COURS 4 - Stress et stratégies d’adaptation Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qui fait que l’expérience du stress peut être si différente d’une personne à l’autre ?

A

Une influence de facteurs acquis et appris, individuels et environnementaux :

  • les antécédents
  • l’évaluation cognitive
  • les stratégies d’adaptation
  • les conséquences
  • le processus de rétroaction (les leçons tirées)
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2
Q

Vrai ou Faux.

Exercer du contrôle est plus important que la perception de pouvoir exercer du contrôle.

A

FAUX.
La perception de contrôle donne un plus grand sentiment de sûreté face à l’adversité

  • EXERCER du contrôle
    AGIR d’une manière qui influence son
    état, celui des autres ou une situation.
  • PERCEPTION de contrôle
    avoir le SENTIMENT que l’on est en mesure d’exercer du contrôle sur une situation
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3
Q

Qu’est-ce qu’un LOCUS de contrôle ?

A

“Un CONSTRUIT qui est utilisé pour catégoriser les orientations motivationnelles de base des gens et leurs perceptions du contrôle qu’ils ont sur les conditions de leur vie.”

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4
Q

Quelle est la différence entre un locus de contrôle INTERNE et EXTERNE ?

A

Interne : perception innée à savoir si l’individu à le pouvoir, le contrôle sur une situation donnée.

(J’ai le contrôle sur ça, je suis capable)

Externe : perception innée à savoir que les éléments extérieurs à l’individu sont en contrôle d’une situation donnée.

(C’est de la chance, c’est le contexte, etc.)

*Il peut être général ou spécifique selon la situation donnée, mais on remarque que les individus ont tendance à avoir un locus de contrôle général, qui s’applique à leur vécu, leur quotidien.

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5
Q

À quel type de locus de contrôle le stress est-il généralement associé ?

A

Le locus de contrôle EXTERNE est généralement associé à plus de stress.

*Sauf en situation où avoir un locus interne est impossible. ex : maladie mortelle

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6
Q

Qu’est-ce que le style d’attribution ?

A

Un construit utilisé par l’individu par lequel, à l’aide d’un processus mental, il détermine les raisons permettant d’expliquer une situation.

En général, les individus vont tendance à avoir le même style d’attribution qui se répète dans plusieurs situations de leur vie.

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7
Q

Quelle est la différence entre le locus de contrôle et le style d’attribution

A

Le locus de contrôle cherche à déterminer QUI peut exercer du contrôle, tandis que le style d’attribution cherche à déterminer QUOI peut

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8
Q

Quelles sont les 3 dimensions du modèle d’attribution ?

A

1- INTERNE VS EXTERNE : Est-ce que la cause est personnelle ou vient de facteurs extérieurs ?

2- STABLE VS INSTABLE : Est-ce que la cause est permanente ou passagère ?

3- SPÉCIFIQUE VS GLOBAL : Est-ce que a cause peut être très spécifique sur une situation donnée ou universelle pour toutes les situations ?

Ex 1 : J’ai échoué mon examen de maths car je suis une incapable, de toute manière, j’échoue tout ce que j’entreprends.
INTERNE - STABLE - GLOBAL

Ex 2 : J’ai échoué mon examen de maths car je suis arrivée en retard ; mon autobus n’est jamais passé aujourd’hui.
EXTERNE - INSTABLE - SPÉCIFIQUE

Ex 3 : J’ai échoué mon examen de maths car je suis daltonien, et cela m’a fait raté certaines questions.
INTERNE - STABLE - SPÉCIFIQUE

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9
Q

Quel est un style d’attribution à risque lors de circonstances POSITIVES ?

A

EXTERNE - INSTABLE - SPÉCIFIQUE

Ex : J’ai réussi mon examen, mais really c’est la prof qui a fait des questions trop faciles cette fois-ci.

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10
Q

Quel est un style d’attribution à risque lors de circonstances NÉGATIVES ?

A

INT/EXT - STABLE - GLOBAL

Ex : J’ai échoué mon examen car je suis une incapable dans tout/J’ai échoué mon examen car la vie s’abat sur moi.

Ce style d’attribution à risque est associé à une plus grande expérience de stress en général.

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11
Q

Qu’est-ce qu’une stratégie d’adaptation ?

A

« Une ACTION, une SÉRIE d’actions ou un processus de PENSÉE utilisé pour FAIRE FACE à une situation stressante/désagréable ou pour MODIFIER sa réaction à une telle situation. »

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12
Q

Quelle est la première méthode de catégorisation des stratégies d’adaptation ?

A

Les séparer selon leurs ORIENTATION

1 - Stratégies orientées vers LE PROBLÈME/STRESSEUR.
Agir sur la situation.

  • Planification
  • Résolution de problème
  • Soutien social (informatif/instrumental , conseil/aide directe)

2 - Stratégies orientées vers les ÉMOTIONS.
Agir sur les émotions ressenties durant la situation.

  • humour
  • distraction
  • soutien social (émotionnel)
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13
Q

Quelle est la deuxième méthode de catégorisation des stratégies d’adaptation ?

A

Les stratégies d’APPROCHE (faire face au stresseur/émotions) vs les stratégies D’ÉVITEMENT (fuir le stresseur/émotions)

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14
Q

Dans les stratégies d’approche, quels sont les 2 types de contrôle que l’individu peut exercer pour faire face à la situation ?

A

1 - Contrôle PRIMAIRE (contrôle les circonsances)

  • planification
  • résolution de problèmes
  • soutien social

2- Contrôle SECONDAIRE (s’adapter aux circonstances)

  • restructuration cognitive (identifier les pensées et les nuancer
  • croissance personnelle (en profiter pour acquérir de nouvelles connaissances)
  • acceptation
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15
Q

Quelles sont les différentes stratégies d’évitement que l’individu peut exercer pour faire face à la situation ?

A
  • Déni
  • Distraction
  • Pensée magique
  • Consommation

***Les stratégies d’évitement sont souvent associées à une plus grande expérience de stress, une moins bonne santé psychologiques.

MAIS il faut comprendre le contexte car parfois l’évitement est utile et adapté lorsque d’autres stratégies sont inaccessibles.
Ex : attendre les résultats d’un test de santé

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16
Q

Quels facteurs peuvent influencer une stratégie d’adaptation, la rendant adaptée ou mésadaptée ?

A

1 - le contexte

la situation, l’individu, le contexte socio-culturel

2 - l’objectif

Les êtres humains ont une prévalence pour des stratégies à court terme

3 - la fenêtre de temps utilisée

à court terme, p-t que c’est adapté, mais sur le long terme ça peut devenir mesadapté.

4 - les conséquences (+/-)

Quelles sont les conséquences d’une stratégie ? Un enfant qui fait une crise : à court terme, la stratégie est adaptée. Mais à long terme, c’est inadapté.

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17
Q

Qu’est-ce qui permettrait de reconnaître un style personnel d’adaptation mésadapté ?

A

Un style FRÉQUENT, INFLEXIBLE, indépendamment des conséquences à LONG TERME.

18
Q

Quelle est la différence que l’on peut observer dans nos sociétés lorsque l’on parle de stratégies d’adaptation individuelles et collectives ?

A

Dans les sociétés individualistes, les stratégies d’adaptation axées sur l’approche ont tendance à être privilégiées.

Tandis que dans les communautés collectivistes les stratégies d’adaptation adoptées seront le soutien social et l’évitement (stresseur collectif).

19
Q

Lorsque nous parlons de la personnalité, quel est le modèle du BIG5 ? (ou ocean en français)

A

Selon le BIG5, il y auraient 5 grandes échelles par lesquelles on pourrait catégoriser les individus. On observe le score de l’individu (bas ou élevé) selon chaque facteur.

  • Ouverture à l’expérience
    (conventionnel VS curieux)
  • Conscienciosité
    (désorganisé VS organisé)
  • Extraversion
    (réservé VS sociable)
  • Agréabilité
    (insensible VS altruiste)
  • Névrosisme
    (sécure VS anxieux)
20
Q

Comment le haut score des traits du BIG5 peut affecter l’exposition au stress et l’évaluation cognitive chez l’individu ?

A

OUVERTURE
évaluation primaire/secondaire (+)

CONSCIENCIOSITÉ
- d’exposition au stress
évaluation primaire/secondaire (+)

EXTRAVERSION
évaluation primaire/secondaire (+)

AGRÉABILITÉ
- de stress interpersonnel

NÉVROSISME
+ de stress interpersonnel
évaluation primaire/secondaire (-)

***Évaluation primaire/secondaire : 1.Menace (-) vs Défi (+)
2.Ressources/habiletés

21
Q

Comment les scores du BIG5 peuvent-ils affecter les types de stratégies d’adaptation chez les individus ?

A

NÉVROSISME :
L’individu aura tendance à utiliser la distraction, et moins le soutien émotionnel.

AGRÉABILITÉ :
L’individu aura tendance à utiliser le soutien social et la restructuration cognitive.

EXTRAVERSION :
L’individu aura tendance à utiliser le soutien social et la résolution de problème.

CONSCIENCIOSITÉ :
L’individu aura tendance à utiliser la résolution de problème et la restructuration cognitive.

OUVERTURE :
L’individu aura tendance à utiliser la résolution de problème et la restructuration cognitive.

22
Q

Quels groupes d’âges sont plus vulnérable au stress ? Quels facteurs sont influencés par le stress ?

A

les ENFANTS et les PERSONNES ÂGÉES

ÉTAT DU CERVEAU :
- enfants : cerveau en développement
- vieux : cerveau en déclin

ÉVALUATION COGNITIVE :
- enfants : capacités cognitives incomplètes
- vieux : capacités cognitives en déclin

STRATÉGIES DE COPING :
- moins d’autonomie donc moins de stratégies
- moins de capacité d’action

23
Q

Quelles plaintes pourrait-on associer au stress, selon chaque groupe d’âge ?

A

ENFANTS :
maux physiques

ADOS :
anxiété, attention, sommeil

ADULTES :
maux physiques, anxiété, sommeil, irritabilité

VIEUX :
confusion, mémoire

24
Q

Que peut-on dire sur la relation entre le cortisol et les hormones sexuelles ?

A

Ils s’influencent tout autant les unes les autres. En effet, le cortisol influence la production de PROGESTÉRONE, et la PROGESTÉRONE influence la production de cortisol dans le corps.

Cela a des répercussions particulières selon les populations mâles ou FEMELLES, dû au cycle menstruelle de la femme. (malheureusement, sous étudié dans les études des dernières années.)

25
Q

Chez le sexe féminin, par quoi est influencé la réactivité au stress en termes de cortisol (3 facteurs) ?

A

Chez la femme, la réactivité au stress, mesurée par le taux de cortisol, peut être influencé (+/-) par :

  1. la prise de contraceptifs oraux
  2. la ménopause
  3. LE CYCLE MENSTRUEL : lorsque la femme entre dans sa phase LUTÉALE, cela influence la production de cortisol
26
Q

L’homme produit-il autant de cortisol que la femme ?

A

OUI, MAIS.

En général, l’homme produit d’avantage de cortisol en réactivité au stress par rapport à la femme.

MAIS, lorsque la femme entre dans sa phase LUTÉALE (où le taux de PROGESTÉRONE s’élève, vs la phase folliculaire), on remarque que cette différence disparaît.

Ce qui prouve la relation cortisol/progestérone, et la différence physiologique entre les hommes et les femmes.

27
Q

Quels sont les 4 rôles de genre (et non sexe) selon le modèle de Bem ?

A

Il existe 4 rôle de genre selon le modèle de Bem.
Celui-ci prend en compte les traits de personnalité afin de catégoriser les individus, indépendamment de leur sexe biologique.

(Masculin = confiance, indépendance, féminin = sociabilité, empathie)

  • Masculin (+ masc, - fem)
  • Féminin (- masc, + fem)
  • Indifférencié (- masc, - fem)
  • Androgyne (+ masc, + fem)
28
Q

Selon le modèle des rôles de genre de Bem, quelle est la particularité des personnes androgynes quant à leur stratégie d’adaptation ?

A

Les personnes catégorisées ANDROGYNES sont associés à plus de FLEXIBILITÉ dans leur stratégie d’adaptation.

29
Q

Vrai ou Faux ? Les hommes possèdent une charge allostatique plus élevées que les femmes.

A

Vrai, MAIS.

Ce qui a été remarqué avec l’étude de Juster, c’est que les hommes possèderaient une charge allostatique plus élevée que les femmes.

Cependant, lorsque l’on prend aussi en compte les rôles de genre, la plus grande différence serait entre les FEMMES INDIFFÉRENCIÉES et les HOMMES INDIFFÉRENCIÉS.

Une hypothèse serait que ces derniers recevraient p-t moins de support adéquat pour gérer leur stress.

30
Q

Qu’est-ce que le stress minoritaire ?

A

C’est l’EXCÈS de stress auquel sont exposés les individus issus de catégories sociales STIGMATISÉES du fait de leur position sociale, souvent minoritaire.

Le stress minoritaire n’est pas vécu ponctuellement, mais plutôt comme une perception globale, constante, chronique.

31
Q

Comment le stress minoritaire influence le cycle circadien des personnes visées ?

A

Avec l’étude de Dubois, on a remarqué que les hommes trans (communauté vivant du stress minoritaire) avaient un plus haut taux de cortisol au réveil, et donc expérimenteraient plus de STRESS CHRONIQUE qu’un individu ne vivant pas de stress minoritaire.

32
Q

Vrai ou Faux ?
Dans une hiérarchie INSTABLE, le fait d’être positionné le plus haut possible peut aider à vivre moins de stress.

A

FAUX.

Le fait de vivre moins de stress en position élevée est observable dans des hiérarchie qui sont STABLES, où les positions ne sont jamais remises en compte.

Plus la hiérarchie sera instable, l’écart viendra à disparaître, ce qui arrive plus fréquemment chez les humains vs les animaux.

33
Q

À quel niveau d’une hiérarchie est-il souhaitable d’être afin de vivre le moins de stress ?

A

En général, la personne en HAUT de la hiérarchie a tendance à moins vivre de stress.

34
Q

Quelles sont les 3 variables du statut-socio-économique ?

A

Le SSE est composé de 3 variables :
- Revenu
- Type d’emploi
- Scolarité

35
Q

Comment le niveau de statut socio-économique influence la réactivité au stress ?

A

Une étude a permis de constater que la perception de l’enfant du statut social de ses parents serait associée à sa réactivité face à une menace sociale.

Plus le SSE des parents des participants était AU BAS de l’échelle, plus la RÉACTIVITÉ au stress des participants était GRANDE lorsque présentés devant une menace.

36
Q

À quel moment pourrait survenir un stress organisationnel au travail ?

Expliquer le déséquilibre.

A

Le stress organisationnel survient lorsqu’il existe un manque de réciprocité entre le niveau de LATITUDE professionnelle (capacité décisionnelle), les DEMANDES qui lui sont exigées, et le SOUTIEN qu’il reçoit.

latitude, soutien < demandes = stress

Le stress occupationnel peut aussi survenir lorsqu’il existe un manque de réciprocité entre la DEMANDE et la RÉCOMPENSE.

demandes > récompenses = stress

37
Q

Qu’est-ce qui pourrait aider un individu vivant un stress organisationnel en milieu de travail à conserver son emploi ? Y a-t-il des risques associés ?

A

La MOTIVATION peut aider l’individu à conserver son emploi, mais seulement à court-terme.

Le risque est de développer du sur-investissement et de voir ses ressources s’affaiblir.

38
Q

Qu’est-ce que l’épuisement professionnel ou le burn-out ?

A

Un syndrome conceptualisé comme résultant d’un stress professionnel chronique qui n’a pas été géré avec succès.

*groupe de symptômes

39
Q

Quelles sont les 3 dimensions à respecter afin de diagnostiquer l’épuisement professionnel (burn-out) ?

A

Le burn-out est un trouble ayant une structure à 3 dimensions.
Il peut être léger, moyen ou sévère.

Les 3 dimensions DOIVENT être présentes (selon leur score) afin de parler de vrai burn-out en tant que tel.

  1. ÉPUISEMENT :
    symptômes physiologiques (fatigue, insomnie, etc.)
  2. CYNISME :
    perception négative par rapport à l’emploi (environnement, collègues, clientèle)
  3. RÉDUCTION DE L’EFFICACITÉ
    propre perception négative du soi dans l’emploi amenant à un retrait de l’efficacité
40
Q

Est-ce que le burn-out est un trouble de santé mentale ?

A

NON.

Selon l’OMS, le burn-out est un PHÉNOMÈNE OCCUPATIONNEL.

Il n’est pas issu d’une dérégulation des processus cognitifs ou comportementaux, mais une RÉACTION NATURELLE PRÉVENTIVE d’un individu lorsqu’il se retrouve dans un environnement présentant une INÉQUATION entre leur emploi et leur caractéristiques personnelles.

41
Q

Comment se résout l’épuisement professionnel ?

A

Par le CHANGEMENT de l’environnement de l’emploi ou le CHANGEMENT de l’individu, et non pas le retrait de l’individu du milieu de travail.

*Souvent, les interventions misent plutôt sur les caractéristiques individuelles (aider l’individu dans sa charge de travail)

**Le CREW process intervient au niveau du cynisme en renforçant l’esprit de “team”.

***Le retrait temporaire de l’individu (ex vacances) ne peut résoudre le burn-out.

**Le burn-out est un facteur de RISQUE pour la dépression.