cours 3 Flashcards

1
Q

effet de supériorité du mot

A

Cattell et Reicher

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Q

Cattell

A

Présentation très brève (10 msec) de lettres
Rapporter toutes les lettres possibles
2 conditions:
Dans la condition lettres (ex., SPBO – ERNT - AQWO)
Dans la condition mots (ex., RAME - LOUP - CASE)

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3
Q

résultats Cattell

A

Condition lettre: –4-5 lettres rappelés

Condition mots: 3-4 mots rappelés (donc plus de lettres)

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4
Q

Reicher

A

Trois conditions:
1) Condition Mot
2) Condition Lettre isolée
3) Condition Non-mot
1ère étape: présentation d’une des conditions
2e étape: masque
3e étape: choisir laquelle de 2 lettres alternatives faisait partie de la présentation de départ

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5
Q

résultats Reicher

A

Les participants ont fait moins d’erreurs et ont été plus précis dans la condition mot que dans les conditions non-mot et lettre isolée
Démonstrations traitement top-down

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6
Q

L’effet de supériorité de l’objet (Weisstein et Harris)

A

il est plus facile de reconnaitre un trait dans un stimulus où la forme/objet est bien formée, car la structure/contexte/organisation favorise la reconnaissance

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7
Q

Le modèle d’activation interactive de McLelland et Rumelhart

A

La reconnaissance implique le traitement parallèle

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8
Q

traitement parallèle

A

les trois niveaux interagissent
Niveau trait (1er) : input visuel, identification des caractéristiques du trait
Niveau lettre (2e) : les lettres possédant ces caractéristiques seront activées, celles que non seront inhibées
Niveau mot (3e) : les mots possédant ces lettres seront activés, ceux que non seront inhibés
Types de connexions :
Excitatrice – réaction à un indice positif pour un concept
Inhibitrice – réaction à un indice négatif pour un concept

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9
Q

attention

A

activité par laquelle un sujet augmente son efficacité à l’égard du traitement de certains contenus, au dépend de d’autres, pendant un certain temps

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10
Q

théories du goulot

A

Un seul message peut être traité à la fois
L’attention agit comme un filtre sélectif
Limite structurale du système

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11
Q

modèle du filtre de broadbent

A

filtre agis précocement dans le traitement de l’information

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12
Q

expérimentation de broadbent

A

présentation de séquences de paires de chiffres simultanément dans les 2 oreilles. 2 groupes:
Groupe 1 – Intervalle de ½ sec entre les paires, rapporter les chiffres dans l’ordre de leur choix
Résultat : 65% de bonnes réponses. Presque toutes les bonnes réponses étaient rapportées pour une oreille d’abord et pour l’autre ensuite
Groupe 2 – Intervalle variable (½ sec, 1 sec, 1½ sec, 2 sec) entre les paires, rapporter les chiffres dans l’ordre de leur arrivée (la 1ère paire de chiffres, la 2e, etc.)
Résultat : quand l’intervalle est très court, la performance en souffre, plus le temps augmente plus la performance augmente, mais ne dépasse jamais le “hasard” (50%)

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13
Q

fonctionnement du modèle du filtre

A

MS reçoit plusieurs stimuli à la fois
Canal perceptif à capacité limitée
Le filtre (clapet) oscille d’un côté à l’autre pour laisser les billes entrer dans le canal
Le déplacement de l’attention (le clapet) demande du temps et de l’effort
Groupe 1: un seul déplacement, Groupe 2: plusieurs = meilleure perfo groupe 1

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14
Q

Appuis à goulot (cherry)

A

Présentation de stimuli différents (mots) à chaque oreille
Les participants doivent porter attention à une seule oreille et ignorer l’autre
ET
Répéter le message entendu à voix haute
Test-surprise: on questionne le sujet sur le contenu du message ignoré

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15
Q

résultats cherry

A

1) Bonne performance de répétition du message écouté
2) Pour le message de l’oreille ignorée:
Non-perçu: le contenu des message (sémantique)
Non-perçu: la langue (sémantique)
Perçu: voix féminine – masculine (physique)
Soutient l’idée d’un filtrage précoce vers la reconnaissance

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16
Q

limites goulot (moray)

A

Les sujets entendaient leurs noms dans une séquence de stimuli présentés dans l’oreille ignorée
Il est impossible d’ignorer certaines informations ayant une importance marquée (ex., son nom, le mot « feu »)
Le modèle d’atténuation de Treisman 1960 :
1) Les sujets entendaient 2 messages distincts mais simultanés dans chaque oreille;
2) Ils devaient rapporter une seule oreille et ignorer l’autre.
RÉSULTATS: Environ 30% des sujets ont montré des intrusions du canal ignoré

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17
Q

effet d’atténuation

A

diminution de la force sonore d’un message auquel on ne porte pas attention. Un message particulièrement important peut être reconnu. Un message peut être atténué de façon momentanée par l’effet de contexte

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18
Q

effet de contexte

A

les mots de l’oreille écoutée créent une anticipation due au contexte, donc les mots qui correspondent mieux à l’anticipation/contexte ont possibilité d’intrusion

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19
Q

dictionnaire

A

la reconnaissance d’un mot a lieu dans le dictionnaire si son intensité ou sa force subjective dépasse son seuil. Le message ignoré peut être reconnu par le dictionnaire, si son seuil d’activation est assez bas

20
Q

seuil de reconnaissance

A

la quantité minimale d’activation nécessaire pour accéder à la reconnaissance d’un stimulus

21
Q

sélection précoce

A

l’analyse s’arrête aux caractéristiques physiques, ensuite un seul se rends à l’analyse sémantique pour être le message sélectionné

22
Q

sélection tardive

A

analyse aux deux plans (physiques et sémantiques) avant d’interpréter ou d’utiliser l’information pour sélectionner le message

23
Q

théorie de la capacité

A

Kahneman et Johnston et Heinz

24
Q

Modèle de la distribution de Kahneman (différentes composantes du modèle)

A

réservoir de l’attention, choix de distribution, évaluation des demandes de capacité, dispositions permanentes et intention temporaires

25
Q

réservoir de l’attention

A

Capacité disponible
Le volume de capacité disponible varie en fonction du niveau d’activation
Forte activation = capacité + importante
Faible activation = capacité – importante
Activation intermédiaire = optimal

26
Q

évaluation des demandes de capacité

A

Exigences des activités en cours
Évalué pour chacune des activités
L’ensemble des exigences ne doit pas excéder la limite de la capacité

27
Q

choix de distribution

A

influencés par l’évaluation des demandes de capacité

28
Q

dispositions permanentes

A

Mécanismes automatiques

Interviennent de façon involontaire

29
Q

intentions temporaires

A

Mécanismes contrôlés

Interviennent de façon volontaire

30
Q

théorie multimodale de Johnston et Heinz

A

Interaction entre l’étape de sélection la capacité
On peut déplacer la position du filtre, du goulot
L’attention est flexible (selon la demande de la tâche)
Modes de sélection tardifs exigent plus de capacité que modes précoces

31
Q

stimulus perceptuel

A

filtre précoce, reconnaitre selon caractéristiques physiques donc précoces, donc coût moins élevé, plus d’énergie pour deuxième tâche, meilleur résultat

32
Q

stimulus sémantique

A

filtre tardif, on doit aller chercher l’information sur chaque mot avant de les traiter, charge plus élevée, moins d’énergie pour tâche secondaire, donc résultat mois bon

33
Q

Effet sur la capacité dans Johnston et Heinz

A

il faut plus de capacité pour traiter l’information au niveau d’une sélection tardive que précoce et la performance varie selon la charge de la tâche principale

34
Q

processus automatiques

A

encodage mnésique automatique et lecture
Sans intention
Sans conscience
N’interfère pas avec les autres
S’effectue rapidement et de façon constante
Peu influencés par la quantité d’information

35
Q

Théorie de l’encodage automatique de Hasher et Zacks

A

Deux types de traitement mnésique:
1. ceux qui nécessitent un effort important et qui s’accompagnent de stratégies (par ex., imagerie visuelle, élaboration, répétition, etc.)
Vs.
2. ceux qui en nécessitent très peu, voir aucun (automatique)

36
Q

apprentissage incident

A

apprentissage qui se produit en l’absence d’un effort conscient (ex., souvenirs)

37
Q

Cinq critères de distinction entre traitement automatique et traitement avec effort mental

A

Apprentissage intentionnel/incident (intentionnel mieux que incident pour effort)
Consignes et pratique (amélioration de la performance pour effort)
Interférence entre les tâches (interférence pour effort)
États émotionnels et activation (diminution de la performance pour effort)
Effet de l’âge (diminution de la performance aux deux pôles pour effort)
Pour traitement automatique, les deux autant efficaces/pas/peu d’effet

38
Q

lecture

A

une compétence complexe doit pouvoir compter sur le traitement automatique d’une ou plus de ses composantes, sinon la demande de toutes les composantes excèderait la capacité disponible pour exécuter la tâche

39
Q

effet stroop

A

difficulté à ignorer, ou « filtrer », certaines informations lors d’une tâche cognitive automatique, qui se traduit par un ralentissement du temps de réaction

40
Q

attention partagée et ressources multiples

A

l’attention est un ensemble de ressources ayant différentes fonctions. Deux tâches peuvent être réalisées simultanément si elles exploitent des ressources différentes

41
Q

Appui aux théories de la capacité

A

Kantowitz et Knight et McLeod

42
Q

Kanowitz et Knight

A
TÂCHE 1:
Appuyer sur 2 boutons au rythme indiqué par des lumières
Variation de la difficulté = augmentation de la distance entre les boutons et leur dimension
TÂCHE 2:
Transformation de nombre
1. Répéter le nombre
2. X – 1 = ?
3. X + 3 = ?
4. 16 – X = ?
43
Q

résultats Kanowitz tâche isolée

A

les deux tâches effectuées de façon isolée exigent de l’attention, car une augmentation du degré de difficulté dans la tâche affecte la performance à celle-ci

44
Q

résultats Kanowitz tâche simultanée

A

soutiennent l’hypothèse des ressources multiples: existence de ressources attentionnelles distinctes, indépendantes

45
Q

McLeod

A
2 tâches faites simultanément:
Tâche de base:
Poursuite de cible avec une manette (nature motrice)
Tâche-test de discrimination:
Discriminer des sons; soit aigu ou grave
GR 1: réponse verbale
GR 2: réponse motrice
RÉSULTATS: La performance à la tâche-test est nettement moins bonne quand la réponse est sous la modalité motrice
46
Q

interférence des tâches

A

les tâches interfèrent si elles utilisent des modalités semblables, car elles sollicitent des bassins de ressources semblables et vis-versa

47
Q

conduite automobile

A

la tâche de conduite est suffisamment complexe et l’utilisation du cellulaire, que ce soit le dispositif main libre ou en main, constitue une importante source de distraction comme la conduite implique plusieurs tâches interdépendantes : Biomécaniques, auditives, visuelles, cognitives