Cours 4 Flashcards
Qu’est-ce que sont les facteurs communs ?
Ressemblances entre les approches, éléments qui se retrouvent partout
« Ce sont des dimensions du cadre de l’intervention (intervenant, relation d’aide, client), qui ne sont pas spécifiques à une technique particulière, d’où leur appellation de « facteurs communs » » (Jaeken & al., 2015)
Qu’elle est l’aspect le plus important des facteurs communs ?
l’alliance thérapeutique (lien de confiance)
VRAI OU FAUX
L’alliance thérapeutique prédit un certain succès thérapeutique
VRAI
Mis à part l’alliance thérapeutique, qu’est-ce qui a un rôle aussi crucial ?
L’intervenant‧e
Qu’est-ce que l’alliance thérapeutique ?
le lien entre l’intervenant et son client, basé sur la confiance et la réciprocité
Quand est-ce que l’alliance thérapeutique se met en place ?
Dès le début (dès les 1ers contacts)
Expliquer le lien entre l’alliance thérapeutique et le premier échange de courriel ?
Comme l’alliance thérapeutique se met en place dès les 1ers contacts, il est important de retourner rapidement le courriel et de s’assurer d’écrire avec sensibilité et professionnalisme = bon départ.
Expliquer le lien entre l’alliance thérapeutique et le respect
Il est important d’établir l’intervention en respectant son aidé‧e, dans ses forces et ses limites et selon son rythme
Expliquer le lien entre l’alliance thérapeutique et la réciprocité
Les réactions du client sont perçues par l’intervenant et elles lui sont communiquées , ça montre une sensibilité
ex : “je vous sens en colère, qu’est-ce qui se passe ?”
Expliquer le lien entre l’alliance thérapeutique et la flexibilité
Afin d’avoir une bonne alliance, il faut être flexible dans nos interventions, dans les techniques/outils qu’on utilise. Certaines choses fonctionnent mieux avec certains clients. Il ne faut pas être rigide.
Expliquer le lien entre l’alliance thérapeutique et la quête de sens dans un esprit de collaboration
Il faut voir l’intervention comme un partenariat avec ale client‧e ! Le fait de faire les démarches dans un esprit de collaboration aide à la création et le maintien de l’alliance thérapeutique
Nommez 3 caractéristiques de l’aidant‧e (facteurs communs)
- Reconnaissance de sa propre subjectivité (contre-transfert!)
- Capacité d’autorégulation
- Emphase sur un processus d’exploration & de compréhension incluant le client et adressant aussi les impasses thérapeutiques
- Intervenant qui est bien avec lui-même
- Ouvert et disponible
- Être sensible aux caractéristiques personnelles du client
- Être flexible dans son choix d’interventions
- Une relation professionnelle où le client se sent sécure
- Maîtriser les techniques que l’on applique
- S’engager à s’améliorer
- Réfléchir sur soi et sur sa pratique
Que veut-on dire par “Reconnaissance de sa propre subjectivité (contre-transfert!)”
Il faut être conscient‧e de ce que chaque personne nous inspire
Que veut-on dire par “Capacité d’autorégulation’
IL faut être capable de se gérer lors des rencontres/interventions. Il faut se gérer quand à ce que l’aidé‧e réveil en nous, sur quels boutons iel pèse…
Que veut-on dire par
“Emphase sur un processus d’exploration & de compréhension incluant le client et adressant aussi les impasses thérapeutiques”
Il est important de nommer le problème quand on sent qu’il y en a un, ça permet de travailler dessus, d’éclaircir les choses afin de maintenir ou sauver l’alliance thérapeutique
Le fait de l’éviter engendre souvent un arrêt prématuré
Que veut-on dire par :
“Être flexible dans son choix d’interventions”
même au sein d’une approche : on peut utiliser différents outils
- varier selon les besoins de l’aidé‧e
En tant que sexologue, qu’est-ce qui fait notre compétence ?
Maîtriser les techniques que l’on applique
VRAI OU FAUX
Il est pertinent de demande l’avis à notre aidé sur notre pratique suite à une rencontre
FAUX : faire de l’introspection ou demande de la supervision
Que veut-on dire par :
“Tout est langage”
être attentif‧ve au non verbal, aux retards, aux oublis, lapsus, changements de posture…
VRAI OU FAUX :
Il faut présumer que l’aidé veut travailler sur lui-même
VRAI - ne jamais dire au/à la client‧e - qu’iels sont de mauvaise foie
A la place - on nomme les résistances
VRAI OU FAUX
Nos interventions doivent être dénuées de tout jugement
VRAI & FAUX : dénué de tous jugements PERSONNELLES, mais, suite à une évaluation, on peut avoir un jugement professionnel, mais de manière très délicate, sans rien assumer
VRAI OU FAUX
L’aidé‧e est libre
VRAI
aidé‧e peut mettre fin au suivi à n’importe quel moment
Le respect appelle le respect; attention aux ____ et ____
réactions transférentielles et contre-transférentielles
Quels sont les 3 caractéristiques de l’attitude de non-jugement ?
- attention aux apparences
- être au fait de ses jugements et de ses valeurs
- contextualiser la personne et sa demande
Quelle est la définition de l’empathie selon Carl Rogers ?
« Être empathique, c’est percevoir le cadre de référence interne d’autrui aussi précisément que possible et avec les composants émotionnels et les significations qui lui appartiennent comme si l’on était cette personne, mais sans jamais perdre de vue la condition du « comme si »
Quelle est la partie la plus importante de la définition de l’empathie de Carl Rogers et pourquoi
COMME SI : on ne devient jamais l’autre - donc nos frontières sont importantes - on ne vit pas leur expérience - se mettre dans ses souliers sans prendre sa place
Quelle est la définition de l’empathie interpersonnelle ou relationnelle selon Egan ?
la capacité à entrer à l’intérieur du cadre de référence de l’aidé et à comprendre ce que l’aidé pense et ressent, tout en lui communiquant cette compréhension sans le heurter
Quelle est la différence entre “l’empathie” et “l’empathie relationnelle/interpersonnelle” ?
on le fait DANS NOTRE TÊTE = empathie POINT
le communiquer = empathie interpersonnelle ou relationnelle
Qu’est-ce que le cadre de référence selon Egan ?
cadre de référence : sa manière de penser, de voir le monde teinté de son expérience
Compléter la phrase : “un aidée qui se sent compris pourra aller de l’avant; celui qui se sent incompris aura tendance à ……
se justifier
Que faut-il faire quand l’aidé‧e à tendance à se justifier ?
comprendre la justification - si la personne insiste sur qlq chose, c’est que c’est important
Donner un exemple d’intervention que l’on peut faire avec un aidé qui répète toujours quelque chose, au lieu de “ça fait 3x que vous m’en parler” ?
“Cela semble important pour vous de m’expliquer X” et lui laisser l’espace pour répondre