Compétences Pratiques Flashcards
Expliquer le Stress à un enfant
Faire participer l’enfant.
Etre dans le dialogue.
Ne pas faire de monologue.
Est-ce qu’il y a des choses qui te font peur ?
On peut dire : parfois on peut avoir peur en avance, ca s’appelle le stress.
Est-ce que toi des fois tu as peur de faire quelque chose ?
1e point d’entrée : corps. Peur : choses qui se passent dans ton corps. Donner exemples somatiques pour que l’enfant identifie les sensations du corps pendant le stress.
Lui proposer d’observer. Ton corps quand t’as peur, il est en train de se préparer si jamais tu dois te battre ou t’enfuir. La peur des fois ca aide, des fois, ca n’aide pas.
La peur c’est aussi des choses qu’on se dit dans sa tête.
Recommandation fondamentale avec la maltraitance pour le psy
Avoir une clinique informée par la maltraitance et trauma.
Bien souvent, ces personnes n’en parlent pas. Il faut leur donner la possibilité d’en parler.
Pour l’adulte : « Je voudrais vous poser une question sur un point qu’on n’a pas abordé jusque-là. C’est une question que je pose à tous mes patients, juste au cas où, car c’est important pour moi en tant que psy de l’aborder, est-ce que dans votre vie, enfance, votre adolescence, plus récemment, vous avez vécu un ou des événements traumatiques dont vous voudriez me parler ? ».
Pour l’enfant : « des choses que tu n’as vraiment pas aimé, qui t’ont fait du mal et que tu as gardées secrètes. »
Précautions à prendre dans entretien diagnostique TDAH parent/enfant
Je vais vous poser des questions,
1) Droit de ne pas être d’accord entre vous
2) Ce n’est pas pour te juger
3) Comprendre dans quel domaine tu peux avoir des difficultés.
Comment travailler avec l’école pour enfant TDAH ?
1) Le psychologue remet ses coordonnées aux parents pour qu’elles soient communiquées à l’enseignant
2) Prise de contact et proposition de mise en place des aménagements. Ex : journal de bord.
3) Enfant voit que parents et enseignants travaillent ensembles : effet positif sur l’enfant, enfant apprécie.
9 pièges à éviter durant entretien
1) Ignorer ou éviter une émotion du parent car elle nous met mal à l’aise.
2) Être trop centré sur la prise d’informations et ne plus penser à établir le rapport collaboratif. Privilégier le rapport collaboratif.
3) Essayer de convaincre le patient, lui faire dire ce que l’on attend, interpréter. Ne jamais se trouver dans un débat avec un patient. Vaut mieux créer l’alliance d’abord avant de vouloir le convaincre.
4) Chercher à rassurer sur l’avenir. Ce n’est pas le professionnel qui doit faire cela mais les proches. On va le rassurer sur notre professionnalisme : comment va se dérouler la thérapie etc.
5) Minimiser les difficultés.
6) Expliquer au patient son problème.
7) Attribuer des responsabilités.
8) Émettre un jugement.
9) Débattre : si on commence à débattre c’est une erreur.
1) …………………….. : prendre en compte les différents stades
2) …………………….. : ne vient pas forcément de l’enfant mais des parents. Refus possible venant des parents ou enfant, travailler avec ce que l’on a.
3) …………………….. : enfant ne peut tout verbaliser
4) …………………….. : adaptation à l’âge de l’enfant
5) …………………….. : gérer entourage comme les parents, et profiter de cette opportunité. Acteurs de leur contexte déterminant : parents. Chance de pouvoir travailler avec les parents. Construire une ……………………..avec les parents est important.
6) ……………………..: des Troubles neurodéveloppementaux surtout, comme autisme se cherche dès 2 ans.
7) …………………….. : troubles installés depuis pas longtemps plus facile pour le psy.
8) …………………….. : famille, école, pairs. Les relations d’amitié à prendre en compte par ex harcèlement.
9) …………………….. : signalement, IP
10) ……………………..
11) ……………………..
12) …………………….. : le psy devient le point de repère pour les familles pour définir norme et troubles.
1) Développement : prendre en compte les différents stades
2) Demande : ne vient pas forcément de l’enfant mais des parents. Refus possible venant des parents ou enfant, travailler avec ce que l’on a.
3) Capacités introspectives : enfant ne peut tout verbaliser
4) Psycho-éducation : adaptation à l’âge de l’enfant
5) Le patient ne vient pas seul : gérer entourage comme les parents, et profiter de cette opportunité. Acteurs de leur contexte déterminant : parents. Chance de pouvoir travailler avec les parents. Construire une alliance thérapeutique avec les parents est important.
6) Enjeux de détection précoce : des Troubles neurodéveloppementaux surtout, comme autisme se cherche dès 2 ans.
7) Durée d’installation : troubles installés depuis pas longtemps plus facile pour le psy.
8) Contexte social spécifique : famille, école, pairs. Les relations d’amitié à prendre en compte par ex harcèlement.
9) Besoin de protection : Signalement, IP
10) Adaptation langage/outils
11) Problématiques éducatives
12) Norme/ Pathologie : le psy devient le point de repère pour les familles pour définir norme et troubles.
1) Développement : ???
2) Demande : ???
3) Capacités introspectives : ???
4) Psycho-éducation : ???
5) Le patient ne vient pas seul : ???
6) Enjeux de détection précoce : ???
7) Durée d’installation : ???
8) Contexte social spécifique : ???
9) Besoin de protection : ???
10) Adaptation ???
11) Problématiques ???
12) Norme/ Pathologie : ???
1) Développement : prendre en compte les différents stades
2) Demande : ne vient pas forcément de l’enfant mais des parents. Refus possible venant des parents ou enfant, travailler avec ce que l’on a.
3) Capacités introspectives : enfant ne peut tout verbaliser
4) Psycho-éducation : adaptation à l’âge de l’enfant
5) Le patient ne vient pas seul : gérer entourage comme les parents, et profiter de cette opportunité. Acteurs de leur contexte déterminant : parents. Chance de pouvoir travailler avec les parents. Construire une alliance thérapeutique avec les parents est important.
6) Enjeux de détection précoce : des Troubles neurodéveloppementaux surtout, comme autisme se cherche dès 2 ans.
7) Durée d’installation : troubles installés depuis pas longtemps plus facile pour le psy.
8) Contexte social spécifique : famille, école, pairs. Les relations d’amitié à prendre en compte par ex harcèlement.
9) Besoin de protection : Signalement, IP
10) Adaptation langage/outils
11) Problématiques éducatives
12) Norme/ Pathologie : le psy devient le point de repère pour les familles pour définir norme et troubles.
12 spécificités de la pratique clinique auprès de l’enfant
1) Développement : prendre en compte les différents stades
2) Demande : ne vient pas forcément de l’enfant mais des parents. Refus possible venant des parents ou enfant, travailler avec ce que l’on a.
3) Capacités introspectives : enfant ne peut tout verbaliser
4) Psycho-éducation : adaptation à l’âge de l’enfant
5) Le patient ne vient pas seul : gérer entourage comme les parents, et profiter de cette opportunité. Acteurs de leur contexte déterminant : parents. Chance de pouvoir travailler avec les parents. Construire une alliance thérapeutique avec les parents est important.
6) Enjeux de détection précoce : des Troubles neurodéveloppementaux surtout, comme autisme se cherche dès 2 ans.
7) Durée d’installation : troubles installés depuis pas longtemps plus facile pour le psy.
8) Contexte social spécifique : famille, école, pairs. Les relations d’amitié à prendre en compte par ex harcèlement.
9) Besoin de protection : Signalement, IP
10) Adaptation langage/outils
11) Problématiques éducatives
12) Norme/ Pathologie : le psy devient le point de repère pour les familles pour définir norme et troubles.
2 lignes directrices de l’entretien
1) Alliance thérapeutique : le plus important.
2) Recueillir informations.
Visée du psy : clarifier éléments sur le point diagnostic. Info utiles pour le type de prise en charge qui peut être adapté.
Enjeux spécifiques de la clinique (psycho-éducation et TOC) ?
1) Psycho-éducation : expliquer aux parents que c’est réel, qu’il ne fait pas exprès, conseils. Il faut donc inclure les parents dans le suivi. Thérapie validée par des preuves : TCC.
2) Nécessité d’un engagement durable dans le suivi : en discuter avec les parents que ça prend du temps, les parents doivent s’engager. Quand c’est sévère, ça peut nécessiter une hospitalisation.
3) Externaliser le TOC : enfant va choisir un nom pour son TOC et va le dessiner et on va dire c’est le TOC qui fait faire et pas c’est toi qui fais. Patient lutte contre son TOC.
4) On va commencer par les TOCs qui sont le moins difficiles pour lui. Et pour la famille, on dit laissez votre enfant faire, on va s’en occuper : c’est le TOC qui fait faire.
Définir le relevé sémiologique.
Au sens strict : relevé des signes et symptômes que l’on peut observer au décours des troubles mentaux.
Pourquoi avoir recours au relevé sémiologique ?
1) La conservation de l’information pour soi-même
2) La transmission de l’information à d’autres soignants
3) Cela nécessite une démarche de synthèse et un vocabulaire commun. L’effort de conversion de l’observation et des données de l’entretien en termes sémiologiques permet de
- retrouver l’essentiel en quelques mots
- de transmettre notre compréhension du cas à autrui.
4) Du fait de l’existence de différents modèles étiologiques, le relevé sémiologique doit rester autant que possible neutre d’un point de vue théorique
Caractéristiques du Relevé sémiologique optimal ?
1) Synthétique,
2) Résumant l’information initiale sans
- l’appauvrir
- y ajouter quoi que ce soit qui n’y figurait pas.
Dans le doute, coller au texte.
Quelle est la démarche du raisonnement diagnostique ?
- A partir de votre relevé sémiologique, notez sur un brouillon tous les troubles qui pourraient peut-être concerner le patient.
- Aller vérifier vos tableaux et critères diagnostics pour décider de leur présence ou absence ou de l’impossibilité de trancher mais suspicion forte
- Classer les en trois catégories :
[1] Diagnostics très Probables
[2] Possibles Comorbidités
[3] Diagnostic Différentiel. - Montez une évaluation pour vérifier vos hypothèses diagnostiques en évaluant l’ensemble des troubles qui nécessitent de l’être selon votre réponse au point 3.
- Dans votre réponse, expliquez brièvement pour chaque diagnostic pourquoi vous l’avez classé dans [1], [2] ou [3] en mentionnant en termes sémiologiques les éléments relevés en lien avec les critères diagnostiques du diagnostic.
Comment organiser le premier entretien ?
1) Recevoir d’abord les parents seuls, puis l’enfant seul (sauf exception). Important car si enfant entend risque humiliation. Deux séances distinctes. Mais des fois, il peut être utile de les prendre l’un après l’autre. Parents pourraient raconter des choses que l’enfant n’aimerait pas entendre, qu’on dise à un étranger. Deux parents ensembles importants même si séparé.
2) Durée : 45 min/1h, puis 30/45min.
3) Gestion de rdv : mail vs téléphone (danger).
4) Récupérer tous les compte-rendu de suivi antérieurs.
5) Insister pour recevoir les 2 ensembles
6) Si un seul parent, demande attestation pour que le 2e soit informé.
Comment se passe le début de séance ?
1) Se présenter
2) Utiliser le début d’entretien pour se construire une première représentation de la famille : adresse, médecin traitant, tel, mail, professions parents, nbr enfants, âges, prénoms (afin de se représenter la famille), lieu de scolarité de l’enfant, est-ce qu’ils apprécient l’établissement.
3) Il faut toujours s’expliquer : être transparent avec les parents.
Comment se passe la transition du début de séance au coeur de séance ?
1) Aborder les aspects développementaux : demander si souci santé, à quel âge l’enfant a marché, qqch de particulier à indiquer.
2) Aborder les suivis antérieurs.
3) Lancer la partie centrale de l’entretien.
Ne pas hésiter à prendre son temps en tant que psychologue, car on a vite envie d’aider les gens. Ne pas se précipiter.
Comment se passe le coeur de séance ?
1) Laisser déjà les parents exposer les choses puis orienter et questionner. Ne pas hésiter à interrompre pour poser des questions.
2) Premières questions à se poser : norme ou pathologie et si pathologie : quelle catégorie de troubles, diagnostic ?
3) Explorer les signes et symptômes jusqu’à arriver à une première représentation qu’on juge satisfaisante. Connaissances sémiologiques importantes pour identifier un éventuel trouble. Dans le cadre de l’identification du trouble, on cherche les comorbidités et les diagnostics différentiels
Comment explorer les signes et symptômes
1) Premières questions à se poser : norme ou pathologie et si pathologie : quelle catégorie de troubles, diagnostic ?
2) Explorer les signes et symptômes jusqu’à arriver à une première représentation qu’on juge satisfaisante. Connaissances sémiologiques importantes pour identifier un éventuel trouble. Dans le cadre de l’identification du trouble, on cherche les comorbidités (en parallèle, tout se fait en paquet) et les diagnostics différentiels. La recherche de comorbidités se fait dans le cadre de l’identification du trouble.
3) Il est souvent utile de poser des questions sur la fréquence et l’intensité des difficultés, et de chercher à savoir depuis quand elles sont présentes
Comment se passe la fin de séance ?
1) Résumer et demander de compléter : reformuler et redire ce que les parents ont dit.
2) Donner un premier retour : à l’issue de la première séance, idée de diagnostic, si ce n’est pas le cas, pas obligé de le faire. Expliquer comment on va évaluer.
3) Expliquer ce qui va se passer ensuite : voir enfant et expliquer comment se passera l’évaluation.
4) Parent peut poser la question au psy : que dois-je dire à mon enfant ? Parents doivent informer pourquoi. Dire : quelqu’un qui va t’aider, discuter avec toi par rapport au conflit rencontré. Un ado on peut lui dire directement car comprend. Quand enfant ne veut pas venir, on fait un cheminement avec les parents, pour leur donner instructions pour enrayer certains comportements.
5) Régler les questions techniques et financières. Fréquences enfants.
Dans le premier entretien, que dire à un parent anxieux qui veut tout déballer et raconte d’emblée les difficultés de son enfant ?
Interrompre le parent en lui disant qu’on a besoin de récolter des informations formelles. Demander qui vous êtes. Ca va servir pour l’alliance thérapeutique. Recadrer avant d’organiser la prise d’informations. Très gros facteur d’alliance thérapeutique toujours s’expliquer, faire de la pédagogie sur ce qu’on fait.
Dans le premier entretien, que dire à un parent qui ne comprend pas pourquoi vous posez cette question ?
Expliquer pourquoi, pédagogie
Dans le premier entretien, que faire face à un parent est débordé par l’émotion pendant son récit (ou vous suspectez une émotion présente comme yeux mouillés) ?
Je vois que ça vous rend triste de parler de cela, c’est difficile pour vous de parler de cela ? Il faut l’expliciter, notifier ce comportement.
Dans le premier entretien, que faire quand les parents ne sont pas d’accord au sujet des difficultés de leur enfant et commencent à en débattre ?
Vous pouvez ne pas être d’accord, moi ce qui m’intéresse c’est le point de vue de chacun : expliciter la situation.
Finalité des premiers entretiens ?
1) Etablir un rapport collaboratif avec les parents. Parents doivent avoir tout compris et doivent repartir satisfaits.
2) Les parents doivent être envisagées comme des partenaires qui méritent qu’on donne des réponses satisfaisantes à leurs questions.
Citer les 4 qualités à développer chez le thérapeute pour favoriser le rapport collaboratif
1) Empathie
2) Authenticité
3) Chaleur
4) Professionnalisme