Cours 3-4 Flashcards
L’observateur/ le percevant
la personne qui se fait une impression
l’acteur/la cible
la personne qu’on observ, la personne sur qui on se fait une impression
les étapes de la formation d’impression
1.observation
2.apparence physqiue, comportement, contexte
3.attribution
4.disposition
5.intégration
6.impression
7. biais confirmatifs (fait tout le tour jusqu’à l’observateur qui ensuite recommence le processus)
on a plus de chances de faire une analyse approfondie de la personne qu’on observe si…
on a plus de temps ou on est plus motivé (ex: on veut etre ami, on veut relation..)
la formation d’impression est un processus…
continu! MAIS la première impression est cruciale!!!!
-La première impression aide à interpréter toutes les prochaines infos, on se base sur la première info pour expliquer le reste
Étude de willis et todorov sur le temps de formation d’impression
-Corrélations entre des participants ayant vu les photos avec un temps d’exposition limité et des participants n’ayant pas
eu de limite de temps pour se former une impression.
-Toutes de corrélations positives et significatives, qu’on aie 0.1 seconde ou le temps illimité, l’impression change pas
-La première impression se fait en une fraction de secondes
–Résultat: Il y a une corrélation positive entre regarder en 0.1 seconde et temps illimité (même impression malgré la différence de temps)
Pourquoi se fait un des impressions si rapidement?
Pourquoi sommes-nous aussi rapides?
-c’est une question de survie a la base, nos ancêtres devaient rapidement juger si ennemi ou ami, notre cerveau s’est développé pour détecter rapidement si on fait confiance ou non
-C’est une réaction de protection
L’influence de l’apparence physique sur f.i.
1.L’apparence physique d’une personne est habituellement le premier et parfois le seul indice pour se former une impression sur elle.
2.Nous avons des idées préconçues par rapport à certaines caractéristiques physiques. ( ex:
lunettes: intelligente, personne plus ronde: plus paresseuse
La barbe donne perceptions différentes: barbes longue=lazy, moustache=pedo)
3.La beauté physique, particulièrement un beau visage, amène une variété d’attentes positives (ce qui est beau est bon).
4.Aussi, la beauté physique de l’autre influence notre attitude envers cette personne
Influence des comportements et expressions non verbales sur f.i.
-Les comportements et les expressions non verbales que nous observons chez l’autre nous fournissent des informations pour former notre impression.–>on peut inférer des caractéristiques internes à partir de comportements externes
-Des informations à travers les expressions émotionnelles (6 émotions universelles: colère peur, dégout, surprise, joie, tristesse)
-infos à travers le regard:
(Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation)
1.Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.
2.Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide
3.Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.
4.Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis.
(Étude faite en amérique du nord!! pcq dans culture asiatique le regard vers le bas signifie respect )
-Des informations à travers les gestes, les mouvements et les postures (Gestes veulent dire choses diff dans autres cultures ex: en bulgarie les geste oui et non sont l’inverse des nôtres)
-Des informations à travers le toucher (ex: la poignée de main poignée ferme souvent donne bonne impression, trop ferme dominance..)
Les influences du contexte sur f.i.
-le plus souvent le contexte nous aide, mais peut nous induire en erreur!
ex: violoniste dans le metro on pense que c’est un violoniste ordinaire, mais c’est un des meilleurs dans le monde et son violon vaut 5 millions$
L’attribution def:
Jugement (inférence) porté sur une personne, une situation, un événement.
Interprétation personnelle de la réalité.
–quand on fait une attribution c’est notre jugement à nous!
-ce jugement pourrait être erroné
-très souvent par contre nos attributions sont assez justes
Une attribution peut être faite sur…
- les autres = attribution de l’observateur ou hétéro-attribution;
2.soi-même = attribution de l’acteur ou auto-attribution.
Les types d’attributions
1.Attributions causales:
But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.
2.Attributions dispositionnelles.:
But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir
3.Attributions de responsabilité.
But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit. (c’est pas vrm pour les premières impressions, plus dans le milieu légal ..)
ex pour 1 et 2: accident d’auto, tu te demande -
-POURQUOI: attribution causale réponse c’est parce que
-pour dispositionnelle: tu te demande QUI est cette personne qui a fait l’accident réponse: qqun de distrait…
Les types de théories
- Théories de l’attribution qui contient:
- Théorie des inférences
correspondantes (Jones et Davis)
- Théorie de la covariation (Kelley)
- Approche pragmatique
- Approche du traitement de l’information
—>prend plus en compte les antécédents (croyances, observations, motivation) ET les attributions (l’interprétation)
- Théories attributionnelles qui contient:
- Théorie de la motivation à
l’accomplissement (Weiner)
- Théorie de la résignation acquise (Seligman)
—> prend plus en compte les attributions (l’interprétation) et les conséquences (comportement, émotions, attentes)
Les théories de l’attributions
Pour expliquer les comportements des autres ou nos comportements (incluant les résultats, les événements, etc.), nous avons deux possibilités :
-La cause est la personne (ses dispositions, sa personnalité, ses intentions, etc.).Nous parlons alors d’une cause interne, dispositionnelle ou reliée à la personne.Attribution faite par
… un observateur : « C’est sa faute ».
… un acteur : « C’est ma faute ».
-La cause est la situation (le contexte, les circonstances, le hasard, etc.).
Nous parlons alors d’une cause externe, situationnelle ou reliée au contexte.
Attribution faite par
… un observateur : « Ce n’est pas sa faute; c’est la faute de… »
.… un acteur : « Ce n’est pas ma faute; c’est la faute de… ».
La théorie des inférences correspondantes (voir slide 22)
-théorie qu’on peut seulement appliquer quand
c’est une attribution dispositionnelle (QUI?)
attribution observateur
une seule observation (premiere et derniere fois qu’on voit cette personne)
ex: tu marche dans rue avec ami, un random pousse ton ami et part en courant
tu te demande QUI est cette personne
On connait pas la personne alors on part pas de gauche a droite dans l’observation mais de droite a gauche
observation basée sur l’action
analyse (choix et attentes) choix: esque la personne avait le choix de faire ça ou elle etait obligée
attentes: esque son comportement est conforme aux attentes sociales
(il faut que la personne ait CHOISI de faire le comportement pour inférer une disposition (trait de perso.) si t’es obligé ça reflète pas ta personne
attribution sur ses intentions et ses dispositions (seulement si 2 était interne et pas externe)
l’effet distinctif
-Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne auraient pu faire.
-effets distinctifs aident à définir la personne
ex: plusieurs choix d’emplois avec descriptions similaires.. un seul emploi offre que tu pourra diriger une équipe
si tu choisis cet emploi ton trait distinctif c’est que t’aime jouer le role de leader
la théorie des inférences correspondantes et l’effet distinctif
-on ajoute à La théorie des inférences correspondantes les effets distinctifs!
-on ajoute effet distinctif: mais quesque ça lui apporte
-il faut comparer ce qu’elle a fait avec ce qu’elle aurait pu faire
-l’effet distinctif aide aussi à déduire l’intention
voir slide 25 et lire manuel….
la théorie de la covariation s’applique si…
-quand attributions causales (POURQUOI?)
-attribution par acteur ou observateur
-faut beaucoup d’info sur la situation, personne…
la théorie de la covariation
- Consensus.
Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes
–>-si la personne est seule a faire le comportement le consensus est faible, mais si tt lmonde le fait le consensus est eleve
2.Distinction.
Le comportement que la personne observée adopte par rapport à l’entité est comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités.
–>la distinction est élevée si le comportement est fait seulement par rapport à l’entité précise qu’on est en train d’observer et faible si le comportement est le mm peu importe l’entité
3.Constance.
Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité).
—>comportement est le mm constance est élevée, comportement est différent alors constance faible
**s’il nous manque des infos pour examiner l’une ou l’autre des trois dimensions, nous comblons les vides par de inférences
c’est quoi l’entité
ex:-Pourquoi Paul est énervé en écoutant ce groupe de musique—- l’entité c’est CE GROUPE
on doit se demander les comportement est fait par rapport à quoi
dans la théorie de la covariation on fait l’attribution à la personne si..
- Si le consensus est faible.
- Autrement dit, la personne est la seule à faire ce comportement.
dans la théorie de la covariation on fait l’attribution à l’entité si…
- Si la distinction est élevée.
- Autrement dit, la personne a un comportement particulier avec cette entité
dans la théorie de la covariation on fait l’attribution aux circonstances si…
- Si la constance est faible.
- Autrement dit, la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité.
L’approche pragmatique
-Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs.
—> on observe un évènement et on on commence tout de suite par identifier une cause possible, cause plausible, la cause la plus logique et probable selon info qu’on a
-Cependant, l’utilisation de raccourcis mentaux augmente le risque d’erreurs.
Les étapes de l’approche pragmatique
- évènement
2.identification d’une cause plausible - recherche d’indices confirmatif et présence d’un lien de cause à effet (ex de l’accident auto et camion:cause à effet: le bruit fort, l’effet amène à penser que c’est le camion qui a foncé dans l’auto et pas l’inverse)
(voir slide 30)
L’approche du traitement de l’information
Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de
mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux
processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la
catégorisation, etc.
-reliée à la psycho cognitive
-la cognition sociale
-dans nos attributions nous utilisons des concepts de cognition sociale