Cours 3 Flashcards

1
Q

VRAI OU FAUX

En contexte communautaire, on travaille uniquement dans une logique d’intervention

A

FAUX : En prévention aussi

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Q

Qu’arrive t’il souvent après avoir donné une formation dans un milieu scolaire/communautaire ?

A

des rencontre d’aide ponctuelle : les gens vont avoir des questions !

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3
Q

Donnez un stratégie pertinente à mettre en place suite à une formation ?

A

intéressant de prévoir un moment après une rencontre de groupe/formation pour répondre aux questions individuelles

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4
Q

VRAI OU FAUX

L’intervention de crise est un type d’intervention qui relève d’un centre de crise

A

FAUX : l’intervention de crise peut être utilisé dans différents milieux

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Q

Quelle est l’attitude à adopter quant on est face à une situation de crise au téléphone

A

Il faut être TRÈS calme et faire BEAUCOUP d’écoute

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6
Q

Pourquoi est-ce que, en situation d’intervention de crise, il est important de laisser beaucoup de place à l’écoute ?

A

Parce que les personnes ont beaucoup de choses à dire et d’évacuer le tout les calme. Si on essaie trop de les ramener, c’est comme si on les coupait…

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7
Q

Quel est le genre de relation décrit : ponctuelle et suivie d’un certain nombre de rencontres

A

Relation d’aide individuelle

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8
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques importantes de la relation d’aide de groupe ?

A
  • groupe fermé de moins de 10 personnes
  • thèmes pré-identifiés
  • co-intervention
  • aller chercher les utilisateurs
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9
Q

Quelle est la pertinence de la co-intervention ?

A

complémentarité dans les intervenant‧es

: aller chercher des approches, techniques, expériences différentes

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10
Q

Quelle est la pertinence d’avoir un groupe de maximum 10 et qu’il soit fermé ?

A

ça permet de créer un esprit de groupe, une stabilité et un lien de confiance. Ça permet aussi de faire des interventions plus crues puisque les autres participant‧es n’ont pas nécessairement le même filtre que les intervenant‧es

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11
Q

Quelle est la pertinence d’avoir des thèmes pré-identifiés

A

les personne savent d’avance de quoi on parle et peuvent donc se préparer d’avance

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12
Q

Quel est le point faible de la pré-identification des thèmes

A

ça peut permettre d’éviter aux utilisateurs d’éviter certaines thématiques plus dures, mais nécessaires…

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13
Q

Quant à l’intervention en milieu communautaire, quelle est la pertinence d’avoir des concertation avec d’autres organismes ?

A

Pour aller chercher plus d’expertise, plus de point de vue

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14
Q

Comment se fait la prévention en milieu scolaire ? :

  1. en individuelle
  2. en groupe
  3. avec la classe
  4. sous forme de formation (auditorium)
A

2 - surtout en groupe

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15
Q

VRAI OU FAUX

La relation d’aide en milieu scolaire se fait surtout par RDV

A

FAUX : il est important de se garder des plages horaires libres, surtout avec les ados, iles vont venir surtout en situation de crise, de manière spontanée

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16
Q

Quelle est la population qui ne s’investie typiquement pas longtemps en terme de relations d’aide ? Quel est l’impact sur le plan d’intervention

A

Les adolescents + on va prévoir des plan d’intervention plus court, mais que l’on peut renouveler

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17
Q

Nommez deux enjeux qui sont particuliers de l’intervention en milieu scolaire

A
  1. Enjeu de confidentialité avec des jeunes de moins de 14 ans
  2. Enjeu de la distance : favoriser le lien de confiance sans être ami avec les jeunes
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18
Q

Quel est le défi avec l’intervention familiale (milieu scolaire)

A

défi de rencontrer les parents en maintenant le lien de confiance avec le jeune

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19
Q

Expliquer comment garder le lien de confiance avec un enfant de moins de 14 ans dont vous devez rencontrer les parents

A

Il est important de mentionner la rencontre au jeune - Faire une entente : qu’est-ce que je peux leur dire et qu’est-ce que tu préfères qu’on garde ça entre nous

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20
Q

Comment devons nous gérer des parents d’un enfant que l’on rencontre dans le cadre de l’école qui veulent TOUT SAVOIR (3)

A
  1. questionner pourquoi iels ont besoin de TOUT savoir
  2. expliquer que si l’on dit tout, lae jeune ne voudra plus consulter
  3. Au final, iels ont légalement le droit à tout
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21
Q

Quel est le défi de la concertation avec d’autre professionnels ?

A

défi de travailler de concert sans perdre son identité professionnelle

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22
Q

VRAI OU FAUX

Dans un centre de crise, 87% des appels sont vraiment de grosse crises

A

FAUX - 95%

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23
Q

Que faut-il chercher lors d’un appel en centre de crise ?

A

l’élément déclencheur

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24
Q

Que veut-on dire par “Idéalement prévenir des crises éventuelles” quant à l’intervention en centre de crise ?

A

donner des outils en lien, pour que la personne soit outillé‧e par la suite

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25
Q

Quelle est la particularité avec le type de relation d’aide du centre de crise ?

A

Relation d’aide ponctuelle uniquement : c’est toujours différents, mais on a aucune suivi

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26
Q

Quel milieu nécessite un très bon jugement clinique et pourquoi ce milieu en particulier ?

A

Le centre de crise : pour distinguer quand on est dans le risque imminent, dans le risque suicidaire

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27
Q

Quel est l’enjeu particulier au centre de crise ?

A

Enjeu d’impuissance : intervenir à temps, ne pas savoir ce qui arrivera de la personne par la suite

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28
Q

Quel type de milieu nécessite le bris de confidentialité fréquent et pourquoi ?

A

Le centre de crise à cause des risques imminents (suicide, homicide…)

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29
Q

VRA OU FAUX

Contrairement au milieu communautaire et scolaire, le milieu des centres de crise ne nécessite pas vraiment de concertation avec d’autres professionnels

A

FAUX : services d’urgence, services en santé mentale…

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30
Q

Combien d’approches devrions nous apprendre afin de pratiquer ?

A

Idéalement 2 approches qui se complètent

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31
Q

VRAI OU FAUX

Le choix d’une approche est important parce que ça définit le reste de notre carrière

A

FAUX : on est changer d’approche

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32
Q

Pourquoi dit-on que notre modèle d’intervention ne doit pas être un buffet ?

A

Si on utilise plein d’approche en même temps, l’aidé‧e peut être déboussolé‧e

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33
Q

Quel est le matériel de la/du sexologue ?

A

NOUS-MÊMES : c’est fondamental de nous connaître pour utiliser les meilleures parties de nous-même

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34
Q

VRAI OU FAUX

D’emblée l’approche psychodynamique est de la psychothérapie

A

VRAI

35
Q

Quels sont les concepts de l’approche psychodynamique qui peuvent être utile en tout temps ? (3)

A
  • transfert, contre-transfert,
  • projection,
  • résistances / mécanismes de défense / mécanismes de protection
36
Q

Qu’est-ce que permet l’approche psychodynamique en relation d’aide ?

A

Permet d’éviter certains pièges

37
Q

Quelle est l’approche décrite ?

” Approche qui vise la résolution d’un problème par la compréhension cognitive de ce dernier, des émotions qui en découlent et de leur impact sur le motif de consultation”

A

Approche cognitive-comportementale

38
Q

Quelle est l’approche décrite ?

« Les expériences subjectives positives (p. ex. bien-être, satisfaction), les traits de personnalité positifs (p. ex. courage, originalité) et les institutions positives (p. ex. celles favorisant la civilité et l’éthique de travail) ».

A

Approche cognitive-comportementale : psychologie positive

39
Q

Quelle est l’approche décrite ?

” Approche qui croit que l’être humain possède toutes les qualités nécessaires à son plein potentiel. Il doit conscientiser ses difficultés pour ensuite y faire face et réagir selon ce qu’il souhaite et ce qu’il est. “

A

Approche humaniste

40
Q

Quelle est l’approche décrite ?

“Approche qui vise à accompagner l’aidé dans une démarche pour mieux s’adapter à son environnement ou à se réadapter à un environnement qui lui posait problème. “

A

Approche éducative

41
Q

Quelle est l’approche décrite ?

” - Communication non verbale

  • Suivre le rythme de l’aidé
  • La direction que prendra la rencontre d’aide est celle de l’aidé
  • L’aidant et l’aidé sont égaux dans la relation “
A

Approche humaniste

42
Q

Quelle est l’approche décrite ?

“Apprentissage par modèle et aussi par la présence active”

A

Approche éducative

43
Q

Quelle est l’approche décrite ?

“Pratiques d’intervention visant l’ouverture, le respect et l’écoute des besoins et du vécu des femmes”

A

Approche féministe

44
Q

Quelle est l’approche décrite ?

“Intervenir ici ne signifie pas la prise en charge mais plutôt de poser des gestes et avoir des attitudes qui font la promotion de l’autonomie chez l’aidé, tant l’autonomie dans son quotidien que l’autonomie affective et sociale”

A

Approche éducative

45
Q

Quelle est l’approche décrite ?

« Plutôt que le statu quo ou l’adaptation à des conditions de vie opprimantes et à des rapports sociaux inégalitaires, elle préconise leur transformation. »

A

Approche féministe

46
Q

Quelle est l’approche décrite ?

” Le privé est politique”

A

Approche féministe

47
Q

Quelle est l’approche décrite ?

“L’élément-clé du changement ne relève pas d’un savoir particulier ou de techniques spécifiques à l’aidant, mais de ses attitudes envers l’aidé et de la façon dont l’aidé perçoit la relation (alliance).”

A

Approche humaniste

48
Q

Quelle est l’approche décrite ?

« vise à amener la personne à corriger certains de ses comportements, à trouver de nouvelles solutions aux difficultés qu’elle vit dans le présent, à améliorer la qualité de ses relations interpersonnelles… Leur travail est centré surtout sur le ici et maintenant. »

A

Approche éducative

49
Q

Quelles approches se ressemblent beaucoup (une découle de l’autre)

A

L’approche éducative découle de l’approche humaniste : “ici et maintenant, empowerment”

50
Q

Quels sont les rôles de l’aidant et de l’aidé dans l’approche cognitive-comportementale (4)

A

(1) L’intervenant a un rôle actif et guide l’aidé dans le processus d’aide
(2) L’aidant possède des connaissances ; l’aidé est un apprenant
(3) L’aidant planifie ses rencontres selon des objectifs précis
(4) L’aidant élabore des exercices que l’aidé doit mettre en application en séance et à la maison; retour sur les apprentissages

51
Q

Quelles sont les techniques utilisées dans l’approche cognitive-comportementale (5)

A
  • exposition en imaginaire et in vivo,
  • relaxation,
  • restructuration cognitive,
  • identification des affects,
  • enseignement de techniques et nouveaux comportements jugés plus adaptés
52
Q

Compléter la phrase quant à l’approche cognitive-comportementale en relation d’aide

“Le changement est ____ et basé sur __(3 choses)_

A

Le changement est concret et basé sur l’identification de pensées erronées ou exagérées, de patrons relationnels et d’acquisition de nouveaux modes de pensées et d’actions

53
Q

Nommer 2 sous approche de l’approche cognitive-comportementale en relation d’aide

A

Approche de résolution de problèmes + psychologie positive

54
Q

Comment sont envisagés les problèmes dans l’approche de résolution de problèmes

A

Les difficultés sont envisagées comme des problèmes de fonctionnement à résoudre de façon logique

55
Q

Quel est l’objectif de l’approche de résolution de problèmes ?

A

La personne est aidée à s’adapter aux changements : procéder à des changements dans ses attitudes et ses comportements pour maintenir un équilibre dynamique entre elle et son environnement

56
Q

La psychologie positive représente quoi ?

A

l’étude des processus et conditions menant au fonctionnement optimal des individus, groupes et organisations

57
Q

Quelle est une des grandes réalisations de la psychologie positive ?

A

le développement du courant des forces.

58
Q

Qu’est-ce que le courant des forces et à quelle approche appartient il ?

A

(Approche cognitive-comportementale : psychologie positive)

Ce courant stipule que chaque individu possède naturellement une série de forces qui, lorsqu’exploitées et développées, entraînent son épanouissement et son fonctionnement optimal

59
Q

Quels sont les 3 concepts essentiels

de l’approche humaniste ?

A

(1) Authenticité : aidant sans façade
(2) Compréhension empathique : pouvoir mettre en mots la souffrance de l’aidé
(3) Estime positive inconditionnelle : sans jugement; acceptation totale

60
Q

Quelle approche favorise l’indépendance de son aidé‧e ?

A

L’approche éducative

61
Q

Dans l’approche éducative, qu’est-ce qui est au centre des interventions ?

A

Le lien de confiance

62
Q

Dans l’approche éducative, La relation d’aide fait partie d’un processus d’intervention qui comporte quoi (4 trucs) ?

A

(1) de l’observation,
(2) de la planification,
(3) l’application d’un plan d’intervention et
(4) l’évaluation de ce même plan d’intervention.

63
Q

L’approche féministe dénonce quoi ? (3)

A

L’approche féministe dénonce toute inégalité, domination, violence

64
Q

En quoi est-ce que l’approche féministe croit et qu’est-ce quelle conteste ?

A

Elle conteste la complémentarité des sexes et les stéréotypes;

Elle croit plutôt à la construction sociale du genre

65
Q

En quoi l’approche féministe se démarque des autres approches d’aide ?

A

elle réfute les approches qui ne prennent pas en considération l’impact des rapports de pouvoir entre les sexes et leurs conséquences sur les femmes, leur environnement, leur représentation d’elles-mêmes et leur capacité à contrôler leur destinée

66
Q

VRAI OU FAUX

L’approche féministe est une approche unidimensionnelle avec les femmes

A

FAUX : Approche holistique avec la femme

67
Q

En tant que sexologue, pourquoi est-ce que la connaissance de soi est importante ? (9)

A

(1) Parce que la personne qu’est l’aidant a une influence sur le succès du processus d’aide
(2) Pour mesurer ses forces
(3) Pour connaître ses lacunes
(4) Pour savoir ce qui nous motive
(5) Pour se méfier de nos premières impressions
(6) Pour être authentique et cohérent
(7) Pour comprendre les autres
(8) Pour diminuer son contre-transfert
(9) Pour favoriser le transfert chez l’autre

68
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Le jeune homme de 18 ans consulte car il aurait tendance à consommer de la drogue lors de ses relations sexuelles. Il raconte avoir vu son père consommer toute son enfance. L’intervenante souhaite lui faire comprendre que ce modèle qu’il a eu, il n’a pas à le reproduire.”

A

TCC : comment se dégager de ses pensées là

69
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Mireille se confie à son intervenante, Pascale, sur les agressions qu’elle a subies à l’enfance. Pascale dit à Mireille que son histoire la touche beaucoup et qu’en toute transparence, elle a elle aussi vécu des agressions dans son enfance, ce qui l’amène à bien comprendre ce qu’elle vit.”

A

humaniste : présence de dévoilement - dans l’idée de relation égalitaire, je peux comprendre, je suis aussi passé par là

70
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Une jeune femme de 25 ans consulte car elle n’arrive pas à avoir des relations sexuelles. Selon elle, un pénis ne peut entrer en elle car c’est juste assez grand pour insérer un tampon. Elle craint les déchirures, la douleur et de ne plus pouvoir marcher après. Elle raconte que son copain a un pénis de grandeur démesurée, qu’elle est certaine qu’il s’agit d’un record. L’intervenante souhaite lui faire prendre conscience que ses pensées suscitent son anxiété et qu’elles ne sont pas « réelles ».”

A

TCC : travailler la pensée

71
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“La cliente, jeune fille de 16 ans, dit à son intervenante scolaire après 2 rencontres, qu’elle aimerait voir une autre intervenante qu’elle car elle lui fait trop penser à sa mère.”

A

Psychodynamique : transfert - important : gérer nos réactions quant aux aidés

72
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Simon demande souvent à Chloé, son intervenante, des conseils. Chloé reste calme et lui rappelle qu’elle n’en donne pas, tel qu’elle le lui avait expliqué lors de leur première rencontre. Elle lui dit avoir confiance en lui et en ses ressources, qu’elle est là pour le soutenir et l’accompagner, sans lui dire quoi faire.”

A

Humaniste : pas dans une posture d’expert‧e, c’est l’aidé‧e - dans l’empowerment

(pourquoi c’est difficile pour elleux de mettre ça en place - apporter de la confiance en elleux : moteur d’action)

73
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Kevin aimerait mieux s’affirmer dans son groupe d’amis. Jérôme, son intervenant, regarde avec lui comment mettre en place de nouvelles façons d’interagir.

A

Éducative : transmission d’outils (vs TCC - plus des exercices)

  • on lui enseigne de nouvelles façons de faire
74
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Marie a une faible estime d’elle-même. Pour l’aider à y remédier, son intervenante lui demande d’avoir un cahier dans lequel elle devra inscrire chaque jour au moins une chose positive la concernant : ce peut être quelque chose qu’elle a fait, quelque chose qu’on lui a dit ou une pensée qu’elle a eue pour elle-même.”

A

TCC : exercice

75
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Isabelle consulte Johanne pour ses problèmes de couple. Elle et son conjoint se chicaneraient beaucoup. Johanne l’amène à prendre conscience des inégalités dans leur relation qui contribuent à son sentiment d’être opprimée : son conjoint gagne un meilleur salaire, travaille davantage d’heures à l’extérieur de la maison et a une vie sociale remplie. Elle enjoint Isabelle à se joindre à un groupe de femmes pour briser son isolement”

A

féministe : rapports de pouvoir - le privé est politique - on regarde macro ce que la femme vit dans sa relation - représentation des inégalités plus larges

76
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Le client ne s’est pas présenté à son rendez-vous habituel. Lorsque questionné, il dit avoir oublié. L’intervenant lui demande si quelque chose aurait pu le vexer dans la dernière rencontre qui expliquerait son oubli.”

A

Psychodynamique : acte manqué (personne chose que la personne fait qui est inconscient mais qui a une signification)

  • intérêt vers l’aspect caché derrière quelque chose de banal
77
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

” Stéphanie est mal à l’aise face à des remarques faites par son patron sur sa tenue vestimentaire et son apparence. Elle explique que c’est du flirt mais que comme elle n’est pas intéressée, ça la met mal à l’aise. Pour Audrey, son intervenante, le patron utilise son pouvoir de gestionnaire sur Stéphanie et c’est complètement inacceptable. Elle souhaite que Stéphanie porte plainte aux ressources humaines contre son employeur et fasse des démarches pour obtenir une compensation. Elle lui recommande aussi, si elle en ressent le besoin, de se joindre aux groupes pour femmes victimes d’agression sexuelle car les propos à caractère sexuel, non sollicités, sont une agression sexuelle”

A

Féministe

78
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Après avoir eu quelques rencontres où les relations amoureuses ont été abordées, l’intervenante soupçonne que l’aidée a un attachement de type ambivalent-résistant. En ce sens, elle décide d’en tenir compte dans son processus d’aide et de sécuriser la cliente dans la mesure du possible quant à leur relation”

A

Psychodynamique - attachement développé par ce courant

79
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

” Vincent, intervenant dans une maison de jeunes, laisse beaucoup de place aux adolescents dans ses rencontres individuelles. Il écoute, ne les juge pas. Pour lui, c’est cette écoute qu’il leur offre, dont plusieurs n’ont pas bénéficié dans leur famille, qui leur est le plus profitable aujourd’hui. Les ados le trouvaient bizarre mais ils l’apprécient énormément car ils ne se sentent jamais jugés.”

A

Humaniste - laisse beaucoup de place à l’aidé‧e

80
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Clara, 17 ans, est enceinte d’un de ses amis. Elle ne sait pas quoi faire. Karine, sexologue, lui explique les différentes options qui s’offrent à elle, sans chercher à l’influencer.”

A

Éducative - pas vraiment d’intervention - autonomie

donner l’info - favorise l’autonomie, on ne fait pas la réflexion avec elle

81
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Ryan, 15 ans, aimerait aborder avec ses parents sa bisexualité. Il ne sait pas comment faire. Il aimerait inviter un garçon ou une fille à coucher à la maison sans que ça suscite des discussions interminables. Il ne sait pas par où commencer. Le sexologue lui suggère de prendre la situation une étape à la fois, d’identifier ce qui cloche et d’identifier des pistes de solution.”

A

TCC : identification ciblée

82
Q

De quel type d’approche en relation d’aide s’agit-il?

“Mona manque de confiance en elle. Elle se dévalorise constamment. Plutôt que de chercher à travailler sur ses lacunes, son intervenante a choisi de travailler sur ses forces et ses ressources internes. Mona était sceptique au départ mais elle doit admettre qu’elle se sent mieux après quelques rencontres.”

A

Humaniste

83
Q

Quel est le lien entre le contre-transfert et la connaissance de soi ?

A

La connaissance de soi aide à faire diminuer le contre-transfert : il faut connaître nos ‘“boutons”, l’aidé‧e ne fait pas nécessairement exprès pour appuyer dessus, il faut se gérer

84
Q

VRAI OU FAUX

En tant que sexologue il est favorable, lorsque possible, de retourner dans nos émotions afin d’être plus sensible à une situation vécue par l’aidé‧e

A

VRAI : sans trop pousser évidemment

(ex : retourner dans nos émotions quant à un ancien break up pour mieux comprendre notre jeune client‧e qui fait face à son premier break up)