cours 5-6 Flashcards

1
Q

QU’EST-CE QUE L’ESTIME DE SOI?

A

Croyances d’une personne à son sujet
==>croyances: chargées émotivement

Résultat d’une évaluation de soi-même
–>résultat d’une évaluation qu’on fait de soi mm et l’impact émotif que ces pensées là ont a l‘intérieur de toi

Peut changer avec le temps, les circonstances et les aspects du soi envisagés
–>distinction avec la confiance en soi → on peut avoir une meilleure estime de soi dans les sports pex mais moins bonne pour l’école
→ donc l’estime peut changer avec le temps et le domaine
→ confiance en soi est plus stable et globale

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2
Q

MANIFESTATIONS DE L’ESTIME DE SOI

A
  1. Émotions
    –> Pèse sur bien-être (p.ex. paix d’esprit ou inquiétude)
  2. Comportements
    Se manifeste dans actions et relations sociales
    (p.ex. spontanéité ou blocage
  3. Pensées
    Influence ce sur quoi le cerveau se centre (p.ex. optimisme ou pessimisme, vision limitée ou plus globale)

estime de soi c’est la relation à soi, ce qui va teinter énormément notre relation aux autres

émotions: comment on se sent subjectivement, avec bonne estime on a plus rande paix d’Esprit, on se sent mieux si non inquiet anxieux déprimé etc

comportements: affecte les relations sociales, esque j’ai une assez bonne estime pour etre authentique et spontané ou esque j’ai mauvaise estime alors j’ai des blocages et je suis pas moi mm avec les autres
→ les gens avec meilleure estime vont prendre plus de risques
→ mauvaise estime plus dans l’évitement, la procrastination etc

pensées: tendance à être plus optimiste si bonne
→ pessimiste si non, focuser sur les aspects négatifs d’une interaction (vision limitée)
→ vision plus globale des interactions, ils vont moins nit pick sur une interaction voir si ça s’est mal passé etc

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3
Q

ORIGINES ET RÔLES DE L’ESTIME DE SOI

A
  1. Conscience réflexive unique à l’espèce humaine
    –>Permet de réfléchir sur soi, de s’observer en train d’agir, de s’améliorer
    –>faculté qui nous distinguerait des animaux
    –>consciences réflexive: capacité de penser à soi mm
  2. Rôle social
    –> Se préoccuper de ce que les autres pensent et ressentent vis-à-vis soi
    –>Permet de voir si accepté et de s’adapter si ce n’est pas le cas
    –>puisque j’ai besoin de maintenir une certaine valeur personnelle alors je dois me préoccuper de ce que les autres ressentent envers moi, j’utilise mon estime pour évaluer a que point je réussis à me faire accepter par mes paires
    → permet donc d’évaluer notre niveau d’adéquation à l’environnement, esque je m’adapte bien
    → mais peut aussi être nuisible surtout pour ceux avec mauvaise estime pcq va avoir fonction d’imagination genre ah jpa intelligent etc, les gens vont pas m’aimer … je m’imagine que ce que les autres penseront de moi
  3. Source d’information permanente sur adéquation à l’environnement
  4. Outil d’autonomie psychologique
    –> S’accorder une valeur permet de résister aux pressions et manipulations
    –>on a a l’intérieur de nous un baromètre interne de notre valeur, comme on fonctionne bien ou pas etc, on peut de l’intérieur s’accorder une valeur on a donc pas nécessairement toujours besoin des autres pour se faire dire quon a de la valeur etc → permet de résister aux pressions et manipulations, on a pas besoin de se conformer aux autres pour avoir de la valeur (si j’ai une bonne estime), j’accepterai pas de subir n’importe quoi pour avoir la validation
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4
Q

LE RÔLE DE L’ESTIME DE SOI – IMAGE DU TABLEAU DE BORD

A
  1. Signaler ce qui fonctionne (ou pas) dans ‘’moteur psychique’’
    –>Réservoirs: Niveau de remplissage des besoins fondamentaux (affection, réussite)
    –>Voyants lumineux: Problèmes (échecs, rejets)
    –>Style de conduite: Influence personnalité, conduite psycho-comportementale
    estime de soi agit comme un tableau de bord
    → permet de signaler ce qui fonctionne pas
    → renseigne sur le fait qu’on a besoin d’affection ou le besoin d’avoir une réussite
    → voyants: dit si y’a problème
    style de conduite; influence notre personnalité
  2. Deux grandes catégories de carburants de l’estime de soi
    –>Signes de reconnaissance sociale (affection, amour, admiration)
    –>Signes de performance (réussites, actions qui mènent à succès)
    deux sources pour nourrir l’estime
    → recevoir de l’amours, un câlin un compliment
    → vivre une réussite etc

donc fonction c’est de favoriser notre adaptation à notre environnement

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5
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI

A

Hauteur
Stabilité
Harmonie
Autonomie
Coût
Place et importance des questions liées à l’estime

critère de hauteur: haute estime de soi, basse etc
→ on peut pas juger avec seulement le critère de la hauteur, chercher sans cesse à avoir une haute estime est pas bon
→ si on utilisait juste ce critère on dirait que les narcissiques ont très bonne estime alors qu’on sait que ces gens ont une estime très fragile sur laquelle ils mettent bcpd e mécanismes de confiance pour avoir l’air d’avoir une bonne estime

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6
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: hauteur

A

Haute
–>S’apprécier
–>Agir et prendre sa place –>la personne peut aller de l’avant faire ses choses et prendre sa place, affirmation de soi mais pas écraser les autres
–>Ne pas s’effondrer face aux échecs/difficultés–>échec devrait pas te tuer, ça diminue un pue tone stime mais elle tombe pas à 0

Basse
–> Se dévaloriser
–> Douter de soi au point d’éviter d’agir
–> S’effondrer ou renoncer face aux échecs/difficultés

Haute et bonne estime de soi:
–>Discours sur soi: Peut parler positivement de soi, accepter compliments
–>Attitude face à l’action: Peut entreprendre, persévérer, renoncer sans se sentir humilié
–>Attentes et ambitions: Ajustées, ni trop ni trop peu
–>renoncer sans etre humilié: reconnaitre quon est pt pas capable de faire qqchose etc SANS s’effondrer!

ce quon vise c’est une haute ET bonne (juste haute peut etre mauvais..)

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7
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: stabilité

A

–>Réactivité aux évènements de vie
–>Amplitude des réactions émotionnelles face aux revers et aux réussites

a quel point l’Estime sera réactive aux événement de la vie

amplitude: esque ton estime fait des grosses montagnes russes, intenses réactions émotionnelles etc

Estime de soi stable:
–>Rôle d’amortisseur face aux réussites, approbations, échecs ou critiques –>notion de résilience
–>Joie ou déception, mais sans que cela bouleverse l’état entier et le fonctionnement –>peut vivre choses sans que ça menace son estime, son identité et comment il se comporte

–>Permet relative constance du comportement et du discours, indépendamment de l’environnement –>on reste soi mm avec les autres peu importe c’est qui

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8
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: harmonie

A

–> Investir l’estime de soi dans plusieurs domaines

–> Estime de soi investie dans domaine limité: mène à excellence et valorisation sociale, mais vulnérabilisation si échec dans ce domaine

–> Domaines diversifiés: Permet réparation croisée

Estime de soi harmonieuse:
1. Multiples intérêts
–>réussites personnelles, l’apparence physique, les relations etc on dépose des oeufs dans différents paniers, investir estime dans plusieurs domaines
2. Peu ou pas de grands écarts entre personne privée et personne publique
3. Capacité de réparer estime dans un domaine si échec dans un autre plutôt que de tous les dénigrer en cas de difficultés dans le domaine surinvesti

réparation croisée: on vite simultanément un échec dans un domaine et un beau
succès dans un autre domaine alors ça vient alléger la baisse de l,estime de soi qu’on vit dans l’autre domaine
→ ça annule pas la peine mais ça l’appaise

harmonieuse
-plusieurs interets, investi pas dans juste une place

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9
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: autonomie

A

–>Estime de soi centrée sur objectifs internes vs dépendante de facteurs externes

–>Objectifs internes confèrent plus de résistance et de solidité

Estime de soi autonome:
1. Indépendance par rapport aux pressions sociales sur ce qu’il faut avoir/faire/montrer pour être/se sentir estimé des autres
2. Capacité de supporter les mésententes ou le rejet social

interne ex: bonne estime pcq j’agis en concordance avec mes valeurs alors ça me donne une bonne estime

vs toujours avoir besoin de preuves externe pour l’Estime comme l’argent, ce que les autre pensent de nous etc

correcte d’en avoir des externe mais il FAUT qu’il y ait interne aussi
→ ex: t,es fier de toi mm si c’est juste toi qui sait que tu as vécu une réussite

→ capable de set tes limites et boundaries

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10
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: cout

A

Dépense d’énergie pour protéger ou promouvoir l’estime

Lorsqu’élevé: stress et niveau plus faible de bien-être

Estime de soi «économe» en énergie psychologique:
1. Impact émotionnel modéré des évènements de vie mineurs, faible niveau de stress, peu de justification face à critiques/remises en question
2. Capacité à se nourrir tranquillement des critiques et à leur manifester de l’intérêt plutôt que vouloir les éviter ou les faire taire

à quel point c’est coûteux de maintenir l’estime au niveau qu’on désire

–. si tu doit utiliser plein de mécanismes de défense afin de conserver ton estime c’est pt pas bon

pas trop de stress, personne a pas besoin de déployer bcp d’énergie pour se défendre

elle peut prendre de la rétroaction et peut s’adapter a la place de chercher a tout prix d’éviter de recevoir ce reflet là sur soi

à quel point c’est coûteux de maintenir l’estime au niveau qu’on désire

–. si tu doit utiliser plein de mécanismes de défense afin de conserver ton estime c’est pt pas bon

pas trop de stress, personne a pas besoin de déployer bcp d’énergie pour se défendre

elle peut prendre de la rétroaction et peut s’adapter a la place de chercher a tout prix d’éviter de recevoir ce reflet là sur soi

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11
Q

DIMENSIONS D’UNE BONNE ESTIME DE SOI: importance

A

La défense ou la promotion de l’estime occupe une place légitime et sans excès dans l’esprit et les efforts de la personne

Identité définie par autre chose (en plus de) que l’estime de soi

Estime de soi non surinvestie:
1. Les blessures d’estime ne contaminent pas l’ensemble des pensées, activités ou états émotionnels
2. Digérer les échecs sans drame
3. Ne pas être à la recherche constante de micro-indices qui témoignent du statut de la personne
4. Possibilité de poursuivre objectifs qui ne rapportent rien en termes de prestige sociale/image

c’est pas supposé être ce dont a quoi on pense all day everyday

–. l’estime de soi a pas une fonction centrale dans l’identité

si toute ta vie est basée autour de l’estime pas bon, tu vas toujours etre hyper aware de sque tu fais etc

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12
Q

BÉNÉFICES D’UNE BONNE ESTIME DE SOI

A
  1. Source de motivation interne: action et persévérance plus faciles
    –>meilleur type de motivation quon peut avoir
  2. Résistance aux influences sociales et protection de l’identité
  3. Effet de protection et de réparation: facilite la résilience face aux évènements de vie adverses (rapidité de réparation)
    –>gens avec bonne estime vont vivre rejets et échecs et c’est souffrant ofc mais ce qui permet de distinguer entre bonne estime et mauvaise c’est la rapidité de séparation, ils vont s’en remettre plus rapidement
    → quelque spit la qualité de l’Estime, le rejet et echec font mal! l’estime s’observe dans la rapidité du come back
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13
Q

VARIATIONS DE L’ESTIME DE SOI

A

–>→ rejoint le critère de la stabilité

  1. Normal et utile d’avoir des oscillations
    –> Nous informe de nos efforts, de notre niveau d’adaptation, d’acceptation ou de rejet social
    –>les oscillation nous informent sur ce qui se passe, si on se fait accepter au niveau social, si on est apprécié, si on fait bine notre travail etc
    → ce qui nous permet de nous adapter etc
  2. Se rapproche du pathologique si systématique
    –> Toujours se voir positivement ou négativement
    –>très très positivement on est pt narcissique et négativement peut etre t,es dépressif
  3. Niveau d’estime bouge en fonction des nourritures que lui offre notre quotidien, principalement:
    –>Reconnaissance sociale
    –>Performance/sentiment d’efficacité personnelle
    –>se sentir compétent, sentir un controle sur notre environnement
    → on a absolument besoin des DEUX (perfo et recon soc)
    → ramène au critère d’harmonie
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14
Q

ROFIL NO.1: BASSES ESTIMES DE SOI

A

ils vont pas avoir d’oscillations cv etre stable et durable.

  1. Convaincue d’être moins bien que les autres (tous les domaines)
    –>psychique, psychologique, sportif etc tous les aspects de la vie
  2. Aveuglement sélectif à tout ce qui est beau et bon (digne d’estime) chez elle
    –>on va chercher toutes les preuves qu’on a pas de valeur mais ensuite aveuglément à toutes le contre-preuves
  3. Pas de relativisation ou distance, aucune clémence envers ses failles
    –>on peut pas relativiser si une faute alors c’est gros et vrm bad, discours très autocritqiue
  4. Comparaisons sociales qui ne favorisent pas l’adaptation (et qui sont biaisées)
    –>se verront toujours comme étant inférieures, j’ai un biais je vois tt ce qui est négatif de moi et tt de positif sur autres
  5. La priorité: protection de l’estime
    –>Prudence, influence les actions
    –>Éviter tout risque d’échec (surtout si dans contexte social)
    –>Résultat: les valorisations sociales sont rares
    –>ils en ont tlm pas bcp que c’est très risqué de s,exposer, ils doivent protéger leurs morceaux d’Estime
    →souvent dans l’évitement et procrastination comme ça elle prend pas de risques → comme ça l’estime peut pas baisser encor eplus
    → puisque la personne prend pas le risques, pas de valorisation
    → personne se sent vide, ennuyante, déprimée
  6. Au niveau relationnel: cherche à tout prix l’acceptation
    –>Évite conflit et tout ce qui pourrait entraîner rejet (donner son avis, faire une demande)
    –>Aliénation et sentiment de vide
    –>les gens développent pas leur soi quand ils font ça donc aliénation et vide,
  7. Renoncement, évitement et sous-positionnement par rapport à ses capacités
    –>Dévalorisation réelle (vie objectivement moins riche)
    –>Frustration et amertume
    –>elle sous estime ses capacités et donc elle n’agit pas donc avec le temps ^ça devient vrai quils accomplissent moins, quils ont moins d’amis etc mais juste pcq ils ont moins tenté de choses etc
    → il s’enferment encore plus dans leur basse estime de soi
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15
Q

PROFIL NO.2: HAUTES ESTIMES DE SOI FRAGILES

A

mm phénomène que celui des basses estimes (le coeur est le mm) mais ils vont lutter différemment face à ces fragilités là

  1. Mêmes fragilités, mais luttent différemment contre leurs doutes
    –>Caractéristiques surajoutées, plus flamboyantes, empilées par-dessus basse estime
    –> Construction d’un «super-soi», personnage social qui protège la personne sous-jacente, plus fragile
    –> Cas de figure extrême: trouble de personnalité narcissique
    → ils vont empiler caractéristiques par dessus la basse estime
    les bases sont pas solides
    pas besoin d’avoir un tPN pour avoir ce problème
  2. Efforts de maintien de la haute estime (voir prochaine diapositive)
    –>Sert à ne pas trop douter ou devoir accepter ses limites
    –>Ces stratégies engendrent du stress et ont un coût émotionnel élevé (usure et fragilisation)
    –>plutôt que d’être en retrait comme dans la basse estime, ils vont aller de l’avant pour avoir la bonne estime, mm sils ont peur ils vont se jeter dedans, hyperactifs sont toujours dna le go pcq si s’arrête pt quil va etre confronté à son fond d’estime basse

→peuvent vivre bcp de symptômes dépressifs et anxiété pcq déploient bcpbcp d’efforts pour leur estime

  1. Comparaisons permanentes
    –>Vers le haut: jalouse, dévalorise pour réduire écart
    –>Vers le bas: méprise, inquiétude d’être ainsi soi-même
    –>toujours se comparer à l’autre
    → si on juge que l’autre est supérieur on va vouloir le mépriser pour le ramner plus bas et donc se ramener plus haut
    → vers le bas: détecte défaut chez partenaire et là a peur de son propre niveau de valeur puisqu’il est associé à l’autre → donc méprise l’autre mais aussi anxiogène pour eux mm pcq associés
  2. Se lance dans l’action vu important besoin de gratification
    –>Manifestations anxieuses (peur de ne pas y arriver, d’être démasqué)
    –>Manifestations dépressives (prises de conscience brutales de la fragilité, fatigue)
    –>malgré doutes et mauvaise actions ils vont toujours se lancer
    → mias va rendre très anxieux et dépressif pcq va se lancer mais anticipe que cv mal se passer
  3. Forte intolérance aux échecs et difficulté globale à se remettre en question
    –>Remet plutôt en question pertinence ou réalité du problème
    –>c’est jamais de leur faute, ils vont nier que y’a un problème etc
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16
Q

PROFIL NO.1 ET PROFIL NO.2: STRATÉGIES INADAPTÉES DE PROTECTION

A

-Stratégies inadaptées (surdéfensives) de protection de l’estime de soi
–>Représentent problèmes d’estime, plus que compétence et statut réel
–>Bloquent apprentissages, évolution
–>Tous les efforts sont investis dans l’autodéfense

la problématique c’est pas nécessairement le niveau d’estime mais les strat

basse estime: trop se protéger, éviter, trop défensif,
haute estime fragile: très défensif mais dans l’autre sens, se lancer, être flamboyant etc, auto-défense

17
Q

DÉMARCHE DE CHANGEMENT –DÉVELOPPEMENT DURABLE DE L’ESTIME DE SOI

A
  1. Comprendre l’influence du passé (souffrances et carences) et rapport à celui-ci (mode de conduite actuel et actions au quotidien)
    ex: comprendre le passé des attachements, genre une mère qui s’en battait les couilles de toi
    → agir sur le rapport au passé, voir que oui en raison de ton passé tu as mtn des problématiques mais tu as un pouvoir la dessus et tu peux changer
  2. Vivre (réellement): agir, découvrir, se révéler, prendre des risques, lâcher prise, délaisser contrôle et maîtrise de son image
    –>encourager la personne à agir, prendre des risques, se révéler aux autres
    → vivre réellement, pas te sentir en controle mais le faire pareil
  3. Diminuer protection pour permettre réparation et maturation
    –>arrêter de se défendre autant
  4. Climat de tolérance aux difficultés, cesser de se dévaloriser
18
Q

JUGEMENT SUR SOI ET AUTOCRITIQUE

A

Phénomène du critique intérieur

–>Jugements négatifs et limitants, auto-critique quasi constante

–> Déformation de la réalité (filtre), de ce qui nous arrive (succès ou échecs)

–> Croyance (fausse) que c’est une forme de lucidité

–> Peut entraîner (haut niveau) dysphorie, angoisse, vulnérabilité au stress, sentiment d’impuissance

retrouvé chez ceux avec faible ou fragile estime

-discours interne auto critique trop sévère qui en vient à déformer la réalité

-croyance: on pense qu’on a une vision réaliste, avoir plus d’atocompation ça serait fake

-quand présent à haut niveau dysphorie etc

19
Q

LA PRATIQUE DE L’AUTOCRITIQUE UTILE

A

pour faire face à l’autocritique–. autocritique mais qui est utile

  1. Bien faire la différence entre faits et interprétation
    –> Prises de consciences régulières, séparant l’information et l’observation (neutres) du jugement (subjectif)
    –>look at the facts! rester collé sur le réel
    → technique des preuves et contre preuves (facts vs facts.. souvent pas bcp de preuves que t’es horrible…)
  2. Se montrer prudent face aux conclusions précipitées du critique intérieur
    –>Peut conduire à de nombreuses erreurs (p.ex. erreurs d’attribution)
    –> erreur d’attribution: erreur qu’on fait quand on tente d’expliquer la cause d’un succès ou échec → ex j’attribue mon succès à une erreur plus tôt que pcq je suis acc bon et je le méritais
  3. Reformuler différemment ses autoverbalisations
    –>Ne plus accepter les termes radicaux et définitifs
    –>donc pas dire jamais, le pire, toujours etc → faire l’exercice de remplacer ces mots par d’autres termes
  4. Comprendre que les changements prennent du temps
    –> Accepter des retours ponctuels du critique intérieur dans notre univers psychique
    –>c’est normal que le critique interne reviennent once in a while mais reprendre le controle dessus
20
Q

LA PRATIQUE DE L’AUTOCRITIQUE UTILE : Se parler comme on parlerait à un.e bon.ne ami.e

A

Se parler comme on parlerait à un.e bon.ne ami.e

  1. Stratégie/exercice qui consiste à s’inspirer de la relation amicale (empreinte d’affection et d’estime) comme modèle de la relation à soi
  2. Amener la personne à mettre en mots son discours autocritique (souvent trop sévère, critique, rigide)
  3. Demander à la personne si elle aurait dit cela à son meilleur ami, confronté à la même situation
    –>se dire qqchose a soi mm génère les mm émotions au mm niveau que si qqun nous disait ça donc.. important d’avoir autocompassion
  4. Demander à la personne de modifier le discours, selon ce qu’elle dirait à son meilleur ami
    –> À partir des mêmes faits, le discours s’adoucit
  5. Encourager à avoir recours à ce type de discours envers elle-même
21
Q

LA LUTTE AUX COMPLEXES: Qu’est-ce qu’un complexe?
et Quoi éviter dans la lutte aux complexes?

A

Qu’est-ce qu’un complexe?
1. Focalisation obsédante et constante de l’ensemble des pensées sur une partie du corps ou une dimension de la personnalité
2. Perturbe l’estime de soi en entier, le bien-être émotionnel et le comportement social
3. L’objet du complexe (réel ou imaginaire)

Quoi éviter dans la lutte aux complexes?
1. Obéir au complexe: renoncer à s’exposer aux regards ou jugements, fuire occasions de révéler supposé défaut
2. Ne s’exposer qu’une fois le complexe compensé et sous contrôle

teinte toute notre valeur

objet peut être réel genre oui t’es gros vs t’es anorexique mais tu te crois gros

obéir: serait pex cacher des parties du corps puisque t’es complexé
juste s’exposer: sortir juste une fois que t’a mis tlm de makeup qu’on te reconnait pas

22
Q

LA LUTTE AUX COMPLEXES: Comment lutter contre les complexes?

A
  1. Observer les autres
    –> Voir comment des «défauts» semblables n’empêchent pas d’autres personnes de vivre librement
    –> Comprendre que cette liberté est le résultat d’attitudes mentales et comportementales adaptées
    –>quand on a complexe le regard est bcp tourné sur soi
    → voir que les autres vivent anyway mm si elles ont une carctérsitqiue quon a et qui nous complexe
    → ils sont pas chanceux de pouvoir vivre avec ça, ils prennent la décision de vivre mm si ils ont cette caractéristiques
  2. Lutter contre la «paranoïa du complexe»
    –> Ne pas attribuer toutes nos difficultés/échecs (ou les regards des autres) à nos complexes
    –> en prendre conscience et ensuite arrêter de la nourrir
    → ex: j’ai pas d’amis pcq jsuis laide.. nah c pcq tu te cache pis tu parle pas aux autres
    → ne pas attribuer le regard des autres à notre complexe genre ils nous regardent pcq ils regardent ça
  3. Faire l’expérience de se confronter
    –> S’exposer aux situations de honte progressivement, sans se violenter
  4. Élargir le regard sur soi
    –> Se voir comme une personne globale, élargir la vision de soi, ne pas se réduire à ses limites et défauts
    –> ex: oui j’ai nez croche pis jaime pas tant ça mais jai des beaux cheveux, j’ai un cool style etc
    → je suis autre chose que juste mon défaut
23
Q

L’ACTION: Le sentiment d’efficacité personnelle

A

Le sentiment d’efficacité personnelle
1. En lien avec besoin de l’humain de sentir que ses actes ont une influence sur son environnement
–> Exercer un contrôle sur aspects de sa vie quotidienne : favorise bien-être et estime de soi

  1. Important de maintenir ces comportements en périodes de doute sur soi

→ amener la personne à exister plus et se mettre en action

→ tous les petits cpt qui font sentir la personne en controle sur son environnement sont importants ex: faire sa vaisselle, va faire du yoga etc

24
Q

L’ACTION: Multiplier les actions pour banaliser la peur de l’action

A

Multiplier les actions pour banaliser la peur de l’action

  1. La rareté de l’action, et le manque d’habitude qui en découle, ont plusieurs effets négatifs
    –> Importance des obstacles et échecs, action idéalisée, procrastination
  2. Approche thérapeutique: encourager à effectuer de petits exercices (actions) pour se confronter à la vie
    –> Agir, multiplier et banaliser les actions

multiplier les actions pour arriver à banaliser l’action
→ la rareté de l’action la grossit encore plus donc maintient encore plus l’évitement
→ dans l’évitement vit aucune expérience qui améliorera estime donc

25
Q

LE PERFECTIONNISME

A
  1. Peut être adaptatif si limité à un objectif précis à un moment précis
    –> Contre-productif lorsque devient une façon de se rassurer face à la peur de l’échec ou de l’imperfection
    –> parfois par exemple le perfectionnisme c’est contre-productif , defois c’est nécessaire mais parfois vrm pas et ça te met plus dans la merde pcq klà t’a pas fini ton travail etc
  2. Exercices de lâcher-prise
    –>Commencer petit sans trop de menace directe à l’estime (choses désagréables, mais tolérables)
    –> Observer ce qui se passe vraiment
  3. Faire simple
    –>Les personnes à bonne estime de soi ont tendance à faire plus simple
    –> Le défi pour problématiques d’estime: faire simple, sans s’en sentir dévalorisé (mais plutôt allégé)
    –>besoin d’en faire plus (strat défensive) alors on encourage les gens à faire plus simple plutôt que d’être dans la perfection
26
Q

LA RÉTROACTION

A
  1. La rétroaction (positive ou négative) est de l’information sur soi-même qu’on obtient de l’environnement
    –> Permet d’ajuster sa manière de penser et d’agir en fonction de ces informations
  2. Les problèmes d’estime de soi peuvent représenter un obstacle à la bonne utilisation de la rétroaction
    –> Recherche de rassurance ou valorisation, qui pousse à l’évitement des informations déplaisantes
    –>Tendance à supposer que toute rétroaction est inexacte
  3. Risques de ne pas utiliser la rétroaction
    –> L’estime de soi se nourrit uniquement de notre subjectivité, risque d’erreur, estime de soi qui se dirige exagérément vers le haut ou vers le bas

–>les prob d’estime vont nous empêcher d’utiliser la rétroaction et c,est dommage pcq elle nous aide à mieux nous adapter

27
Q

UTILISATION DE LA RÉTROACTION

A

4 règles pour un usage optimal de la rétroaction au quotidien

1) L’écouter
La considérer comme une chance plutôt que comme une menace
–>je suis chanceux que qqun prenne le temps de me donner une rétroaction

2) La solliciter aussi souvent que possible
Trouver personnes de confiance qui ont assisté aux moments importants et leur poser des questions
–>demander aux autres de donner rétroaction ex: jai peur d’avoir trop parlé au souper alors jdemande a mon amie si stai trop

3) Ne pas la rejeter, même si elle nous paraît inadaptée
Il est rare qu’une rétroaction soit à 100% erronée ou inutilisable
–> accepter la rétroaction, normal de ps etre en accord a 100% mais peut utiliser une partie au moins du feedback

4) Éviter de punir quelqu’un de nous avoir donné son avis sur nous
Possible par ailleurs de demander plus de précision ou de douceur