Cours 2: La perception sociale Flashcards

1
Q

Quelle est l’expérience dans la vidéo vu en classe d’Annie Leblanc?

A

C’est une enseignante qui veut faire vivre la discrimination aux élèves de son groupe, aux conséquences que cela engendre. Pour ce faire, elle sépare la classe en 2 selon la grandeur de 1,34m. La première journée, les petits ont tout les privilèges et les plus grands aucun, ils sont rejetés et lorsqu’ils font des erreurs, ils se font dire que c’est “normal, c’est parce que c’est un grand!”. La 2e journée, elle fait l’inverse: c’est les grands les + intelligent et les petits qui sont discriminés.

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2
Q

D’où vient la base scientifique de l’expérience, le fondement?

A

D’Henri Tajfel, survivant des camps Nazi. Il voit que le simple fait de s’identifier à un groupe favorise l’éloignement, donc la discrimination par rapport à un groupe différent. Cela a lieu depuis le temps des primates, c’est un comportement de tribus, donc de survie. Adaptatif pour les clans.

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3
Q

Lorsqu’Annie Leblanc fait porter les dossards aux élèves discriminés, quel changement s’opère dans la classe?

A

Un changement d’atmosphère très rapide dans la classe. Les élèves embarques et discriminent sur les “faits”. Ils cherchent facilement le négatif et les insultes. Les grand sont moins performants. Certains sont tristes. D’autres se disent qu’ils iront voir la directrice, vont même jusqu’à écrire une lettre, mais ne la remette pas. Au rang, même sans consigne, ils font 2 lignes distinctes. Pierre-Luc, habituellement discriminé pour son poids, se sent mieux, puisque le poids repose sur la moitié du groupe et non seulement lui.

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4
Q

Lorsque la 2e journée commence, les enfants discriminent-ils davantage? Qu’est-ce qui arrive?

A

L’inversion du groupe se passe très rapidement. Certains veulent seulement profiter des avantages, d’autres veulent se venger.

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5
Q

À la fin de la 2e journée, lorsque Annie Leblanc demande aux élèves s’ils recommencent le lendemain, qu’elle est leur réaction? Qu’est-ce que cela signifie par rapport à l’apprentissage visé?

A

Ils veulent tous recommencer en criant “OUIIII!”. Ils n’ont donc pas réellement compris l’apprentissage visé. Cela leur a pris plus de temps. En revanche, dans les mois après, la simple mention de “l’expérience” faisait ressortir des émotions chez les élèves.

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6
Q

Qu’est-ce qu’Annie Leblanc pense de son expérience, une fois terminée?

A

Elle est déçue de la réalité humaine. Elle dit que ce type d’expérience, s’il y a un problème de discrimination dans la classe, peut être bien, mais qu’autrement, cela a beaucoup trop d’impact (même sur elle) pour les gains rapportés.

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7
Q

Si les parents étaient au courant de l’expérience, comme le démontre le reportage, pouvons-nous considérer cela comme de la duperie?

A

Oui. C’est seulement les participants directs (enfants) qui ne doivent pas avoir accès à toute l’information.

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8
Q

Que pouvons-nous dire à propos de l’éthique dans cette recherche ? (Annie Leblanc)

A

Que l’éthique n’était pas respecté.
1. Consentement libre: Oui, ils se font demander leur avis au début et les parents ont autorisé cela, mais lorsque des enfants veulent arrêter l’expérience, ils ne peuvent pas quitter. Ce n’est pas adéquat.

  1. Consentement éclairé: Ici, ils n’ont pas de précision sur la durée et le but de l’expérience. La duperie est utilisée, mais cela aurait pu être fait autrement. Elle n’était pas indispensable.

Les gains n’ont pas été suffisamment significatif pour les dommages/blessures engendrés. Leur intégrité était affecté également par le fait que c’était médiatisé et certains ont encore des difficultés à trouver des emplois à cause de cela.

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9
Q

Que pouvons-nous dire post 3 semaines de cette expérience? (Annie Leblanc)

A

L’humain recherche le pouvoir constamment. Nous vs autres = ++ enclin à recommencer plus tard. Leur cerveau n’était pas assez développé pour comprendre tout ce qui s’est passé pour eux. Crée des blessures internes évitables. Certains comprennent, mais à quel point?

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10
Q

Quels liens théoriques peuvent être fait avec l’expérience d’Annie Leblanc?

A

-Apprentissage par observation
-Conditionnement opérant
-Théorie de l’attribution (inférence): cause externe pour dire que Rémy niaise au lieu de juste dire qu’il était fatigué
-Théorie des rôles et effet de cohorte: si les enfants vont dans un autre groupe, l’apprentissage ne restera pas

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11
Q

Si je dis une blague et que personne ne rie, qu’est-ce qui arrive?

A

Cela fait disparaître les blagues, car il n’y a pas d’effet d’encouragement social, donc de renforcement

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12
Q

10 ans plus tard, qu’est-ce qui se produit dans l’ambiance du groupe?

A

Cela redevient comme c’était = théorie des rôles

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13
Q

À quoi pouvons-nous comparer la machine humaine?

A

À une usine de fabrication de croyances

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14
Q

Qu’est-ce qu’une croyance?

A

une conviction relative à un objet
psychologique

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15
Q

Qu’est-ce qu’un objet psychologique?

A

Un objet psychologique est tout ce qu’il est possible de se représenter, y compris les individus.
* Il peut être concret ou abstrait, réel
ou imaginaire

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16
Q

Vrai ou faux? Le processus de catégorisation est rationnelle, mais le résultat du processus est subjectif

A

Vrai

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17
Q

À quelle approche est rattachée cette phrase?
Le processus de catégorisation est rationnelle, mais le résultat du processus est subjectif

A

Approche interculturelle

Pour la police, certains seront en paix à leur vision, alors que d’autres ont peur

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18
Q

Par quoi se fait l’acquisition des croyances?

A

L’acquisition de croyances se fait par
expérience personnelle, information
donnée par autrui, inférence, supposition.

Une croyance peut être neutre (description des observations) ou être évaluative (juge, opinion). Nous pouvons connoter une croyance neutre.

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19
Q

Quelles sont les 3 sources de croyances?

A
  1. Expérience personnelle
  2. Interaction sociales
  3. Inférence
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20
Q

Pourquoi faisons-nous des inférences?

A

-Théorie de l’attribution: on infère pour que l’information qu’on reçoit soit cohérente
-Faire des meilleures prédictions
-Système de communication
-Nécessite sociale au point de vue évolutif

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21
Q

Que pouvons-nous dire du fonctionnement par schémas?

A

la mémoire nous amène à intégrer les nouvelles informations aux croyances
que nous possédons déjà et à faire des inférences, pour pallier aux informations que nous ne possédons pas.

On attribue une personnalité à une personne selon nos impressions en essayant de s’auto-valider.

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22
Q

Qu’est-ce qui arrive à nos premières impressions si elles sont validées ou non?

A

Validées: on se fit davantage dessus
Invalidées: on se fit moins sur nos capacités à évaluer.

En réalité, la personne est beaucoup plus complexe qu’une simple première impression

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23
Q

Qu’est-ce qui arrive lorsque quelqu’un ne montre pas d’émotion?

A

Les autres vont essayer de combler ce vide et vont appliquer un jugement, un sens, aux peu de signaux. Ce sera une interprétation, mais peut-être pas celle souhaitée par la personne cachant ses émotions à la base…

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24
Q

L’attribution à partir d’un seul comportement fait référence à quelle théorie?

A

Théorie des inférences correspondantes (John and Davis)

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25
Q

Qu’est-ce que la théorie des inférences correspondantes?

A

Attribution d’une disposition (ou d’un trait) qui correspond directement à la nature du
comportement observé.

Nous essayons de comprendre le
comportement d’une personne en faisant
un lien entre le comportement observé et
les disposition/traits de personnalité de la
personne

26
Q

Quelles sont les 3 questions que nous allons nous posées pour faire une inférence?

A

Si la personne avait le choix d’agir autrement:
Si la personne n’avait pas le choix, nous allons penser qu’elle a agi par obligation, pas parce qu’elle possède un trait de personnalité particulier

Si le comportement correspond aux attentes des autres:
Si le comportement correspond aux attente sociales, nous sommes susceptible de penser qu’elle s’est simplement conformé aux attentes, et que son comportement ne reflète pas sa personnalité

Quelles sont les conséquences particulières de son comportement?:
Nous serons plus susceptibles d’attribuer une disposition à une personne si son
comportement a des effets distinctifs, particuliers

27
Q

Vrai ou faux? Moins un comportement défis les attentes sociales, plus nous l’attribuons à des dispositions internes

A

Faux.
Plus un comportement défis les attentes sociales, plus nous l’attribuons à des dispositions internes

28
Q

Qu’est-ce que l’erreur d’attribution fondamentale?

A

Tendance à sous-estimer
l’influence de la situation et à
surestimer celle des facteurs
internes en tant que causes
du comportement d’autrui.

29
Q

Pourquoi faisons-nous des erreurs d’attribution fondamentale?

A
  • Dans plusieurs cultures, on nous
    apprend que chaque personne
    est responsable de ses actes.
  • À cause de la saillance
    perceptive, nous avons tendance
    à attribuer la cause à l’objet de
    notre attention.
  • Les attributions internes
    demandent moins de travail
    cognitif.
30
Q

Qu’est-ce que la saillance perspective?

A

Tendance à attribuer une influence plus importante aux personnes qui sont perceptiblement mis en évidence

31
Q

Est-ce que l’observateur à tort quand il
attribue les actions des autres aux causes
internes?

A

Pas nécessairement. Sauf que nous choisissons davantage les causes interne comme explication alors lorsque la vraie cause est externe on se trompe.

Le problème est que systématiquement, les causes internes sont choisies même si les causes externes sont visibles

32
Q

Selon Le modèle tridimensionnel de Weiner, nos attributions peuvent être catégorisées selon 3 dimensions : Lesquelles?

A

les causes sont internes ou externes,
les causes sont contrôlables ou non contrôlables,
les causes sont stables ou instables.

33
Q

Dans le modèle tridimensionnel de Weiner, sur quoi le type d’attribution aura un impact chez la personne qui fait l’attribution?

A

Le type d’attribution aura un impact sur la
réaction affective et les attentes de la personne qui fait l’attribution.

34
Q

Vrai ou faux? Le modèle tridimensionnel de Weiner propose que nous attribuons nos succès à des causes internes et nos échecs à des causes externes

A

Vrai

35
Q

Philippe échoue lamentablement à son examen. Il attribue sa piètre performance au fait qu’exceptionnellement, il a préféré sortir plutôt qu’étudier. Cette cause est…

a)externe, incontrôlable, instable
b)externe, contrôlable, instable
c)interne, incontrôlable, instable
d)interne, contrôlable, stable
e)interne, contrôlable, instable

A

e)interne, contrôlable, instable

36
Q

Qu’est-ce que le processus de la formation d’une impression?

A

La formation d’une impression est le processus cognitif par lequel nous organisons divers éléments d’information se rapportant à une personne afin de
former un tout. Ce processus repose sur l’attribution et l’intégration de l’information.

37
Q

Qu’est-ce que l’intégration de l’information selon le processus de la formation d’une impression?

A

L’intégration de l’information, c’est-à-dire la
combinaison des traits attribués, aboutit à une perception unifiée. C’est ainsi que nous nous formons une impression globale d’une personne.

38
Q

Deux approches rendent compte de
l’intégration de l’information en matière de
perception d’autrui : nommez les

A

➊ Les traits attribués à une personne n’ont de sens que les uns en fonction des autres.
➋ L’impression globale est plus ou moins
positive, selon que la somme des traits évalués indépendamment les uns des autres est plus ou moins positive.

39
Q

Approche de l’interaction entre les traits
(Asch, 1946) : quels sont les 2 effets possibles?

A

Effet de centralité
Effet de primauté

40
Q

Approche de l’interaction entre les traits
(Asch, 1946) : Effet de centralité. Décrivez ce que c’est

A

Les traits importants organisent l’impression et influencent sur le sens
retenu pour les autres traits de la personne.

41
Q

Approche de l’interaction entre les traits
(Asch, 1946) : Effet de primauté. Définissez ce que c’est

A

Tendance à accorder plus d’importance aux
premières informations reçues dans la
formation d’une impression.

42
Q

Approche de la somme des traits : Modèle de la moyenne (Anderson, 1981). Décrivez cette approche

A

Modèle de la moyenne pondérée : L’impression générale est la somme des
produits de l’évaluation de chaque trait par son poids (l’importance que lui accorde la personne), divisée par le nombre de traits.

43
Q

Quelle est la différence entre les 2 modèles permettant la formation d’une impression, soit celui de Anderson et la moyenne pondérée et celui de Ash, de l’interaction entre les traits?

A

Différence entre les 2 modèles: L’indépendance relative des traits entre-eux.
* Dans la réalité. les 2 modèles peuvent coexister
↳ Anderson :
signification ne change pas , pas indépendant ->moyenne
↳Ash:
Signification change selon le contexte

44
Q

Qu’est-ce que la cognition sociale?

A

La façon dont l’être humain arrive, avec une remarquable rapidité et une efficacité
entachée de nombreuses erreurs logiques, à donner un sens à son environnement
social et ainsi, à pouvoir s’y adapter et au besoin, de le contrôler

45
Q

Que remarquons-nous en 1970 quant à la cognition sociale?

A

C’est que le fonctionnement cognitif de l’humain est finalement + complexe et moins rationnel qu’on le pensait. On ne prend pas tout en considération dans notre environnement comme nos émotions, des inférences viennent aussi en ligne de compte. Nous faisons des erreurs logiques

46
Q

L’être humain fait appel à deux systèmes de pensée lorsqu’il doit juger son environnement social. Nommez les

A

Le système I repose sur
* des processus automatiques - dans une large mesure inconscients - qui permettent de traiter en peu de temps un grand nombre d’informations, ou d’arriver rapidement à une conclusion avec un minimum d’indices.
= Raccourcies, instinct, important pour la survie, première impression, inconscient, rapide, prime

Le système II repose sur
* une réflexion plus formelle et contrôlée, plus lente aussi, et demandant un effort cognitif qui mobilise la pensée consciente et les fonctions exécutives assurant le contrôle de soi.
=Repenser l’instinct, demande + d’effort cognitif, réflexion

Donc: émotions précèdent l’impression

47
Q

Que pouvons-nous dire sur l’exactitude de l’impression?

A
  • Certaines caractéristiques comme
    l’extraversion sont assez faciles à percevoir
    correctement, ce n’est pas le cas d’autres
    traits.
  • Les premières impressions sont
    particulièrement résistantes au
    changement.
48
Q

Qu’est-ce que sont les schémas? (Young)

A
  • Les schémas sont des structures
    cognitives qui permettent d’organiser
    l’information complexe se rapportant
    aux personnes et aux situations.
  • Les schémas orientent la perception de
    l’environnement, l’organisation des
    informations en mémoire et les
    inférences.

·Schéma se développe au contact des situations
·Non verbale (compréhension)
.Nous permet d’inférer ce qui manque

·Métaphore : Lunettes
on interprète les informations nouvelles en fonction de ce que nous savons déjà

49
Q

Sur quoi s’appuient les schémas? (3)

A

1.s’appuient sur un ensemble d’idées
reçues, sur des stéréotypes et des
catégorisations.

2.s’appuient sur des scénarios acquis en
fonction des normes culturelles.

3.s’appuient aussi sur des scénarios
élaborés en fonction de nos expériences
et de nos attentes personnelles.

50
Q

Qu’est-ce que la théorie implicite de la personnalité?

A

Type de schéma que les individus utilisent pour inférer les traits de personnalité qui
s’accordent généralement.

Un trait nous permet d’en inférer d’autres. Ex. Chaleureux ->bienveillant

Liens que l’on fait

51
Q

Qu’est-ce qu’une règle heuristique et quelles sont les 3 règles heuristiques?

A

Une règle heuristique est un processus cognitif qui permet de faire rapidement des estimations.

1.Représentativité
2.Disponibilité
3.Ancrage et ajustement

52
Q

Définissez l’heuristique de disponibilité

A

Juger de la fréquence ou de la probabilité d’un événement en fonction de la facilité
avec laquelle on peut s’en remémorer des
exemples.

53
Q

Définissez l’heuristique de représentativité

A

Estimer la probabilité d’appartenance d’un
objet à une classe donnée à partir de
sa ressemblance avec un cas prototypique de cette classe.

54
Q

Définissez l’heuristique d’ancrage et d’ajustement

A

Estimer une grandeur en se fondant sur une quantité connue, puis ajuster cette
grandeur pour tenir compte des particularités d’un nouvel événement
semblable

55
Q

Nommez les 5 autres biais courants dans la formation d’impression

A
  1. Biais de la positivité
  2. Biais de la négligence de la ligne de base
  3. Biais de corrélation illusoire
  4. Biais de la persistance des croyances
  5. Biais du raisonnement contrefactuel
56
Q

Qu’est-ce que le biais de la positivité?

A

Tendance générale à exprimer à propos
des personnes des évaluations positives
plutôt que des évaluations négatives.

57
Q

Qu’est-ce que le biais de la négligence de la ligne de base?

A

Sous-utilisation de l’information statistique se rapportant aux personnes et aux objets lors de jugements.

58
Q

Qu’est-ce que le biais de corrélation illusoire?

A

Perception d’une corrélation entre
deux variables (événements) alors
qu’il n’en existe pas. S’autovalider ensuite.

59
Q

Qu’est-ce que le biais de la persistances des croyances?

A

Maintien de certaines croyances
en présence d’informations qui
les remettent en question.

60
Q

Qu’est-ce que le biais du raisonnement contrefactuel?

A

Revivre des situations passées en
imaginant des scénarios autres. (What if..?)