cours 5 sémantique lexique Flashcards

1
Q

sémantique

A

étude de la signification, plusieurs niveaux

signification mot : sem lexicale

signification phrase : sem compositionnelle –> changer ordre mots = changer sens

signification discours : relations sem entre les phrases dans un discours

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2
Q

sémantique lexicale

A
  • signification des mots
  • rapport de signification entre les mots
homophonie, homographie
synonymie, antonymie
polysémie
traits sémantiques
catégories sémantiques
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3
Q

homophonie VS homographie

A

homophone : même forme phonologique, mais des significations différentes.
o Maire-mère, paire-père.

homographe : s’écrivent pareils mais ne se prononcent pas forcément pareil, 2 étymologies

ex : Nous portions nos portions.
Les poules du couvent couvent.

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4
Q

polysémie

A

o Propriété d’un mot ayant plusieurs significations, mais une seule étymologie (≠ homographie : 2 étymologies différentes).

o Exemples : Bras (partie du fleuve vs du corps), voler (se déplacer dans les airs vs dérober).

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5
Q

étymologie

A

origine formelle et sémantique d’un mot

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6
Q

changement de type

A

en sémantique lexicale, opération qui consiste à passer d’une signification d’un mot à une autre de ses significations. Cette opération agit donc sur les mots polysémiques.

le bb boit son biberon
marie rince le biberon du bb
contenu –> contenant

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7
Q

traits sémantiques

A

Les significations des mots sont composées de propriétés sémantiques qui font que certains mots appartiennent au même champ sémantique

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8
Q

meme champ sémantique

A

avoir des propriétés sémantiques en commun

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9
Q

classer les mots en fonction de leur trait sémantique

A

femelle, humain, - jeune –> femme

male, humain, parent –> père

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10
Q

traits sémantiques ont une réalité linguistique

A
  • erreurs de parole : lapsus sémantique, on échange un mot avec un autre car partagent TS –> il est venu trop tar/tot
  • recherche du mot : apahsie de wernicke, arrive a donner els traits sémantiques mais pas le mot exact
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11
Q

principe de compositionnalité

A

sémantique compositionnelle
la signification d’une phrase est déterminée par :
- la signification des mots qui la composent
-par la structure syntaxique (ordre des mots) dans laquelle ils sont combinés –> relation sémantique/syntaxe

chien mord homme VS homme mord chien (rare, interessant)

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12
Q

entités de la phrase

A

Les entités du monde (individus, objets = ARGUMENTS) sont reliés entre elles par des termes particuliers qui décrivent les relations(= PREDICATS) entre ces arguments ou (si copule) les propriétés(= PREDICATS) de ces arguments

prédicat = souvent le vb

il neige –> qu’un prédicat, il n’a pas de valeur sémantique

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13
Q

prédicat

A

décrit les relations entre les argument ou les propriétés des arguments

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14
Q

prédicats complexes

A

causatifs : sujet fait executer l’action apr un autre sujet

le taureau a fait blemir le torero
le mère nourrit son bb

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15
Q

représentations lexicales des mots

A

Représentations lexicales contiennent des représentations de différentes natures et interconnectées

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16
Q

qu’est ce qu’une entrée lexicale active ?

A

1) signification (info conceptuelle) –> représentation sémantique, sens des mots
2) propriétés syntaxiques –> repre syntaxique, catégories (vb, adj) et compléments autorisés (intransitif..)
3) caractéristiques morpho –> genre/nombre
4) caractéristiques phono –> repr phonologique

Ex : cheval –> mammifère, animal, avec des sabots, êtreanimé… nom commun (précédé d’un déterminant, peut être le sujet d’un verbe, etc.) au singulier (vs. « aux » marque dupluriel) ; Se dit /che-val/

17
Q

qu’est ce qu’apprendre un mot ?

A

encoder et organiser progressivement les informations liées à ce mot (représentations syntaxique, sémantique, phonologique)

18
Q

organisation du lexique

A

Trois niveaux d’organisation dans le lexique à du plus général au plus spécifique

  • Niveau super-ordonné (ex: animal)
  • Niveau de base (ex: cheval) à acquis en premier
  • Niveau sub-ordonné(ex: shetland)
19
Q

surgénéralisations lexicale VS sous généralisation

A

surgénéralisations : application d’un mot à toutes les situations

sous génér : appliquer un mot à une seule situation très précise

20
Q

sémantique du discours

A

ce qui fait la diff ce sont les changements discursifs –> terme de cohérence, cohésion, informativité

sémantique de la combinaison d’énoncés

21
Q

sémantique discursive, 2 notions

A

cohérence locale, entre les énoncés adjacents –> anaphore, connecteurs = MICROSTRUCTURE

cohérence globale, structure générale –> ordre des composants du discours, maintien thème central, schéma narratif = MACROSTRUCTURE

22
Q

sur quoi repose la cohérence globale et locale ?

A
  • marqueurs linguistiques :
    Marqueurs d’ancrage référentiel (anaphores) Marqueurs d’ancrage spatial Marqueurs d’ancrage temporel (connecteurs, flexions verbales)
    Autres connecteurs logiques : but, cause, addition, conclusion, etc.
  • infos plus conceptuelles encodés en MLT
    connaissances de la structure habiutelle des récits
    connaissances generales pour faire des inférences
23
Q

éléments du schéma narratif, maitrisés quand ?

A

émergents à 6 ans, maitrisés a 12

  • exposition, situation initiale
  • evnt déclencheur
  • complication (réaction, but tentative)
  • résolution
  • fin
  • morale
24
Q

troubles lexicaux

A

stock lexicale et diversité lexicale chez TDL :

  • retard quantitatif dans acquisition lexicale
  • diversité lexicale plus réduite

aspects qualitatifs
nature des mots appris similaire chez TDL et controle, meme type d’erreur de confusion –> surtout décallage quantitatifs

accès lexical
manque du mot

25
retard quantitatif dans acquisition lexicale
- Premiers mots plus tardifs : généralement pas avant 18 mois - Selon les inventaires parentaux pour les enfants TDL : 1ers mots vers 23 mois contre 9-12 mois dans le groupe contrôle (Trauner et al., 1995 ; Leonard, 1998) - Retard lexical qui s’accroît avec l’âge (même si apparition des 1ers mots ≈ normale, stagnation par la suite)
26
diversité lexicale plus réduite
Diversité lexicale plus réduite: - Inventaire parental à TDL : 17 mots différents à 2;2 ans, ce qui correspond à 1;4 an (Thal et al., 1999) - Langage spontané : nombre de mots différents TDL < contrôles (Leonard et al, 1999) mais diversité lexicale équivalente à celle d’enfants de même LME (Watkins et al., 1995)
27
accès lexical, manque du mot
dénomination correcte prend plus de temps chez les TDL caractéristiques : - Latence importante (recherche du mot en mémoire) - Nombreuses pauses - Mots vides de sens ou indéfinis « chose » ; « truc » - Pauses remplies (hum, alors) - Circonlocutions (ex. pour « couteau » : il a une pointe) - Persévérations - Commentaires métalinguistiques (cela commence par un « b ») - Commentaires métacognitifs (allez ! Je connais ce mot) - Tendance à définir ou à faire des gestes + gestes de frustration
28
macrostructure chez TDL
narration était plus pauvre que celle des enfants au développement typique Plus précisément : - Moins d’éléments du schéma de récit : personnages, lieux, événements déclencheurs, réactions… - Omission d’informations, moins de cohésion et de structure dans le récit - «Mise en intrigue» tronquée, sans élément déclencheur - Récits plus courts
29
troubles discursifs
- macrostructure - microstructure en production - diff compréhension
30
microstructure en production chez TDL
- Récits moins complexes sur le plan syntaxique - Moins de marqueurs de cohésion - Moins de connecteurs , avec une utilisation plus fréquente de connecteurs additifs (et…et…) que de connecteurs temporels et causaux (après… parce que…) - Moins de pronoms référentiels - Une ambiguïté des pronoms plus fréquente ) - Plus d’ambiguïté de manière générale à référence à des informations non présentées auparavant ce qui rend difficile la compréhension de l’interlocuteur
31
diff compréhension
Difficultés pour les questions littérales et inférentielles, après une histoire entendue mais aussi après une histoire en images
32
De Weck, G. (2005) : Comparaisons de récits d’enfants tout-venant (4-11 ans) et avec TDL (6-11 ans) sur la base d’une histoire imagée Analyse axée sur l’introduction et le maintien des référents
résultats - Tout-venant: pas de récit avec introduction correcte des référents à 4 ans, mais émergents à 6 ans - TDL: Brièveté des tours de parole Tendance au discours monogéré(moins dans la coconstruction avec l’adulte) Décalage temporel dans l’introduction des référents (TDL 6-8 ans = tout-venant 4 ans)