Cours 5 Quoi & comment évaluer. (Utilisation, manifestations d'un TDL enfants scolaires et unilingues) Flashcards

1
Q

Quels sont les 7 éléments à considérer pour évaluer l’utilisation?

A
1- Maximes de Grice
2- Fonctions communicatives (ou intentions de communication pour les enfants préverbaux)
3- Tour de parole
4- Initiation de conversations
5- Maintien du sujet
6- Réparation des bris de communication
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2
Q

Quels sont les aspects reliés aux habiletés sociales qui peuvent affecter la pragmatique?

A

L’empathie émotionnelle, la capacité d’engendrer des inférences, la théorie de l’esprit et la motivation sociale.

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3
Q

Les troubles pragmatiques sont plus apparents de la (compréhension/production) du langage.

A

Les troubles pragmatiques sont plus apparents de la PRODUCTION du langage.

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4
Q

Vrai ou faux?

Les difficultés pragmatiques ont une portion compréhension.

A

Vrai (ex. comprendre les intentions d’autrui)

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5
Q

Les enfants ayant un trouble pragmatique ont des difficultés à différents plan, par exemple :
Traitement de l’information ________
Compréhension du code _______, de l’implicite et du non dit.
Comportements langagiers de base comme : …

A

Les enfants ayant un trouble pragmatique ont des difficultés à différents plan, par exemple :
Traitement de l’information CONTEXTUELLE
Compréhension du code NONVERBAL, de l’implicite et du non dit.
Comportements langagiers de base comme : SALUER, CONTACT VISUEL, POSTURE CORPORELLE AJUSTÉE

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6
Q

Qu’est-ce qui distingue les enfants ayant uniquement un trouble pragmatique des enfants ayant un TSA?

A

Les enfants TSA ont d’autres caractéristiques par exemple les intérêts restreints et des manifestations comportementales.

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7
Q

Quelle est la façon adéquate pour introduire un nouveau personnage dans une narration lors de la première mention? Et lors de mentions subséquentes?

A
  • 1e mention: Prénom, article indéfini + nom commun (un garçon qui…), pointé du doigt + article défini ou pronom si l’interlocuteur a accès au contexte.
  • Mentions subséquentes: Article défini (le garçon).
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8
Q

1- L’utilisation de gestes même si le contexte n’est pas partagé est adéquat jusqu’à quel âge?
2- Vers quel âge l’enfant utilise-t-il seulement le langage même lorsque le contexte est partagé?

A

1- 8 ans

2- 11 ans.

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9
Q

À partir de quel âge les enfants au développement typique ont-ils la capacité à faire des inférences portant sur un récit?

A

Vers 3-4 ans.

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10
Q

La motivation à apprendre à ____serait le facteur principal qui déterminera les efforts de l’enfant dans ses apprentissages.

A

La motivation à apprendre à LIRE serait le facteur principal qui déterminera les efforts de l’enfant dans ses apprentissages.

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11
Q

Quelles sont les connaissances conceptuelles qui font appel à l’éveil à l’écrit? (3)

A

1- Connaissance du principe alphabétique (correspondance graphème phonème, le lien entre les sons à l’oral et les lettres à l’écrit)
2- Connaissance des lettres
3- Conscience phonologique

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12
Q

Vrai ou faux?
Les acquis en prélittératie dépendent uniquement du milieu de l’enfant, c’est-à-dire de l’exposition à l’écrit et de l’environnement littéraire.

A

Faux.

Les acquis en prélittératie dépendent aussi de l’enfant (ses intérêts et sa faciliter d’apprentissage).

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13
Q

Les enfants ayant un trouble d’________ sont à risque d’avoir des difficultés avec la conscience phonologique.

A

Les enfants ayant un trouble d’ARTICULATION sont à risque d’avoir des difficultés avec la conscience phonologique.

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14
Q

Les enfants en fin maternelle (entre 3 et 5 ans) qui ont une faiblesse au niveau de la connaissance des _____ sont plus à risque d’avoir des difficultés à apprendre à lire.

A

Les enfants en fin maternelle qui ont une faiblesse au niveau de la connaissance des LETTRES sont plus à risque d’avoir des difficultés à apprendre à lire.

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15
Q

Quels sont les facteurs prédictifs des habiletés futures en lecture et écriture? (5)

A
1- Connaissances alphabétiques
2- Conscience phonologique
3- Dénomination rapide de lettres et de chiffres
4- Écriture de lettres ou du prénom
5- Mémoire phonologique
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16
Q

Les enfants qui ont une dyslexie ont des habiletés plus faibles que leurs pairs à l’âge préscolaire et scolaire pour …(4) Ce sont donc 4 facteurs de risques pour un trouble de langage écrit.

A

1- Dénomination rapide
2- Mémoire phonologique
3- Conscience des rimes
4- Conscience phonémique

17
Q

À l’âge scolaire, les enfants anglophones ayant un TDL, comparativement à ceux ayant un DT, (feraient/ne feraient pas) plus d’erreurs au niveau des arguments, mais (feraient/ne feraient pas) des structures de phrases (plus/moins) complexes.

A

À l’âge scolaire, les enfants anglophones ayant un TDL, comparativement à ceux ayant un DT, NE FERAIENT PAS plus d’erreurs au niveau des arguments, mais FERAIENT des structures de phrases MOINS complexes.

18
Q

À l’âge scolaire, les enfants francophones ayant un TDL, comparativement à ceux ayant un DT, auraient une performance (similaire/plus faible) en dénomination de verbes transitifs ou intransitifs, mais en production de phrases, ils omettraient (moins/plus) souvent l’auxiliaire (pour les verbes transitifs et intransitifs).

A

À l’âge scolaire, les enfants francophones ayant un TDL, comparativement à ceux ayant un DT, auraient une performance SIMILAIRE en dénomination de verbes transitifs ou intransitifs (MONTRE UNE CONNAISSANCE LEXICALE SIMILAIRE), mais en production de phrases, ils omettraient PLUS souvent l’auxiliaire (pour les verbes transitifs et intransitifs).

19
Q

À l’adolescence, la tâche de narration basée sur (une anecdote personnelle/ des images) est plus difficile surtout pour ceux ayant un TDL.

A

À l’adolescence, la tâche de narration basée sur DES IMAGES est plus difficile surtout pour ceux ayant un TDL.

20
Q

Vrai ou faux?
Dans une tâche de narration, la longueur des narrations, la diversité lexicale, le nombre de phrases complexes et le nombre de T-unit sont de bons marqueurs cliniques à l’adolescence.

A

FAUX.

21
Q

Le développement du langage abstrait/ambigu dépend de quelles habiletés (3)?

A

1- Sémantiques
2- Métalinguistiques
3- Syntaxiques

22
Q

Quels sont les éléments à considérer quand on évalue le langage abstrait/ambigu?

A
1- Demandes indirectes
2- Métaphores
3- Ironie
4- Sarcasme
5- Sens de l'humour
23
Q

Nommez 4 éléments affectées par les difficultés qui découlent d’un TDL à l’âge scolaire.

A

1- Lecture
2- Écriture
3- Mathématiques
4- Compétences sociales (participer aux tâches, se faire des amis, victimisation, exclusion)

24
Q

Quelles sont les causes possibles de certaines difficultés en mathématiques qui ne sont pas directement liées aux mathématiques?

A

1- Manipulation de symboles mathématiques (ex. )
2- Utilisation de la MDT pour les suites logiques
3- Combinaison de l’utilisation d’une syntaxe complexe au niveau linguistique et de symboles mathématiques
4- Vocabulaire spécifique inconnu
5- Quantité d’instructions donnés.

25
Q

Le vocabulaire _______ serait prédicteur de la réussite scolaire.

A

Le vocabulaire SCOLAIRE (MOTS D’INSTRUCTION, MOTS REPRÉSENTANT DES OPÉRATIONS MENTALES…) serait prédicteur de la réussite scolaire.

26
Q

Vrai ou faux?

Les enfants bilingues ont parfois un TDL dans une seule langue.

A

Faux, le TDL se manifeste dans les 2 langues. Parc ontre, les manifestations peuvent être différentes.

27
Q

Quelle tâche est-il important d’inclure pour les enfants bilingues?

A

La tâche de répétition de nonmots, car elle a été identifiée comme étant la moins affectée par le bilinguisme.

28
Q

Vrai ou faux?
Le développement des enfants bilingues simultanés anglais-français de 5 ans (et 3 ans) est comparable à celui des enfants dont l’exposition au langage est similaire. C’est-à-dire que ce sera similaire aux enfants unilingues dans chacune des 2 langues.

A

Vrai.

29
Q

D’après les études d’Elin T., pour les enfants de 3 à 5 ans, le point de repère de référence est à - ___ ÉT pour la langue dominante, - ___ pour le bilinguisme équilibré et - ___ pour la langue faible.

A

D’après les études d’Elin T., pour les enfants de 3 à 5 ans, le point de repère de référence est à -1,25 à -1,5 ÉT pour la langue dominante, -1,5 à -1,75 pour le bilinguisme équilibré et -2 à -2,25pour la langue faible.

30
Q

Selon les études d’Elin T., pour quelle tâche est-ce que la performance est corrélée avec le niveau d’exposition dans la langue du test, en anglais et en français?

A

Répétition de phrase.

31
Q

Vrai ou faux?

Le test de répétition de non mots est corrélé avec le niveau d’exposition en français.

A

Faux.

32
Q

Qu’est-il important de calculer pour les enfants bilingues?

A

Le pourcentage d’exposition à la langue.

33
Q

Comment calcule-t-on le pourcentage d’exposition à une langue?
Par exemple: Calculez le % d’exposition au français pour un enfant de 36 mois exposé au français 80% du temps et au grec 20% depuis la naissance, à la maison et au CPE. Lors d’un voyage de 4 mois en Grèce, il a été exposé à seulement 10% de français.

A

1- Pour chaque période on calcule le %du contexte x % exposition à la langue, x nombre de mois.
2- Additionner le nombre obtenu pour chaque période.
3- Diviser le total par l’âge de l’enfant en nombre de mois.

( (32 x 0,8) + (4 x 0,10) ) / (36) = 72%

34
Q

Quels sont les éléments importants à considérer lors de recommandations portant sur le bilinguisme?

A
  • Importance d’utiliser une langue que les parents maîtrisent.
  • Nombre d’interlocuteurs natifs qui parlent la langue à l’enfant.
  • Variété de l’exposition à la langue (ex. tv, activités extrascolaires, amis locuteurs natifs…)
  • Importance d’interactions réelles
  • Importance de variété de contextes d’utilisation (incluant exposition à l’écrit dans chacune des langues)
35
Q

Vrai ou faux?

Il n’est pas nécessaire de suivre la règle un parent une langue.

A

Vrai. Par contre, si on veut que l’enfant devienne bilingue on peut le suggérer.