cours 6 Flashcards
Théorie des niveaux de traitement Craik et Lockhart
Les stimuli sont analyses et encodés à des niveaux de traitement différents:
Niveaux superficiels (i.e., caractéristiques physiques/sensorielles/structurelles)
Niveaux profonds (i.e., reconnaissance de forme/signification/sémantique)
Le produit final de cette analyse, de ce traitement, est une trace mnésique (un code mnésique)
La persistance de la trace mnésique augmente en fonction de la profondeur de l’analyse qui a eu lieu sur l’item
Étude de Hyde et Jenkins (apprentissage intentionnel vs incident sémantique vs structural)
TÂCHE:
Apprentissage de 24 mots (12 paires de mots pouvant être associées; ex., rouge – vert, table – chaise), présentés dans un ordre aléatoire
Rappel libre
CONDITIONS/GROUPES:
1.Apprentissage intentionnel
2.Apprentissage incident:
a) jugement agréable/désagréable (traitement sémantique = profond)
b) Présence de la lettre e (traitement structural = superficiel)
c) Estimation du nombre de lettres (traitement structural = superficiel)
But: créer des différents niveaux de traitement et évaluer l’Effet sur le rappel
résultats Hyde et Jenkins
Résultats : groupement, les paires primaires associées sont rappelées ensemble
Les participants qui ont rappelé le plus de mots sont ceux qui ont été les plus sensibles à leur signification lors de l’apprentissage
La profondeur des activités cognitives lors de l’encodage (niveaux de traitement) détermine la mise en mémoire des items et leur bon rappel
Étude de Craik et Tulving 1975, tâche similaire
TÂCHE:
Apprentissage incident de mots (présentation visuelle brève)
Chaque mot est précédé d’une question qui favorisait une des 3 types de traitement :
CONDITIONS:
Traitement structural
Traitement Phonémique
Traitement sémantique
Résultats : reconnaissance mène vers profondeur de traitement
Sémantique – phonémique – structural
degré d’élaboration
les codes les plus élaborés permettent une meilleure mémoire
singularité
les codes les plus distinctifs entraînent une meilleure mémoire
diminue l’interférence avec les autres souvenirs
principe de spécificité de l’encodage
L’efficacité d’un indice de rappel dépend de la mesure dans laquelle il établit un bon rapport avec l’encodage initial d’un item
durée/profondeur du traitement
selon la théorie des niveaux de traitement, la rétention est due à un approfondissement de l’analyse. C’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée
TR plus longs pour traitements superficiels, mais meilleure performance demeurait pour le traitement sémantique DONC: C’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée
Un contexte plus complexe, élaboré, mais de façon cohérente = code de mémoire plus solide = meilleur rappel
étude de Fisher et Craik
TÂCHE apprentissage incident:
ENCODAGE de mots (ex. grêle) dans des jugements différents: par ex, de rimes (phonémique) ou d’association (sémantique)
Phonémique et sémantique
RAPPEL : exemple avec un encodage phonémique:
Indice de rappel
Identique, similaire ou différent
HYPOTHÈSE:
Le contexte d’encodage identique devrait fournir le meilleur rappel, suivi du contexte similaire, et le contexte différent sera le moins efficace
Résultats : Lien entre contexte d’encodage et contexte de rappel. L’efficacité d’un indice de rappel dépend de la façon dont un mot a été encodé
traitement approprié au transfert
encodage du matériel qui tient déjà compte de la façon dont celui-ci sera utilisé ultérieurement
spécificité de l’encodage et traitement approprié au transfert
Les 2: maximiser la similarité entre encodage et rappel mais
- Traitement approprié au transfert: étape de l’encodage
- Spécificité de l’encodage: étape de rappel