Cours 1 Flashcards

1
Q

Que nous apprend l’étude statistique conduite auprès de 360 participants qui ont effectués 300 rondes de roche-papier-ciseaux?

A

Qu’il y a bel et bien des stratégies améliorant nos chances de gagner. Le jeux n’est pas déterminé que par le hasard.

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2
Q

Nommez les 2 constats faits vis-à-vis l’étude du roche-papier-ciseaux.

A

1- Les gagnants ont tendance à répéter leur stratégie à la ronde suivante.
2-Les perdants ont tendance à changer leur stratégie à la ronde suivante.

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3
Q

À roche-papier-ciseaux, y a-t-il une différence de jeu selon le sexe?

A

Oui, Les hommes ont plus tendance à jouer la roche en premier, alors que les femmes y vont plutôt avec ciseaux.

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4
Q

Autre les deux constats fait vis-à-vis l’étude de roche-papier-ciseaux, nommez une autre façon d’augmenter nos chance de gagner.

A

En faisant de l’amorçage. Il serait possible d’influencer le premier choix de notre adversaire en mimant une des possibilités lors de l’explication.

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5
Q

Selon l’étude de roche-papier-ciseaux, si vous perdez avec la roche, que devrait-ont jouer la prochaine ronde?

A

Ciseaux, car le gagnant (qui a jouer papier) est statistiquement plus enclin à garder son choix gagnant.

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6
Q

Selon l’étude de roche-papier-ciseaux, si vous gagnez avec la roche, que devriez-vous jouer à la prochaine ronde?

A

Papier, car le perdant (qui a jouer ciseaux) est statistiquement plus enclin à modifier son choix perdant. Ainsi, nous gangons ou il y aura égalité.

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7
Q

Décrivez l’étude de l’altuisme chez les primates.

A

Deux singes sont placés dans deux cages. Dans chaque cage, il y a un levier qui, lorsque rabaissé, fait déverser de la nourriture dans la cage opposée. Il y a plusieurs conditions. 1-Deux singes n’ayant reçu aucun entraînement. 2- Un singe ayant reçu un entraînement (altruiste) et un sans entraînement. 3- Un singe entraîné à ne pas appuyer sur le levier, et un sans entraînement.

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8
Q

Quel est le but de l’étude de l’altruisme chez les singes?

A

Voir si les singes présentaient des comportements altruistes.

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9
Q

Dans la condition où il y a deux singes n’ayant reçu aucun entraînement, que remarque-t-on?

A

Que les singes appuient 40% du temps sans reçevoir le même traitement en retour (possibilité d’altruisme). Les chercheurs pensent qu’ils s’agit plutôt de la coopération. Si un singe
tire le levier et cela donne de la nourriture à l’autre, l’autre singe va
peut-être tirer le levier aussi, les deux recevant de la nourriture grâce
à l’autre.

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10
Q

Dans la condition où il y a un singe ayant reçu un entraînement (altruiste) et un sans entraînement, que remarque-t-on?

A

Le nouveau singe (sans entraînement) appuie 30% du temps. Il y a une certaine entraîde.

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11
Q

Dans la condition où il y a un singe entraîné à ne pas appuyer sur le levier, et un sans entraînement, que remarque-t-on?

A

Le nouveau singe devient fou, il ne comprend pas pourquoi l’autre ne lui renvoie pas la faveur.

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12
Q

En 2005, 2 chercheurs à Yale (Chen et Santos) ont enseigné à des singes capucins à utiliser de l’argent. Que disent ces chercheurs au sujet des capucins?

A

Ce sont des créatures axés sur leur désir (ils vont manger à s’en faire vomir, puis continuer à manger).

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13
Q

En 2005, 2 chercheurs à Yale (Chen et Santos) ont enseigné à des singes capucins à utiliser de l’argent. Décrivez l’étude.

A

La condition à lieu dans une pièce où le capucin est seul avec les expérimentateurs.
Les chercheurs commencent à donner des anneaux aux capucins, ces anneaux (12 chaque) sont la monnaie. On leur apprend que ces anneaux ont de la valeur, ils peuvent êtres échangés contre de la nouriture. Différents produits ont différentes valeurs.

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14
Q

Discuter les résultats de l’étude de lapprentissage de gestion de l’argent chez le capucins.

A

1-On note des préférences individuelles (goûts). Les singes gardent leur argent pour pouvoir acheter ce qu’ils aiment, qui diffèrent d’un singe à l’autre. 2-Les singes présentent des comportements rationnels quand les prix varient. Ils achètent plus de ce qu’ils aiment quand le prix baisse. Ils adaptent leurs comportements d’achat en réponse aux prix qui varient.

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15
Q

Nommez deux principes économiques qui s’appliquent autant à l’humain qu’aux capucins.

A

1-Maximisation de l’utilité : Comment dépenser mon argent pour maximiser ma satisfaction (attendre pour acheter ce que j’aime).
2-Théorie du prix : Offre et la demande(quand le prix baisse, les gens achètent plus)

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16
Q

Dans l’expérience de Chen et Santos, qu’est-il arrivé quand un des singe s’est enfui avec un jeton?

A

Quand il est entrée dans la cage commune, les autres singes lui ont sautés deçu. Un singe qui avait un jeton l’a échanger à une femelle contre des services sexuels (prostitution), qui elle a utilisé le jeton pour acheter de la nourriture.

17
Q

Une recherche faite sur les comportement des singes vis-à-vis les paris d’argent à montré que ceux-ci présentent une attitude similaire aux humains dans ce contexte. Laquelle?

A

Parmis deux conditions, où l’une est orienté vers la perte (commence avec 2 raisins, le paris peux t’en faire perdre un) et l’autre orienté vers le gain (commence avec un et peux en gagner un autre), les singes préfèrent le gain. Même si les deux conditions sont les mêmes, les singes montrent être plus attirés vers le gain et vont plus souvent voir l’expérimentateur de cette condition.

18
Q

Nommez et définissez deux notions qui expliqunt les préférences des humains et des singes envers le gain.

A

1 - Aversion à la perte : Biais comportemental où les humains préfèrent le gain à la perte (même s’il s’agit du même montant).

2 - Dépendance à la référence : Dans une situation, on se réfère au point de départ. Même si deux finalités sont similaires, la condition où le départ est vue positivement sera plus souvent choisie.

19
Q

Quel concept stipule que nous avons un biais comportemental qui fait que nous attachons plus d’importance à une perte qu’à un gain du même montant?

A

Aversion à la perte.

20
Q

Quel concept stipule que nous accordons beaucoup d’importance au point de départ parmi deux choix similaires?

A

Dépendance à la référence.

21
Q

Info. sur l’aversion à la perte.

A

En moyenne, pour des enjeux modérés, les individus sont deux fois plus sensibles à une perte qu’à un gain de même valeur.

22
Q

Vrai ou Faux? Il peut être assez long de se former une idée au sujet d’une nouvelle personne.

A

Faux, une fraction de secondes suffit.

23
Q

Décrivez l’expérience mené auprès de 102 étudiants au sujet des jugements vis-à-vis l’apparence.

A

Chaque participant avait à fournir 12 photos de leur visage. Dans un premier temps, ceux-ci devaient choisir leur premier et dernier choix de photo selon 3 contextes (site de dating, réseau social, réseau professionnel). Ensuite, une personne iconnu avait à faire le même choix avec les photo d’un autre participant. Finalement, un groupe de personne juge la pertinance des hotos choisie par le participant et l’inconnu.

24
Q

Discutez les résultats de l’expérience sur les jugement vis-à-vis l’apparence et les photos de profil.

A

1 - L’inconnu choisis les photos les plus qui mettent en évidence les traits de personnalités désirables avec le contexte (la mieux adapté).
2 - Le groupe final juge plus favorablement les photos choisies par l’inconnu.
3 - On en déduit que les participants ne se concentrent pas sur le contexte, mais plutôt sur les photos qui représentent le mieux ce qui ils sont et ce qu’ils veulent montrer. .

25
Q

L’apparence de notre visage influence t-elle la façon dont les autres nous perçoivent? Pourquoi?

A

Oui, car nous entretenons des attentes envers l’apparence et les comportements qui accompagnent un nom.

26
Q

Zwebner, Sellier, Rosenfield, Goldenberg et Mayo (2017) ont menés une étude au sujet des noms et des visages. Décrivez-la et discutez les résultats. Concentrez-vous sur la condition avec les participants.

A

On présente une photo à des participants qui, parmi 4 choix doivent deviner le nom de l’individu sur la photo. Les 4 choix sont tous aussi populaires (25% chaque). Pourtant 35-40% des participants devinent la bonne réponse. Ainsi, certains traits du visage d’une personne donnent un indice sur son nom.

27
Q

Zwebner, Sellier, Rosenfield, Goldenberg et Mayo (2017) ont menés une étude au sujet des noms et des visages. Décrivez-la et discutez les résultats. Concentrez-vous sur la condition avec les ordinateurs.

A

Les chercheurs ont présentés à un ordinateur des photos de personnes nommés Émilies et nommés autrement, et l’ordinateur réussit à reconnaître les Émilies au-delà du facteur chance. De plus, les chercheur ont soumit 94 000 photos de Français à un ordinateur et celui-ci à su présenter un ‘‘carte de chaleur’’ des visages et des nom (les traits les plus et moins communs associés à un nom).

28
Q

Qu’est-ce que l’effet visage-nom?

A

Quand un individu adapte sa façon d’être de façon à correspondre aux attentes liés à son nom.
La façon dont les gens nous perçoivent selon notre nom influence comment nous agissons.

29
Q

Nommez deux hypothèses qui expliquent pourquoi l’effet visage-nom prend lieu.

A

1 - Attentes sociales (infrences) : On traite la personne en partant du postulat qu’elle a déjà certains traits de caractère. Ces pressions influence la perception que le porteur à de lui-même et fini par peser sur le développement de ses traits faciaux (Et autre, coiffure, expressions).
2 - Prophétie autoréalisante : On agit de manière à venir confirmer ou infirmer nos hypothèses, renforcer nos idées, attentes, croyances. Donc, les gens s’assimilent aux stéréotypes sociaux de leur groupe de référence (qui se traduirait potentiellement dans les traits du visage).

30
Q

Donnez un exemple, tiré d’une étude vue en classe, de la prophétie autoréalisante.

A

Des femmes chinoises sont appelés à faire un examen. On leur rappel soit qu’elles sont asiatiques ou qu’elles sont des femmes, puis font un test mathématique. Celles vues commes des asiatiques ont de meilleurs scores que celles vues comme des femmes.

31
Q

Nommez des limites à l’effet visage-nom.

A

1 - Les noms et les visages doivent provenir de la même culture que la nôtre (Fraçais reconnaissent beaucoup mieux les Français que le Israéliens, et vice-versa).
2 - Ne fonctionne pas avec les sobriquets (surnoms)
3 - Le statut socio-économique doit être prit en compte.