cours 3 Flashcards
circuit neuronal
ensemble de neurones qui sont interconnectes par des synapses
acivite neurale
- doit avoir une correlation avec les propriétés de l’environnement qu’elle represente
traitement de l’information
s’effectue au niveau de la synapse
- convergence
- inhibition
circuit linéaire
1 recepteur - 1 corps cellulaire - 1 axone
toujours le même firing rate peu importe le nombre de recepteurs stimulés
circuit avec convergence et excitation
7 recepteurs - 3 corps cellulaires - 1 axone ,
firing rate augmente proportionnellement au nombre de recepteurs stimulés
circuit avec convergence , excitation et inhibition
7 recepteurs - 3 corps cellulaires - 2 synapses inhibitrices, 1 synapse excitatrice
la stimulation des recepteurs connectés à la synapse excitatrice fait augmenter le firing rate, la stimulation des recepteurs connectés à des synapses inhibitrices fait diminuer le firing rate
rétine
beaucoup de convergence dans l’organisation rétinienne
- 126M de photorécepteurs, mais seulement 1,25 M de fibres dans le nerf optique
- 5 couches cellulaires :
- photorecepteurs
- cellules horizontales
- cellules bipolaires (diffuses et midget)
- cellules amacrines
- cellules ganglionnaires
niveaux de convergence dans la rétine
- plus élevé pour les bâtonnets que pour les cônes
- 120 bâtonnets –> 1 cellule ganglionnaire
- 6 cônes –> 1 cellule ganglionnaire
(pour la périphérie – transmission via les cellules bipolaires diffuses, fovéa – cellules bipolaires midget : correspondance peut aller jusqu’à 1 -> 1 )
bâtonnets vs cônes
1- bâtonnets = meilleurs sensibilité à l’énergie lumineuse ie. moins d’énergie lumineuse est nécessaire pour activer un bâtonnet qu’un cône (après adaptation à l’obscurité), vs cônes = meilleure acuité visuelle
2- plus de convergence dans les batonnets –> sensibilité plus élevée
sommation spatiale
addition de l’activité de neurones ayant des champs récepteurs spatiallement distincts (processus produit par des circuits neuronaux convergents)
–> il y a plus deconvergence chez les bâtonnets que chez les cônes –> sommation (++++ fort) –> cellule ganglionnaire activée par un bâtonnet reçoit plus de synapses excitatrices que celle activée par les cônes
acuité perceptive
résolution spatiale du système perceptif , meilleure acuité = plus petits détails visibles
manière d’établir l’acuité = mesurer la distance minimale nécessaire entre deux points pour que nous puissions les discriminer
acuité visuelle
varie en fonction de la région rétinienne stimulée ,
fovéa = acuité maximale
- plus on s’éloigne de la fovéa, plus l’acuité visuelle est réduite
– sommation spatiale joue un rôle aussi –> plus de sommation spatiale pour les bâtonnets – plus d’erreurs perceptives
inhibition
produite par synapses inhibitrices 2 stimulations (A, B)--> plus B est forte, plus A est diminuée --> A reçoit une inhibition en provenance de B
transmise par des connexions latérales (cellules horizontales et amacrines) –> inhibition latérale
rôle = accentuation des contrastes pour faciliter la détection
champ récepteur
portion de la rétine qui, lorsqu’elle est stimulée, affecte l’activité du neurone (effet excitateur / inhibiteur)
zone inhibitrice du champ récepteur
présentation d’une stimulation lumineuse dans cette portion du champ récepteur réduit la fréquence de l’influx nerveux, peut en bloquer la production. — retrait de la stimulation lumineuse dans cette portion du champ récepteur permet l’augmentation transitoire de la fréquence de l’influx nerveux ( = réponse off)
champs recepteurs des cellules ganglionnaires
champs concentriques de 2 types complémentaires :
1 - centre excitateur et périphérie inhibitrice
2- centre inhibiteur et péripphérie excitatrice
– champs récepteurs concentriques des cellules ganglionnaires représentent le CONTRASTE
chiasma optique
point où les nerfs optiques de chaque oeil se croisent – décussation optiques
decussation optique
champ visuel droit projetté au corps genouillé latéral droit, champ visuel gauche projetté au corps CGL gauche
CGL
noyau thalamique, lieu de synapse reliant le nerf optique et le cortex visuel
radiations optiques
voie de projection entre le CGL et le cortex visuel primaire
cortex visuel primaire = cortex strié = V1
premier site cortical recevant l’info visuelle, envoie projections en direction d’autres aires corticales (= aires extra-striées)
collicule supérieur
structure sous-corticale, reçoit 10% des fibres ganglionnaires, impliqué dans le contrôle des mouvements occulaires
cible de la voie de projection rétino-tectale (// à la voir rétino-corticale)
champs récepteurs du CGL
structure identique aux champs recepteurs des cellules ganglionaire
champs récepteur V1
stimulus optimal = barre possédant une orientation particulière
sélectivité à la fréquence spatiale –> suggère que l’aire V1 applique une analyse de Fourier sur la stimulation visuelle
3 types -
simple, complexe, hypercomplexe
cellules simples (V1)
champ récepteur en forme d’une barre orientée , constituée de 2 ou 3 bandes juxtaposées qui se distinguent par leur polarité (inhibitrices / excitatrices)
- réponse sélective à l’oritentation
- la stimulation par des points lumineux produit une réponse
- repose sur la convergence d’une collection de neurones avec des champs récepteurs concentriques du CGL vers des neurones individuels de l’aire V1 (série de cchamps concentriques qui convergent leur signal –> barre ON, contour OFF
cellules complexes (V1)
- champ récepteur sélectif à l’orientation MAIS réponse indépendante de la localisation du stimulus dans le champ récepteur
- stimulus doit être en mouvement (selectivité occasionnelle pour la direction du mouvement)
- présentation de points lumineux n’évoque pas de réponse
cellules hypercomplexes (end-stopped) - V1
- champs récepteurs activés par des lignes d’une longueur spécifique
- réponse du neurone sélective à la direction du mouvement
- aucune réponse évoquée par stimulation statique
particularité = sélectivité à la longueur
champs récepteurs des aires extra-striées
progression en complexite et abstraction, on peut retrouver des champs récepteurs sélectifs au mouvement global ou à des formes complexes
adaptation sélective
exposition continue pour une certaine periode de temps, à un stimulus comportant une propritété spécifique.
effet = modification du fonctionnement perceptif sélectif, causé par une fatigue cellulaire sélective (=réduction de sensibilité)
sensibilité au contraste
niveau de contraste minimal requis pour détecter l’alternance entre les barres pâles et foncées constituant un réseau (= important pour l’étude de la vision pcq correspondent au type d’info qui est représenté par les neurones de l’aire V1)
fréquence spatiale
échelle = nb de cycles du réseau (1 barre foncée + 1 barre pâle) / degré d’angle visuel