CM 2 Flashcards

1
Q

V / F
Un des objectifs de la psychopathologie cognitive est de permettre un niveau d’analyse intermédiaire entre l’observation clinique et les anomalies neurobiologiques

A

VRAI

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2
Q

Les états psychopathologiques renvoient à des manifestations extrêmes de processus émotionnels et cognitifs normaux

A

VRAI

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3
Q

V / F

Les processus cognitifs et émotionnel ne sont pas liés

A

FAUX,

ces processus sont étroitement lié

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4
Q

Quels sont les 3 types de dysfonctionnements cognitif ?

A
  • Déficits cognitifs
  • Biais cognitifs
  • Croyances dysfonctionnelles
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5
Q

Émotion est synonyme d’humeur

A

FAUX,

l’émotion n’est pas de l’humeur

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6
Q

V / F

Les émotions incluent l’activation physiologique, l’expression motrice, et le sentiment subjectif du sujet

A

VRAI

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7
Q

V / F
L’activation physiologique est liée à la perturbation de la régulation homéostatique et à la préparation de l’organisme face à la situation (attaque ou fuite) réponse adaptative

A

VRAI

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8
Q

V / F

Le sentiment subjectif n’est pas une composante de l’émotion

A

FAUX

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9
Q

V / F

Le sentiment subjectif est différent de l’émotion

A

VRAI

L’émotion renvoie à un processus

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10
Q

V / F

La composante cognitive n’est pas nécessaire dans la genèse de l’émotion

A

FAUX,

la composante cognitive est FONDAMENTALE

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11
Q

V / F
C’est l’écart entre l’évaluation subjective et la nature objective de la situation qui définit bien souvent les désordres affectifs

A

VRAI

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12
Q

V / F

Dans l’approche cognitive des émotions, il est important de caractériser des symptômes plutôt que des pathologies

A

VRAI

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13
Q

Qui suis-je ?
Plainte subjective concernant des difficultés de sommeil survenant dans un contexte ou l’opportunité de dormir est présente

A

L’insomnie

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14
Q

V / F

Il y a différentes formes d’insomnie

A

VRAI,

endormissement, de maintien, mixte

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15
Q

Les caractéristiques générales de l’insomnie sont la fatigue, les difficultés cognitive et les détériorations de l’humeur

A

VRAI

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16
Q

V / F

En pratique clinique, il est très facile de distinguer et d’identifier les causes et les conséquences d’une insomnie

A

FAUX, c’est difficile

17
Q

V / F

Les problèmes d’insomnie sont plus présents chez les hommes que chez les femmes

A

FAUX,

plus présent chez les femmes

18
Q

V / F
Le sexe féminin, l’avancée en âge et les condition médicales et/ou psychiatriques sont des facteurs associés important à l’insomnie

A

VRAI

19
Q

La médication, la pauvre hygiène de sommeil, la condition médical et psychiatrique sont des facteurs précipitants de l’insomnie

A

VRAI

20
Q

Quel est le modèle des 3P

A
  • Facteur perpétuant (De maintien)
  • Facteur précipitant
  • Facteur prédisposant (vulnérabilité)
21
Q

Dans le modèle cognitif du maintien de l’insomnie d’Harvey, quelles sont les deux composantes ?

A
  • Activité cognitive négative (Rumination, inquiétude et pensées contrefactuelle/regrets)
  • erreurs cognitives ou pensées erronées
22
Q

V / F

La question « pourquoi suis-je fatigué ? » témoigne d’une inquiétude

A

FAUX,

c’est une rumination

23
Q

La pensée / erreur cognitive « je n’ai pas dormi autant que ce que j’aurais dû » relève de la dramatisation

A

FAUX,

C’est l’attention sélective

24
Q

La pensée / erreur cognitive « si je ne dors pas 8 heures, je serais fatigué » relève de la personnalisation

A

FAUX,

c’est la pensée du tout ou rien

25
Q

V / F
Attention centrée sur les signes physiologiques (nuit : sudation, journée : fatigue, maux de tête, etc) et l’attention centré sur les stimuli externe (bruit, horloge, temps qui passe, etc) est un biais attentionnel / monitoring

A

VRAI

26
Q

V / F
Les personnes souffrant d’insomnie développent des comportements mal adpaté vis-à-vis du sommeil (consommation alcool, café, siestes)

A

VRAI

Se sont des cpt sécurisant où se trouve aussi le contrôle des pensées.

27
Q

V / F
Imagerie cognitive augmente le stress et les réponses physiologiques à court terme, mais facilite l’endormissement à long terme

A

VRAI

28
Q

Quelles est la prise en charge de l’insomnie ?

A

Thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie (TCC-I)

29
Q

La prescription d’hypnotiques a fait sa preuve concernant son efficacité à long terme

A

FAUX

C’est utile à court terme parfois, mais on ne sait pas l’efficacité à long terme

30
Q

V / F

Les procédures comportementales, la relaxation et la thérapie cognitive sont les composantes de la TCC-I

A

VRAI

31
Q

Quelles sont les différentes procédures comportementales ?

A
  • Restriction du sommeil
  • Contrôle par le stimulus
  • Hygiène du sommeil
32
Q

V / F
Relever les interrelations entre stimuli, cognitions et émotions est un objectif de l’analyse fonctionnelle (prise en charge de l’insomnie)

A

VRAI
Il y a aussi établir en collaboration avec le patient des objectifs thérapeutiques en accord avec les difficultés de sommeil identifiées

33
Q

V / F

Le contrôle par le stimulus s’avère être le coeur du traitement

A

FAUX,

c’est la RESTRICTION DU SOMMEIL

34
Q

V / F

Dans la maladie de parkinson, les troubles du sommeil sont les plus prévalents

A

VRAI

35
Q

V / F
Dans l’étiologie de l’insomnie dans la maladie de Parkinson, il y a la composante neurologique, psychopathologique et pharmacologique

A

VRAI

36
Q

V / F

Efficacité de la TCC sur l’insomnie comorbide est égale à l’insomnie non-comorbide

A

VRAI

37
Q

V / F
Dans la maladie de Parkinson, l’activation cognitive constitue un acteur majeur, perpétuant ou exacerbant les difficultés de sommeil

A

VRAI

38
Q

V / F

La psychopathologie cognitive ne permet pas d’émettre des hypothèses testables sur les symptômes

A

FAUX,

Elle le permet