cours 4 Flashcards
organisation rétinotopique
reproduction spatiale de notre champ visuel faite dans les structures visuelles –> les neurones qui sont proches les uns des autres repondent à des stimuli qui sont proches les uns des autres dans notre champ visuel
CGL = structure laminaire
6 couches cellulaire numérotées (1 = la couche la plus en profondeur, 6= la couche la plus en surface), chaque couche constitue une carte rétinotopique –> il y a 6 réplications de notre champ visuel, 1 sur chaque couche
*neurones monoculaires = ont des champs récepteurs que dans un oeil
trajectoire perpendiculaire de l’électrode dans le CGL
on enligne l’electrode perpendiculairement à la surface
trajectoire oblique de l’électrode dans le CGL
on enligne l’électrode de manière relativement parallèle à la surface de la structure – graduellement la localisation des champs recepteurs qu’on va rencontrer va être décalée l’un par rapport à l’autre
aire V1
- carte rétinotopique aussi
- ne produit pas d’image mais produit des influx nerveux , les localisades champs récepteurs se reproduisent MAIS IMAGE DÉFORMÉE, amplification du centre du champ visuel (zoom), régions en périphérie du champ visuel occupent peu de place dans l’aire V1 = magnification corticale
*colonnes de localisation retrouvées aussi
magnification corticale (‘effet fish-eye’)
variation de la surface corticale dédiée à la représentation d’un stimulus selon la localisation rétinienne qu’il stimule — une plus grande surface corticale est allouée à la représentation de la fovéa qu’à la périphérie
– à cause de la plus grande densité neuronale au centre du champ visuel qu’en périphérie, joue un rôle important dans la réduction de l’acuité avec l’excentricité (plus en périphérie) de la stimulation
- fovéa = 0,01% de l’espace rétinal, mais 8-10% de la carte corticale
colonnes neuronales
organisation en colonnes des neurones, neurones qui partagent des propriétés similaires sont regroupés en colonnes
se manifestent par le fait que les localisation des champs recepteurs pour les neurones des couches superposées touchées par l’electrode sont les mêmes
couches du CGL = segregation en fonction de l’oeil de provenance + en fonction du type de cellule ganglionnaire
couches 2,3,5 = oeil ipsilatéral
couches 1,4,6 = oeil controlatéral
couches 1,2 = magnocellulaires (projection des cellules ganglionnaires M)
couches 3-6 = parvocellulaires (projection des cellules ganglionnaires P)
cellules M – correspondance fonctionnelle avec les batonnets
magno –> gros corps cellulaire –> plus gros champ récepteur, réponse transitoire (1 reponse pour 1 stimulus) , bonne sensibilité à l’intensité lumineuse
cellules P – correspondance fonctionnelle avec les cônes
parvo –> petit corps cellulaire –> petit champ récepteur, moins bonne sensibilité à l’intensité lumineuse , meilleure acuité , réponse soutenue (=haute fréquence d’influx nerveux lorsqu’on maintient la présence du stimulus dans son champ recepteur)
lésion des couches magno
atteinte de la perception du mouvement
lésion des couches parvo
ateinte de la perception des couleurs, de la texture, de la forme et du relief
cortex strié
- colonnes d’orientation
- champrs recepteurs rencontrés dans une trajectoire oblique présentent une variation continue de l’orientation préferée (une progression de 0,5mm de l’électrode permet de traverser toute l’étendue des orientations possibles)
neurones binoculaires (dans le cortex strié)
80% des neurones du cortex strié ont des champs recepteurs qui peuvent être stimulés par un oeil ou l’autre (20% restants sont monoculaires) MAIS spectre de préference – continuum
oeil droit ———————————————-oeil gauche
10%————————-80%—————————-10%
colonnes de dominance occulaire dans l’aire V1
- dominance oculaire constante dans les neurones quand l’electrode prend une trajectoire perpendiculaire
– changement de la dominance oculaire avec la progression de l’électrode sur une étendue de 0,5mm dans une trajectoire oblique