Cours 2 Flashcards

1
Q

Quel est le schéma de la communication

A

émetteur : message : canal de transmission : récepteur

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Q

Que voulons-nous dire part “l’émetteur à sa propre personnalité qui influence nécessairement son message”

A

chaque aidé à son bagage, sa personnalité, ses valeurs, ses croyances et tout ça : son message va être coloré par ses éléments… donc la personne qui s’exprime pratiquement toujours en terme de subjectivité, on est pas dans LA réalité, on est dans SA réalité

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3
Q

VRAI OU FAUX

En tant que sexologue, nous pouvons présenter notre opinion sur une personne que l’aidé‧e nous parle

A

FAUX : On ne peut pas se prononcer avant d’avoir fait une évaluation complète de la personne

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Q

VRAI OU FAUX

En tant que sexologue, nous ne pouvons pas être influencé par notre bagage, nous devons rester objectifs

A

FAUX : il est impossible que nous ne soyons pas influencer par notre bagage, mais on doit bien se connaître pour tenter le mieux possible de se gérer. C’est lae professionnel‧le qui doit s’exprimer, pas nous personnellement.

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5
Q

VRAI OU FAUX

Il est pertinent d’utiliser des termes théoriques dans le contexte d’une intervention

A

FAUX : notre message doit être clair et précis et cela nécessite un vocabulaire adéquat et accessible.

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6
Q

VRAI OU FAUX

Les patient‧es s’expriment généralement au “je”

A

FAUX : généralement au “on” ou au “tout le monde”.

Il est important de demande au/ à la patient‧e de clarifier qui est le “on”, l’amener à s’approprier son discours

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7
Q

VRAI OU FAUX

Il est important de ne pas trop se reprendre en posant une question

A

VRAI, au lieu de se reprendre, on laisse la personne réponde et, au besoin, on clarifie par la suite.

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8
Q

Comment devons-nous réagir en tant que sexologue lors qu’un‧e patient‧e utilise un terme général comme “ça”

A

Il ne faut pas prendre pour acquis que nous comprenons ce qu’est le ça, on doit pousser lae patien‧te à nous dire ce que le “ça” veut dire pour iel

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9
Q

VRAI OU FAUX

Dans le cadre d’une rencontre sexologique, le canal de transmission fait référence au langage utilisé

A

FAUX : ici, on veut surtout souligné l’important du non-verbal

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10
Q

Quel est le type de langage non-verbal que l’on veut adopter en tant que sexologue

A

Une neutralité bienveillante : montrer qu’on écoute, sans montrer l’effet que ça nous fait ! Donne l’image que nous sommes empathique et assez solide pour soutenir la personne qui peut raconter des situations difficiles

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11
Q

VRAI OU FAUX

En tant que sexologue, il est important de développer une bonne poker face

A

VRAI : on ne pas trop laisser transparaître notre opinion, notre jugement (même positif)

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12
Q

Comment le récepteur du message évalue son contenu

A

selon sa propre individualité

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13
Q

En tant qu’aidant, à quoi faut-il être à l’affut lorsque nous sommes dans la position du récepteur ?

A

Il faut être à l’affût de ce que le message de l’aidé‧e active en nous, comment ça nous impacte afin de mieux gérer notre retour et notre non-verbal. Il faut aussi être capable de conserver son sang froid dans des situations qui dépassent nos limites.

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14
Q

En tant qu’aidant, à quoi faut-il être à l’affut lorsque notre patient‧e est dans la position du récepteur de notre message ?

A

Il faut être à l’affût de l’impact de nos intervention sur l’aide : comment la personne réagit. L’aidé‧e peut être timide de souligner son malaise, il faut donc prendre les devant et soulever le froid.

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15
Q

Quel est l’écart entre l’émetteur (ce qu’on veut dire) et ce que l’aidé‧e va mettre en application

A

Un grooooos écart, il ne faut donc pas prendre pour acquis que, parce qu’on en a parler, c’est “check”

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16
Q

Comment on s’assure des progrès de nos client‧es ? comment on mesure les progrès de la clientèle ?

A

faire des bilans réguliers à chaque 3 ou 4 rencontres : “ qu’est-ce que vous avez retenu de nos rencontres’, voir ce qui a été marquant pour l’aidé‧e…

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17
Q

Quel est le piège avec les bilans réguliers

A

Si on en fait trop souvent, on peut pousser notre client‧e à faire de l’anxiété de performance

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18
Q

Est-ce qu’il est possible de ne pas communiquer

A

NON : même par le non-verbal, il y a une forme de communication

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19
Q

Complétez la phrase :

“La communication est _____ quand nous connaissons les principes d’organisation que nous utilisons et les autres”

A

La communication est PRÉVISIBLE quand nous connaissons les principes d’organisation que nous utilisons et les autres

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20
Q

Complétez la phrase :

“La communication est un processus ____ _____ __ ___ _____, ponctué _______”

A

La communication est un processus sans début ni fin précis, ponctué d’interactions

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21
Q

Quel est l’approche théorique qui permet une relation la plus proximal entre l’aidant‧e et l’aidé‧e ?

A

humaniste

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22
Q

VRAI OU FAUX

Dans le contexte d’intervention sexologique, la communication se fait d’égal à égal

A

FAUX : pas égal : l’aidant ne se dévoile pas à l’aidé‧e

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23
Q

Comment devons-nous gérer cette situation :

” une des deux partenaires d’un couple veut avoir des rencontre en individuel suite à des rencontres de couple”

A

Il est préférable de ne pas mélanger le thérapie de couple et individuel, mais on peut accepter :

ex/partenaire doit remplir un document pour dire qu’iel met un x sur des thérapies avec nous

*mais la neutralité n’est pas totalement là, ce n’est vraiment pas l’idéal, on n’est mieux de référer

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24
Q

À quoi réfère le terme “déontologie”

A

il renvoie aux obligations que des personnes sont tenues de respecter dans leur travail

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25
Q

Qu’est-ce que l’éthique ?

A

Il s’agit d’une réflexion argumentée en vue du bien-agir

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26
Q

L’éthique propose de s’interroger sur quoi ?

A

sur les valeurs morales et les principes moraux qui devraient orienter nos actions, dans différentes situations, dans le but d’agir conformément à ceux-ci.

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27
Q

En quoi la supervision est liée à l’éthique

A

on a souvent besoin d’aide pour réfléchir - c’est la que la supervision devient pertinente - réfléchir avec un‧e professionnel‧le avec plus d’expérience

28
Q

Quel est le moment idéal pour demande de la supervision ?

A

Demander de la supervision en PRÉVISION pas lorsque la situation est enflammée

29
Q

Concrètement être éthique en relation d’aide c’est… (5)

A
  • S’assurer d’avoir les connaissances appropriées
  • Détenir et maintenir sa compétence
  • Être capable d’exercer un jugement clinique
  • Mettre les intérêts du client avant les siens
  • Garder la distance nécessaire avec le client malgré les situations problématiques
30
Q

Quelle est la procédure si le client demande la transmission d’infos à un tiers (4)

A
  • S’assurer de la pertinence et discuter avec le client
  • Faire signer un consentement écrit
  • Il n’y aura pas de communication avec le tiers avant un délai de 15 jours (#29 Code de déontologie OPSQ)
  • **Ton et vocabulaires les plus clairs possibles pour éviter toute ambiguïté
31
Q

Qu’est-ce que doit contenir le consentement écrit dans le cas d’une demande de transmission d’infos à un tiers (11) ?

A
  • le nom du client,
  • votre nom,
  • la durée du consentement,
  • clause de renouvellement / non-renouvellement,
  • document écrit ou conversation téléphonique,
  • infos partagées,
  • but de la transmission d’information,
  • avantages et inconvénients du partage,
  • clause d’annulation du consentement et les impacts mais le client ne doit pas avoir de préjudice de votre part,
  • le délai de 15 jours,
  • la date de signature + signature du client
32
Q

Que peut-on ajouter au formulaire de consentement quant au délai de 15 jours ?

A

Ajouter une case pour cocher le refus du délai

33
Q

VRAI OU FAUX

Si la personne coche le refus du délai de 15 jours quant au formulaire de consentement pour le partage d’informations, on doit partager le dossier le jour même

A

FAUX : on peut quand même prendre un moment avant d’envoyer, laisser quelques jours au/à la patient‧e avant d’envoyer le tout, ça leur donne le temps de changer d’idée une dernière fois.

34
Q

Quels sont les conséquences pour l’aidant‧e en cas de bris de confidentialité (6)

A
  • culpabilité et honte
  • changement de perception du client (confusion)
  • perte du client/réputation auprès d’une clientèle éventuelle
  • perte de son image professionnelle auprès des pairs
  • crainte de demande de l’aide professionnelle
  • peur des représailles éventuelles
35
Q

Quels sont les conséquences pour l’aidé‧e en cas de bris de confidentialité (6)

A
  • bris de l’alliance thérapeutique
  • perte de confiance envers lae professionnel‧le
  • réticence à consulter dans le futur
  • sentiment de trahison
  • répétions d’un trauma antérieur
  • conflit interne
36
Q

Quel est le processus de plainte à l’OPSQ

A
  1. demande d’enquête
  2. Déroulement de l’enquête : recueillir des infos (plaignant‧e + sexo)
  3. Conclusion
    a. pas de manquement
    b. manquement reconnu avec réprimande/avertissement…
    c. Plainte au conseil de discipline
  4. S’il y a eu une plainte au conseil de discipline et qu’il y a reconnaissance de la culpabilité = conséquence (amende, radiation temporaire/permanente, limitation d’exercice…)
  5. la cause de la conséquence sera publiée
37
Q

Compléter la phrase :

” Article 22 : « Avant de transmettre un rapport à un tiers, le sexologue obtient … “

A

Article 22 : « Avant de transmettre un rapport à un tiers, le sexologue obtient l’autorisation explicite du client concerné après lui avoir exposé les renseignements qu’il contient. »

38
Q

À qui appartient le dossier du/de la patient‧e ?

A

le dossier appartient au/à la client‧e !!! Nous, comme sexologue, ne sommes que les gardien‧nes du dossier.

39
Q

En cas de problématique avec un‧e client‧e, si l’aidant‧e va demande de l’aide d’un‧e superviseur‧e, est-ce le confidentialité est assurée par cette dernière ?

A

À moins d’une problématique grave, lae superviseur‧e va aider l’aidant‧e et non lae stooler !

40
Q

Compléter la phrase :

“Article 27 : « Le sexologue donne suite, avec diligence et au plus tard dans __ __ _____ __ __ ________, à toute demande d’un client de prendre connaissance ou d’obtenir copie de documents qui le concernent dans tout dossier constitué à son sujet. »”

A

Article 27 : « Le sexologue donne suite, avec diligence et au plus tard dans les 30 jours de sa réception, à toute demande d’un client de prendre connaissance ou d’obtenir copie de documents qui le concernent dans tout dossier constitué à son sujet. »

41
Q

Comme le dossier peut être consulter à n’importe quel moment par lae client‧e, à quoi devons-nous faire attention ?

A

on ne doit pas porter préjudice au/à la client‧e : ne doit pas sentir une attaque en lisant

42
Q

VRAI OU FAUX

Dans le dossier, il peut y avoir des hypothèses, des notes personnelles, des critiques, etc…

A

FAUX : uniquement des choses connues, discutées avec lae client‧e

43
Q

VRAI OU FAUX

Nous pouvons nous créer un dossier à part pour écrire nos réflexions, des rappels, des critiques et des hypothèses sur lae client‧e

A

FAUX : il ne peut y avoir qu’un document par client‧e ! Par contre, nous pouvons avoir un carnet de pensées personnelles pour recueillir nos réflexions

44
Q

Afin de pouvoir tenir un carnet de pensées , que faut-il s’assurer de ne pas inscrire

A

des données nominales, on ne doit pas pouvoir savoir de qui je parle dans mon carnet, si j’identifie quelqu’un, ça devient sa propriété

45
Q

VRAI OU FAUX

Si la cour me demande le dossier d’un‧e client‧e, je dois aussi remettre mes notes personnes de mon carnet

A

FAUX : uniquement le dossier à son nom

46
Q

VRAI OU FAUX

Lorsque lae clien‧te demande à avoir son dossier, on lui donne l’original, mais on s’assure d’avoir une copie

A

FAUX : on ne donne jamais l’original, on lui donne une copie

47
Q

VRAI OU FAUX

L’article 28 du code stipule que l’on doit corriger nos notes selon les demandes du client dans les 30 jours suivant la demande.

A

VRAI

48
Q

VRAI OU FAUX

Il est a notre discrétion d’informer ou non lae patient‧e du fait qu’iel peut avoir accès au dossier et le modifier

A

FAUX, on doit informer le client, mais on peut le faire de la manière qu’on veut (ex : dans le formulaire, ou lors de la rencontre…)

49
Q

VRAI OU FAUX

On n’a le droit de refuser une modification du dossier demandée par lae client

A

VRAI : mais on doit justifier par écrit la demande du client et pourquoi on refuse de modifier le tout

50
Q

Dans le cas d’une demande de transmission du dossier, pourquoi est-il important d’avoir une preuve écrite

A

Pour protéger lae client‧e ou nous protéger

51
Q

Quel est le # de l’article qui présente le délai de 15 jours et la possibilité de renoncer au délai

A

29

52
Q

À quoi consiste la tenue de dossiers

A

La tenue de dossiers consiste en un résumé des sujets abordés, des techniques utilisées/interventions faites et une évaluation des progrès ou impact des interventions

53
Q

Compléter la phrase :

“la tenue de dossier n’est pas juste sur les séances, il faut tenir des ____ __ _____________”

A

la tenue de dossier n’est pas juste sur les séances, il faut tenir des notes de communications

54
Q

Qu’est-ce que des notes de communication

A

des notes qui sortent des séances, ex : courriel de modification de rendez-vous, appel téléphonique de crise, etc…

55
Q

Les informations qui se retrouve dans le dossiers doivent être subjectives ou objectives ?

A

objectives + . Aucun élément qui n’a pas été abordé en séance ne doit s’y retrouver (risque de préjudice)

56
Q

VRAI OU FAUX

Chaque page de dossier doit être signée et datée.

A

VRAI

57
Q

Le sexologue doit conserver le dossier entier d’un patient jusqu’à combien de temps après le dernier service rendu

A

5 ans

58
Q

Quel est le problème quant à la confidentialité dans cette vignette :

“Caroline, 16 ans, vient vous voir dans votre bureau de stagiaire à son école car elle est inquiète pour son amie. Elle vous raconte que son amie est enceinte et qu’elle ne sait pas si elle veut garder l’enfant. Elle ne sait pas qui est le père. Vous la rassurez en lui disant que vous allez vous en occuper et vous lui demandez le nom de son amie. Elle vous dit que c’est Julie Lemieux et vous donne son groupe-classe. Lorsqu’elle sort de son bureau, vous allez voir le professeur titulaire de Julie Lemieux en lui disant que vous allez avoir un gros problème sur les bras. Vous mettez le professeur-titulaire au courant et il vous envoie Julie Lemieux dans votre bureau. Lorsque vous la rencontrez, vous lui expliquez que son amie Caroline est venue vous voir et vous lui demandez ce qu’elle veut faire. Julie est furieuse.”

A

Dans cette vignette, la patiente est Caroline et non son amie, donc la demande du nom de l’amie est une erreur

Ensuite, une autre erreur survient quant à la divulgation de la problématique à l’enseignant. En plus de briser le secret professionnel auprès de Caroline, vous enfreignez la confidentialité et le droit à l’intimité de Julie.

Finalement, un autre bris du secret a eu lieu lorsque lae sexologue dit à Julie que c’Est Caroline qui lui a partagé sa situation

59
Q

Quel est le problème quant à la confidentialité dans cette vignette :

“André et Sonia viennent vous voir pour avoir des rencontres de couple. Ils aimeraient apprendre à mieux communiquer et retrouver une complicité sexuelle. Vous sentez un malaise de la part d’André pendant la rencontre. Vous fixez un deuxième rendez-vous au couple à la fin de la séance. Entre les deux rendez-vous, au courant de la semaine, André vous appelle. Il vous informe, par gentillesse dit-il, qu’il a une maîtresse depuis 1 an et que Sonia ne doit rien savoir. Vous lui dites que ça ne se passe pas comme ça dans vos suivis et que ce sera abordé au prochain rendez-vous. Au deuxième rendez-vous, Sonia se présente seule. Vous lui racontez le secret d’André, en vous disant que c’est une démarche de couple et qu’elle a le droit de savoir. Sonia est dévastée et veut demander le divorce.”

A

Lae sexologue ne peut pas mentionner le secret d’André à Sonia : chaque membre d’un couple/famille a le droit à la confidentialité (article 20)

Réaction idéale = pousser le client à réfléchir individuellement au secret et à ses besoins quant à la démarche d’aide, l’inviter à aller en individuel

Si la neutralité est affecté, il faut mettre fin au suivi

60
Q

Quel est le problème quant à la confidentialité dans cette vignette :

“Johanne, 52 ans, vous consulte avec son conjoint en intervention conjugale pour développer des outils de communication. Vous les croisez par hasard dans le métro alors que vous êtes avec votre partenaire. Ils viennent vous saluer. Lorsqu’ils quittent, votre partenaire vous demande de qui il s’agit.”

A

On ne peut PAS confirmer que ce sont des clients

On ne peut donc pas répondre à la question de notre partenaire sans briser le secret professionnel. (article 18)

**idéalement :
nommer cela dans ma première rencontre avec les client‧es : montre que la confidentialité est importante pour nous

61
Q

Quel est le problème quant à la confidentialité dans cette vignette :

“Mélodie et Véronique font leur stage au baccalauréat en sexologie. En se rendant à leur local de cours, elles discutent des clients qu’elles rencontrent en relation d’aide en individuel.”

A

dans le contexte des stage : fait partie du consentement que leur situation peut être discuté dans le but de supervision, mais pas dans un LIEU PUBLIC

62
Q

À partir de quelle âge est-ce qu’un individu se voit assurer la confidentialité ?

A

14 ans

63
Q

Si on a besoin de vider notre sac en tant que sexologue, est-ce possible de le faire avec un‧e ami‧e de confiance ?

A

NON, on peut le faire avec une personne du milieu

64
Q

Dans quel but est-ce que la divulgation d’un cas à plusieurs personnes est acceptable ?

A

Dans un but académique, il y a une autorisation de l’Ordre dans ce cadre-là, mais on doit cacher des facts qui permettraient d’identifier les client‧es

65
Q

Quels sont les problèmes dans cette vignette :
“Lors de la première rencontre, Ethan demande à son sexologue quelle approche il utilise et comment il compte l’aider. Le sexologue lui nomme utiliser l’approche humaniste. Ethan ne sait pas de quoi il s’agit et demande des exemples. Le sexologue lui reflète sa difficulté à faire confiance et lui dit que pour que la relation d’aide fonctionne, il doit cesser de vouloir tout rationnaliser et se concentrer sur ses problèmes. Ethan est perplexe et nomme au sexologue ses hésitations. Le sexologue lui dit qu’il ne peut le retenir s’il souhaite consulter un autre professionnel.”

A

PROB 1 : le consentement doit être libre (la personne peut arrêter le suivi à tout moment) et éclairé (avoir TOUTES les informations dont j’ai besoin pour consentir : l’approche fait partie des éléments que j’ai besoin de savoir) - le sexologue n’a pas à refuser d’éclaircir ses modalités d’intervention

PROB 2 : attitude du sexologue : le sexologue regarde de haut son client. On doit être à l’écoute quant aux questions quant à notre travail

PROB 3 : attitude au niveau de l’arrêt des services, ici le sexologue le fait avec de l’Attitude, on doit le faire dans le respect, c’est le droit de notre patient‧e

66
Q

Quels sont les 6 situations qui permettent la levée du secret professionnel ?

A
  1. Danger imminent de sa vie ou quelqu’un d’autre (24-48h)
  2. Loi protection de la jeunesse : soupçon de violence physique/sexuelle sur un enfant est suffisant pour alerter la DPJ
  3. Loi protection des aînés : si un aîné est victime de maltraitance
  4. Ordonnance du tribunal : juge demande d’avoir accès à nos dossiers
  5. Raison administrative en lien avec l’Ordre professionnel : doit remettre 3 dossiers pour inspection (si l’ordre demande de soumettre un dossier, on le fait)
  6. Si la personne nous donne son consentement (ex : demande de transmission d’information, transfert de client…)
67
Q

VRAI OU FAUX

si quelqu’un nous dit qu’il a déjà tué un individu, on doit le dire.

A

FAUX : sauf si le tribunal nous le demande (dossier du client)