Contrôle postural Flashcards

1
Q

Définissez le contrôle postural, l’orientation posturale, la stabilité posturale

A

Le contrôle postural est la capacité du corps à contrôler sa position dans l’espace afin d’assurer une bonne orientation de ses différents segments et sa stabilité.
- L’orientation posturale est la capacité de maintenir une orientation appropriée entre les différents segments
du corps, et entre le corps et l’environnement. Elle varie d’une tâche à l’autre.
- La stabilité posturale, aussi appelée équilibre, consiste en une résistance active aux forces externes qui agissent
sur le corps. La stabilité posturale repose sur le contrôle de la position de son centre de masse par rapport à la
base de sustentation

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2
Q

Qu’est ce qu’est ce que la base de sustentation ?

A

La base de sustentation, souvent appelée polygone de sustentation, est l’enveloppe contenant tous les points de contact entre le corps et le support. Maintenir son équilibre est plus facile si le polygone est plus grand.

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3
Q

Définissez la réaction de support

A

La réaction de support est une force orientée vers le haut qui s’oppose à la force de gravité. Cette force est appliquée en un point imaginaire appelé centre de pression.

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4
Q

l’activité posturale anticipative :
A) feedback
B) feed-forward

A

B) L’activité posturale peut être réactive (feedback) ou anticipative (feed-forward).
- Réactive : on étudie le pattern musculaire en fonction du sens de déplacement de la plateforme, des caractéristiques de la plateforme. Le pattern de contraction musculaire est très régulier
- Anticipative : on mesure l’EMG des muscles stabilisateurs, qui s’activent avant le mouvement volontaire.

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5
Q

Concernant le contrôle postural, quel est la différence entre perturbations extrinsèques ou intrasèques ?

A

Les perturbations qui nécessitent une adaptation du contrôle postural pour assurer la stabilité du corps peuvent être extrinsèques ou intrinsèques.
- Extrinsèques : les perturbations viennent de
l’extérieur (plateforme qui bouge…)
- Intrinsèques : les perturbations vient de quelque
chose que l’on fait soi-même (tirer sur la poignée)

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6
Q

Le … repose sur trois facteurs
- Le choix d’une posture favorisant l’alignement des segments corporels pour minimiser l’effort musculaire
- Le tonus musculaire
- Le tonus postural

A

support anti-gravitaire

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7
Q

Le tonus musculaire est la résistance offerte par un muscle lorsqu’il est étiré
A) passivement
B) activement

A

A

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8
Q

vrai ou faux : Le tonus musculaire est la résistance offerte par un muscle lorsqu’il est étiré passivement, à très faible vitesse, en présence d’une contraction volontaire

A

Faux : Le tonus musculaire est la résistance offerte par un muscle lorsqu’il est étiré passivement, à vitesse moyenne, en l’absence de contraction volontaire

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9
Q

Quels sont les deux réflexes qui interviennent dans le tonus musculaire (résistance à l’étirement passif du muscle) ?

A

On a vu qu’on a une série de réflexes issus des récepteurs musculaires qui vont agir directement sur le muscle étiré. Le réflexe myotatique (circuit Ia) qui consiste en l’étirement d’un fuseau neuromusculaire générant une activité dans la fibre afférente Ia, facilitant les neurones qui innervent ce même muscle.
En réalité, un autre circuit intervient également, appelé le réflexe myotatique inversé (circuit Ib). Ce circuit met en jeu les fibres Ib issues des organes tendineux de Golgi et qui inhibent les neurones innervant le même muscle que celui qui est étiré. Son effet vient contrer celui du circuit Ia.

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10
Q

Définissez l’hypotonie

A

L’hypotonie est une diminution du tonus musculaire due à une hypo-réflexibilité.

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11
Q

Qu’est ce qu’une ataxie cérébelleuse ?

A

une hypotonie

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12
Q

L’hypertonie peut être spastique ou rigide, définissez ces deux termes

A

Spasticité : augmentation « vitesse dépendante » du réflexe tonique d’étirement.
- Accroissement du tonus musculaire des muscles antigravitaires (fléchisseurs au MS
et extenseurs au MI) - Accompagnée d’une hyper-réflexie tendineuse + clonus - Accompagnée du « Clasp-knife syndrome » : le muscle lâche d’un coup et n’apporte
plus aucune résistance.
La spasticité constitue un des signes positifs du « syndrome pyramidal »
c) Rigidité : augmentation constante et uniforme de la résistance offerte par la mobilisation passive d’un membre (dite « en tuyau de plomb » ou « en roue dentée »). Un muscle lâche progressivement par à-coups quand on l’étire. La rigidité constitue un des signes de la « triade parkinsonienne »

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13
Q

La … (spasticité ou rigidité) constitue un des signes positifs du « syndrome pyramidal »

A

spasticité

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14
Q

La … «rigidité ou spasticité» constitue un des signes de la « triade parkinsonienne » (syndromec extra pyramidale)

A

rigidité

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15
Q

Qu’est ce qu’un clonus ?

A

Un clonus est une série de contractions rapides et réflexes apparaissant suite à l’étirement brusque de certains muscles.

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16
Q

«Accroissement du tonus musculaire des muscles antigravitaires (fléchisseurs au MS
et extenseurs au MI) - Accompagnée d’une hyper-réflexie tendineuse + clonus - Accompagnée du « Clasp-knife syndrome » : le muscle lâche d’un coup et n’apporte
plus aucune résistance.»

Il s’agit ici d’un syndrome …

A

pyramidal / hypertonie spastique

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17
Q

Le tonus posturale = activité des muscles … du MS et des muscles … du MI pour rester debout

A

Le tonus postural désigne l’activité dans les muscles antigravitaires qui se contractent en position debout pour s’opposer à la force gravitationnelle.
- Extenseurs au niveau du membre inférieur
- Fléchisseurs au niveau du membre supérieur

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18
Q

En équilibre statique, qu’est ce qui provoque l’instabilité autant chez les bipèdes que les quadrupèdes ?

A

En équilibre statique le centre de masse réalise constamment des faibles mouvements d’oscillation dans le plan sagittal (d’avant en arrière).
Autant les bipèdes que les quadrupèdes sont instables en position « statique ».

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19
Q

On a besoin d’informations sensorielles pour contrôler l’oscillation même en équilibre statique. C’est particulièrement quand les informations … (vestibulaires, somesthésiques, visuelles) sont absentes que les oscillations sont importantes.

A

On a besoin d’informations sensorielles pour contrôler l’oscillation même en équilibre statique. C’est particulièrement quand les informations somesthésiques sont absentes que les oscillations sont importantes.

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20
Q

Lorsqu’une perturbation inattendue provoque le balancement du corps, plusieurs stratégies motrices (au niveau de la base de sustentation) sont utilisées pour maintenir le centre de masse dans la base de sustentation. Quels sont les deux techniques principales que le corps utilise pour garder l’équilibre suite à une perturbation ?

A

Lorsqu’une perturbation inattendue provoque le balancement du corps, plusieurs stratégies motrices sont utilisées pour maintenir le centre de masse dans la base de sustentation.
- Maintien de la base de sustentation
- Elargissement de la base de sustentation

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21
Q

Maintien de la base de sustentation :
- Stratégie de la …
- Stratégie de la …

A

Maintien de la base de sustentation :
- Stratégie de la cheville
- Stratégie de la hanche

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22
Q

Quand est ce que l’on favorise une stratégie de la cheville ou de la hanche pour garder l’équilibre ? (taille de la plateforme, vitesse )

A

On favorise une stratégie de la cheville lors de mouvements de la plateforme de faibles amplitudes, à basse vitesse et quand la plateforme est large. On favorise une stratégie de la hanche pour des perturbations plus amples.

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23
Q

Vrai ou faux : Les stratégies de la cheville et de la hanche sont associées à un pattern de contractions musculaires bien spécifique qui survient 80-100 ms après la perturbation. Il y a donc bien la présence d’un contrôle cortical qui génère ces stratégies.

A

Faux : Les stratégies de la cheville et de la hanche sont associées à un pattern de contractions musculaires bien spécifique qui survient 80-100 ms après la perturbation. Il n’y a pas un contrôle cortical qui génère ces stratégies qui sont plutôt contrôlées par un système sous-cortical.

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24
Q

La latence d’une réponse posturale est plus … (courte ou longue) que celle d’une réponse volontaire et plus … (courte ou longue) que celle d’un réflexe d’étirement.

A

courte / longue

25
Q

Vrai ou faux : L’activité initiale détermine si le muscle est impliqué dans la réponse posturale. L’activitéde ce même muscle reflète son changement de longueur du à une perturbation.

A

FAUX ! Un ajustement postural compensatoire n’est pas un simple réflexe : il repose sur l’activité synergique d’un groupe de muscles bien caractéristique dans le but de retrouver l’équilibre.
Le muscle gastrocnémien est étiré dans les deux cas. Il peut y avoir un petit réflexe initial. Cependant ce muscle n’intervient que dans la réponse posturale à la perturbation « pied vers l’arrière », ce qui se manifeste par une second activité dans ce muscle. Donc l’activité initiale ne détermine pas si le muscle est impliqué dans la réponse posturale. L’activité d’un muscle pendant un ajustement reflète son rôle dans la réponse posturale et non son changement de longueur du à la perturbation !

26
Q

Vrai ou faux :: Les pré-programmes sont tous les mêmes et ne varient pas en fonction de la position (debout / assit )

A

Faux : Les pré-programmes ne sont pas les mêmes en fonction de la position. En position debout, ce ne sont pas les mêmes muscles qui vont être activés dans l’ajustement postural qu’à quatre pattes. Il y a donc une modification des muscles recrutés rapidement en fonction de la position.

27
Q

Lors d’un déplacement de la plateforme vers l’avant, ce sont plus les … (flech/ext) qui travaillent pour maintenir l’équilibe

A

Extenseurs

28
Q

Deux types de stratégies sont utilisés pour permettre une équilibration contexte dépendante

A

Deux types de stratégies sont utilisés pour permettre une équilibration contexte- dépendant
- Activation de différentes combinaisons de synergies préprogrammées
- Modulation continue de l’activité musculaire par des signaux de feedback

29
Q

Vrai ou faux : Il est possible qu’une pathologie neurologique perturbe une stratégie (e.g. synergies préprogrammées) mais pas l’autre (contrôle en feedback).

A

Vrai

30
Q

Définissez la stabilisation

A

Les ajustements posturaux peuvent également se faire de manière anticipatoire (feed-forward). On parle alors de stabilisation. On stabilise le corps en prévision d’une perturbation alors que pour l’équilibration, on doit retrouver l’équilibre suite à une perturbation.

31
Q

La stabilisation est un ajustement postural en
A) feed-forward
B) feedback

A

A

32
Q

Définissez le lien entre stabilisation et modulation de la force de la perturbation que le sujet s’apprête à affronter.

A

au plus la force développée par la force volontaire est importante, au plus le recrutement est précoce et important. L’ajustement postural sera plus ample dans le cas où on s’attend à ce que le mouvement volontaire soit perturbateur.

33
Q

Vrai ou faux : Le système nerveux central va anticiper l’ajustement postural requis pour accompagner un mouvement donné. L’ajustement postural fait partie de la commande du mouvement. Si la perturbation est plus ample que celle anticipée, il va y avoir une information en feed forward qui va permettre d’ajuster la posture pour pouvoir maintenir une position stable.

A

Faux : Le système nerveux central va anticiper l’ajustement postural requis pour accompagner un mouvement donné. L’ajustement postural fait partie de la commande du mouvement. Si la perturbation est plus ample que celle anticipée, il va y avoir une information en feedback compensatoire qui va permettre d’ajuster la posture pour pouvoir maintenir une position stable.

34
Q

stabilité + orientation posturale = …

A

Contrôle postural : stabilité + orientation posturale

35
Q

Quels sont les atouts de l’orientation pour le contrôle postural ?

A

Les exigences relatives au support antigravitaire influencent l’orientation du corps par rapport à l’environnement. Mais… certaines activités requièrent une orientation précise des segments du corps au détriment de la stabilité. L’orientation posturale est importante pour optimaliser l’exécution des tâches. L’adoption d’une certaine orientation permet d’optimaliser la précision des signaux sensoriels, surtout sur des surfaces instables. La perception de la verticale est la plus précise lorsque le tête a une orientation verticale.
Une bonne orientation permet une meilleure stabilité posturale.

36
Q

Vrai ou faux : Le système visuel sait faire la différence entre un mouvement d’objet (exocentrique) et un mouvement généré par soi-même (égocentrique)

A

Faux

37
Q

Qu’est ce qu’un mouvement égocentrique

A

Mouvement généré par soit même

38
Q

Qu’est ce qu’un mouvement exocentrique ?

A

Mouvement d’objet

39
Q

Vrai ou faux : Une perte des informations visuelles est moins grave qu’une perte des informations somesthésique

A

Vrai

40
Q

Vrai ou faux : Une perte des informations visuelles est plus grave qu’une perte des informations somesthésique

A
41
Q

le système visuel est plus impliqué dans
A) la stabilisation
B) l’équilibration

A

A

42
Q

Vrai ou faux : Le système vestibulaire ne sait pas faire la différence entre une inclinaison et une accélération de la tête sur seule base des informations en provenance des organes otolitiques

A

Vra

43
Q

Une rotation du champ visuel dans le sens horaire est interprétée par le système postural comme une chute du corps vers … (la gauche ou la droite), ce qui provoque une réaction d’équilibration du tronc vers ….( la gauche ou la droite).

A

Une rotation du champ visuel dans le sens horaire est interprétée par le système postural comme une chute du corps vers la gauche, ce qui provoque une réaction d’équilibration du tronc vers la droite.

44
Q

Vrai ou faux : Le risque de chute augmente, et ce particulièrement chez les personnes âgées, quand le contrôle postural ne repose plus que sur une seule modalité sensorielle (somesthésique)

A

Faux : Le risque de chute augmente, et ce particulièrement chez les personnes âgées, quand le contrôle postural ne repose plus que sur une seule modalité sensorielle (vestibulaire).

45
Q

Vrai ou faux : Le cortex cérébral n’intervient pas dans les phénomènes de stabilisation

A

Faux : Le cortex cérébral intervient dans les phénomènes de stabilisation car la perturbation est prédictive. Dans le cas d’une perturbation inattendue, il n’intervient pas dans la partie précoce de la réponse mais peut intervenir ensuite pour réguler la réponse de manière volontaire.

46
Q

Vrai ou faux : La participation du cortex cérébral aux réactions d’équilibration augmenterait avec la latence des réponses posturales.

A

vrai La participation du cortex cérébral aux réactions d’équilibration augmenterait avec la latence des réponses posturales.

47
Q

Vrai ou faux : Le contrôle postural repose seulement sur l’interaction entre la moelle épinière et le tronc cérébral

A

Faux : Le contrôle postural repose sur l’interaction dynamique entre tous les niveaux du système nerveux central, de la moelle épinière au cortex cérébral.

48
Q

Suite à une section de la moelle épinière, quelles sont les répercutions sur le contrôle postural ?

A

La moelle épinière intervient dans le support antigravitaire, permettant une bonne orientation verticale, mais pas dans le maintien de l’équilibre. Suite à une section, il n’y a plus les réactions d’équilibration mais il sait maintenir le poids et restant en position verticale.

49
Q

Vrai ou faux : la moelle épinière intervient dans le maintien de l’équilibre (réactions d‘équilibrations)

A

Faux : La moelle épinière intervient dans le support antigravitaire, permettant une bonne orientation verticale, mais pas dans le maintien de l’équilibre. Suite à une section, il n’y a plus les réactions d’équilibration mais il sait maintenir le poids et restant en position verticale.

50
Q

Les synergies musculaires recrutées pour les réponses posturales pourraient être organisées par …
A) le cervelet
B) la moelle épinière
C) le cortex
D) le tronc cérébral

A

D) Les synergies musculaires recrutées pour les réponses posturales pourraient être organisées dans le tronc cérébral (formation réticulée).

51
Q

L’adaptation de l’amplitude des réponses posturales à l’environnement et aux exigences de la tâche pourrait dépendre de
A) cervelet
B) tronc cérébral
C) cortex
D) moelle épinière

A

A

52
Q

Quel est le rôle du cervelet dans le contrôle posturale ?

A

L’adaptation de l’amplitude des réponses posturales à l’environnement et aux exigences de la tâche pourrait dépendre du cervelet. Il joue un rôle d’adaptation des synergies musculaires, qui seraient stockées au sein du tronc cérébral.

53
Q

Vrai ou faux : Deux voies descendantes acheminent les signaux en provenance du tronc cérébral et du cervelet vers la moelle épinière. Ces voies pourraient donc générer les activités musculaires nécessaires pour la stabilisation et l’orientation posturale.

A

Faux : Deux voies descendantes acheminent les signaux en provenance du tronc cérébral et du cervelet vers la moelle épinière. Ces voies pourraient donc générer les activités musculaires nécessaires pour l’équilibration et l’orientation posturale.

54
Q

Quels sont les deux voies qui acheminent les signaux en provenance du tronc cérébral et du cervelet vers la moelle épinière ?

A

Voie reticulo spinale et vestibulo spinale

55
Q

Une lésion de voies réticulospinale et vestibulospinale entraine …
Une atteinte des voies rubrospinale et corticospinale a un effet dramatique sur… mais a très peu d’effets sur …

A

Une lésion de ces voies (réticulospinale et vestibulospinale) entraine une instabilité posturale et une ataxie importante.
Une atteinte des voies rubrospinale et corticospinale a un effet dramatique sur les mouvements volontaires mais a très peu d’effets sur l’équilibre.

56
Q

Qu’observe-t-on chez les parkinsoniens au niveau des ajustements posturaux ?

A

Les noyaux gris centraux permettent d’adapter le « set » des réponses posturales au contexte.
On voit les ajustements posturaux dans deux positions, debout et assis. On n’a pas besoin des mêmes synergies musculaires dans ces deux conditions. Le pattern d’activité est précis et dépend du contexte. Chez le Parkinsonien, les réponses sont figées avec des ajustements posturaux qui ne sont pas précis, retrouvant les mêmes contractions que le patient soit debout ou assis.

57
Q

Le cortex cérébral interviendrait surtout dans
A) la stabilisation
B) l’équilibration

A

A

58
Q

Quelles sont les fonctions des noyaux gris centraux dans le contrôle posturale ?

A

Les noyaux gris centraux permettent d’adapter le « set » des réponses posturales au contexte.
On voit les ajustements posturaux dans deux positions, debout et assis. On n’a pas besoin des mêmes synergies musculaires dans ces deux conditions. Le pattern d’activité est précis et dépend du contexte.

59
Q

Résumez le lien entre cervelet, cortex et tronc cérébral dans le contrôle postural

A

Le cortex cérébral, via ses boucles de contrôle avec le cervelet et les noyaux gris, amorcerait constamment un ensemble de réactions posturales adaptées au contexte ; ces réponses seraient représentées dans le tronc cérébral.
Si une perturbation survient et la réponse posturale est inadéquate, le cortex cérébral est recruté à nouveau pour apporter de nouveaux ajustements posturaux.