COURS 3 Flashcards

1
Q

Le soi

A

entité à l’intérieur du corps évaluant le monde, qui enregistre l’information perçue et qui guide nos actions (aspect dynamique pour faire interagir et aspect de stockage)

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2
Q

Soi Contenu

A

informations sur nous meme, les caractéristiques qui nous définissent (si on prenait une photo de notre soi)

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3
Q

Soi Processus

A

Partie de nous qui prend connaissance de qui nous sommes, de ce que nous faisons et désirons devenir et qui détermine l’apparence que nous voulons projeter (dynamique → réfléchir sur qui on est, ce qu’on aime … (un film))

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4
Q

Soi selon leary

A

croyances sur soi meme → solution : utiliser des termes + précis
c’est vraiment dans la modernité qu’on fait autant attention au soi

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5
Q

étude du concept de soi/catégorisation (gordon) qui suis-je? (soi contenu)

A

Social: Rôles qu’on joue; image projetée
-relation interpersonnel, travail → en relation avec les autres qui nous entour

Spirituel: Valeurs, habitudes, goûts (+ intérieur → en parlant avec les gens )

Matériel: Apparence physique, possessions
- apparence physique peut être + saillant → grande taille
- possession analyse → lien entre goûts des gens et leur personnalité

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6
Q

La clarté du concept de soi (campbell et al., 1996)

A

le concept de soi est clairement défini, cohérent et stable à travers le temps

‘‘En général, j’ai une idée claire de qui je suis’’
“‘Même si je le voulais, je ne pense pas que je pourrais dire à quelqu’un d’autre comment je suis vraiment’’ (R)

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7
Q

Conséquences de la clarté du concept de soi

A

1- (Butzer et al., 2006) + claire → - de comparaison sociale

2- Faible clarté du concept de soi et comportements de consommation (Mittal, 2015)
de biens, de produits → la clarté pourrait prendre position à tous les biens qui leurs sont présentés

3- L’intensité de l’usage de fb prédit une moins bonne clarté du concept de soi (Appel et al., 2016)
facebook (fb) intensif → - bonne clarté (6 mois + tard) message diluent l’information sur nous même

4- Clarté du concept de soi personnel et social (collectif) et bien-être (Usborne & Taylor, 2010)
2 niveaux (individuel (sur nous comme personne) et collectif (info claire sur ce qu’implique faire partie de notre groupe)) → clarté de soi collectif + de b-e

5- La clarté du concept de soi est associée à la tendance à élargir le soi (Emery et al., 2023)
la tendance à vouloir développer d’autres aspects de nous-mêmes: amitié, hobbies…

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8
Q

Les schémas sur le soi:

A

Une structure cognitive qui représente, de manière organisée, les connaissances que nous avons sur nous-mêmes

Organisation de l’information de manière hierarchique

Peuvent changés avec les expériences

complexe avec les aspects + développer

Guident l,attention

(VOIR IMAGE)

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9
Q

Schémas sur le soi Markus, 1977

A

À quel point ces femmes se voient comme étant indépendante/dépendante
a) groupe de femmes schématique indépendante
b) groupe de femmes schématique dépendante
c) groupe de femme aschématique

On projette des mots rapidement et elles décident rapidement s’il la représente

On enregistre les temps de réponses
Si le mots est important pour eux → la réponse st + rapide et donc il fait partie du schéma

a) + rapide pour confiante/ambitieuse
b) + rapide pour coopérative et tolérante
c) aucune différence

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10
Q

la complexité du soi

A

+ complexe
1) un grand nombre d’éléments (rôles, traits, comportements typiques, etc) qui sont;
2) indépendants les uns des autres (i.e., non-reliés). (se considère différente dans deux domaine)

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11
Q

Conséquences de la complexité:

A

: comportement différents d’un domaine à l’autre, indépendants, imperméables → si négatif domaine → ne va pas débordé sur un autre domaine ET aspect de compensation (si quelque chose se passe→ autres domaines qui peuvent compensé.

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12
Q

Rafaeli-Mor (2002): complexité

A

Le nombre d’éléments dans le soi est bénéfique, pas l’indépendance (i.e., le non-chevauchement) de ces éléments
–> indépendance n’est pas si importante → peut aussi dire un certain morcellement

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13
Q

L’estime de soi:

A

L’évaluation que nous faisons de l’information que nous avons sur nous-même

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14
Q

Dimensions: estime de soi

A

1) État vs Disposition
état: comment on se sens présentement
disposition: comment on se sent en général

2) Personnelle vs Collective
Personnelle : comment on s’évalue individuellement.
collective : comment évalue notre groupe d’appartenance.

3) Spécifique à un domaine vs Globale
domaine: évalué dans le domaine des études, du sport …
globale: s’évaluer dans notre globalité

4) Implicite vs Explicite
implicite:
- test d’association implicite → associer stimulus positifs à notre soi (rapidité)
- test ou on demande au gens les lettres qui préfère→ + haute estime initial
explicite: estime qu’on mesure en posant directement la question aux gens → échelle de rosenberg

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15
Q

L’estime de soi est associée positivement à…

CURAR

A
  • la clarté du concept de soi
  • l’humeur positive
  • Résilience
  • Attributions adaptative et bonne gestion du stress
  • lien négatif avec usage de réseau sociaux
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16
Q

TROP d’estime est associé

A

Agressivité (sutout si instable)
Manques d’habiletés sociales (trop absorbé par eux)

Le mythe de l,estime de soi → aide à la meilleure humeur et certaine psychopatho MAIS nest pas révolutionnaire( raise of self estime in school)

17
Q

INCLUSION SOCIALE et ES (sociomètre; Leary et al., 2003):

A

( elle peut découlé du degré d’inclusion sociale) → indicateur de comment les choses vont dans notre vie

18
Q

Est-ce que l,estime de soi est stable : (e.g., Kernis et al., 1993, 2000):

A

si instable:
- sensibilité accrue dans situation d’évaluation
- tendance à se rehausser/se protéger après feedback négatif
- B-e psychologique plus faible
- liens avec la personnalité (Zeigler-Hill et al., 2015)

19
Q

La contingence de l’estime de soi (Crocker & Wolfe,2000; Crocker & Park, 2004):

A

Base estime de nous-même sur des choses extérieures à nous

Lorsque notre estime de nous-mêmes dépend de certains événements extérieurs à nous-même (notre performance, acceptation par les autres) dans des domaines de vie spécifiques

Exemples de domaines importants pour l’ES: Apparence physique; accomplissements académiques; approbation des proches.

difficile de ne pas avoir une estime contingente → seulement sur soi → on est socialisé pour avoir l’acceptation des autres

estime contingente → trouble psycho

20
Q

Étude sur la contingence : (Crocker, Sommers, & Luhtanen, 2002)

A

Méthode par journaux de bord : compléter à chaque jour un journal de bord, comment il se sente présentement par rapport à eux-même (2xjours)
-> quelles sont les variations en fx de leurs estimes deux-même

Devis longitudinal; étude par journal de bord
- à chaque fois qu’il obtiennent un résultat positif ou négatif → répondent journal de bord
- Analyses qui permettent de déterminer ce qui se passe à travers le temps, pour chaque personne

  • Pour les étudiants dont l’ESC est élevée: Le refus/acceptation a plus de répercussions:
    –> Le refus prédit une diminution plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions négatives
    –> L’acceptation prédit une augmentation plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions positives

estime c → rend plus sensible et réactive face à ses évènements

21
Q

Faits sur la contingence:

A

1) Les types de contingences de l’estime de soi (e.g., basés sur la compétition) mènent à des comportements interpersonnels spécifiques (agressivité) (Zeigler-Hill, 2006)

2) Le mères dont l’ES est contingente à la réussite de leur enfant encouragent davantage des buts de comparaison sociale chez leurs enfants (Soenens et al., 2015)

3) L’estime de soi basée sur le succès financier est associée à plus d’inquiétudes financières, de stress, d’anxiété et à moins d’autonomie, surtout lors d’une menace financière (Park et al., 2017)

4) L’estime de soi basée sur l’apparence est associée à moins de satisfaction de l’apparence physique et à des raisons extrinsèques pour faire du sport (apparence; Earl, 2023)

22
Q

Différences importances entre ES explicite vs. implicite (Jordan et al., 2003JPSP):

A

Savoir davantage sur les aspects vulnérables de l’estime de soi
ESI (soi implicite pas très positif mais quand demande (ESE) → tout va bien
→ pt tendance narcissique (un doute de leur valeur alors compense)

Résultat: + narcissique : basse ESI et haute ESE

23
Q

la compassion envers soi

A

prédit une plus grande authenticité (Zhang)
1: se traiter avec gentillesse 2: common humanity (how i am the same as other) 3: mindfulness (accepter quon soufre pour se donner de la compassion)
lié a moins de dépression, perfectionnismem, happier and more connections with others

24
Q

LES DÉTERMINANTS DU SOI

A

-auto-observation
-Auto-évaluation:
-Contexte social et culturel :

25
Q

auto-observation (bem, 1972) :

A

lorsque aucune source extérieure évidente qui nous incite à agir + états internes ambigus: : nous observons comment et pourquoi nous agissons nous inférons certaines de nos caractéristiques
‘Je ne chante pas parce que je suis heureux. Je suis heureux parce que je chante’. on apprend des choses sur nous même en regardant comment nous agissons

26
Q

Auto-évaluation:

A

Processus nous incitant à déterminer la valeur de l’information que nous avons sur nous-mêmes. Nous pouvons nous comparer à différents éléments et personnes. Cela dépend de nos motivations.

A) Des gens pires que soi→ quand ca va mal → nous rassure, ca pourrait etre pire
marathon pas très bien mais il y a des gens en arrière de moi

B) Des gens semblables à soi → quand on veut savoir si on va réussir, vivre les mêmes conséquences
marathon préparation→ comparaison amie de marathon semblable

C) Des gens meilleurs que soi → pour se motiver
afin de se donner un objectif, un modèle , est-ce que je m’approche de cette personne là

27
Q

Contexte social et culturel + distinctivité

A

Interactionnisme symbolique (Cooley, 1902): Les autres nous offrent un reflet de nous-mêmes. Différences entre nos perceptions de nous-mêmes et les perceptions que les autres ont de nous:

Principe de distinctivité (McGuire, 1984): Comme nous voulons être unique, nos caractéristiques différentes des autres sont + importantes pour notre soi

28
Q

Le soi dans les différentes cultures

A

Cultures individualistes (e.g., Canada, É-U, Australie, Europe de l’ouest) valorisent la volonté personnelle, l’indépendance et l’importance du soi personnel (identités personnelles);

Cultures collectivistes (e.g., Asie, Afrique, Amérique du sud) valorisent la coopération et l’interdépendance et mettent l’emphase sur le soi collectif (identités sociales).

Ces différences culturelles ont tendance à diminuer…(Cheng et al., 2011JCCP)
depuis plrs décennie → diff s’atténuent

29
Q

Qui suis-je Cousins (1989)

A

lister les éléments qui vous représente
identité personnelle et sociale
R; américain + personnelles que sociales → contraire chez japonais

30
Q

Faire le pont entre le soi comme contenu et comme processus (Amiot, 2004)

A

Sens du soi:
-Clarté du concept de soi
-Stabilité de l’ES
-Motivation autodéterminée

VOIR IMAGE

31
Q

LE SOI COMME PROCESSUS:

A

Changements dans le concept de soi:
- Les transitions de vie et les événements importants ouvrent la porte aux changements dans le soi.
- Étude menée auprès de nouveaux pères (Strauss & Goldberg, 1999)

32
Q

Importance de l’identité comme ‘parent’:

A

Augmentation de la phase prénatale (M = 22o) à la phase postnatale (un an plus tard; M = 98o)

33
Q

Étude CIEL (Amiot, Doucerain, Zhou, & Ryder, 2018)

A

Étude des changements identitaires dans le temps; Quelle nouvelle identité culturelle est intégrée par les étudiants internationaux à Montréal? (québécoise, canadienne, montréalaise, etc)

Results: The New Identity

Examples of ‘other’:
-World Citizen
-Bilingual Canadian
-International person