Cours 4 Flashcards
La croissance à la petite enfance
1.Changements considérables dans la taille du corps et le poids
-Changements plus rapides vs. autres périodes du développement
-Périodes de poussée de croissance P. ex.: en l’espace de 24h
-Manifestations: bébé irritable, état de faim, sommeil prolongé
- Composition adipeuse et musculaire
-Masse adipeuse est supérieure à la masse musculaire
-Pic de la masse adipeuse est à 9 mois
-Masse adipeuse aide à la régulation de la température corporelle
-Masse musculaire augmente lentement - Proportions du corps
-Différences au niveau du sexe (filles sont plus petites et légères que garçons)
-Différences culturelles (enfants afro-américains croissance plus rapide)
-Prédicteur de la maturité physique: l’âge squelettique
Neurones rôle
responsable du stockage et transmission de l’information
Processus de neurogenèse et migration neuronale (prénatale)
-Formation des dendrites et axones
-Processus de différenciation neuronale (-neurones vont se dispatcher dans différentes regions du cerveau et vont se différentier)
Processus de synaptogénèse (synapses)
Système de communication cérébral élaboré
Processus de myélinisation des neurones (grâce aux cellules gliales)
Forte connectivité du cerveau
Élagage synaptique
-Réduction du nombre de synapses
-Perte de plasticité cérébrale
-Ce processus dépend fortement de la stimulation que l’enfant va recevoir
-élagage: un synapse est devenu inutile alors il disparait
Le développement cérébral de la petite enfance
1.Processus de neurogenèse et migration neuronale (prénatale)
2. Processus de synaptogénèse (synapses)
3.Processus de myélinisation des neurones (grâce aux cellules gliales)
4.Mort cellulaire
40-60% des neurones meurent
5.Élagage synaptique
Les aires cérébrales à la petite enfance
1.Le cortex préfrontal (lobe frontal)
-Région avec le plus long développement avant maturité
-Plus sensible aux influences de l’environnement
2.L’émergence des aires du cerveau
L’ordre de l’émergence des aires correspond à l’ordre de la présentation d’habiletés
1) Cortex auditif, cortex visuel et les régions responsables du mouvement
2) Aires responsables du langage
3) Cortex préfrontal
3.La latéralisation cérébrale (spécialisation des hémisphères)
-Chaque hémisphère reçoit les informations sensorielles provenant du côté opposé du
corps
-Hémisphère gauche: habiletés langagières; les émotions positives
-Hémisphère droit: habiletés spatiales; les émotions négatives
4.Plasticité cérébrale
-Capacité du cerveau à être malléable. Favorise l’apprentissage et un bon
fonctionnement cérébral malgré la présence de lésion
Période sensible def:
une période optimale durant laquelle certaines
capacités chez l’enfant peuvent émerger
Il en existe plusieurs à travers le développement
Le rôle de l’expérience/des stimulations dans le développement cérébral
Développement cérébral en « attente de l’expérience »
Des stimulations qui se font naturellement et que « tous » les enfants reçoivent
P. ex.: opportunité d’explorer son environnement, interactions avec les autres
Développement cérébral « dépendant de l’expérience »
Des stimulations spécifiques à l’environnement d’un individu (variations
individuelles et culturelles)
Elles surviennent au cours de toute la vie
Le lobe frontal fonction
centre de la personnalité, cortex moteur
lobe pariétal
perception de l’espace..
lobe occipital
centre du traitement des stimuli visuels
lobe temporal
traitement des elements auditifs et est impliqué dans la langage
cervelet
motricité et mouvements coordonnés
tronc
: transmission info entre moelle épinière, cervelet et cerveau
Le manque de stimulation
-Exemple cas des orphelins en Roumanie
-Conséquences sur le développement cognitif (p. ex.: faible score aux tests d’intelligence)
et sur le développement socio-affectif (p. ex.: problèmes au niveau de l’attachement)
Les conséquences varient selon deux facteurs:
1. l’âge (moment ou l’enfant manque de stimulation), plus c’est tôt, plus les atteintes sont graves
2. durée de la privation de cette stimulation (2 ans moins pire que 10 ans!)
-moins bonne régualtion de production du cortisol (stress)
La stimulation adéquate
-P. ex.: soins sensibles des adultes (p.ex.: interagir avec l’enfant, allaitement)
-Favorise une meilleure régulation de la production du cortisol (hormone de stress)
-Des soins sensibles protègent le cerveau des effets nocifs d’une stimulation inadéquate
(sous-stimulation ou sur-stimulation)
-si on déplace de sous ou sur stimu à adéquate, ça protège cerveau et minimise les séquelles