cours 2 jugement social Flashcards

1
Q

qui est le dude en lien avec la TIP

A

ASCH

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1
Q

théories implicites de personnalité

A

ensemble de croyances concernant les liens entre certains traits de personnalité.

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2
Q

A) effet de centralité?
B) Effet de primauté

A

A) effet de centralité= ya certains traits (centraux) qui ont tendance à plus nous amener à faire des inférences sur la personnalité des gens que d’autre. Ex : chaleureux vs froid influence les gens a dire de qq quil est généreux, heureux ou sage.
B) Effet de primauté=les premiers traits qu’on repert sur qq vont influencer quels autres traits on va percevoir par la suite. C’est du au fait que les premiers traitts sont bcp plus informatifs car au debut on connait rien sur la personne. C pour ca que les premieres impressions sont aussi difficiles à changer

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3
Q

l’effet hallo :

A

trait favorable sur dimension= trait favorable sur autre dimension ex : intelligent= sociable

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4
Q

quelle axe on évalue en premier. chaleur ou compétence

A

chaleur car nous dit si qq nous veux du bien ou non (survie)
primauté de la chaleur

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5
Q

-les 2 dimensions peuvent se diviser

A

-les 2 dimensions peuvent se diviser chaleur= sociabilité et moralité
compétence= capacité et assertivité

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6
Q

Confirmation conportemnetale

A

quand nos hypothèses qu’on tentent de confirmer amènent réellement l’autre à se comporter de cette manière. Ca se produit en raison de nos questions confirmatoires.

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7
Q

billet négatif

A

on accord plus grande importance à traits négatifs et on les infère plus facilement chez les gens, car les actions qui menent a inférer trait positif dans ;a société sont plus commun

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8
Q

Attribution causale

A

décrypter les raisons qui font que les gens agissent comme ils le font

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9
Q

Le modèle additif vs le modèle alternatif

A

additif: pour se faire impression des gens, on fait juste additionné les différents traits qu’on leur attribue.
alternatif: ya des liens spécifique entre les différents traits. inspiré de la gestalt

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10
Q

v ou f les dimensions chaleur et compétence sont universelles

A

v

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11
Q

horizontal vs vertical

A

hori= chaleur
verti= compétence

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12
Q

lien entre effet de primauté et confirmation des attentes

A

une fois qu’on a le premier trait, on va baser nos impressions qu’on se fait sur ce trait

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13
Q

L’effet pygmalion

A

est une prophétie autoréalisatrice qui provoque une amélioration des performances d’un sujet, en fonction du degré de croyance en sa réussite venant d’une autorité ou de son environnement

confimation comportementale

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14
Q

Expérience de Snyder, Tanke & Berscheid (1977) : on fait venir des garçons et on leur dit qu’ils vont avoir une conversation téléphonique avec une jeune femme

A

ca démontre que confirmation des hypotheses amene confirmation comportemental

donc comme ils croient que bel, assume que nice, et donc leur parle d’une facon qui les fsit parraitre nice aux yeux des juges aveugles

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15
Q

biais de négativité, pk important

A

Les comportements positifs sont valorisés, donc si quelqu’un ment, on est sûrs qu’il ne fait pas semblant. En revanche, quelqu’un peut faire semblant de dire la vérité.
*
Le positif est considéré comme normal
*
Le négatif a un pouvoir diagnostique puissant, quelqu’un qui a menti une fois dit parfois et même souvent la vérité met reste perçu comme malhonnête
*
Les comportements très positifs, voire héroïques, par un exemple un record du monde, sont aussi diagnostiques

16
Q

que veut on dire par la cohérence évaluative est importante

A

quand on infère des trait aux gens et on se fait une opinion, faut que ce soit cohérent. on dit pas laide et intelligente . on dit laide mais intelligente

17
Q

Score de rappel en fonction du type d’indice (Winter & Uleman, 1984)

A

Pas d’indice : les gens parviennent peu à restituer.
*
Indice sémantique (machine à écrire par ex.) : les gens se souviennent de la secrétaire. Les participants sont plus susceptibles de se souvenir des comportements lorsque des indices factuels leur sont fournis.
*
Indice dispositionnel (perspicace par ex.) : les gens se souviennent de la secrétaire alors qu’il ne leur avait jamais été demandé de lui attribuer un trait. Ils se souviennent même mieux dans cette condition que dans celle avec l’indice sémantique.

18
Q

Willis et Todorov (2006)

A

le temps a pas d’inportance. on fait jugement tres rapide

19
Q

vrai ou faux, on peut se faire une premiere impression de qq avec ses traces laissées dans l’environnement tels que le bureau, la chambre, les réseaux sociaux etc.

A

v

20
Q

perspective pragmatique des traits

A

les traits sont pas des choses internes stables. c plutot des outils slash ressources que l’on peut utiliser a notre benefice ou au benefice des autres.

chaleur= benefique aux autres
compétence= benefique a nous meme

outils flexibles

21
Q

la formation d’impression est descriptive ou évaluative

A

évaluative car quand on se fome idée on dit si c un trait positif ou negatif pour nous. ex: qq nous donne argent on va pas juste se dire qul est genereux on va aussi se dire wow c une bonne personne.

Quand on parle d’une personne on parle de ce que la personne vaut pour nous. Dans ce processus d’évaluation, certains traits de personnalité sont jugés plus favorablement que d’autres.

22
Q

pespective d’acteur vs observateur

A

observateur plus attribut traits, dispositionnel, acteur, plus intentions, buts etc.

23
Q

dans le contexte que la formation d’impression est évaluative, explique comment est les impressions de chaleur vs de compétences.

A

compétence= évaluation de l’utiliité sociale de la personne par rapport à nous.

chaleur= évaluation de dsirabilité sociale, a quel pooint on se dit que cette personne est une bonne personne pour nous et a quel point on veut lui parler

24
Q

dans l’attribution on a tendance à plus attribuer des causes dispositionnelles ou situationnels?

A

dispo

25
Q

Jones et Davis (1965) et le modèle de l’inférence correspondance
nomme les 4 facteurs qui amene les observateur a plustot faire inference dispositionnelle

A

Le choix libre, en dehors de toute contrainte : ecq il avait le choix libre de fair ce quila fait

Conséquences non communes : ecq ce qu’il a fait a une conséquence specifique

Pertinence hédonique : ecq ce qu’il fait affecte l’observateur

Caractère socialement désirable : ecq c qqch qui est socialement normal a faire ou pas

26
Q

conclusion de l’expérience astronaute vs sousmarinier

A

On peut tirer des conclusions beaucoup plus fermes lorsque les gens vont à l’encontre de ce qu’on a l’habitude de voir.

27
Q

explique théorie d’attribution de kelley

A

Antonin s’esclaffe-t-il à chaque fois face à cet humoriste ou pas ? Est-ce que ce comportement est constant ?
*
L’information de distinctivité : La distinctivité évalue si le comportement d’une personne est spécifique à une situation particulière. Un comportement est dit distinctif s’il ne se produit que dans certaines circonstances.
-
Antonin s’esclaffe-t-il face à la plupart des humoristes ou face à celui-là en particulier ?
Léa Mary
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*
L’information de consensus : Le consensus fait référence au degré auquel d’autres personnes réagissent de la même manière à une situation donnée.
-
Tout le monde s’esclaffe-t-il face à cet humoriste ou pas ? Si c’est le cas, l’humoriste est vraiment bon (situationnel). Si Antonin est le seul à rire, on va le prendre pour un imbécile (dispositionnel).

28
Q

dans théorie de kelley quel est le pattern pour attribution dispositionnel et pour dispo. situationnel

A

disposi: haute constance. basse distinctivité, bas conscensus
situationnel: haute constance, haute distinctivité, haut consensus

29
Q

experience de l’injection d’épinéphrine

A

si on sait pas pkon se sent dune certaine facon, on peut trouver reponse dans l’environnement

30
Q

Théorie de l’auto-perception de Bem

A

on a de ladifficulté à s’attribuer des causes a nos actions. boite noire. on ne sait pas pk on agis de certaine facon

Béhaviorisme radical

31
Q

Weiner (1985) et l’attribution des performances

A

Le « locus » interne ou externe
La contrôlabilité
La stabilité

32
Q

L’erreur fondamentale d’attribution

A

est un concept qui décrit la tendance humaine à surestimer les facteurs dispositionnels (c’est-à-dire les traits de personnalité ou les caractéristiques internes) pour expliquer le comportement des autres, tout en sous-estimant le rôle des facteurs situationnels ou contextuels.

33
Q

quel biais est reflété dans l’expérience du questionneur, questoinné etpublic

A

biais fondamentale d’attribution

34
Q

Le modèle des 3C de Daniel Gilbert (1998)

A

catégorisation (catégorise le comportement
caractérisation: attribution dispositionnel
correction: prend en compte la sotuation (demande plus d’effort cognitif

35
Q

explique comment erreur d’attribution fondamental peut se voir dans la salle de cours et expérience

A
36
Q

l’effet acteur-observateur

A

quand on évoque des caractéristiques dispositionnelles pour expliquer le comportement d’autrui alors qu’on évoque tout un tas d’explications situationnelles quand il s’agit de notre propre conduite.

37
Q

en general en occident on est plus causes dispo ou situ

A

dispo et asie plus situ

38
Q
A