cours 3 Flashcards

1
Q

Quels sont les 4 facteurs identitaires?

A

corporel:
Ce que je perçois de mon corps
Ce qu’autrui perçoit de mon corps
(pas juste l’apparence! Aussi si on a de la douleur, capacité physique (p.ex.; handicap)

cognitif:
Ce que je pense de moi
Ce qu’autrui pense de moi

affectif:
Ce que je ressens à propos de moi
Ce qu’autrui ressent à propos de moi

conatif:
Ce qui m’anime
Ce qu’autrui attend de moi

Identité = TOUT ce qui me caractérise.

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2
Q

donne des exemples de facteurs identitaires

A
  • Apparence
  • Caractéristiques biologiques
  • Sexe/Genre/Préférences sexuelles
  • Race/Ethnie
  • Famille
  • Bande d’amis
  • Langue
  • Milieu géographique
  • Pays/Nation/Région/Ville/Village
  • Milieu socio-économique
  • Religion/Paroisse
  • Cause/Idéologie
  • Rôle social
  • Emploi/Milieu de travail
  • Domaine d’étude/École
  • Traits de personnalité
  • Habiletés/Limites
  • Passions/Loisirs/Goûts
  • Sportifs/Artistes/Vedettes
  • Marques/Logos
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3
Q

vrai ou faux, facteurs identitaires = J’ai différentes facettes, mais je suis une seule personne

A

vrai

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4
Q

élabore sur les facteurs identitaires

A
  • Notre identité résulte d’une construction progressive qui se créer dès nos premières années de vie.
  • Mm si je ne me comporte pas tjr de la mm façon, je suis tjr la même personne
  • De même, nous attendons de chacun qu’il manifeste une certaine cohérence et une certaine constance dans son être, ses attitudes et ses comportements. Une trop grande variabilité nous rend méfiants et peut être perçue comme pathologique
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5
Q

vrai ou faux, L’identité se modifie tout au long de l’existence. Elle résulte de divers remaniements et de tentatives d’intégration (plus ou moins réussies). Certaines périodes de la vie sont plus propices à des changements

A

vrai

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6
Q

Structures des représentations identitaires

Qu’est ce que l’intersection?

A

(voir pic)
Combinaison de A et B = je suis une ado violoniste

Perception de soi: la personne se voit comme une combinaison
ex: une fille joue du violon dans un orchestre. À chaque fois qu’elle pense à elle, elle pense à une ado violoniste

Perception de l’endogroupe: pour elle, l’endogroupe est tt les ado qui joue au violon (plus précisément, ceux qui ont les 2 mm caractéristiques qu’elle). Simple car elle ne regarde pas les similaires ou les différences. Pas les mm caractéristiques = pas comme moi

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7
Q

Structures des représentations identitaires

Qu’est ce que la dominance?

A

Une caract prend plus de place dans la vie. Certaine hiérarchie dans les caract (kess qui est plus important, qui me représente le plus)

Perception de soi: la personne se voit comme une de ses identités
ex: l’ado se voit, avant tout, comme une ado, Le violon est une caract qu’elle a de plus, mais ce n’est pas la plus importante. B vient donner une précision sur A.

Perception de l’endogroupe : les gens qui possèdent la même caract. principale qu’elle. Donc pour l’exemple, l’endogroupe c’est les ados

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8
Q

Structures des représentations identitaires

Qu’est ce que la compartimentalisation?

A

La façon qu’on se voit dépend du contexte dans lequel on se trouve.
Perception de soi: dépend du contexte. Se voit comme violoniste avec son orchestre et comme adolescente avec ses amies ados. Elle est l’un ou l’autre, Elle n’est jamais les 2 en même temps. Ce n’est pas qu’elle nie, mais à ce moment précis, c’est comme ça qu’elle se voit et c’est sur ça qu’elle se concentre
Perception de l’endogroupe: Dépend du groupe saillant. Si elle est avec son orchestre, son endogroupe devient l’orchestre. Si elle est avec ses amies, son endogroupe devient les adolescentes. Possible que fusion dans ça

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9
Q

Structures des représentations identitaires

Qu’est ce que la fusion?

A

Perception de soi: peu importe dans le contexte, la personne se voit comme un ensemble de ses caractéristiques. L’ado se verra tjr comme une ado et une violoniste. Ressemble à l’intersection. Perception de l’endogroupe: inclut les ado qui joue du violon, les ado-te non-violonistes et les violonistes non adolescents. Donc tout ce qui représente l’une et / ou l’autre des caract

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10
Q

Rebeca Hwang a passé une vie entière à jongler avec les identités (héritage coréen, éducation argentine et américaine) et elle a longtemps eu du mal à trouver une place dans le monde pour y vivre. Cependant, parallèlement à ces défis, une réalisation est apparue : la diversité des antécédents constitue un avantage indéniable dans le monde globalisé actuel. Dans cette discussion personnelle, elle révèle les avantages infinis de l’accès à nos identités complexes; et elle partage ses espoirs de créer un monde où les identités ne sont pas utilisées pour aliéner mais pour rassembler les gens.

Quelle structure de représentation identitaire fait elle?

A

Elle a une perception d’elle qui inclue les 3 cultures = FUSION

(Ca prend des capacité cognitive pr pouvoir faire la fusion, c difficile)

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11
Q

Et si nos identités sont en incohérence? Ça veut dire quoi?

A

quand on acculume infos sur nous mm, well ses infos vont pt pas tt aller dans le mm sens, pt dur de les integré et jumeler ensemble pcq incohérentes
Ex = un homme se perçoit comme un travailleur, c important de work pr lui, le motive, etc. MAIS cet homme a un kid, il accorde aussi bcp d’importance a son rôle de père, mais difficile sometimes pcq kess qui est plus important? Jpx pas être 100% performant dans les 2, so cmt je vais concilier cette difficulté là = dissonance cognitive, pcq 2 choses que j’aime bcp mais jdois mettre une de coté pcq jpx pas faire les 2 de façon 100% performante, va pas nécessairement mettre un de coter, dépend de la structure

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12
Q

Que se passe-t-il en cas d’incohérence si notre structure identitaire est l’intersection?

A

Différenciation cognitive: personne va vrm faire un choix entre les 2, sois jsuis a ou b mais jms les 2, donc j’en ignore 1 des 2, c’est comme si ca me représente pu, je m’identifie plus a ca, ex px mm quitter son emploi pr être pr plus avk fils, pk pcq c plus facile à gérer, donc c’est plus définitif que dans la compartim, je NIE l’autre

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13
Q

Que se passe-t-il en cas d’incohérence si notre structure identitaire est la dominance?

A

renforcement: renforcement = personne va favoriser encore plus 1 des 2, 1 devient dominante, personne va pas nier l’autre, mais elle va juste venir en second plan, ex papa se dis, jsuis un travailleur, prend plus de place dans ma vie, mais jsuis un père avk un work, si yarrive kkl chose, work passe first, orrr inverse, so yen aura 1 avant l’autre = hiérarchie qui est favorisé A++ B—

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14
Q

Que se passe-t-il en cas d’incohérence si notre structure identitaire est la compartimentalisation?

A

isolement cognitif: personne se perçoit différemment selon contexte, so ca sera A ou B, dépend du contexte, ex si papa au work, va se focus sur work, maisss quand il reviens home, se focus sur le kid, la il pense plus au work, moins definitif que intersection

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15
Q

Que se passe-t-il en cas d’incohérence si notre structure identitaire est la fusion?

A

Transcendance: joie, personne va rajouter une autre cognition, so cest A et B, mais since dessaccord entre les 2, ca sera A, B et C (une info qui va rallier les 2 first), info sur soi qui fait que les 2 autres sont plus incoherente entre eux, ex c = well jsuis juste un humain, jpx pas être partout en mm temps, so normal que jpx pas donner mon 100% a mon kid if im at work et vice versa, fusion pcq demande plus de work cognitif de trouver un C, un moyen de se convaincre que malgré l’incompatibilité, on px rassembler les infos A et B, donc trans = on AJOUTE une cognition

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16
Q

Qu’est ce que la différenciation?

A
  • ton niveau de reconnaissance de l’incohérence
  • quand on reconnais les incoherence, que tel partie de mon identité est incohérente avk l’autre
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17
Q

Qu’est ce que l’intégration?

A
  • ton niveau de résolution de l’incohérence
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17
Q

les 4 structures identitaires font il de la différenciation / intégration?

A

Intersection: très faible différenciation (ignore l’incohérence)

Dominance: faible différenciation (différence avec intersection est que la personne continue quand même à penser à sa 2e caractéristique, mais sera rabaissée dans la hiérarchie)

Compartimentalisation:
différenciation: on considère l’incohérence mais on sépare encore. On change selon le contexte

Fusion: la personne fait de la différenciation et tout est intégré ensemble car des nouvelles infos sont ajoutées pour combiner le tout. Processus identitaires

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18
Q

Différents processus contribuent à la construction de l’identité

Qu’est ce que le Processus sociocentrés?

A

Traitement des informations relatives aux groupes sociaux = on créer des catégorie then on trouve a quelle catégorie on correspond

  • Catégorisation sociale
  • Auto-catégorisation
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19
Q

Différents processus contribuent à la construction de l’identité

Qu’est ce que le Processus égocentrés?

A

Traitement des informations relatives aux individus = personne refléchie a elle mm, faire des attributions sur sa propre personnes et tt

  • Comparaison sociale
  • Attribution
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20
Q

Différents processus contribuent à la construction de l’identité

Qu’est ce que le Processus relationnels et dynamiques?

A

Traitement de l’interaction entre l’individu et le contexte = cmt individu s’adapte au contexte

  • Diverses théories
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21
Q

Catégorisation sociale

Qu’est ce que la Catégorisation?

A

Activité mentale qui consiste à organiser des éléments dans un ensemble en fonction de critères communs

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22
Q

2 étapes du processus de catégorisation

Quelle est la 1ère étape?

A

1) Élaboration des catégories:

→ catégorisation basée sur le sujet: y’a une personne qui décide des catégorie et des critères ex kkl se dis jvais séparer les gens selon 3 gr, les kid, jeunes, et moins jeunes then on catégorise selon les groupe d’age, so on a 1 personne qui décide des critères pr rentrer le monde dans des catégo, so si kkl dautre utilise les mm critère, on arriverai au mm conclusions
→ catégorisation basée sur l’objet: ex si je décide de faire catégo selon ou est ce que les gens habite, lavalois, montréalais etc. critère déjà énoncer par le nom de la catégo
→ catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet: demande une evaluation, y’a des critères mais ils sont plus subjectif, nécessite une evaluation, ex les bons et mauvais politiciens, cmt je juge de ca? Well ceux qui sont honnête, qui respecte leur bhay.. Mais thing is, cest subjectif, pcq honnêteté vx pas dire mm bhay pr tt lmonde, donc les critères misen place pr classer cest susceptible de varié d’une personne à l’autre

Ex : bouddhiste, catholique, juif etc = basé sur l’objet car catégo nom de l’objet
Ex : père present pr kid et père nn present = interaction entre sujet et objet
Ex : grand joueurs et petit joueur de basket (taille) = basé sur le sujet car critère bien défini pr que tt lmonde arrive aux mm conclusions
Ex : bon ou mauvais chanteur = interaction sujet objet car différent pr tt lmonde un bon chanteur
Ex : cardiologue, psychiatre, neurologue = objet
Ex : les pauvre, riches, moyen classe = le sujet

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23
Q

2 étapes du processus de catégorisation

Quelle est la 2e étape?

A

2) Utilisation des catégories :
→ induction: on rencontre personne, on la regarde, on dis a elle ressemble au membre de cette catégorie, so induction me permet de catégoriser la personne

→ déduction: nous sert a décrire la personne

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24
Q

catégorisation sociale

Qu’est ce qu’un stéréotype?

A
  • Structure mentale qui inclut l’ensemble des informations communes à tous les membres d’une catégorie sociale
  • prendre du monde dans une catégorie qui ont les mm caract? c quand tt le monde a les mm caractéristiques, ex ils ont tous la mm grandeur, mm forme de tête, tous yeux noir, so ensembles des infos qui sont commune a une mm catégorie sociale, so c vrm qui fait partie de cette catégorie then leur pts de ressemblance vont former notre stéréotype
  • schéma sur un groupe social donc tt les infos qu’on a sur un gr social, pas tjr des choses neg, px être positif ou neutre et px aussi contenir des infos inexacte ce qui augmente les chance de faire des préjugés
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24
Q

catégorisation sociale

Qu’est ce qu’un prototype?

A
  • Représentation mentale générale et abstraite d’un membre d’une catégorie
  • image flou, en général a quoi ca px ressembler (ex barbie)
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25
Q

catégorisation sociale

qu’est ce qu’un exemple?

A

Représentation mentale précise d’un membre en particulier faisant partie de la catégorie
(barbie femme d’affaire)

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25
Q

Lors de la catégorisation sociale, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes d’assimilation et de différenciation.

Qu’est ce que l’assimilation?

A

Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe

ex: on vois que ce sont tous des bonhomme sourire qui sourie

(voir pic)

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26
Q

Lors de la catégorisation sociale, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes d’assimilation et de différenciation.

Qu’est ce que différenciation?

A

Accentuation des différences entre les individus appartenant à des groupes distincts

ex: tous des emoji qui sont triste

(voir pic)

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27
Q

La combinaison des 2 (assimilation / différenciation) amène les gens à percevoir à tort que les membres de l’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe.

Élabore

A

Si on combine = on se dis que c 2 groupe très différent, mais dansss le fond, on bcp de ressemblance les triste et happy, for instance, ils sont tous jaune, so ca cause probleme, si on fait les 2 processus, ca px causer a tord de croire que les 2 gr sont très différents les uns des autres
Ex catégorisation = arrondissements de mtl = catégo sur l’objet pcq ex tu vie a dorval, le nom c déjà la catégo bref , ex tu compare 2 cartier ou arrondissements, on oublie que end of the days c tous des montréalais, y’a des pères des mères, so ont bcp de ressemblances

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28
Q

Auto-catégorisation

Le processus de catégorisation appliqué à soi peut se dérouler à 3 niveaux, lesquels?

A

Niveau supra ordonné: l’individu se catégorise comme être humain, il réalise des comparaisons entre l’espèce humaine et d’autres espèces (quand humain se compare à d’autres espèce)

Niveau intermédiaire: l’individu se catégorise comme membre d’un groupe ; il réalise des comparaisons intergroupes (personne, sont but c de voir a quelle gr elle appartient et pr y arrivé, faut faire des comparaison intergroupe, lequel me ressemble le plus, que jappartient le plus, aide a dév notre identité sociale)

Niveau subordonné: l’individu se catégorise comme une personne singulière ; il réalise des comparaisons interpersonnelles et des comparaisons intragroupes (personne vx savoir kess qui la rend unique par rapport aux autres membre de son gr ou aux autre personne)

intragroupe = monn groupe a moi
interpers = les autres i think, so aide a dev mes identités personnelles

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29
Q

Auto-catégorisation

Qu’est ce que la dépersonnalisation?

A
  • Perception de l’individu comme étant un exemplaire d’une catégorie sociale; qui possède les traits stéréotypiques qui définissent son endogroupe
  • lié avec le niv intermédiaire, spa négatif tjr, je conçoit que moi jsuis similaire au autre membre de mon gr, ce qui est positif = comme les autres me ressemble, ils me comprennent mieux, renforce le sentiment d’affiliation, coté négatif = quand kkl pense qui performe mieux que les autres mais qu’on le reconnait pas, peut être fâchant, px se faire par une autre personne justement (identité sociale)
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30
Q

Auto-catégorisation

Qu’est ce que l’unicité?

A

Perception de l’individu comme étant un être unique; qui possède un ensemble de caract qui lui est propre et qui n’est partagé par personne d’autre
- = niv subordonné, (identité personnelle), la personne px se considéré comme individu unique et les gens de l’extérieur aussi px la considéré comme un être unique, si on a des qualités qui nous rend plus performant, qui nous démarque des autres, être unique, mais px être négatif, genre t le seul qui est nul dans tel bhay….

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31
Q

Auto-catégorisation

Qu’est ce que la catégorisation croisée?

A
  • Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à 2 catégories sociales
  • on tient compte de juste 2 caract
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31
Q

vrai ou faux, la catégorisation croisée ou multiple permet de voir qu’on a des ressemblance avec les autres, donc permet de pu avoir la distinction de ex emoji triste et happy, dememe on se dis well on est tous jaune

A

vrai

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32
Q

Auto-catégorisation

Qu’est ce que la catégorisation multiple?

A
  • Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à PLUS de deux catégories sociales
  • on tient compte de plusieurs carcat
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33
Q

Qu’est ce que la Comparaison sociale?

A

En l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évaluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres

34
Q

Qu’est ce que la comparaison ascendante?

A
  • Se comparer à des personnes que nous jugeons supérieures à soi
  • y’a des inconvénient et des avantages, si on se compare a kklde superieur well on se trouvera moins bon donc mauvais impact maiss avantage c que, c suggéré quand on vx sameliorer dans kkl chose, we wanna do better, px devenir une source de motivation
35
Q

Qu’est ce que la comparaison descendante?

A
  • Se comparer à des personnes que nous jugeons inférieures à soi
  • positif = c bon pr estime de soi pcq on se dit well moi jsuis meilleur que les autre, meilleure moyenne etc
36
Q

vrai ou faux, la Théorie des processus de comparaison sociale postule que « qui se ressemble s’assemble ». Et si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit s’accentuer au cours du temps.

(Accent sur la similitude)

37
Q

Il y a 3 propositions principales de la Théorie des processus de comparaison sociale, quelle est la 1ère?

A

point de comparaison objectif, personnel
- Il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses opinions et aptitudes personnelles (On regarde kess qui est similaire, on évalue pas juste nos capacité et aptitude mais aussi la valeur de se qu’on pense.. on vx savoir si on est adapté)

38
Q

Il y a 3 propositions principales de la Théorie des processus de comparaison sociale, quelle est la 2e?

A

point de comparaison sociale

La façons d’évaluer nos opinions et aptitudes :
1. Par des moyens objectifs non sociaux (stu possible de s’évaluer concrètement avec des critère objectif, ex kkl qui se demande si c un bon étudiant = well les notes sert de critères, sinon guitariste ask si yer bon = y’essaye de jouer une song mais joue pas aussi vite etc donc on px s’évaluer de manière objective)
Sinon…
2. En les comparant avec les opinions et aptitudes des autres (on se compare a des gens qui sont du mm niv que nous et on ask si ca correspond au gens de mon age, sont tu capable eux, ou ex on se demande pr qui voter, on compare position des autres, then on s’ajuste if needed)

Sinon…
La personne éprouve de la difficulté à se définir

39
Q

Il y a 3 propositions principales de la Théorie des processus de comparaison sociale, quelle est la 3e?

A
  • À l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence (comme pts de comparaison) ceux dont l’opinion ou l’aptitude est plus proche de notre opinion ou aptitude.
  • La tendance à se comparer à autrui ↓ à mesure qu’augmente la différence entre soi et cet autre.
  • Si le seul pts de comparaison possible est très éloigné, l’évaluation manquera de précision subjective

DONC : Trop de divergence intragroupe → Pression à l’uniformité

  • Plus on s’éloigne de bhay dont on se compare, - on aura tendance a se comparer , ex tu vx faire de la compét, well tu va pas te comparer a un guitariste si t un nageur
    Pression = quand on est dans un gr et on se compare aux autres personnes,….. Faut vrm se retrouver dans un gr de gens qui ont des trucs qui se ressemble a nous , en gros, c une pression pr que tt lmonde se ressemble davantage , cmt? =
    1. en se changeant sois mm (ex mouton noir)
    2. en amenant les autres a changer pr quil nous ressemble
    3. en se concentrant sur les ressemblance plutôt que les différence
    Ex : personne qui prend pr partie quebecois vx défendre son point, elle se trouve avk personne qui compte pr un autre partie, so sa amene difficulté a réfléchir pcq eux compte tt pr mm bhay, so elle se dis fuck that c bon jvais compter pr votre bhay, SINON, elle px les pousser a eux compter pr le mm bhay que elle OU, on se dis on reste demene mais on compare avec nos bhay en commun
40
Q

comparaison sociale

D’autres propositions ont été faites, résument les.

A
  • Pr les aptitudes, la pression à l’uniformité ne débouche pas sur un état d’équilibre car il existe un mouvement unidirectionnel vers le haut, une tendance à vouloir tjr faire mieux (qui n’existe pas pour les opinions). Nous n’arrivons donc jms à un état de repos social.
  • Les pressions à l’uniformité dans un groupe dépendent de :
    → l’importance du groupe pour l’individu
    → la pertinence de l’opinion ou de l’aptitude pour le groupe
  • Opinion px se clarifier.. Cest une info qu’on a mais reste la mm info comparativement a une habileté ou on px sameliorer
  • On fait tjr effort pr être pareil comme les autres
    Si gr important on va faire effort pr le ressembler mais si tu t’enfou tu px juste te dire que tu vas quitter le gr et trouver un qui te ressemble plus
    Ex gr d’amies, et ya 1 qui aime pas sushi = well on dira ps que t pas ma pats si t’aime pas
41
Q

vrai ou faux, La référence à autrui conduit à de la différenciation lorsqu’elle fait peser une menace sur l’identité. La restauration de cette identité se fait à travers la recherche de la différence, de l’altérité, de la création puis de l’accentuation de l’hétérogénéité.

(accent sur la différence)

42
Q

Quelle sont les étapes du processus de différentiation?

A
  1. L’individu se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité)
    2. Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de sentir, d’agir
    3. Il y a tentative de faire reconnaître et de faire accepter ces nouveaux critères (cela englobe le prosélytisme, le recrutement ou le rassemblement des personnes qui sont / deviennent semblables pr avoir + de poids dans la lutte pour faire admettre la légitimité de ces nouveaux critères)
    4. Il y a tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable, tentative de substituer à « l’ordre ancien » un
    « ordre nouveau »
43
Q

Articulation entre similitude et différence

vrai ou faux, selon le Modèle de la conformité supérieure de soi, pr un ensemble défini d’individus, il existe une importante tendance de chacun à affirmer qu’il est lui-même plus conforme aux normes en vigueur dans cet ensemble que ne le sont les autres personnes

44
Q

Quelles sont les étapes du processus de la conformité supérieure de soi?

A

1. L’individu tend à se valoriser face aux autres

2. Il y a un conflit entre :
- le désir de plaire
- la volonté de préserver son identité personnelle

3. Il n’y a que 1 seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres aux normes sociales

45
Q

Qu’est ce qu’une attribution?

A
  • Jugement (inférence) porté sur un événement; interprétation personnelle de la réalité
  • Une attribution peut être faite :
    → Pr soi-même : il s’agit alors d’une attribution de l’acteur ou d’une auto-attribution
    → Pr autrui : il s’agit alors d’une attribution de l’observateur ou d’une hétéro-attribution
46
Q

attribution : acteur versus observateur

Lorsque nous faisons des attributions sur soi ou sur autrui, est-ce que les processus sont identiques?

A
  • Si l’acteur et l’observateur disposent des mêmes infos, l’auto-attribution et l’hétéro-attribution sont relativement semblables
    Mais, dans les faits, nous n’avons pas tendance à tenir compte des mm infos….

Acteur: tendance à se juger lui-même à partir de ce qu’il voit : le contexte en premier, lui-mm en second
Observateur: tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voit : l’acteur en premier, le contexte en second

47
Q

Attribution

Weiner a examiné les attributions en tenant compte de 3 dimensions causales, lesquelles?

A

1.Lieu de causalité (locus) : origine de la cause (interne – externe)
2. Contrôle : degré avec lequel la cause peut être affectée par la volonté. (contrôlable – incontrôlable)
3. Stabilité : possibilité pour la cause de varier dans le temps (stable – instable)

48
Q

donne un exemple d’attribution dans le cas où Josiane s’est vu refuser l’admission au doctorat en psychologie

A

(voir pic!)

1e case en haut a gauche = elle va se dire c ma faute, j’aurais du mettre plus temps d’etude et work, mais pas le choix de work pr payer etc donc on se dit c ma faute mais j’aurais pu contrôler, si j’aurais changer mon nb dheure pt j’aurais reussi, donc dans ce temps la, les gens vivent bcp plus de culpabilité, j’aurais pu faire mieux, déçu delle même, sentir qu’on a pas tt fait mais on aurait pu

En haut 2e = elle a vrmm une incapacité, on ressent plus de la honte a ce moment la, est une faible estime de soi, si jai pas été accepter, jsuis nul, donc façon de faire une attribution a un impact sur la façon dont on se perçoit??, donc selon la dimension, ca aura pas la mm impact sur notre estime.. C ca l’idée générale de ca

49
Q

attribution

Qu’est ce que le biais de complaisance?

A
  • Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes
  • bonne estime de nous, belle perception de nous mm, mécanisme adaptatif, on l’utilise assez souvent
    ex : mon cadrant à oublié de sonner, vrai chose a dire, oublier d’activé son réveil, donc c comme si on met la faute sur le réveil, c pas grv faut juste pas l’utiliser trop souvent, ex on admet jms nos erreurs, on se questionne pas sur cmt je dois m’améliorer, on prend pas connaissance de nos défaut (ici on se juge soi même)
50
Q

attribution

Qu’est ce que l’erreur d’attribution fondamentale?

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous- estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui
- (kkl d’autre qui nous juge), si on est pas conscient que kkl juge, sa change rien, si kkl nous fait des reproches, les critiques là, vont nous affecter

51
Q

attribution

Qu’est ce que le Biais de responsabilité injustifiée?

A
  • Tendance à porter le blâme à la victime
  • fait par un observateur, ex kkl vois que t victime et te dis c ta faute
52
Q

attribution

Qu’est ce que la croyance en un monde juste?

A
  • Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qu’il lui arrive
  • on ce dis le monde sur les pic well tu l’as cherché (tête dans le croco), c comme dire a la victime c ta faute once again, ici px avoir un impact sur la personne, genre la culpabilité mais doit être consciente que c elle qui s’est mis dans le pétrin, donc on fait sentir a la personne quelle s’est mise dans le trouble**
53
Q

attribution

Qu’est ce que l’autodépréciation?

A
  • La personne émet, sincèrement ou non, des jugements défavorables à son propre égard
  • se devalorise eux même, fait bcp d’attribution neg regarding leur comportements, personne se denigre, mm si pas spa vrai
    ex : un kid qui se fait dire tt sa vie que t pas bon tarrivera jms a rien a lecole, fait si et ca etc, il interiorise, et si jms ex cegep il réussi sont examen well il va se dire c un hasard, etc.
54
Q

attribution

Qu’est ce que la Résignation acquise?

A
  • Réponse apprise résultant de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, à fuir ou à éviter
  • se dis jpx pas contrôler ca, donc elle arrete de se défendre, etc resigne, percu incontrôlable par la personne donc se resigne à subir, comme un vide émotionnel, plan cognitif, well il auront bcp d’attribution, jai jms été capable de rien, c vrai jsuis pas bon, etc avec le temps la motivation disparait = passivité
  • On remarque que y’a de l’autodépréciation dans la résignation acquise

se passe dans :
→ Situations désagréables ou douloureuses
→ Situations perçues comme incontrôlables par la personne
→ États émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires
→ Passivité, apathie, inhibition

55
Q

Attribution sociale: la personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquels elle porte un jugement (endogroupe ou exogroupes)

Qu’est ce que le favoritisme endogroupe?

A
  • Évaluation plus positive de l’endogroupe que de l’exogroupe
  • px se faire de 2 façon,
    1. sois en valorisant notre propre gr, mon groupe est meilleur etc et/ou
    2. en devalorisant l’exogroupe = dans les 2 cas on créer un ecart
56
Q

Attribution sociale: la personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquels elle porte un jugement (endogroupe ou exogroupes)

Qu’est ce que le favoritisme exogroupe?

A
  • Évaluation plus positive de l’exogroupe que de l’endogroupe
  • mm chose mais inversement
    1. on valorise l’exogroupe ou/et
    2. on dévalorise l’endogroupe
57
Q

attribution

Qu’est ce que l’erreur d’attribution ultime?

A

Un comportement désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est l’inverse qui se produit

  • Ex dans votre equipe, un joueur font un bon coup, wowow etc, mais si l’autre team fait un bon coup, oh les arbittre on laissé passé, c’etais par chance etc. donc dévalorise l’exogroupe, si mon groupe réussi, c pcq sont beau etc mais si les autres gagne, y’on triché etc.
58
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

processus selon Breakwell

Breakwell suggère que 2 processus sont à la base du développement de l’identité, lesquelles?

A

1. Assimilation-accommodation:
l’assimilation désigne l’absorption d’informations nouvelles dans la structure de l’identité;
l’accommodation réfère à l’ajustement qui se produit dans la structure existante pour placer cette info
ex kkl qui conduit pr la première fois dans neige, elle se rencontre que sa glisse, c la first time tc donc new info quelle reçoit et quelle rajoute (assimiltion = japprend kkl chose de new) then accomodation = japprend kkl chose de new, jsavais quoi de moi en tant que conducteur, well jsais que asphalte sa va bien, etc. donc on compare, on fait des liens avec les autres info, donc on situe cette info nouvelle par rapport au autres, est ce que ca contredit ce que jsavais déjà, etc. donc réflexion pr placer new infos

2. Évaluation: elle implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité, est ce que c important, est ce que ca me définit? personne px se dire, ok je constate que j’ai difficulté sur route quand y’a la neige, jvx pas me définir comme mauvais conducteur, avk le temps jvais m’améliorer, donc info pas tant importante sur le plan de mon identité VS kkl qui vx rentrer gros prgrm then ses notes dexam… donc ici vrm cmt notre perception change avec les new infos qu’on apprend!

59
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

processus selon Grotevant

Grotevant examine et décrit le développement de l’identité dans différents domaines (ex : famille, école, travail). Élabore

A

La probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire est déterminée par l’interaction entre :
- les caractéristiques individuelles (estime de soi, le contrôle de soi, la capacité de résilience, l’ouverture, les capacités cognitives, notre identité actuelle = tt ca affecte qui se questionnera sur lui-même genre??)

- les facteurs contextuels (= pressions sociales (de nos groupes sociaux primaires), le mode de communication qu’on a développé dans notre famille (dans certaine famille ont encourage kid a parler d’eux, exprimer cmt il se sentent, etc d’autre famille on empêche kid de s’exprimer, on leur impose façon d’être donc ca ca influence la personne), les croyances véhiculés dans les milieux où on se trouve (croyance véhiculé dans le gouv du québec, de votre école, etc par rapport a l’identité), les normes culturelles (c quoi les normes social qu’on vois dans notre société, le style vestimentaire etc)

  • les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines (= kkl qui utilise un processus dans un domaine l’utilisera aussi dans un autre domaine)

L’accent est mis sur le caractère transactionnel du processus : le contexte influence continuellement la personne en dév, et la personne influence continuellement le contexte dans lequel elle évolue

60
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

processus selon Bersonsky

Berzonsky décrit 3 styles de traitement de l’information, lesquelles?

A

1. Style orienté vers l’information: personne explore activement et évalue l’info pertinente avant de s’engager (dans un travail identitaire, à réfléchir sur elle-mm) donc info a propos de notre identité

2. Style orienté vers la norme: personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle (= kess ui va plaire aux autres, kess qui est important au autres membre de mon groupe)

3. Style orienté vers la diffusion: la personne tend à retarder et à faire traîner les choses jusqu’à ce que des valeurs hédonistes dans la situation immédiate lui dictent une voie de comportement (personne qui vont pas vouloir trop réfléchir au new info, saufff si ca va leur rapporter kkl chose, la personne va pas réfléchir au new info vrm sauf si reçoit pas kkl chose de satisfaisant)

61
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

processus selon Bersonsky

La formation de l’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu. Explique

A

3 dimensions :
1. traitement de l’info
2. adaptation
3. perception de soi

  • gens orientés vers l’info sont ouverts au feedback et prêts à réviser leurs schémas d’eux-mm, ont une perception de soi qui est bien différenciée et intégrée (gens qui vont prendre tt les new infos, positives ou négatives, sont ouvert, vont tt considéré et les traiter et y réfléchir, seront des gens qui sont plus adapter sur leur fonctionnement social, plus clair sur le plan de la perception de soi)
  • ceux orientés vers la norme ont une théorisation de soi plus dogmatique et ils défendent leurs croyances centrales. Ils ont une perception de soi plutôt rigide (traitement de l’info : ces gens ont plus tendance a traiter les info relié aux normes mais pas les autres, je correspond tu au norme, ce que jfais sera tu accepter par le groupe, etc donc traite pas tt les info, si y’on des qualité ou défaut relever par le gr, vont pas tt traiter, dogmatique = idée sur eux même qui est figé, adaptation : bonne adaptation sociale car respecte les normes mais l’adaptation et fonctionnement personnel, moins bon, perception de soi : manque de clarté pcq yon bonne perception identité sociale mais il se connaisse pas eux mm)
  • ceux orientés vers la diffusion présentent des schémas de caméléon aux influences situationnelles, but les modif impliquent des actes éphémères de conformité verbale ou comportementale. Ces gens ont une perception de soi manquant de cohérence et d’unité (quand yon info a leur sujet de new, vont les ignorer, vont peu traiter l’info, vont avoir plus tendance à nier les info négatif que positif, gens qui ont tendance à faire es distorsion cognitive (si y’a des info qui leur plaise pas, vont les interpréter de manière a ne pas se sentir dénigrer etc, pr avoir impression que sont bon et tt) (traitement), adaptation : vont paraitre adapté maiss …. Leur comportement sont très superficiel font ce qui ont a faire mtn mais change pas leur comportement, adaptation superficiel en apparence, semble adapté mais a l’intérieur il pense différémment , perception de soi = confuse, se connaisse bof pcq reflechissent pas a eux même, parfois irréaliste,)
62
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

explique ces processus selon Kunnen et Bosma

A
  • la personne et le contexte réagissent l’un à l’autre.
  • Nature itérative de ce processus : le dév de l’identité est un enchaînement de transactions : le même mécanisme se répète encore et encore, de telle façon que le dév à long terme est déterminé par une séquence de processus à court terme = on évolue et ca avance tjr, c linéaire, se répète
  • chaque fois que y’a une interaction entre la personne et le contexte, les 2 sont amenés à changer. La nouvelle identité affecte, à son tour, l’interaction
  • Les changements dans la personne ou le contexte peuvent conduire à des changements dans les engagements
63
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

illustre le processus selon Kunnen et Bosma

A

(voir pic!!)

Le F = fit en anglais, on parle ici d’une transaction, l’individu va avoir a sadapter par rapport a un evenement, pourrait avoir un changement a son identité
P = la personne
C = contexte
En rouge = identité
En vert = c ca une itération, ex un cuisiner alaise dans sa façon de work, la on lui dis ya un evenement special, un gros gr viens manger et tu dois faire a souper pr 40 en mm temps! Transaction = va avoir a gérer, il sait pas si yer capable, y va faire de son mieux, then après la transaction il va se redéfinir, et redefinircontexte dans lequel il se trouve, il va apprendre kkl chose sur lui si il reussi, contexte = apprend que est pt un contexte difficile mais capable d’y faire face
T2 = se continue, nouvelle itération

64
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques

illustre de façon détaillé le processus selon Kunnen et Bosma

A

(voir pic!)

  • Modèle détaillé ici, correspond tt a 1 itération ici, c’est ce qui se passe dans la transaction ici
  • Contexte = Engagement = jvx réussir mes étude etc, Une nouveauté, situation ou faut s’adapter, personne face a un défi
  • Si elle réussi = elle sera dans l’adéquation, la motive à maintenir son engagement , j’ai eu la note je vx, jsuis satisfaite jvx continuer la dedans
  • Si ya un conflit = un échec, pas comme la personne souhaite, personne va sentir des émotions négatives pcq inadéquation, jmattendais a bien performer mais jai pas eu ce que je m’attendais, échouer exam malgré les efforts
  • Assimilation = personne prend cette new info et va tenter de la traiter, ex personne px tenter d’expliquer son échec en trouvant des excuses, pas assez étudier etc px interpréter la new info pr la rendre plus cohérente pr elle MAIS possible que personne dise aussi, jsais next time jpx faire sa, next time sera différent, bref bcp de travail cognitif pr rendre ca moins pire, si assimilation work = personne a une explication de son echec, succès, donc maintien ses engagement, sinon, autre chose, 2 possibilités, 1. personne se retire complètement de ses engagements (étudiante lâche school) 2. accomodation = modifier les engagements, possible juste si contexte en accord avec sa (ex étudiante inscrit au bac en psy, finalement pt c pas mon domaine, therefore jvais continuer a étudier mais autre domaine, donc modification engagement
  • Echec = échec d’assimilation, personne arrive pas a expliquer pk sa pas marcher
65
Q

Qu’est ce qu’une représentation?

A
  • Action de concrétiser une réalité absente physiquement
  • image générale, fini, j’ai une image de .., plutôt que tt les morceau de l’image

Types de représentation identitaire :
1. Personnelle
2. Sociale
3. Collective

66
Q

Qu’est ce qu’une Représentation personnelle?

A
  • image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes et intergroupes
  • elle inclus l’identité personnelle ET identité sociale! Les 2, tt les infosss qui nous concerne, celle propre a nous et celle qu’on partage avec les membre d’un groupe
  • Ce nest pas mm chose que identité personnelle / sociale
67
Q

Représentation personnelle

comment se fait la formation de la représentation personnelle?

A

L’individu se socialise et construit son identité par 4 étapes, au cours d’un long processus de la naissance à l’adolescence et se poursuit à l’âge adulte, se termine jms (voir pic)
1) Caract observables = a la petite enfance, âge préscolaire, plus personne chez les petits enfant car remarque mtn les différence entre les gens, pas juste apparence mais aussi différence dans les famille, genre ta un frère et une sœur etc. cmt ca etc objet que je possède, nb d’amis, bcp de comparaison! Commence a remarquer similarité et ressemblance

2) Compétence = artistique.. Etc. kid compare leur note et tt etc

3) Relation a autrui = au début de l’adolescence, kid parte d’Un petit groupe au primaire, pr aller dans une grande école, mix gars fille, attirance pr autrui, se compare comme ca…
**4) = fin ado et tt l’âge adulte, tt lmonde est au mm niveau, moins de comparaison

Les processus de dev de l’identité sont très relié a nos capacité cognitive

68
Q

comment se fait l’organisation des informations en mémoire?

A

se fait selon :
- Je personnel et Moi social
- Soi privé et Soi public
- Selon le contexte
- Connaissances sémantiques et Connaissances épisodiques

Mémoire sémantique:
Conserve les connaissances générales et les informations factuelles

Mémoire épisodique:
Conserve les choses telles qu’elles ont été vécues subjectivement

69
Q

Quelles sont les rôles des représentations personnelle dans le traitement de l’info sur soi? Sert à quoi?

A

sert à :

La valorisation de soi: pousse à élaborer des représentations positives, par le biais de sélections ou de transformations de l’info dispo (la bonne image qu’on a de nous mm, si elle est positive, va avoir un impact positif sur lestime de soi de nous mm, important car aura moins peur d’essayer des choses, craindre la nouveauté etc important pr adaptation dans la vie)

La vérification: elle conduit l’individu à rechercher des confirmations de ce qu’il pense déjà de lui-même, dans un souci de cohérence ou de stabilité (confirmer, on cherche des infos pr bien se connaitre et confirmer des bhay, jcrois jsuis bon la dedans donc jle fais, donc je test des choses pr pouvoir vérifier si jsuis vrm bon la dedans ou jsp)

La qualité de l’évaluation de soi: conduit à rechercher des situations lui permettant de réaliser les évaluations de soi les plus exactes possible (= s’évaluer soi même, faut se mettre dans des situation qui nous permet de tester nos habileté et connaissance, pr apprendre new bhay sur soi, diffrence entre verif et eval : eval jvais apprendre kkl chose de nouveau sur moi, une coche plus loin)

L’amélioration de soi: dans certaines situations, pousse à se comparer à des personnes jugées + performantes / compétentes pr apprendre qql chose (comparaison ascendante, je regarde ma representation de moi, pr m’améliorer)

70
Q

Qu’est ce qu’une représentation sociale?

A

Image que la personne a sur les catégories sociales et les groupes sociaux

71
Q

Les individus impliqués dans les interactions sociales sont des entités bien réelles et distinctes. Ce constat est moins évident lorsqu’on songe aux catégories sociales et aux groupes sociaux qui sont, le plus souvent, les résultats d’élaborations sociocognitives

Qu’est ce que l’élaborations sociocognitives?

A

Réflexions sur les connaissances acquises dans les relations sociales

72
Q

Les représentations sociales sont liées à quoi?

A
  • aux asymétries des positions sociales;
  • aux croyances partagées par les membres d’un groupe
73
Q

représentations sociales

C’est quoi des Asymétries des positions sociales?

A

les gens des différents groupes de la société sont impliqués dans bcp de rapports sociaux hiérarchisés.

3 dimensions affectent surtout le niveau hiérarchique des positions sociales :
1. le capital économique (compare gens selon leur bien matériel et cob)
2. le capital culturel (= comparaison selon les connaissances des gens)
3. le genre

plus un gr de personne est considéré comme ayant du prestige et pouvoir = statut fort

74
Q

vrai ou faux,

Le niveau hiérarchique affecte le degré de pouvoir et d’influence des différents individus du groupe.

La représentation que les gens se font de leur position et de la position des autres dans la structure sociale influence leur identité individuelle

75
Q

représentations sociales

C’est quoi des Croyances partagées?

A
  • L’environnement social ne se résume ps juste à des gens et à des groupes sociaux. Il est aussi peuplé d’objets sociaux qui influencent les individus et les groupes qui y adhèrent
  • Dans un gr, on a tous la mm vision de kkl chose en particulier, ex réduire la pollution, avoir arme a feu personnelle etc. un objet social

(Objet social: Représentation partagée par plusieurs personnes DE MM GROUPE)

76
Q

Que peut on rajouter sur les objets sociaux?

A
  • Représentation partagée par plusieurs personnes DE MM GROUPE
  • objets sociaux sont des produits des membres d’un groupe
  • faut que les infos relatives à l’objet social soient dispersées dans le groupe
  • influencent chacun des membres du gr (pensées, émotions, intentions, comportements, etc.)
  • influencent nos perceptions des autres (catégoriser, définir les statuts et rôles, appuyer des opinions et des comportements, etc.)
  • ont diverses fonctions pour notre adaptation :
    1. susciter des prises de positions communes ou divergentes (= avk les gens des autres gr)
    2. jouer un rôle d’affirmation et de distinctivité d’un gr (je pense comme les autres donc c mon endogroupe, parfois pas tt d’accord sur un point)
    3. réguler l’identité
77
Q

Qu’est ce qu’une Représentation collective?

A

Ensemble des savoirs produits par une société dans sa globalité

Caractère transversal : le concept de représentation collective pose l’existence de croyances générales qui traversent une société dans son ensemble
Ex: différences dans le mode de pensée des cultures individualistes versus des cultures collectivistes
→ Cultures individualistes: valeurs fondamentales axées sur l’individu.
→ Cultures collectivistes: valeurs fondamentales axées sur le gr

78
Q

Représentation collective

Qu’est ce que la Culture individualiste?

A
  • Mode de pensée influencé par une vision analytique
    (ex : Aristote, Socrate, Platon) : l’objet est expliqué par ses attributs et son appartenance à une catégorie
  • Les gens ont été habitués à se concentrer sur l’essentiel
  • Ils apprennent dès leur jeune âge à se percevoir comme une personne importante

donc On met de l’avant le fait de se dépasser, se dev, s’exprimer

79
Q

Représentation collective

Qu’est ce que la Culture collectiviste?

A
  • Mode de pensée influencé par une vision holistique: l’objet est expliqué par son contexte
  • Les gens ont été habitués à regarder l’ensemble
  • Ils apprennent dès leur jeune âge à se percevoir comme un élément infime d’un tt + grand
  • chaque prsn a besoin de ce qui l’entoure pr se dev, les liens sont important, si sa fonctionne pas dans le groupe, personne va le ressentir, donc c la force du groupe qui aide la personne a se dev
80
Q

Résume la Représentation collective

A

voir pic!!

Collectiviste = idée de garder le groupe unis, on vx pas que dans le groupe, ya des gens qui prenne pouvoir sur les autres, on vx que gens garde une certaine conformité, on est plus semblable dans nos groupe = homogénéité

81
Q

résume l’ensemble des représentations

A

voir pic!

représentation personnelle = image de nous même
Représentation social = image du groupe
Représentation collective = des valeurs de la société, … etc

Donc tt ce qui vient de l’extérieur nous influence a agir en tant que personne d’un gr, d’une société, etc pis ces 3 choses s’inter-influence entre eux!

82
Q

LECTURE

Les catégories sociales auxquelles nous appartenons peuvent être complètement incluses dans une autre, ou être complètement orthogonales, ou être en partie superposées. Qu’est-ce que cela signifie? Donnez un exemple pour chacune de ces trois possibilités.

A

Les catégories sociales peuvent s’emboîter complètement, être indépendantes ou partiellement se croiser.
EX : tous les catholiques sont chrétiens (inclusion), les femmes et les musulmans (orthogonalité), ou les cadres et les femmes (superposition)​

83
Q

Décrivez les quatre structures de représentation identitaire.

A
  1. l’intersection (l’identité se réduit aux membres partageant deux groupes)
  2. la dominance (un groupe est prioritaire)
  3. l’alternance (activations d’identités selon les contextes)
  4. l’intégration (intégration des valeurs des groupes)​
84
Q

Pour chacune des structures de représentation identitaire, comment sont résolues les croyances incompatibles?

A

L’intersection exclut les incompatibilités en définissant strictement l’endogroupe, la dominance minimise les autres identités, l’alternance active les identités en fonction des situations, et l’intégration combine les éléments des deux groupes

85
Q

Décrivez la hiérarchie de ces quatre structures de représentation identitaire en regard de leur complexité cognitive?

A

La hiérarchie de complexité cognitive commence par l’intersection (plus simple), puis dominance, alternance, et l’intégration (plus complexe)

86
Q

identifiez les antécédents qui, selon les auteurs, peuvent affecter la complexité de l’identité sociale, puis décrivez brièvement chacun de ces facteurs.

A

Les antécédents affectant la complexité de l’identité sociale incluent :

  • La diversité culturelle : plus il y a de diversité, plus la complexité augmente.
  • Les besoins de fermeture cognitive : des individus qui privilégient la stabilité auront une identité moins complexe.
  • Le stress ou la charge cognitive : un environnement stressant réduit la complexité en diminuant les ressources cognitives disponibles​
87
Q

Comment la complexité de l’identité sociale peut affecter les relations intergroupes?

A

La complexité de l’identité sociale, influencée par la reconnaissance des recoupements d’identités, tend à augmenter la tolérance envers les exogroupes en atténuant le biais endogroupe/exogroupe