Cours 4: Attributions Flashcards
Qu’est-ce que la perception sociale?
Processus par lequel nous cherchons à connaître et à comprendre les autres.
C’est très large la perception sociale.
Qu’est-ce qu’une attribution?
Inférence à propos de la cause d’un événement ou du comportement d’une personne. Pourquoi ?
À l’intérieur de ça s’inscrit les attributions. Les attributions c’est un processus particulier par lequel on fait une inférence à propos de la cause d’un événement ou d’un cpt que ce soit pour soi ou pour qqn d’autre. On cherche la cause, le pourquoi la personne a fait ça, pourquoi un événement est survenu? C’est ça une attribution. Ça fait partie de la perception sociale, mais c’est une information qu’on utilise dans notre perception sociale. Mais c’est quelquechose de très spécifique.
Donc toutes sortes de situation du quotidien, inusités, ou moins inusités qui vont susciter la question Pk? Et les réponses qu’on donne à ce Pourquoi ce sont les attributions. Les attributions contribuent à notre compréhension de notre monde social.
Quelles sont les différences approches en psychologie?
- Approche situationnelle : Comportement influencé par contexte ou caractéristiques de la situation
- Approche des traits (dispositions) : Comportement
déterminé par les traits individuels de la personne (c-à-d, par l’acteur) - Approche interactionniste: Donc on a cette idée qu’il y a 2 forces qui peuvent agir sur le comportement humain. On a parlé aussi de comment on est très interactionniste, on considère la situation et la personne dans la compréhension scientifique du comportement humain.
Y a-t-il vraiment une dichotomie en psychologie sociale et psychologie de la personnalité?
On va concilié toutes ces perspectives. La dichotomie psychologie sociale et psychologie de la personnalité est une fausse dichotomie, on travaille ensemble et on sait que tout ça est important. Donc on sait que l’expression des traits varient en fonction de la situation. Et que certaines situations sont très puissantes et d’autres moins pourraient influencer le comportement.
On a quand même un bon bagage de ça.
Et on revient tjrs à la formule de Lewin, qui résume que la personne et l’environnement contribuent au cpt qu’on observe.
Qu’est-ce que l’idée du “Psychologue naïf” de Heider?
L’individu développe intuitivement des théories causales du comportement humain.
Cherche une explication au comportement ou à l’événement observé :
-Comprendre les motivations d’autrui
-Prédire leurs comportements futurs
Distingue entre deux causes possibles :
- Personne (facteurs internes)
- Situation (contexte, environnement externe)
Et c’est cette idée qu’Heider avait que L’individu développe intuitivement des théories causales du comportement humain. On va chercher dans nos impressions des intuitions qu’on a et c’est spontanément, on cherche à expliquer le cpt. Derrière ça, il y a des motivations du comportement, et c’est aussi pour prédire le comportement.
Et derrière ça, revient un peu, en science on parle de la contribution de la situation et de la personne, ben ça ne vient pas de nulle part pcq les scientifiques ce sont des humains et à la base ils ont probablement envisagé ce que la plupart des gens envisagent: c’est que les forces de la personne jouent sur son cpt, mais le contexte aussi.
L’idée d’Heider est qu’on va choisir entre la personne ou l’environnement, qu’est-ce qui détermine le comportement humain?, donc on fait ce choix là, on dit que c’est un ou l’autre. Et en général quand on regarde la p’tite animation, on considère que le gros triangle c’est vrmt ses traits de personnalités qui se sont exprimées, sa propension agressive qui s’exprime dans son mouvement et sa destruction du cadre. Donc on a cette propension à aller d’un bord ou de l’autre selon Heider.
Quelles sont les 3 dimensions d’attributions causales de Weiner?
- Lieu de causalité
- Stabilité
- Contrôlabilité
Weiner a proposé plus tard 3 dimensions d’attributions causales. Il propose qqc d’un peu plus élaboré, quand on a commenceé à faire en faire une étude vrmt plus structurée de l’attribution.
Et à la base, il dit qu’il y a le lieu de causalité. C’est quand même important. Le comportement et la situation était causée par qqc d’interne à la personne observée ou qqc d’externe. Essentiellement, c’est la même chose que ce qu’Heider proposait: La personne ou la situation. C’est exactement la même chose.
Il parle de ça Weiner, mais il contribue aussi cette idée qu’il y a autre chose, on considère dans les attributions, ecq ce cpt observé est stable? (donc risque de se reproduire dans le temps) ou si c’est instable? (càd que c’est pt ponctuel, du moment, live, mais pas qqc qui va se répéter). Donc ça c’est autre chose qu’on va considérer dans nos attributions.
Et puis la troisième dimension que Heider propose est cette idée de contrôlabilité du comportement. Est-ce que c’est qqc qui peut être contrôlé (donc facilement modifié) ou incontrôlable (donc pas mal inévitable par la personne, en dehors du champ capacité contrôlée de la personne, que c’est qqc qu’on ne contrôle pas)
Donc on prend toutes ces 3 dimensions là, chacune étant indépendante, octogonale et se superposant aux autres, donc ELLES SE COMPLÈTENT. Et ça englobe un peu ce qui avait comme théorie de à quoi qu’on peut attribuer nos propres succès, nos échecs ou ceux d’autrui.
Donc Weiner, à la base, il était bcp dans les accomplissements, les réussite, très dans le milieu scolaire, donc il s’intéressait à qu’est-ce qui explique les succès ou les échecs, que ce soit le lieu de causalité, la stabilité ou la contrôlabilité.
Quelles sont les 8 types d’attributions possibles?
Voici tableau à la diapo 12 du cours 4.
Quelle autre proposition aux attributions a fait Seligman?
Mais si on pensait que ça s’arrêtait là, on a des gens d’une perspective clinique qui se sont intéressées à la façon de réfléchir des personnes dépressives et à quoi ils faisaient des attributions dans les moments difficiles?
Et ils ont dit dans leurs travaux que la contrôlabilité n’était pas une dimension prise en compte. Mais ils disaient que le concept de globalité était important, càd ecq c’est qqc qui se produit dans toutes sortes de contextes? Ou la spécificité, donc c’est spécifique à un domaine de compétence, à une activité, qqc de spécifique. Donc il considère ça en plus de la stabilité et du lieu de causalité.
Ce qui se démarque dans la pensée dépressive, c’est que cette globalité est très importante et je vous dirais très susceptible à être confondue avec la stabilité. Parce que si c’est stable, c’est qqc qui va perdurer et la stabilité a une dimension temporelle, càd cette personne là ajd, demain dans 3 semaines, je m’attend à avoir le même type de cpt. La globalité réfère plutôt à ecq c’est un cpt qui est spécifique à un contexte particulier? ou si c’est qqc qui est assez diffus que la personne va présenter dans différentes situations? Donc c’est un petit peu différent. Il y a l’aspect SITUATIONNEL qui est lié à la globalité et l’aspect TEMPOREL pour la stabilité.
Il se pourrait que qqn ait un comportement extrêmement stable dans le temps mais très très spécifique à une situation particulière.
Quels types d’attributions Seligman voyaient chez les personnes dépressives? Càd, quel est le style attributionnel pessimiste?
Ils voyaient ce genre d’attribution, qui étaient
- interne (C’est de ma faute)
- stable (Je gaffe toujours)
- et global. (Je n’arrive à rien faire de bien)
On voit la cumul. C’est MOI, ça va perdurer dans le TEMPS, et ça se passe peu importe la situation dans laquelle je me trouve. On peut s’imaginer les conséquences sur le soi de telles attributions à des situations négatives, sont plutôt dévastatrices. Il n’y a aucun espoir de vivre qqc de positif dans ta vie. C’est un style attributionnel pessimiste, qui est lié au concept de résignation acquise et à la dépression.
Cet espèce de portrait attributionnel vient vraiment refléter une pensée, des attentes très précises par rapport à des événements du futur. Donc c’est assez marquant.
Quel est le style attributionnel optimiste? À quoi est-il lié?
Et par opposition, qqn qui va avoir une attribution externe, instable et spécifique à un événement négatif.
- externe: C’est pas de pas faute
- instable: Je réussis habituellement bien
- spécifique: Cette tâche est particulièrement difficile
Donc ici la façon d’entrevoir des événements futurs est complètement différente pcq il y a espoir. Non seulement ça, on se dit que normalement on réussis bien, ce n’est pas moi, c’est la tâche qui est particulièrement difficile et l‘autre tâche ça va bien aller. On peut donc s’imaginer que le futur va être positif.
Donc ça c’est des attributions externe, instables, spécifiques pour des événements négatifs. Ça a des conséquences très positives quand même et on a vu que ça favorise la réussite subséquente. Pcq si on a vécu un échec, on a vécu une difficulté, on se dit que ce n’est pas grave, c’est juste cette journée là dans cette situation là, d’habitude ça va bien et ce n’est pas moi, c’est la tâche. Dans une autre situation, je vais mieux performer. Donc les gens vont approcher le futur d’une manière bcp plus positive.
Pourquoi on fait des attributions?
- Comprendre et tirer du sens de son propre comportement, de celui d’autrui ou d’une situation en identifiant sa / ses causes.
- Organiser information sociale (c.f. schémas)
- Prédire comportements d’autrui, événements
- Protéger et valider nos perceptions
-Guider nos réactions affectives, comportementales et cognitives
En gros, on a vu que les attributions s’insèrent dans le contexte plus large de perception sociale. Donc, c’est pas étonnant de comprendre que les attributions, donc toute cette mécanique cognitive d’identifier c’est quoi la cause du cpt observé, c’est pour comprendre notre environnement, faire du sens de ce qu’on vit, de ce qui se passe. Mais on parle d’organiser notre information sociale, prédire le comportement, donc là ça fait partie potentiellement de nos schémas peut-être, ça peut être organisé de cette façon. C’est là aussi pour protéger et valider nos perceptions. Si on se trouve une bonne personne, on a confiance en nous, il se passe un pépin dans la vie et on ne s’en fait pas trop avec ça, on trouve toutes sortes d’excuses pour dire que la prochaine fois ça va mieux aller, mais ça peut être bon pcq ça protège en quelque sorte notre image de nous-mêmes.
Si on a développé cette espèce de style attributionnel pessimiste, ben ça protège quelquechose de MALHEUREUX, cette image négative de soi. Ça montre aussi qu’en thérapie ou en intervention il y a des résistances pcq on a une compréhension du monde, de notre place dans le monde qui est STRUCTURÉE et ça peut avoir cette fonction là, donc ça peut être difficile et c’est qqc qu’on va travailler en thérapie. On va travailler ces attributions là pcq sinon on est devant une barrière pcq ça va figer notre perception des événements et des situations donc c’est potentiellement problématique. Donc protéger et valider nos perceptions en tant que structures, mais ça ne veut pas dire que c’est tjrs à notre bénéfice personnel.
C’est aussi pour nous orienter dans le monde. En général, c’est un outil parmi les éléments qui contribuent à notre perception sociale qui nous aide à faire des choix, à réagir, à comprendre ce qui se passe, donc au plan affectif, comportemental et affectif.
SELON LE MANUEL:
- permettre aux gens de comprendre ce qui serait, sans attributions, un environnement contenant un amas de stimuli souvent désorganisés et même parfois, une vie sans sens.
- Le fait de mieux saisir notre environnement nous permet également de pouvoir prédire les événements et les comportements des gens qui nous entourent
- Les attributions s’avèrent très importantes pour notre «survie » sociale. Il n’est alors pas surprenant que nous commencions à émettre des balbutiements attributionnels très tôt, et ce, même dès l’âge de 15 mois semble-t-il.
- les attributions pourraient aussi protéger, maintenir ou même augmenter nos perceptions sur nous-mêmes ainsi que notre estime personnelle.
Quand est-ce qu’on fait des attributions?
Pas toujours,… au besoin !
Contexte pouvant spontanément stimuler une réflexion causale :
-Situation d’incertitude
-Événement inattendu
-Échec
-Événement d’importance personnelle
duquel on souhaite faire du sens
Événement ou comportement non conforme à nos attentes (schémas) ou constituant une menace pour le soi
Il y en as qui dit qu’on en fait juste au besoin, pas toujours, sinon on y va facile.
D’autres disent qu’il y pt certaines situations qui vont faire en sorte qu’on va être plus susceptible de faire des attributions.
On parle dans des situations, spontanément, la situation va stimuler cette réflexion causale, ce besoin d’attribution, c’est dans une situation où on vit une incertitude. On est dans l’inconnu, qqc qu’on ne connaît pas.
Une situation où l’événement en soi peut être inattendu.
Quand on vit des échecs, on a pt plus orienter à réfléchir. Moins quand on a des succès pcq pk on se casserait la tête quand ça va bien?
Les événements quand ils sont d’importance pour la personne. Donc une personne dans une situation pourrait ne pas vraiment être encline à faire une attribution, alors que pour une autre, cette situation va avoir une importance personnelle et elle va se dire qu’il faut qu’elle réfléchisse un peu plus et mettre un effort.
On voit que ce sont tous des exemples de situations qui peuvent être non conformes à nos attentes en général ou constituent une menace pour le soi, donc là ça va pt plus nous mobiliser à chercher des causes, sinon on go with the flow, la vie va bien.
SELON LE MANUEL:
- La réflexion causale peut être très exigeante sur le plan cognitif. Il est donc impensable que nous soyons constamment, ou même souvent, en train de faire des attributions.
- Une première circonstance où nous émettons des attributions porte sur les situations de tous les jours, lorsque quelqu’un nous demande notre perception des causes d’un événement donné. C’est ce que l’on appelle une «recherche attributionnelle de type réactif»
- Ce type de situation prévaut dans la vie courante, même si nous effectuons occasionnellement des recherches attributionnelles spontanées.
- L’incertitude
- Les événements inattendus
- Les échecs vécus
Qu’est-ce que la théorie des inférences correspondantes de Jones et Davis?
Une des premières théories proposées est la théorie des inférences correspondantes de Jones et Davis. C’est une autre théorie qui mène ou non à faire une attribution dispositionnelle.
Théorie dispositionnelle: On attribution le comportement à une disposition de la personne, donc à ces traits particuliers ou sa personnalité. On va dire que c’est caractéristique de cette personne là, donc que c’est interne, stable et global.
Heider disait que c’était la personne ou la situation. Quand on parle de la personne c’est tout ça aussi. Donc on l’attribue à la personne, mais pas à quelque chose de contrôlable, à qqc qui va changer dans le temps. C’est comment elle est en général.
Donc la théorie des inférences correspondantes c’est vraiment ecq oui ou non on fait une attribution dispositionnelle?
Ce qui mène à faire (ou non) une attribution dispositionnelle
- Traits ou personnalité de l’individu
- Interne
- Stable
- Global
C’est limitée aux attributions qu’on fait aux comportements des autres, pas à notre propre comportement. C’est une théorie TRÈS spécifique.
Donc c’est faite par un OBSERVATEUR et de surcroit, sur un comportement UNIQUE, donc sur la base d’une seule instance du cpt qu’on observe. Donc vraiment c’est une théorie qui a été faite sur mesure pour un devis expérimental en laboratoire où tu vois un inconnu faire 1 affaire, 1 fois, et that’s it that’s all. C’est très circonscrit.
Donc est-ce qu’on fait des attributions dispositionnelles ou non au comportement unique d’une personne, qu’on a observé 1 seule fois, dans une situation?
Cette théorie est vrmt excellente pour montrer comment on fait des attributions on the fly aux gens qu’on croisent dans la rue.
Quels 3 éléments prenons-nous en considération dans la théorie des inférences correspondantes de Jones et Davis?
En gros, ça veut dire qu’on infère qu’il y a correspondance entre le comportement et la personne, càd ce qu’on observe si ça correspond ou non à la disposition de la personne.
Jones et Davis disent que pour en arriver à faire cette attribution là, on va considérer 3 éléments d’informations:
- Choix de l’acteur: À quel point le cpt de l’acteur est choisi (càd qu’il est libre ou il est forcé)
- Comportement attendu: À quel point son cpt est qqc d’attendu dans la situation (ecq c’est ce que les gens font normalement. Ça fait référence à la désirabilité sociale. Est-ce qu’il se comporte de manière usuelle, selon la norme, ce qu’on voit chez la majorité des gens?)
- Conséquences distinctives: Est-ce qu’il y a des conséquences distinctives de ce comportement là? Est-ce que le fait d’avoir adopter ce comportement nous mène à vivre qqc de particulier, qu’on aurait pas vécu nécessairement sans ça? Est-ce que ce cpt est cohérent avec plusieurs dispositions possibles, donc que ça serait pas qqc de spécifique chez cette personne là, mais que plusieurs aspects pourraient expliquer ce cpt là ou si c’est indicatif d’une seule disposition? Càd qu’on sait pertinemment que ça nous indique qqc de très précis sur la personnalité de l’aceur, du cpt, ou si c’est plutôt diffus, donc c’est pas distinctif, ça pourrait être plusieurs traits de personnalité qui expliquent ça.)
Donc le choix, si c’est attendu ou non, si c’est distinctif, et NON SI C’EST STABLE DANS LE TEMPS OU RÉPÉTÉ À PLUSIEURS OCCASIONS, pcq on le voit juste 1 fois.
Vrai ou faux. Il est plus facile de déterminer si la cause est dispositionnelle (et à quelle disposition l’attribuer), si un comportement a plusieurs conséquences positives.
Faux.
Il est plus difficile de déterminer si la cause est dispositionnelle (et à quelle disposition l’attribuer), si un comportement a plusieurs conséquences positives
Quels sont les postulats de la théorie de la perception de soi de Bem?
Deux postulats:
Si ses indices internes sont faibles, ambigus ou ininterprétables, l’individu se positionne en observateur extérieur de son propre comportement.
Infère ses propres attitudes, émotions et autres états internes à partir de l’observation de son propre comportement.
Selon cette théorie, on fait des attributions en s’observant. L’idée c’est qu’il arrive que l’individu n’est pas cette science infuse sur soi, n’est pas connaissance ou une compréhension de ses indices internes, les états internes sont ambigus, ça se peut qu’on ne se connaisse pas. Bem dit que ça arrive plus souvent qu’on le pense de ne pas se connaître et dans ces moments là, Bem dit qu’on va être enclin à faire des attributions à partir du comportement qu’on observe, si les ses indices internes sont faibles, ambigus ou ininterprétables et on va s’observer.
Donc il dit qu’on se positionne en observateur de nous-mêmes pour qui comprendre qui nous sommes et faire des attributions pour notre comportement.
Il dit essentiellement, la composante de Bem, c’est si on a choisi le comportement ou s’il y a des pressions de l’extérieur, si on est conscient de pressions. C’est là que c’est différent de quand on observe autrui, on a pt plus accès à cette information de savoir qu’on a senti une pression d’adopter un certain cpt ou pas. Mais si c’est librement choisi, à ce moment là quand on ne se connait pas trop sur un domaine, on peut faire une attribution dispositionnelle, se dire Ah bin coudons je suis ce genre de personne là.
Donc si on réalise qu’on est assidu à composter et qu’on va maintenant à la boutique de 0 déchet qui a ouvrir pas loin, si on ne savait pas qu’on était pro-environnement avant, ben là on pourrait se dire «Ben ouais je pense que ça fait partie de qui je suis si je me regarde aller» parce qu’il n’y a personne qui t’oblige à faire ce genre de choses là. Mais en général on le sait quand on fait ce genre de choix là, mais il peut y arriver des situations où on n’est pas sur de nos propres intérêts, de nos propres goûts.