cours 4 Flashcards
La Théorie des conflits réels est une théorie économique des comportements intergroupes qui repose sur 3 principes de base, lesquelles?
- ppl sont égoïstes, tentent de maximiser leurs propres gains ou ceux de leur endogroupe (favoriser leur propre endogroupe, plus jai de ressources par rapport aux autres, plus de chance que mon groupe survivent)
- C’est la compatibilité ou l’incompatibilité des intérêts entre les gr qui détermine les aspects sociopsychologiques des comportements intergroupes, et non l’inverse (aspect sociaux / psycholo = préjugés et de la discrimination qu’on parle de, si on a des interêt incompatibles, sa augmente risque de dev des préjugé et discrimination, si ++ de compatibi, on en aura moins de préjugé, so type de relation qu’on a avk les autres qui influence le dev de nos préjugé, pas l’inverse)
- les intérêts incompatibles entre les gr (compétition) favorisent l’émergence d’un conflit intergroupe
Explique en quoi consiste l’expérience de la caverne des voleurs de SHERIFF
- Sheriff a mis en place un camps de vacances dans un parc national qui s’appelle camp de voleur = il voulait vérifier si les rond du milieux (VOIR PIC) peuvent avoir un impact sur la création de nos préjugés, fallais que les 2 groupes d’enfants soit séparé tt le long, qui soit équivalents (mm capacité individuel etc)
then faut faire des tâches genre des jeux pr favoriser les liens harmonieux entre les kids, then après kkl jours, les chercheurs ont proposer au kids pr tournoi entre les 2 équipes pr obtention de ressources limité (si ressources limité, chaque groupe va vouloir l’avoir cette ressources, les 2 gr peuvent pas les 2 l’avoir) ce qui créer rivalité, perception biaisé (= les gens ont tendance à penser et percevoir leur propre gr comme bon et smart etc, et l’exogroupe comme malhonnête, méchant etc, so perception nég de exo et positive de endogr)
then intro de but supérieurs, (tt lmonde beneficie du résultats mais pr bon resultat, tt le groupe doit collaborer) (ex de but supérieur?)
Quels fut les observations de Sherif?
Lors de la phase de compétition :
- kids ont tendance à référer aux notions de justice
- ont tendance à avoir un biais pro-endogroupe
(penser que l’autre team triche mais que nous on a fait des efforts et tt, biais = penser que ton team est meilleure)
Lors de la phase de coopération :
- Pr avoir résultats positifs, faut que les résultats de la coopération représentent un succès
- 1 seul but supérieur n’est pas suffisant pour réduire l’hostilité, But supérieur = tt lmonde doit work pr arriver a un résultats, si ont réussi pas, au blâme les autres
- La coopération n’élimine pas totalement les problèmes relationnels entre les 2 gr
La théorie des conflits réels sert à comprendre les liens entre l’identité sociale et les interactions sociales dans différents contextes.
Explique l’exemple de l’étude de 1 Aronson
But : introduire les buts supérieurs dans une salle de classe pr remplacer l’atmosphère de compétition entre les élèves par une attitude coopérative (de manière générale et entre les enfants de divers groupes raciaux)
- bcp de blanc, noir et latino (on remarque qu’il se melange pas cest 3 gr la et bcp de conflits dans les classes)
- Lui fait une expérience dans ces classes, il forme des gr pr les mélanger donc au moins 1 de chaque gr, pendant tt la day et semaine, les kids workais tjrr en équipe pr favoriser la coopération = résultats de l’étude :
1. relations plus positives entre les enfants des différents groupes ethniques
2. attitude plus positive envers l’école (kid plus motivé daller school car plus agréable)
3. kids ont meilleure estime de soi, pas se faire critiquer anymore uk so aide estime
4. meilleure performance scolaire
La théorie des conflits réels sert à comprendre les liens entre l’identité sociale et les interactions sociales dans différents contextes.
Explique l’exemple de l’étude 2 de Brief et Al.
But : examiner les effets de la diversité dans les entreprises et les communautés sur des employés actuels et éventuels faisant partie d’un groupe avantagé
dans l’entreprise on leur dis ya plein de latino dans le 2e groupe, 3 groupe on dis rien, 1e gr jsp, then on mesure la diversité ethnique dans l’entreprise vs l’attrait pr l’entreprise, correlation neg so diversité grande amene un attrait faible, voir pic iphone, au milieu, variable modératrice, on leur ask, quand vous étiez au secondaire y’avais tu bcp de conflit entre noir et latino (perception) et 2e variable = répertorier cmb de personne y’a de chaque gr y’a dans l’entourage des participants, les kids jcrois, voir aussi diagrm
- conclusion : la perception de conflit avec un autre groupe ethnique augmente attitudes négatives envers ce groupe
Que peut on conclure sur ces études?
- L’image que nous avons des autres gr et nos attitudes à l’égard de ces gr sont les produits des relations entre gr et non leur cause
- Si 2 gr sont dans un rapport d’interdépendance négative, les représentations mutuelles sont défavorables
- Si 2 groupes sont dans un rapport d’interdépendance positive, les représentations mutuelles sont positives.
- Si c vrai que c’est dans l’interaction que naissent les préjugés, ceux-ci, à leur tour, conditionnent un certain type d’interactions
- Ca vx dire que les 2 groupes auront des intérêts incompatibles
- Incompatibilité = ressources limité, juste 1 des 2 gr px l’avoir seulement, ET px être aussi quand on vx pas la même chose, pas les mm intérêts
- Interdependance positives = les 2 gr ont les mm intérêts, ils ont avantage à collaborer
Conflits → favorise préjugés → qui favorise a leur tour des conflits, cycle sans fin
Que signifie cette affirmation de Sherrif : c’est pas les groupes eux-même qui décide de leur relations, mais le contexte
Qu’en pense Tajfel?
Q1: donc c le contexte qui determine les relations entre les groupes, si ressources limités, rivalité, plus de conflits pr que chacun tire la couverture pr avoir cette ressources
Q2: stu le contexte qui influence les relations selon tajfel? Lui il dit oui, le contexte px influer les relation mais justeeee le fait de penser que y’a un eux, et un nous, que y’a 2 groupes, on se trouve dans une situation d’influence..
Théorie de l’identité sociale
Nomme quelques réflexions de base de Tajfel
D’après la Théorie des conflits réels, c les caract objectives de la situation (compétition ou coopération) qui affectent la nature de la relation entre les gr (Selon lui, juste le fait d’appartenir a un gr, c un éléments qui démarre une certaine rivalité, kess qui fait que des gens se sentent unis, qui priorise un gr plutôt qu’un autre, lui il dit = ca manque a ce sujet)
- théorie dit que la répartition inégale de ressources rares et valorisées (telles que le pouvoir ou la richesse) entre les gr entraîne une rivalité entre eux
- c la compétition qui, en créant le conflit intergroupe, engendre les préjugés et la discrimination, et ce, afin de favoriser son propre gr
Théorie de l’identité sociale: paradigme des groupes minimaux
Quels sont les critères à respecter dans l’utilisation de la méthode?
- pas d’interaction entre les participants
- Le gr d’appartenance de chacun demeure anonyme
- Le critère utilisé pour catégoriser les personnes n’est pas lié à la récompense qui leur sera donnée (chaque personne doit distribuer des choses ou recompense a leur gr et l’autre gr, mais pas de lien entre notre gr et la recompense qu’on va avoir)
- récompense n’a pas de valeur instrumentale pour le participant qui la donne (peu importe cmt on donne récompense, change rien )
- Le participant doit avoir à la fois la possibilité d’allouer la récompense de manière juste ou discriminatoire (fait ce qui vx)
- La récompense doit avoir une signification positive pour le participant
Expérience Kandinsky / Klee
explique cette méthode
Partie 1
1) L’expérimentateur montrait aux participants une série de deux peintures abstraites : une de Kandinsky et une de Klee
2) Pour chaque paire, les participants devaient écrire sur une feuille, individuellement, quel de 2 ils préféraient
3) qd tt les peintures ont été montrées, l’expérimentateur ramassait feuilles et faisait semblant d’analyser les réponses
4) Ensuite, il annonçait à chaque participant, en murmurant à son oreille, qu’il faisait partie du « groupe des Klee », participants devaient garder le secret
Partie 2
1) L’expérimentateur distribuait à chaque participant un carnet contenant des matrices de points
2) participants devaient distribuer les pts aux membres de l’endogroupe et à ceux de l’exogroupe en choisissant sur chaque matrice une colonne qui représente 2 montants : un pour l’endogroupe, l’autre pour l’exogroupe
Expérience Kandinsky / Klee
Quelles sont les résultats et la conclusion de cette expérience
résultats
- participants favorisent leur propre gr dans la distribution des récompenses, sur la seule base de la catégorisation en groupes Kandinsky / Klee
- participants optent rarement pour la solution d’un profit commun maximal pr les 2 gr, ils essaient plutôt d’obtenir profits max pour leur propre gr, sans avantager l’exogroupe
Conclusion
Une simple catégorisation arbitraire « eux-nous », sans vrai enjeux, sans relation antérieure, suffit à déclencher des comportements visant à favoriser l’endogroupe
Ainsi, quels sont les principes de base de la Théorie de l’identité sociale?
- L’individu tente d’accéder / maintenir identité sociale positive
- Cette tendance est plus forte quand l’individu vit une menace à son identité personnelle
- L’identité sociale positive basée sur les comparaisons favorables qui peuvent être faites entre le gr d’appartenance et d’autres gr pertinents. L’endogroupe doit être perçu comme positif et différent par rapport aux autres gr (faut se démarquer en plusss de percevoir notre groupe comme positif, pr sentir que notre groupe est supérieur et différent à dautre groupe)
-qd l’identité sociale est insatisfaisante, l’individu tente d’améliorer l’image de son endogroupe ou améliorer son image personnelle
Selon la théorie de l’identité sociale, comment se fait la menace à l’identité personnelle?
Menace à l’identité personnelle → Baisse de l’estime de soi → Appartenance à un groupe positif → Identité sociale positive → Hausse de l’estime de soi
Illustre la représentation schématique de la Théorie de l’identité sociale
voir 2 pic!
mobilité sociale = changer d’endogroupe avk leur accord (c l’individu qui change)
ex : prsn pauvre vx améliorer revenu pr changer de gr de classe sociale, gr qui concorde mieux avk toi
Changement social = au niveau du groupe, c le groupe qui change
Favoritisme exogroupe = quand dans un gr, les gens vont se resigner a faire partie d’un groupe négatif a leur yeux
Assimili = le gr desavantager va sassilimer au gr avantager, il vont accepter tt leur norme etc so assimilation , mais gr avantager doivent être ouvert a ca, si exogroupe vx rien savoir, endo px pas faire ce changement = ca c une des stratégie sociale, stratégie où c le groupe qui va changer
Redef = on sais qu’on a certaine caract neg mais on vx que le monde les vois de façon positive, ex black is beautiful, couleur de peau, de dire que peau noir c beau et elegant etc met de l’avant la diversité, ex Kid avk tdah avant percu comme des derangeant, etc avant de connaitre de dx, bref on vx tourner vers positif genre tdah aussi creatif, ICI caract neg percu comme positive
Créactivité = on met de lavant d’autre caract pr donner une image positive, ICI on met accent sur autre qualité que gr a…. Redemander la nuance entre les 2
Comparaison = personne va rester dans son propre groupe insatisfaisant, et se dis, dans mon groupe, les autres ont des defaut mais moi jsuis mieuxx que les autres, se valorise elle meme
théorie de l’identité sociale: Cette théorie vx comprendre les liens entre l’identité sociale et les interactions sociales dans différents contextes.
donne 2 exemples d’étude menés
étude 1: Clark et Clark
But : mesurer l’impact que le racisme (marqué à l’époque par le ségrégationnisme) exerçait sur l’image que des enfants noirs avaient d’eux-mêmes
étude 2: Hackel et al.
But : examiner si l’identification sociale favorise l’aide apportée aux membres de l’endogroupe. Tant les comportements prosociaux des participants que leur activation cérébrale qd font des choix prosociaux ont été examinés
resultat = kid montre préférence pr poupé blanche = mm si kid noire = favoritisme exogroupe, kid dès jeune kid sont bombardé dinfo que les blanc ont meilleure qualité etc so favoritisme exogroupe
Exemple 3 : les stratégies des immigrés
Les stratégies identitaires décrites par Tajfel et Turner s’observent dans les comportements des immigrés à l’occasion de relations interculturelles. Pr les immigrés, la construction identitaire est une dynamique incessante de confrontation aux valeurs dominantes de la société d’installation, et d’affirmation de leur propre valeur individuelle.
Face aux injonctions contradictoires entre la culture d’origine et la culture d’accueil, plusieurs attitudes sont observées, lesquelles?
- La majorité des immigrés fuit la contradiction en adoptant les normes de la culture d’accueil
- Certains immigrés tentent plutôt de synthétiser les éléments culturels d’origine et la modernité du pays d’accueil
ex: les intellectuels maghrébins ou arabes exilés ne manquent jamais, à juste titre d’ailleurs, de rappeler l’apport central de la civilisation islamique médiévale au dev de l’Occident
La théorie de l’identité sociale aide à répondre à quelles questions?
Pk désirons-nous faire partie de gr qui ont du succès?
ca nous valorise, ↑ estime de soi, permet d’avoir une identité sociale positive, identité personnelle positive même
Pk désirons-nous faire partie de gr qui se distinguent des autres?
se différencier, pcq qd on se sent différent on a l’impression d’avoir + de valeur
Cmt l’appartenance à un groupe contribue au dév de notre identité sociale?
le fait de savoir qu’on sait qu’on appartient a gr positif on se voit comme positif pcq partage mm aspect
Pk faisons-nous du favoritisme endogroupe? pcq c tjr en lien avec l’estime de soi
Comment l’identité sociale et l’appartenance à un gr affectent les relations intergroupes et le dév de préjugés?
normes différentes de notre gr qu’on perçoit mal on va vouloir changer, on fait favoritisme envers notre gr, et mtn l’autre gr se trouve en dessous
Après le décès de Tajfel, Turner poursuit des travaux sur la base de la Théorie de l’identité sociale et développe la Théorie de l’auto-catégorisation.
quelle est l’objet de cette théorie?
L’objet principal de cette théorie est le Soi, et nn pas les relations intergroupes comme dans Théorie de l’identité sociale.
- ne cherche pas à expliquer un type particulier de comportement, mais à comprendre dans quel conditions plusieurs individus indépendants peuvent se comporter comme un gr
Quels sont les concepts centraux de la Théorie de l’auto-catégorisation?
- Concept de soi
- Organisation hiérarchique des catégories
- Méta-contraste
- Dépersonnalisation
donne un exemple d’organisation hiérarchique
voir pic!
implique :
- Système inclusif (les categorie superieur inclus tjr tt les catégorie inferieur(dans les anglais, inclus tt en bas dans la pic)
- Différents degrés d’abstraction (image qu’on se fait des catego vont être plusou moins clair ou abstraite selon ou c placer, catego superieur tjr plus abstraite pcq inclus trop de bhay)
- Trois niveaux d’auto-catégorisation chez les humains
- Antagonisme fonctionnel (on px faire comparaison sur 1 niv seulement a la fois, ressortir ressemblance entre ex moi et autre personne qui vivent a laval, …..tjr sur le mm niveau, je ne vois pas les autres niveau, tient pas compte, logique pcq en lien avec le fait de se comparer avk groupe pertinent, compare pas parisiens avec asiatique, on se compare avk mm niv? So quand on se compare, c avk gens sur un mm niveau, et les autres deviennent nn pertinent)
donne un exemple de l’antagonisme fonctionnel
voir pic!
qu’est ce que le concept de méta-contraste?
- un ensemble de stimuli est perçu comme catégorie si les différences pertinentes entre ces stimuli (différences intra-catégorielles) sont moindres, contrairement aux différences entre cette catégorie de stimuli et une autre catégorie de stimuli qui sont plus nombreuses (différences inter-catégorielles)
-= sert à faire des gr, le rapport (calcul) sert a voir si personne placé dans le bon groupe, personne qui se rapproche le plus de la moyenne se rapproche du prototype du gr en question - Voir des ressemblances, mettre dans catego le monde qui se ressemble et dautre catego le monde que nn…
ex: 4 personnes différentes, on met les gens avec le plus de caract semblables ensemble!, then on vois A LA FOIS, que y’a plus de ressemblance oui, mais plus de différence! - Calcul pr voir si t dans bonne catego : rapport de MC = moyenne des différences INTER-catégories / moyenne des différences INTRA-catégories
→ Qd le rapport de meta-contraste + grand que 1 = personnes est bien classé, si plus petit que un = mal classé appartient a l’exogroupe
Qu’est ce qu’un prototype?
- Stimulus que nous associons en premier à une catégorie
- Image représentative d’une catégorie
- Point de référence cognitif
vrai ou faux,
dépersonnalisation : les facteurs qui ↑ le caractère saillant de la comparaison exogroupe-endogroupe conduisent à ↑ de perception des similitudes avec les membres de notre gr. Donc, on est plus pousser a voir les ressemblance de l’endogroupe, plus on remarque la difference, plus on vois la similarité des caract de nos groupe
vrai
Formation des groupes et identification à un groupe
Paradigme des groupes minimaux : Quel est le processus qui mène à l’identification à un groupe? (Juste le fait de dire «eux» et «nous»)
Selon Turner, formation des groupes et l’identification à un groupe se font par 4 étapes:
1) Catégorisation sociale
- membres du gr perçus comme interchangeables entre eux
- membres du gr perçus comme partageant les mm caract stéréotypiques
- membres du gr perçus comme partageant les mm normes
- si on forme des gr c que a la base gens du groupe se ressemble, donc = sont interchangeable
2) Dépersonnalisation de soi
- personne se perçoit comme possédant les mm caract stéréotypiques que les autres membres d’un gr
- personne partage les mêmes normes que les autres membres de ce gr
- Cela mène à la perception de l’identité sociale par la personne
3) Comparaison sociale
- caract de l’endogroupe (et de soi) sont comparées aux caract de l’exogroupe
4) Cohésion de groupe et différenciation des groupes psychologiques
- Besoin de distinctivité
- Processus d’identification et d’intériorisation (va intérioriser les norme et valeur de son propre gr)
- Volonté de préserver une image positive de soi et de l’endogroupe (pcq favorise estime)
Théorie de l’identité sociale
Que peut-on conclure sur la Théorie de l’auto-catégorisation?
- Chaque individu se classe dans un gr où y’a stimuli qui lui semblent identiques, similaires et/ou interchangeables, et ceci en contraste avec d’autres classes de stimuli
- Cette catégorisation sociale permet à l’individu d’organiser les infos le concernant et concernant les autres, à élaborant des catégories distinctes et exclusives. En catégorisant les autres, l’individu se catégorise lui-mm
- catégorisation sociale implique automatiquement le concept de soi, et par conséquent, l’identité personnelle et l’estime de soi de celui qui catégorise
LECTURE
À propos de la Théorie des conflits réels :
La perception que le gain d’un groupe est lié à la perte d’un autre groupe mène à la perception d’une menace pour l’endogroupe.
Quelles sont les conséquences qui peuvent en découler?
px conduire à des tensions intergroupes, augmentant le préjugé et les comportements discriminatoires pr protéger l’endogroupe
À propos de la Théorie de l’identité sociale :
Un postulat important de cette théorie est que les gens veulent avoir des identités sociales positives.
Sur quoi est basée cette perception? Et quelle condition minimale motive la comparaison intergroupe?
Dans la théorie de l’identité sociale, les individus cherchent des identités sociales positives basées sur une comparaison favorable à leur gr. La simple catégorisation en endogroupe et exogroupe suffit pour déclencher cette comparaison
Résumez les principaux résultats de ces études
- Les 2 études montrent que la perception de menace économique et ↑ de la diversité renforcent les préjugés et réduisent la cohésion sociale, tandis que les attitudes inclusives atténuent ces effets.
- importance des politiques d’intégration pour limiter conflits intergroupes
Quelles sont les implications pratiques de ces études?
études suggèrent que pr minimiser les tensions dues à la diversité, des stratégies de gestion favorisant l’inclusion et la coopération intergroupe sont nécessaires en milieu de travail et dans les politiques publiques
Qu’est-ce que la prosocialité réciproque?
- c le fait d’aider les autres en espérant un retour d’aide, basé sur la réciprocité implicite ou explicite dans les interactions sociales
Qu’est-ce que l’identification sociale?
- c la perception qu’un individu a de lui mm en tant que membre d’un gr particulier, ce qui influence ses comportements et son appartenance affective à ce groupe
L’identification sociale inclut, entre autres, les 2 composantes suivantes : l’auto-investissement lié à l’endogroupe et l’autodéfinition lié à l’endogroupe. Définissez ces 2 concepts
Auto-investissement: l’importance émotionnelle attachée à l’appartenance au gr
auto-définition: la perception de soi en tant que représentant des traits communs du gr
Les études ont démontré que ce ne sont pas tous les gens qui s’identifient à leur endogroupe. Pk? (2)
car faible similitude perçue avec les membres du gr et d’un manque d’attachement émotionnel au gr
Quand un individu a une faible identification sociale à son endogroupe et que la situation fait en sorte qu’il est clairement associé à cet endogroupe (« group identity is made salient »), comment peut-il réagir?
Lorsque l’identification sociale est faible et que l’identité de groupe est mise en avant, l’individu peut :
(a) éviter les interactions
(b) minimiser son lien avec le groupe
ou
(c) rechercher une autre identité sociale plus positive
Quelles régions cérébrales sont activées lors d’actes prosociaux?
l’aire orbitofrontale médiane et le striatum ventral, impliqués dans le traitement de la récompense
Les régions cérébrales communément associées au traitement de la valeur sont activées lorsque la personne fait un acte prosocial et…
et lorsque l’individu accorde une importance personnelle aux résultats positifs pour le groupe
Quel est le lien entre l’auto-investissement et le fait de donner à autrui (membre de l’endogroupe ou membre de l’exogroupe), sur le plan comportemental et sur le plan cérébral?
Auto-investissement favorise le don à l’endogroupe, lié à une activation accrue du striatum lors des gains pour les membres du groupe
Quel est le lien entre l’auto-définition et le fait de donner à autrui (membre de l’endogroupe ou membre de l’exogroupe), sur le plan
comportemental et sur le plan cérébral?
Auto-définition n’influence pas de manière significative les choix prosociaux ou l’activation cérébrale associée, contrairement à l’auto-investissement
Pk les chercheurs déduisent que les résultats démontrent une motivation identitaire plutôt qu’une stratégie de réciprocité dans les comportements prosociaux observés dans cette étude?
car les réponses cérébrales diffèrent même lorsque les gains de l’endogroupe sont simplement observés
Selon Tajfel et Turner, qu’est-ce qui distingue la théorie de l’identité sociale de la théorie des conflits réels?
La théorie de l’identité sociale se distingue de celle des conflits réels par son accent sur les processus subjectifs de l’identité de gr plutôt que sur la compétition pour des ressources
Qu’est-ce que le continuum « comportements interindividuels – comportements intergroupes »?
Le continuum reflète la variation des comportements, allant de ceux basés sur des relations personnelles à ceux influencés par les appartenances groupales
Qu’est-ce que le continuum « mobilité sociale – changement social » du système de croyances, et son lien avec le premier continuum?
le continuum décrit la croyance en la possibilité de changer de gr individuellement ou par des actions collectives, influençant si les comportements sont interindividuels ou intergroupes
Qu’est-ce que le continuum « variabilité – uniformité » des comportements envers les membres de l’exogroupe, et son lien
avec les 2 précédents continua?
ce implique que les comportements envers l’exogroupe sont plus uniformes avec des croyances au changement social et des comportements intergroupes
Qu’est-ce que le continuum « hétérogène – homogène » de la perception de l’exogroupe, et son lien avec les 3 précédents continua?
montre que les membres perçus selon le pôle du changement social sont vus de manière homogène, renforçant les liens avec les autres continua
Selon Tajfel et Turner, lorsqu’un groupe est minoritaire ou dominé, qu’est-ce qui favorise le statu quo, et qu’est-ce qui favorise le mouvement social?
Le statu quo est maintenu par la perception des croyances en l’immuabilité des positions de groupe, tandis que le mouvement social émerge avec une quête d’identité groupale positive
Quelles sont les 3 conditions qui doivent être réunies afin d’amorcer le processus de mouvement social?
- une identité sociale insatisfaisante
- des critères de stratification perçus comme illégitimes
- la croyance en leur instabilité
Théorie de l’auto-catégorisation
Comment Turner définit-il l’auto-catégorisation?
comme une classification cognitive du soi en contraste avec d’autres groupes
Quel est le lien entre la saillance d’une auto-catégorisation et les phénomènes d’assimilation et de différenciation présentés en classe?
La saillance d’une auto-catégorisation accroît les perceptions d’assimilation des membres du groupe et de différenciation vis-à-vis des exogroupe
Une catégorie a plus de chances de devenir saillante dans un contexte donné si elle est cognitivement accessible pour l’individu.
Quelles dispositions de l’individu favorise cette accessibilité?
catégorie devient saillante si elle est cognitivement accessible pour l’individu, influencée par ses expériences et ses valeur
Outre la saillance, quelle caractéristique personnelle joue un rôle primordial dans le choix d’une catégorie?
L’identification subjective de l’individu au groupe facilite l’activation de la catégorie
Comment Turner définit-il la dépersonnalisation?
comme une redéfinition du soi en fonction des stéréotypes associés à la catégorie sociale
Quel impact la dépersonnalisation a-t-elle sur les comportements de l’individu?
La dépersonnalisation oriente les comportements vers les normes du groupe et favorise l’action collective
Quelle est la distinction entre dépersonnalisation et désindividualisation?
dépersonnalisation : changement de niveau de catégorisation sans perte d’identité individuelle
contrairement à la désindividualisation: implique une régression vers une identité primitive