Cours 5 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qui influence la réussite scolaire ?

A
  • Confiance en soi
  • Le genre
  • Le rôle de la famille
  • Niveau socio-économique
  • Influence des pairs
  • Pratiques pédagogiques
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2
Q

Pourquoi la confiance en soi influence la réussite scolaire ?

A
  • Sentiment d’efficacité personnelle élevé est associé à une plus grande probabilité de réussir à l’école
  • Élèves qui croient en leurs capacités = se fixent obj stimulants + travaillent fort pour les atteindre + persiste malgré diff + demande de l’aide
  • Élèves qui ne croient pas en leurs capacités = frustration et déprime
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3
Q

Pourquoi le genre influence la réussite scolaire ?

A
  • Les filles ont tendance à mieux réussir que les gars (primaire + secondaire).
  • Filles = moins susceptibles redoubler / présenter pb à l’école
  • Filles attribuent davantage leurs succès à l’effort. Gars tendance à penser que c’est grâce à leurs habiletés / intelligence
  • Inconsciemment, les profs accordent plus d’importance aux filles (méthodes pédagogiques utilisées et littératie)
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4
Q

Pourquoi le rôle de la famille influence la réussite scolaire ?

A
  • Environnement propice à l’apprentissage
  • Implication des parents dans les activités scolaires
  • Attentes des parents (attitudes + face aux capacités)
  • Ecouragement en privilégiant la motivation intrinsèque
  • Style parentale (démocratique vs autoritaire vs permissif)
  • Communication entre la famille et l’école
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5
Q

Pourquoi le niveau socio-économique influence la réussite scolaire ?

A
  • Influence qui s’exerce à travers l’ambiance familiale, voisinage, qualité école dispo, façon dont parents élèvent enfants
  • Enfants provenant des milieux défavorisés = + retards cheminement scolaire
  • Importance du capital social (ressources familiales et communautaires sur lesquelles les enfants peuvent compter)
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6
Q

Pourquoi l’influence des paires influence la réussite scolaire ?

A
  • En voulant s’identifier à un groupe, l’enfant valorisera sa participation à l’école
  • Enfants se regroupent avec ceux qui ont des performances scolaires similaires (ainsi, les apprentissages nécessaires à la réussite scolaire - persévérance et détermination - peuvent être imités par les enfants d’un même groupe)
  • Adaptation et acceptation sociale (les enfants moins appréciés ont tendance à moins bien réussir)
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7
Q

Quelles sont les stratégies d’enseignement semblent être les plus efficaces ?

A
  • Favoriser les projets coopératifs et la résolution de problèmes pratiques
  • Adapter les projets aux champs d’intérêts des enfants
  • Mettre l’accent sur la créativité, les habiletés pratiques et l’esprit critique
  • Faire des liens avec les connaissances antérieures
  • Apprendre aux enfants à travailler en équipe
  • Favorise le sentiment d’auto-efficacité
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8
Q

L’entrée à l’école apporte des changements majeurs dans la vie affective et social de l’enfant

A
  • Il passe + de temps en dehors de sa famille
  • Sa vie devient de + en + autonome et indépendante
  • Son univers s’élargit considérablement
  • Les interactions avec les pairs l’exposent à de nouvelles perspectives
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9
Q

Qu’est-ce qui permet à l’enfant de dvp un concept de soi + complexe ?

A

Le progrès sur le plan cognitif
(Il est désormais capable de parler de lui plus facilement que dans la période préscolaire)

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10
Q

Pourquoi le concept de soi devient plus réaliste et plus complet ?

A
  • L’enfant est capable de décrire plusieurs aspects différents de sa personne
  • Les jugements qu’il porte sur lui-même peuvent maintenant inclure à la fois des éléments + et -
  • Il peut se définir en se comparant à d’autres enfants de son âge, contribuant au dvp du concept
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11
Q

À l’âge scolaire apparaît le soi réel et le soi idéal. Qu’est-ce que cela veux dire ?

A

Soi réel : idée qu’une personne se fait de ce qu’elle est vraiment
Soi idéal : idée qu’une personne se fait de ce qu’elle aimerait être
En reconnaissant l’écart entre les deux, l’enfant peut se fixer des objectifs qui le feront évoluer

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12
Q

Qu’est-ce qui joue un rôle déterminant sur l’estime de soi ?

A

Le soutien social (se sentir valorisé par sa famille, ses pairs et ses enseignants)

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13
Q

Comment reconnaître un enfant avec une bonne estime de soi ?

A
  • Heureux
  • Se font des amis facilement
  • Prennent plaisir aux act. sociales
  • Aiment essayer nv act
  • Aiment jouer seuls / avec d’autres
  • Sont créatifs + ont leurs propres idées
  • Sont à l’aise de parler aux autres pers.
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14
Q

Comment reconnaître un enfant avec une faible estime de soi ?

A
  • Peu d’amis
  • Facilement frustré/découragés (se sentent pas bien et ne savent pas pourquoi)
  • Hésitent à essayer de nouvelles choses
  • Diff suivre des règles et bien se comporter
  • Tendance à être réservés/déprimés
  • Disent souvent “je ne suis pas capable”
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15
Q

Plus les enfants vieillissent, plus ils sont capables de reconnaître et de maîtriser leurs émotions. Pourquoi ?

A
  • Plus cs de leurs propres émotions et celles des autres
  • Peuvent adapter leurs réact. émotionnelles selon la situation
  • Peuvent expérimenter émo. + complexes (fierté, honte, culpabilité)
  • Apprennent à verbaliser des émo. contradictoires
  • Arrivent mieux à comprendre les émo négatives
  • Apprennent à faire diff entre ressentir émo et l’exprimer (en fct des normes culturelles)
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16
Q

Qu’est-ce que l’auto-régulation émotionnelle ?

A

Processus par lequel une personne exerce un contrôle volontaire sur ses émotions, son attention et son comportement. (lié au comp mais augmente avec l’âge).

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17
Q

Qu’est-ce qu’une bonne régulation émotionnelle ?

A

l’enfant est capable de réprimer l’expression d’une émo négtive dans un moment innaproprié (meilleure adaptation à l’école)

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18
Q

Qu’est-ce qu’une mauvaise régulation émotionnelle ?

A

Tendance à se mettre en colère ou à être frustré lorsqu’on l’empêche de faire ce qu’il veut ; problèmes de comportement ultérieurs

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19
Q

Quand est-ce que les comportements prosociaux apparaissent ?

A

À l’âge préscolaire, mais se renforcent à l’âge scolaire

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20
Q

Les comportements sociaux sont signe de …

A
  • d’une bonne adaptation émotionnelle
  • estime de soi élevé (+ présent chez ces enfants)
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21
Q

À quoi servent les mécanismes de défenses ?

A

Stratégies inconscientes mises en place par le “moi” pour tenter de diminuer l’angoisse provenant généralement d’un conflit psychique entre une pulsion et les règles morales imposées par la société

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22
Q

Quels sont les mécanismes de défense et à quoi servent-ils ? (9)

A
  1. Déni ou négociation (nier la réalité d’une situation angoissante)
  2. Déplacement (déplacer une réaction sur une autre cible que celle sur laquelle est réellement dirigée)
  3. Régression (retourner à des modes d’expression ou à des conduites caractéristiques d’un stade intérieur)
  4. Refoulement (Reléguer dans l’inconscient un souvenir ou une représentation qui suscite trop d’angoisse
  5. Formation réactionnelle (exprimer des émotions ou agir de façon contraire à ce qu’on ressent réellement
  6. Projection (prêter à l’autre des intentions, désirs et des besoins
  7. Sublimation (canaliser dans une act socialement acceptable une pulsion qui ne l’est pas)
  8. Identification (assimilier de façon inconsciente certains aspects de la personnalité d’une autre personne
  9. Rationalisation (cacher les véritables motivations de ses pensées ou de ses sentiments sous des justifications raisonnables ou socialement acceptables
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23
Q

Selon la théorie psychosociale d’Erikson, qu’arrive t’il à l’enfant avant l’âge scolaire ?

A

L’enfant va résoudre plusieurs crises, lui permettant de dvp sa confiance (vs méfiance), son autonomie (vs honte/doute) et son initiative (vs culpabilité)

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24
Q

À quelle crise l’enfant se trouve en âge scolaire ? (Erikson)

A

Travail vs infériorité (6-11 ans) : (4 crise). L’enfant doit faire des apprentissages de certaines habiletés favorisées par la culture à laquelle il appartient. Il doit aussi être conscient de ses limites, sans dvp un sentiment d’infériorité.

Les enfants apprennent donc à participer à la vie en société.
Influence de la culture ++ important, car diffère les apprentissages.

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25
Q

Quelle est la limite de la 4e crise d’Erikson ?

A

C’est seulement l’équilibre entre les deux pôles (travail-infériorité) qui favorisera le dvp d’une saine personnalité.

L’enfant doit se sentir compétent, tout en étant cs de la posibilité de l’échec (un concept de soi réliste)

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26
Q

Qu’arrive t’il à la fin de la 4e crise d’Erikson ?

A
  • Lorsque l’enfant réussit à résoudre cette crise, il développe la compétence, une force adaptative qui implique le sentiment de pouvoir maîtriser et accomplir les tâches qui lui incombent.
  • Par contre, la comparaison sociale inhérente à la période sociale peut aener l’enfant à dvp un sentiment d’infériorité vis-à-vis ses pairs.
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27
Q

Selon Bronfenbrenner, de nombreux éléments situés à différents niveaux systémiques ont une incidence sur la famille, et par conséquent, sur le développement des enfants qui y grandissent. Nomme des exemples

A
  • Normes sociales et culturelles (ex. rôle du genre)
  • Climat, structure familiale, revenu, scolarité des parents, quartier de résidence
  • Changements de la famille et de la société à travers le temps
  • Conditions d’emploi, qualité des services offerts dans la communauté
  • Liens avec l’école
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28
Q

Quel est l’effet des différents climats sur le développement ?

A

Climat chaleureux et aidant : favorise cohésion familiale, résolution de conflit et meilleure adaptation

Climat conflictuel et/ou violent : pourrait augmenter le risque de problèmes de comp chez les enfants ou d’autres problèmes comme l’anxiété, la peur ou la dépression

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29
Q

Qu’est-ce que la corégulation ?

A

Étape transitionnelle dans le contrôle du comp de l’enfant durant laquelle les parents le supervisent de façon moins intense qu’auparavant, en lui laisant plus de posibilités d’utiliser l’autorégulation.

(À mesure que l’enfant vieillit, il devient plus autonome et un changement de pouvoir a lieu ; le contrôle passe graduellement des parents à l’enfant.

30
Q

Quelles sont les différences dans les relations avec la fratrie (rôle des enfants + âgés) dans les différentes sociétés ?

A

Sociétés non industrialisée : Aînés vont souvent prendre soin es plus jeunes (culture)

Société industrialisées : Bien que les aînés n’aient pas cette responsabilité, ils vont quand même transmettre un savoir aux plus jeunes, mais cela se fera d’une façon plus informelle

31
Q

Qu’est-ce qui détermine les rôles des frères et soeurs au sein de la famille ?

A
  • L’espacement en âge
  • Ordre de naissance
  • Genre
32
Q

Pourquoi les rôles des parents et leur organisation au sein de la famille a évolué à travers le temps ?

A
  • Il y a de plus en plus de mères qui travaillent
  • Il y a de plus en plus de pères qui restent à la maison pendant que la mère travaille
33
Q

Quels sont les influences de la conciliation travail-famille sur le dvp et le bien-être des enfants ?

A
  • Lorsque les 2 travaillent : enfants encouragés à devenir indp plus rapidement + dvp attitudes plus égalitaires des rôles sexuels. (meilleure réussite scolaire si un des 2 travaille à temps partiel)
  • Mères offrent un modèle positif de productivité. Pour les filles = + susceptible d’avoir un emploi et d’obtenir un salaire + élevé. Pour les gars = + de temps consacré à prendre soin de leur famille
34
Q

Quels sont les facteurs liés à l’impact du travail des mères sur leurs enfants ?

A
  • Âge et tempérament
  • Horaires de travail
  • Soutien du conjoint
  • Revenu
  • Qualité des services de garde dispo
35
Q

Quel est le facteur de risque de la pauvreté ?

A

Un faible revenu familial peut nuit au dvp général des enfants

36
Q

Quel est le risque cumulatif de la pauvreté ?

A
  • État émotionnel des parents (stress, anxiété)
  • Climat familial (plus tendu, moins affectueux)
  • Pratiques éducatives (discipline plus incohérente)
    • important : Répercussion chez les enfants (diff avec les pairs, manque de confiance en soi, dépression, diff scolaires et prob de comp)
37
Q

Quel est le facteur de protection de la pauvreté ?

A

Un comp parental efficace peut protéger les enfants des effets négatifs. La cohésion et l’affection au sein de la famille s’avèrent bénéfiques, en dépit du stress économique

38
Q

Quelle est la différence entre la structure familiale avant et adj ?

A
  • Générations précédentes : la grande majorité des familles étaient composées d’un couple marié hétérosexuel avec des enfants
  • Adj : Types plus diversifiés
39
Q

Quels sont les facteurs qui ont contribué à la diversité de la structure familiale ?

A
  • Plan démographique : entrée plus tardive dans la parentalité, bass du nb de naissances et indice de fécondité, espérance de vie + grande, vieillissement de la pop, immigration
  • Plan conjugal : union libre très répandue, formes de parentalité diverses, diversité socioculturelle
40
Q

Y’a t’il plus de famille avec enfants ou de couples sans enfant ?

A

Familles avec enfant

41
Q

Est-ce les familles biparentales ou les familles monoparentales qui sont le plus nombreuses ?

A

Biparentales

42
Q

Y’a t’il plus de mère seules que de père seul ?

A

Mères seules

43
Q

Vrai ou faux, malgré la popularité grandissante de l’union libre, le mariage demeure prédominant chez les couples

44
Q

En majorité, combien d’enfant y’a t’il dans les fratries au Qc ?

45
Q

Y’a t’il plus de familles avec des enfants de 5 à 11 ans ou des familles avec des enfants de 12 à 17 ans ?

A

5 à 11 ans

46
Q

Y’a t’il plus de familles homoparentales féminines ou masculines ?
(Représente 0.6% des familles biparentales)

A

Féminines

47
Q

Quels sont les types de familles recomposées (4)

A

Simple
1. Enfant d’un seul conjoint, arrivé avant la relation actuelle

Complexe
2. Enfant d’un seul conjoint + enfant commun
3. Enfant chacun des conjoints + sans enfant commun
4. Enfant de chacun des conjoint + enfant commun

48
Q

Nommes des défis supplémentaires que les familles pourraient vivre ?

A
  • Diff dans les act. vie quotidienne en raison d’un prob de santé (chez l’enfant ou chez le parent)
  • Statut d’immigration
49
Q

Vrai ou faux, la proportion des familles monoparentales est légèrement plus élevé au Québec qu’ailleurs au Canada

50
Q

Vrai ou faux, l’union libre est plus répandue au Québec que dans les autres provinces

51
Q

Vrai ou faux, les familles recomposées sont plus fréquente au Québec que dans les autres provinces

52
Q

Vrai ou faux, les familles immigrantes sont moins nombreuses au Québec qu’ailleurs au Canada

53
Q

Est-ce le divorce ou la séparation des parents qui aggrave davantage l’adaptation des enfants ou les facteurs connexes ?

A

Les facteurs connexes. Ex. diminution du niv de vie, soins inadéquats par des parents stressés…

54
Q

Quelles sont les répercussions de la séparation des parents sur l’enfant ?

A
  • Augmentation des diff scolaire
  • Augmentation des comp perturbateurs
  • Taux plus élevé d’humeur dépressive
  • Faible estime de soi
  • Détresse émotionnelle
55
Q

Vrai ou faux, la plupart des enfants réussissent à s’adapter suite à une nouvelle situation

56
Q

Vrai ou faux, les enfants de famille monoparentales connaissent souvent les mêmes conditions de vie que ceux qui vivent dans la pauvreté

A

Vrai. Ils s’adaptent à des changements constants (ex. cohabitation avec un nouveau conjoint)

57
Q

Quelles sont les répercussions potentielles sur le dvp de l’enfant vivant dans une famille monoparentale ?

A
  • Prob d’agressivité ou d’hyperactivité
  • Diff scolaire
  • Prob relationnels
  • Comp délinquants
58
Q

À quoi les enfants de famille recomposées doivent s’adapter ?

A
  • L’arrivée d’un beau parent (loyauté envers un parent interfère avec la création de nouveaux liens)
  • Cohabitation avec des demi-frères / soeurs
59
Q

Des facteurs de risque avant l’adoption d’un enfant peuvent être déterminants sur le sentiment d’attachement, l’adaptation et la réussite scolaire. Donne des exemples

A
  • Malnutrition prénatale
  • Prématurité
  • Séjour dans un orphelinat
  • Exposition intra-utérine à l’alcool ou la drogue
60
Q

Qu’est-ce que l’autodétermination ?

A
  • La motivation humaine est axée sur l’interaction dynamique entre l’environnement et la personne dans sa quête de satisfaction des besoins psychologiques
  • Il y a 3 besoins psychologiques fondamentaux et universels : appartenance sociale, compétence et autonomie
61
Q

Selon la théorie de l’autodétermination, des facteurs dans l’enviro social de l’indv peuvent soutenir ou entraver la satisfaction de ses besoins. Explique

A
  • Un enviro social qui soutient la satisfaction des besoins favorisera la croissance psychologiques, le dvp et l’ajustement psychosocial de la pers.
  • Un enviro social qui entrave cette satisfaction compromettra le dvp optimal de l’indv.
63
Q

Qu’est-ce que le besoin d’appartenance sociale, selon la théorie de l’autodétermination ?

A

Sentiment de connexions réciproques avec les autres.

64
Q

Qu’est-ce que le besoin d’appartenance sociale, selon la théorie de l’autodétermination ?

A

Sentiment de connexions réciproques avec les autres.

65
Q

Nomme différentes façons que les parents peuvent soutenir le besoin d’appartenance sociale

A
  • En ayant des interactions chaleureuses et affectueuses avec l’enfant
  • En passant du temps avec lui et en s’impliquant dans ses activités
  • En aidant l’enfant à contrôler ses émotions et en le réconfortant quand il est en détresse
66
Q

Qu’arrive t-il lorsque le besoin d’attachement social est soutenu ? Lorsqu’il l’est pas ?

A

Soutenu :
- sentiment d’attachement
- confiance en soi
- habiletés sociales
- régulation émotionnelle
- Empahtie

Entravée :
- tb comportements intériorisés (ex. Anxiété et dépression)
- tb comportements extériorisés (ex. Agressivité)

67
Q

Qu’est-ce que le besoin de compétence selon la théorie de l’autodétermination ?

A

Sentiment d’interagir effectivement avec son environnement et d’exercer ses capacités

68
Q

Comment le parent peut-il soutenir le besoin de compétence dans la théorie de l’autodétermination ?

A
  • En reconnaissant les habiletés de l’enfant et en respectant son rythme de dvp (lui offrir des act stimulantes qui favoriseront son apprentissage)
  • En fournissant des directives claires et en monitoring le progrès de l’enfant (encadrement)
  • en étant disponible pour soutenir ou aider l’enfant si nécessaire
  • en lui offrant de la rétroaction et en encourageant l’auto-critique
69
Q

Qu’arrive t’il lorsque le besoin de compétence est soutenu ? Lorsqu’il est entravé ?

A

Soutenu :
- Motivation et engagement
- meilleure performance académique
- sentiment de compétence
- communication positive entre l’enfant et son parent

Entravé :
- tb de comportement
- consommation de substances
- comportements délinquants

70
Q

Qu’est-ce que le besoin d’autonomie selon la théorie de l’autodétermination ?

A

Perception d’être source de ses actions. L’autonomie est valorisée lorsque l’individu agit par intérêt et en cohérence avec ses valeurs.

71
Q

Comment le parent peut-il soutenir le besoin d’autonomie de l’enfant selon la théorie de l’autodétermination ?

A
  • en acceptant l’enfant de façon inconditionnelle et en reconnaissant et en respectant son point de vue
  • en promouvant le plaisir dans les activités auxquelles l’enfant participe
  • en encourageant le dialogue et l’initiative et en permettant à l’enfant de participer à la prise de décisions importantes
72
Q

Qu’arrive t’il lorsque le besoin d’autonomie est soutenu dans la théorie de l’autodétermination ? Lorsque qu’il est entravé ?

A

Soutenu :
- niveau de motivation élevé
- respect des règles et autorégulation
- communication ouverte et honnête entre l’enfant et le parent
- ajustement et bien-être

Entravé :
- manque de motivation
- secrets en tte enfant et parent
- Tb oppositionnel
- tb comportements intériorisés et extériorisés