Cours 2_Identité Flashcards

1
Q

Anna Freud

A

Selon cette psychanalyste, la différence entre les pulsions ressenties à l’enfance versus celles ressenties à l’adolescence sont des plus importantes : à l’enfance, nos pulsions seraient dirigées vers une satisfaction individuelle, de nous-même à nous-même versus à l’adolescence vers autrui pour se reproduire et assurer la survie de l’espèce
Erikson a étudié la psychanalyse avec Freud et a poursuivi sa formation auprès d’Anna Freud, son nom étant donc habituellement associé à l’approche psychodynamique.

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2
Q

Conception d’Erikson

A

Afin de décrire l’évolution de l’individu au cours de la vie, Erikson a proposé huit stades de développement; - Psychosocial, conflit interne et exigences/attentes de l’environnement (différents selon les cultures et les lieux)

Chaque stade déclenche une crise développementale; signe d’un changement majeur, pas négatif (conflits internes), est-ce que ça concorde avec l’environnement

Lorsque l’individu parvient à résoudre le conflit d’un stade par une solution constructive et adaptée, il sort alors grandi de ce stade puisque cette construction positive est intégrée au moi, ce qui lui permet une nouvelle identité personnelle;

Lorsque l’individu ne parvient pas à résoudre le conflit d’un stade, une construction négative est intégrée au Moi quand s’est freiné pourrait mener à des psychopathologies

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3
Q

Vision d’Erikson

A
  • Vision socioculturelle
  • Tendances opposées +/-, chacun des stades a des éléments dans les deux, pour bien le traverser pas dans les deux extrêmes mais doit gouter aux aspects positifs et négatifs… de là en ressort une construction positive
  • Force adaptative : ce qui fait qu’un individu est motivé selon lui et son environnement
  • Faux, dépend pas juste de l’environnement…
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4
Q

Stade 1 : confiance vs méfiance (1e année)

A

Selon la stabilité et la qualité des soins reçus par la première figure d’attachement, la fiabilité, le support, l’amour inconditionnel et la bienveillance que lui procurera la mère par ses soins permettra à l’enfant d’intégrer qu’il peut faire confiance au monde qui l’entoure.
si la mère n’est pas concordante avec les soins = méfiance
force adaptative est l’espoir, pas mauvais s’il développe une petite forme de méfiance

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5
Q

Stade 2 : Autonomie versus honte et doute (2-3ans)

A

À cet âge, devant les apprentissages de propreté, de langage et de la marche, l’enfant répondra ou non aux exigences sociales de contrôle de soi qui contribuera à développer soit un sentiment d’autonomie «Je suis capable» ou de doute.
C’est à ce stade que l’enfant développera la conviction qu’il est un personne distincte en disant «oui» ou «non».
force adaptative est la volonté alors si les parents font tout pour lui il ne pourra pas développer la force et ainsi devenir autonome

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6
Q

Stade 3 : Initiative versus culpabilité (3 à 6 ans)

A

L’enfant va activement explorer son environnement. Si son milieu lui pose des barrières, alors son désir d’explorer va s’associer à de la culpabilité.
force adaptative est le but, il en vise pleins (pas de questions tout de suite, pas jouer dans le module)

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7
Q

Stade 4 : Travail versus infériorité (6-12 ans)

A

L’enfant profite de ses années à l’école primaire pour développer ses compétences.
Si l’enfant est valorisé dans ce qu’il entreprend, il développera un sentiment de compétence versus s’il n’est pas valorisé il développera un sentiment d’infériorité.
force adaptative est la compétence… va vouloir s’investir s’il se sent compétent, valorisé dans ce qu’il entreprend… infériorité est super néfaste pour l’identité à cet âge

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8
Q

identité et 3 dimensions

A

L’identité est ce par quoi l’individu se sent exister en tant que personne, dans tous ses rôles et toutes ses fonctions, se sent reconnu et accepté comme tel par reconnu par autrui, par son groupe, ou sa culture d’appartenance.

Les principales dimensions (indissociables) de l’identité :
1- La continuité : Correspond au sentiment d’être le même à travers les changements, à travers le temps.

2- La cohérence : L’individu chercher à rester lui-même à travers le temps. (ex: valeurs)

3- La valorisation : Liée au regard d’autrui et au besoin de s’identifier à des valeurs, l’individu s’attribue des qualificatifs positifs lui permettant d’affronter les sentiments d’échec. demande qu’il y ait eu de bonnes résolutions des stades précédents

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9
Q

Stade 5 : Identité versus confusion des rôles (Adolescence, 12 à 18 ans)

A

Période de recherche, d’exploration et d’introspection à partir de laquelle surgira son identité. «Qui suis-je?» «Quelles sont mes aspirations?»
on fait référence à la sous-dimension de la cohérence pour préserver son identité
Sentiment de «l’identité intérieure»…

L’identité des adolescents fait face à une crise qui ne peut être résolue que par de nouvelles identifications avec les pairs et des modèles extérieurs à la famille.

force adaptative est la fidélité, affiliation avec autrui mais se sent mal de le faire, parents doivent être ouverts à des connexions avec d’autres adultes et des amis

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10
Q

confusion de l’identité

A

Incapacité à s’engager avec les autres de manière authentique, à éprouve un sentiment d’accomplissement à travers une activité, ne se sent pas cohérent (pense pas pouvoir être lui-même, pouvoir être à la découverte de soi).

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11
Q

Stade 6 : L’intimité versus l’isolement (Jeune adulte)

A

Selon Erikson, l’identité réelle avec l’autre n’est possible que lorsque l’identité individuelle est formée. (pas aimer quand on ne s’aime pas)
Si le jeune adulte échoue ce stade, il sera alors incapable d’établir des relations intimes et aura donc des relations interpersonnelles stéréotypées qui créeront chez lui un sentiment profond d’isolement. (selon ce qu’il pense que les autres veulent de lui)
Selon Erikson, afin de développer une intimité saine, le jeune adulte doit établir ses frontières avec autrui afin de lui permettre de se rapprocher de l’autre sans tomber dans une relation fusionnelle (nous nous nous) .

faut avoir une relation distincte chacun sa propre personne > force adaptative est l’amour, de soi et vers les autres

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12
Q

Stade 7 : La générativité (descendance) versus stagnation (Adulte 40-65 ans)

A

Stade caractérisé par l’intérêt porté à la génération suivante (avoir sa descendance) et au désir d’aider la descendance à se développer de façon adéquate.
ce qui va rester après ma mort vs se traiter un peu comme son propre enfant (centré sur soi-même) > exemple : enseigner, enfants, implications, environnement propre, psychologue… force adaptative est la sollicitude = le fait de se soucier des autres

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13
Q

Stade 8 : Intégrité versus désespoir (Âge mûr)

A

Un sentiment d’intégrité se développera chez lui s’il considère avoir fait de son mieux dans les bons comme dans les mauvais moments;

À l’inverse, un sentiment de désespoir sera présent si l’individu porte un regard de dégoût, de déception et / ou d’amertume face à sa vie passée.

amertume demeure avec des remords mais manque de temps, intégrité est d’avoir été qui on voulait être > force adaptative est la sagesse alors capable de pardonner certains éléments de notre vie et d’avoir fait de notre mieux selon les circonstances

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14
Q

identité et identification

A

Définition d’identité personnelle : Conscience de soi et reconnaissance de soi par soi et par les autres.
Quel est l’élément-clé pour parvenir à définir son identité?
l’équilibre de sa frontière personnelle est l’élément clé > pas tjrs facile d’être cohérent avec son identité (étude, mais ami besoin d’aide)

Définition de l’identification : Processus par lequel un individu assimile les caractéristiques d’une autre personne qu’il prend comme modèle.

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15
Q

James Marcia : statuts identitaires

A

James Marcia a permis une avancée majeure des travaux d’Erikson en précisant deux processus essentiels dans la construction de l’identité personnelle, soient : l’exploration et l’engagement.

L’exploration : Processus de recherche de différentes possibilités pour soi dans un domaine de vie.

L’engagement : Adhesion à un ensemble de buts, de valeurs et de croyances.
- Les deux processus forts ou faibles font découler 4 statuts identitaires

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16
Q

4 statuts identitaires

A

Identité diffuse : (- et -)
- Absence d’engagement par le manque de considération des différentes alternatives.
- Ce stade de développement identitaire est le moins avancé des 4 statuts.
- Sentiment de vide intérieur.
- Se laisse porter par le courant (moindre effort…), caméléon dans les relations

Identité forclose : (ex - et eng +)
- État identitaire au sein duquel l’individu n’a pas consacré de temps à explorer les différentes alternatives et s’engage fortement en fonction des projets que d’autres ont déterminés pour lui.
- Adopte des valeurs qui ne sont pas nécessairement les siennes
- Généralement très soumis et obéissant
- engagé dans une idée mais pas capable de justifier mon engagement

Identité moratoire : (ex + et eng -)
- État identitaire au sein duquel l’individu réfléchit aux différentes possibilités et semble en voie de s’engager.
- Il s’engage à court terme dans des projets/décisions qu’il peut quitter par la suite.
différence = dans diffus on ne sait pas qui on est, mais moratoire on commence à se connaitre alors on teste pour plus tard aller vers l’achevé

Identité achevée :
- Positionnement personnel grâce à des engagements résultants d’explorations effectuées.
- Malgré tous les rôles qu’il a préalablement joué, l’adolescent est parvenu à se décider selon ses propres critères, ses propres valeurs et ses propres choix de vie.

possible de changer de statut; - Possible aussi d’avoir des statuts différents selon certaines sphères de notre vie (travail, relation, famille…)

17
Q

résumé statuts identitaires

A

L’accomplissement de l’identité se tracerait généralement ainsi :
Identité diffuse en début d’adolescence, traverserait l’identité forclose et l’identité moratoire et terminerait par une identité intégrée, soit une identité achevée.

Les adolescents ayant une identité achevée possèdent un meilleur ajustement psychologique.
- Vrai, diffère selon le genre : filles = relations interpersonnelles, amies, popularité, affiliation… et gars = la compétence, veulent se sentir compétent, avoir confiance en ses performances
- Recommandation Erikson : période moratoire, arrêter de mettre de la pression à s’engager tout de suite, pas trop de responsabilités d’adultes pour avoir de la place à explorer… laisser sa place, mais structurer au minimum

18
Q

critiques des statuts de James Garcia

A

personnalité peut influencer (extravertie plus exploration) mais n’en parle pas, contexte voir si la personne a la possibilité d’explorer ou non, théorie présente des résultats et non des processus

19
Q

Michael Berzonsky : les styles identitaires

A
  • Ajoute une vision socioconstructiviste aux statuts identitaires. environnement influence
  • Styles identitaires : Stratégies sociocognitives privilégiées par l’individu pour accomplir (ou éviter) les tâches liées à son développement identitaire.

Les 3 styles identitaires

1) Style informationnel : Fréquentes remises en question, recherche active d’informations. pas négatif, engagement flexible

2) Style normatif : Stratégies sociocognitives caractérisées par la recherche de conformité, ce qui compte est d’être accepté socialement (ressemble forclose), on ne veut pas déplaire

3) Diffus-évitant : Adeptes de la procrastination, attributions externes alors on s’approprie pas le tort, stratégies centrées sur les émotions (dramatisation), victimisation

20
Q

Styles identitaires : études sur étudiants

A

style info = meilleur, style diffus-évitant = moins bon
Vrai lien = si on est portée à apprendre de nos erreurs c’est bon relations et maturité alors facteur aidant pour réussite scolaire (style, maturité, réussite uni)
> diffus-évitant moins réalistes projets carrières et sont moins stables relations amicales

21
Q

Autonomie

A

Adolescence très importante pour le développement de l’autonomie
Capacité et pouvoir de l’individu de prendre lui-même les décisions qui le concerne, le pouvoir, et en assumer les responsabilités.
- Faux, décider seul pas librement… teinté par les attentes du milieu quand même, normes de la société et autres influences
- Élément essentiel pour dire si base volontaire = de parvenir à articuler les motifs sous-jacents à notre décision

22
Q

autonomie émotionnelle et 4 conditions

A

Capacité d’exercer par soi-même la maitrise des affects, des pulsions, des sentiments et des frontières personnelles.

4 conditions afin d’atteindre l’autonomie émotionnelle :
1- La désidéalisation des parents.
2- Parvenir à percevoir ses parents comme des êtres multidimensionnels et indépendants.
3- La capacité de se débrouiller par soi-même.
4- Le besoin de préserver son intimité, ses secrets.

23
Q

autonomie comportementale

A

Faculté de maîtriser par soi-même ses actions et leurs conséquences.

Deux principales dimensions de l’autonomie comportementale :
1) Les habiletés décisionnelles (Modecki et al., 2017)
2) La sensibilité aux pressions d’autrui

  • Distinctions 12-18 ans : plus sensible avant à la pression d’autrui, moins conscientiser sur les conséquences des actions, on pense plus aux risques plus tard
  • Vrai sens aux pressions est liée à l’autonomie émotionnelle, être assez ancrée émotionnellement, identifié nos limites, identité assez définie pour mettre une frontière, il faut s’accorder une valeur émotionnelle à soi aussi
24
Q

image et image sociale de soi

A

L’image de soi : Description que nous nous faisons de nous-même selon notre propre point de vue.
L’image sociale de soi : C’est le Soi à travers le regard d’autrui.

L’adolescent qui faisait jadis appel à des attributs physiques pour se décrire, se verra vers l’âge de 14 ans faire davantage appel à des attributs psychologiques. Pourquoi? accès à la pensée formelle et capable de se détacher du concret

L’adolescent doit parvenir à faire la distinction entre son Soi réel (ce qu’il est réellement), son Soi idéal (ce qu’il voudrait être) et son Soi redouté (ce qu’il appréhende de devenir).

25
Q

concept de soi quiz

A

1) Vrai, si j’ai plusieurs conceptions de sphères différentes, ça me permet de m’accorder que je ne suis pas bon dans tous… pas juste étudiante > plus conceptions = moins déprimé
2) Vrai plusieurs conceptions = permet de s’améliorer
3) Vrai surtout à l’adolescence > filles plus critiques sur elle-même
4) Vrai, plus l’adolescent a des conceptions positives de lui-même, plus il a le goût de l’effort et de la persévérance quand il vit des difficultés à l’école

26
Q

estime de soi quiz

A

1) Vrai, À l’adolescence, le regard des pairs devient plus important que le regard des parents
2) Vrai, Le regard des pairs aura une influence importante sur notre estime de soi tout au long de notre vie
3) Vrai, L’individu aura une haute estime de soi quand ses succès sont égaux ou même supérieurs à ses aspirations ; succès quand tâches faciles moins bonnes que quand les aspirations sont plus élevées

27
Q

sous-dimensions de l’estime de soi

A

Le soi émotionnel : Correspond à la maitrise de l’impulsivité et du contrôle des émotions.

Le soi social : Correspond au sentiment d’être reconnu socialement et à la représentation des interactions avec autrui.

Le soi scolaire : Correspond aux performances et aux comportements dans le cadre scolaire.

Le soi physique : Correspond au désir de plaire, à la représentation de son image corporelle et aux représentations vis-à-vis le regard d’autrui.

Le soi projectif : Correspond aux représentations envers l’avenir et des rôles d’adulte.

28
Q

sous dimensions estime quiz

A

1) Quelle est la sous-dimension qui consiste en la seule que les filles possèdent davantage que les garçons?
- soi projectif plus présent chez les filles

2) Quelles sont les deux sous-dimensions qui possèdent le plus d’influence sur l’estime de soi?
- plus influence estime est social et physique

3) Laquelle des sous-dimensions de l’estime de soi permet le mieux d’expliquer que les filles présentent une plus faible estime d’elles-mêmes que les adolescents à l’adolescence?
- physique explique fille plus faible estime que gars

4) Quel % des adolescents au secondaire au Québec sont insatisfaits de leur image corporelle? (Cazale, Paquette et Bernèche, 2012)
- 50% à cause du poids pour la plupart alors que bcp sont dans la normale

5) V ou F : Le développement pubertaire est lié à l’insatisfaction corporelle à la fois chez les filles et chez les garçons? (Jones et Smolack, 2011)
- faux, gars fiers

6) Quelle est la cause d’insatisfaction corporelle la plus fréquemment rapportée par les adolescentes?
- poids

29
Q

étude élement le plus important estime de soi

A

plus d’1/3 pensent que valeur physique est supérieure à valeur personnelle… profil = filles isolées, faibles résultats scolaires

30
Q

étude apparence physique et réussite scolaire

A

oui, belles personnes meilleures = meilleur estime
enseignant plus portée vers eux pour aider alors ils seront jugés plus compétents…
souvent plus populaires, plus de contextes pour habiletés sociales, ce qui vient teinter la performance scolaire, enseignants agissent aussi de cette manière

31
Q

différences image corporelle selon le genre

A
  • Filles abordent leur corps d’une manière différenciée (petites lèvres, gros ventre… morceau par morceau) et gars un tout (grand, musclé)
32
Q

facteurs qui affectent l’estime de soi

A

Le style éducatif des parents :
Plus le style éducatif des parents est empreint de contrôle, d’une faible communication et de contraintes, plus l’estime de soi sera faible.

La perception des réussites et des échecs :
S’entourer de gens qui ont des performances similaires aux siennes et choisir des activités au sein desquelles on se sent compétent favorisent l’estime de soi positive.

L’écart envers des modèles et des aspirations :
Un décalage important entre notre Soi idéal et notre Soi réel représente une source d’angoisse et est néfaste pour notre estime de nous-même.

Le locus de contrôle :
Peut être interne ou externe :
Les personnes présentant un locus de contrôle interne se croient responsable de ce qui lui leur arrive versus les personnes qui présentent un locus de contrôle externe croient que ce lui leur arrive est lié au hasard.

Le sentiment d’efficacité personnelle :
Consiste en les croyances que l’individu a quant à ses capacités à réaliser des performances spécifiques.
Fort versus un faible sentiment d’efficacité personnelle….
- se sentir capable de réaliser nos objectifs nous aide, on tente plus de choses pour les atteindre,
Prophétie auto-réalisante… > se dire qu’on va couler, ne pas mettre les efforts, on coule… couple on ne mérite pas d’être aimé, méchante avec le partenaire pour qu’il parte