cours 12 Flashcards

1
Q

Les instruments de quelle famille sont parmi les plus employés, autant en recherche qu’en pratique?

A

les instruments de la famille des échelles d’évaluation

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2
Q

Les instruments de la famille des échelles d’évaluation comportent plusieurs avantages, nomme les

A
  • Très simple d’utilisation
  • Brefs (quelques minutes)
  • peu couteux
  • Permettent de recueillir beaucoup d’information sur plusieurs dimensions de l’adaptation à l’aide de plusieurs informateurs et contextes
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3
Q

Vrai ou faux : les instruments dans les échelles d’évaluation comportent les mêmes questions et choix de réponses pour tous

A

vrai

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4
Q

Le fait d’avoir les mêmes questions et choix de réponses implique quoi pour les informateurs?

A

Ça force les informateurs à cadrer leur “définition” et leur estimation des comportements, émotions, attitudes, valeurs, etc.

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5
Q

C’est quoi l’administration standard :

A

c’est l’uniformité des stimuli (consignes, questions et choix de réponse) pour toutes les personnes qui remplissent l’échelle

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6
Q

Les scores que procurent les échelles d’évaluation sont-ils aussi valides et fiables que l’information recueillie en entrevue ou par de l’observation systématique?

A

oui

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7
Q

Selon Sattler et Hoge, les échelles d’évaluation standardisées servent à quoi?

A
  • estimer rapidement les déficits et forces potentiels des individus qui sont évalués en comparaison aux autres individus du même âge, sexe/genre, groupe clinique, etc.
  • faciliter l’évaluation des progrès ou des effets d’une intervention
  • Faciliter la comparaison des comportements dans différents contextes naturels ou d’intervention
  • faciliter la comparaison systématique de l’information provenant de différents informateurs
  • procurer une façon systématique de communiquer de l’information clinique standardisée entre les intervenants d’une même organisation ou entre les organisations qui travaillent auprès des individus en difficulté
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8
Q

Quelle est la première chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Le motif de l’évaluation :
    - Perception de l’évaluation à faire
    - Importance préalable attribuée aux problèmes de l’évalué?
    - Perception qu’a l’informateur de sa responsabilité à l’égard des problèmes de l’évalué
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9
Q

Quelle est la deuxième chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Antécédents de l’informateur :
    - Familiarité avec l’évalué? Durée et fréquence
    - nature de la relation avec l’évalué?
    - Présence de problèmes d’adaptation chez l’informateur
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10
Q

Quelle est la troisième chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Qualité du rapport (alliance) établi entre les évaluateur et l’informateur :
    - Perception générale des professionnelles de l’intervention
    - Qualité du rapport avec la personne qui fait l’évaluation
    - niveau de collaboration
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11
Q

Quelle est la quatrième chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Compréhension des consignes :
    - Informateur est de bonne foi, mais n’a pas bien compris ce qu’on attend de lui ( on doit TOUJOURS s’assurer que l’informateur à bien compris ce qu’on lui demande)
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12
Q

Quelle est la cinquième chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Intention de l’informateur :
    - L’intention est fausse lorsque l’informateur poursuit un objectif autre que celui d’évaluer objectivement les caractéristiques de l’évalué
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13
Q

Quelle est la sixième chose considérer afin de déterminer le degré de validité d’une évaluation faite avec une échelle d’évaluation et que représente-t-il.

A
  1. Styles de réponse de l’informateur :
    - Une tendance à répondre d’une certaine façon qui n’est pas reliée au construit ciblé.
    - styles de réponses déjà vus avant : extrémités, indécision, acquiescement, objection, etc.
    - On peut ajouter un style de réponse, ou biais, qui est souvent associé aux échelles d’évaluation en particulier : l’effet de halo
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14
Q

Je suis un biais cognitif qui fait que la perception générale positive que l’informateur a d’un individu influence son évaluation des autres caractéristiques spécifiques

A

L’effet de Halo

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15
Q

Quel est l’autre nom de l’effet de Halo

A

stéréotype de l’attirance physique

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16
Q

Est-ce que l’effet de Halo négatif existe?

A

oui, c’est similaire à l’effet d’étiquetage

17
Q

Quelles sont les trois raisons du pourquoi l’information provenant des parents est cruciale en évaluation psychoéducative

A
  1. Les enfants ne peuvent pas s’autoévaluer
  2. Les parents sont ceux qui connaissent le mieux l’enfant
  3. le point de vue des parents est nécessaire pour dresser le profil d’adaptation et pour élaborer le PI

Les interventions les plus efficaces comportent presque toutes une composante famille ou parentale

18
Q

Les études ______ suggèrent que l’information provenant des _____ est particulièrement importante dans le processus de ______ et ______ des problèmes d’adaptation émotifs et. comportementaux

A

prédictives
parents
dépistage
d’évaluation

19
Q

combien d’échelles existe-t-ils pour recueillir le point de vue des parents

A

près d’une centaine d’échelles d’évaluation existent

20
Q

Autre les parents, quels autres informateurs occupent une place centrale dans l’évaluation des enfants et des adolescents

A

les enseignants

21
Q

Vrai ou faux : l’école et l’environnement scolaire à un impact/rôle crucial sur le développement du jeune

A

vrai
l’école impose plusieurs contraintes au jeune qui ne sont souvent pas présentes dans un contexte comme la maison

22
Q

Pour quels problèmes spécifiques les enseignants sont considérés comme la meilleure source d’information

A

problèmes d’attention et d’hyperactivité

23
Q

Pour quels problèmes spécifiques les enseignants sont considérés comme une moins bonne source d’information

A
  • Comportements antisociaux
  • Problèmes intériorisés
24
Q

Vrai ou faux : l’information provenant des enseignants devient plus utile au fur et à mesure que l’enfant avance dans son cheminement scolaire

A

faux, contraire devient moins utile

25
Q

la pertinence de l’information dépend aussi du type d’enseignant

A

enseignant régulier peut être plus utile qu’enseignant de classe spéciale, car niveau de tolérance moins haut

enseignant spécialisé peut être utile pour comprendre adaptation de l’enfant dans divers contextes.
- permet de mieux évaluer les variations intra-contexte

26
Q

Pourquoi il ne faut pas oublier de considérer le cadre de référence de l’enseignant

A
  • Certains ont plus d’expérience (donne schéma cognitif de base, norme implicite)
  • Certains ont plus d’expérience avec les élèves en difficulté (peut procurer un schéma cognitif biaisé, plus de tolérance)
27
Q

combien d’échelles existe-t-ils pour recueillir le point de vue des enseignants

A

une cinquantaine

28
Q

Quelle sont les instruments les plus intéressants et pratiques pour les parents et enseignants

A

les systèmes d’évaluation intégratifs multi-informateurs

29
Q

ASEBA

A

Un des instruments les plus employés dans le monde, autant en recherche qu’en clinique

Fait partie d’un système d’évaluation intégratif (parents, enseignants, autoévaluation, entrevue semi-structuré, système d’observation)

différentes version : préscolaire, âge scolaire, adolescence, âge adulte et vieillisse)

entrée des données et compilation des scores : version papier, ordi ou site web ASEBA

basé sur une approche empirique

101 à 103 items

bonne normes générales, mais pas de normes cliniques
Procure scores-T et centiles, pas d’ESM
Propriétés psychométriques très bien établies, mais certains problèmes avec la structure factorielle

30
Q

ASEBA : échelles dérivées empiriquement (échelles factorielles)

A
  • Problèmes extériorisés : agressivité, conduites antisociales et problèmes d’attention
  • Problèmes intériorisés : Anxiété/dépression, somatisation, problèmes sociaux/retrait, problèmes cognitifs
31
Q

ASEBA : échelles basées sur les dx du DSM (6)

A

Problèmes d’attention/hyperactivité, problèmes d’opposition/défiance, problèmes de conduite, problèmes affectifs, problèmes d’anxiété, problèmes somatiques

32
Q

BASC-3

A

plus récent que ASEBA

fait partie d’un système d’évaluation intégratif (parents, enseignants, autoévaluation, système d’observation)

Différentes versions : préscolaire, enfance et adolescence

Entrée des données et compilation des scores : version papier, ordi ou site web BASC

Basé sur une approche mixte

126 à 138 items

Procure score-t, centiles et ESM
Propriétés psychométriques assez satisfaisantes, mais certains problèmes avec validité factorielle
Normes générales et aussi normes cliniques
Différents types d’échelles : cliniques, adaptatives, composites, indices probabilistes, échelles de validité

33
Q

BASC : échelles composites (3) et cliniques (16)

A

-Problèmes extériorisés : agression, problèmes de conduite, hyperactivité, problèmes d’attention, problèmes d’apprentissage

  • Problèmes intériorisés : dépression, anxiété, somatisation, retrait social, atypicalité
  • Capacités adaptatives : adaptabilité, leadership, habilités sociales, communication, activités journalières, habilités d’étude
34
Q

BASC : indices probabilistes cliniques

A
  • probabilité de TDAH
  • probabilité de Trouble émotionnel-comportemental
  • Probabilité d’autisme
  • Probabilité d’inadaptation fonctionnelle
  • Probabilité clinique générale