là, c’est eux qui retiennent encore mieux les connaissances.

29
Q

• Quelle est la prévalence de l’agression sexuelle avant 18 ans?

A

• 1 sur 5 F, 1 sur 10 H

30
Q

• Selon les critères du DSM-V, de quelle manière une personne peut être exposée à un événement traumatique? (4)

A

• Soi même victime, apprendre qu’un proche est victime, témoin de manière répété dans le cadre de son travail ou témoin de l’évènement

31
Q

• Quels ont été les changements lors de la réforme sur les infractions sexuelles dans les années 1980?

A

• AS entre conjoints possible. Pas besoin de corroboration, Pas questionner victime sur passé en cour. Pas besoin de la plainte spontané (pas de délai de prescription). Avant VIOL = pénis vagin, attentat à la pudeur. Mtn : AS à 3 niveaux + infractions sur les mineurs. Désexualisation du crime.

32
Q

• Quelles sont les dynamiques traumagéniques du modèle de Finkelhor et Browne?

A

• Stigmatisation, trahison, sexualisation traumatisante, impuissance. (modèle théorique)

33
Q

• Quels sont les critères pour qu’un consentement sexuel soit valide au Canada?

A

• Âge, conscience et relation avec la personne. (professionnels). Criminel : en bas de 18 ans seulement avec relation de pouvoir. Menace, etc.
Doit être donné au moment. Et à tout moment être retiré. Et pas donné par un tier. Utilisation de drogues ou d’alcool.

34
Q

• Quelles sont les 4 étapes du cycle de la violence conjugale? ** EXAM DÉCRIRE ET NOMMER

A

• Tension, Agression justification, lune de miel

35
Q

• Qu’est-ce que la théorie de la symétrie de la violence?

A
  • La violence n’a pas de genre. Pas de raison de croire qu’aucun genre est plus violent.
  • ARGUMENT POUR RÉFUTER
  • SOLUTION À PROPOSER : ??
36
Q

• Quelles sont les composantes de la thérapie cognitivo-comportementale axée sur le trauma (TF-CBT)?*** QUESTION LONGUE

A