CHX, autres populations, SI Flashcards
Que fait-on en Préopératoire
Évaluation des facteurs de risque. • Évaluation initiale des fonctions respiratoire, circulatoire et musculaire. • Éducation : – Positionnement – Mobilisation – Hygiène bronchique – Douleur • Si nécessaire, préparation physique (entrainement physique).
Intervention chirurgicale abdominale • Lorsqu’une intervention préopératoire en physiothérapie est combinée à l’analgésie postopératoire, elle offre les avantages suivants comparativement à l’absence de l’intervention: - - - -
– Une mobilisation plus rapide.
– Une durée de séjour à l’USI plus courte.
– Une réduction de l’admission à l’USI.
– Réduit la peur associée à l’intervention
chirurgicale et à la mobilisation
Intervention chirurgicale cardiaque • Une revue systématique faisant l’inventaire des interventions préopératoires: éducation, entraînement des muscles inspiratoires, entraînement physique, relaxation montre : - -
– Une réduction de l’incidence des
complications pulmonaires.
– Chez les patients âgés, une réduction de la
durée de l’hospitalisation.
L’approche chirurgicale par VATS comporte plusieurs avantages comparativement à thoracotomie: lesquels?
– Préserve les muscles de la paroi thoracique.
– Réduction des complications post opératoire.
– Durée du drainage thoracique réduite.
– Réduction de la douleur.
– Faiblesse des muscles respiratoires post opératoire moindre.
– Réduction des déficits à l’épaule.
– Taux de survie plus élevé.
Vrai ou faux Avec le temps , pers avec thoracotomie =perte de flexion bras ds temps, rot ext en abd diminuer + diminuer, mais rot ext long du bras pas grande perte , il faut vérifier bras pour pas que pers ait une capsulite
vrai
Vrai ou faux environ 2 fois + de dlr pour la thoracotomie que pour VATS même si avec VATS un peu de dlr qui persiste ds le temps
Vrai
Résection pulmonaire
• Le risque varie en fonction du type de résection:
… > …> …
Pneumonectomie D
pneumonectomie G
lobectomie
Facteurs de risque pouvant influencer le pronostic per- et post-opératoire:
Site de l’incision. Diabète. Antécédents cardiaque ou pulmonaire. Mobilité. Tabagisme actuel ou passé. Statut nutritionnel. Âge (>50 ans). Dysfonction neuromusculaire. Obésité . Niveau d’activité physique. Motivation Analgésie/anesthésie/blocage neuromusculaire ASA plus grand ou = à 2 Voir p.10 pour risques reliés à la procédure
Prévalence des complications postopératoire pour l’intervention thoracique? et abdominale?
• Intervention abdominale: 9-40%
• Intervention thoracique: 15-38%
• Des modèles de prédictions existent en fonction du type
d’intervention chirurgicale (abdominale, thoracique, etc).
Cependant il n’y a pas de consensus sur leur usage.
Vrai ou faux : + il y a facteurs de risques on intervient après post-op, si en pré-op comprend moins les exercice et + facteurs de risque, aller voir + souvent
vrai
Vrai ou faux si pers comprend et fait ses exercices mais facteurs de risques= long suivi post-op
FAUX, seulement une visite pour voir l’état et on regarde si besoin de revenir
vrai ou faux si pers comprend exercice en pré-op et pas bcp facteurs de rsiques on va pas la voir après
vrai
En… on doit prévenir les complications de nature circulatoire, respiratoire et musculosquelettique
post-op
Atélectasie
• Perte de volume alvéolaire plus ou moins étendu. Une déviation du médiastin est possible si l’atélectasie est étendue.
• Deux grandes classes: ??
– Obstructive
– Non obstructive
Atélectasie Obstructive Nommer des caractéristiques: ? fréquence causes csq
• La plus fréquente • Obstruction bronchique causée par néoplasie, bouchon muqueux, corps étranger. • Perte progressive de volume alvéolaire en distal de l’obstruction.
Atélectasie
Non-Obsructive
Nommer les différents types possibles et expliquer
• Plusieurs types: – Compressive (tumeur périphérique, bulle, piégeage extensif d’air). – Passive (perte de contact entre les deux plèvres). – Adhésive (perte ou inactivation du surfactant). – Fibrosante (tissu cicatriciel).
Atélectasie-Impacts physiologiques
• L’ampleur de l’impact est… à l’étendue et la durée de l’atélectasie. Nommer impacts
proportionnelle
– Compliance diminuée.
– Oxygénation déficiente.
– Augmentation de la résistance vasculaire pulmonaire (si perdure,
dysfonction ventriculaire droite possible).
Atélectasie-Signes cliniques
petite région avec installation lente?
grande surface installation rapide?
• Dépends de l’étendue et de la rapidité de l’installation de l’atélectasie.
– Petite région avec installation lente souvent asymptomatique. Toux non
productive possible.
– Grande surface avec installation rapide:
• Hypoxie.
• Insuffisance respiratoire.
• Diminution du mouvement dans la région affectée.
• Matité à la percussion.
• Absence de bruit respiratoire.
• Déviation de la trachée.
• Pas d’évidence clinique que la fièvre est associée
à l’atélectasie.
Interventions pour Atélectasie:
??
Paramètre:?intensité, durée, fréquence, progression
Nature • Expansion et mobilité thoracique. • Hygiène bronchique. • Correction de la posture. • Mobilité articulaire (épaules). • Muscles respiratoires (pré et post opératoire). • Circulatoire. • Mobilité fonctionnelle (AVQ).
Caractérisques • Intensité: Tenir compte de la condition générale et de la tolérance du patient. • Durée: courte et en respectant la tolérance du patient. • Fréquence: Tenir compte de la condition du risque de complication. Peut être fréquente au début (plus d’une visite/jour). • Progression: Tenir compte de la tolérance et de la stabilité du patient (litassis- debout; passif-actif).
Interventions
• Circulatoire: quand les fait-on?
que veut-on éviter? en présence d’une embolie profonde?
– Surtout les 24-48 premières heures – Éviter la triade de Virchow • Altération de la paroi veineuse • Stase veineuse • Modification de l’hémostase – Si présence d’une embolie veineuse profonde, il n’y a pas de risque supplémentaire pour développer une embolie pulmonaire ou une autre embolie veineuse profonde à la mobilisation.
Interventions respiratoires qu’on doit faire ++ si pers atélectasie ?
• Respiratoire:
– Mobilité de la cage thoracique.
– Expansion alvéolaire.
– Hygiène bronchique.
Interventions • Musculosquelettiquesi pers atélectasie ?• Cardio-vasculaire?
– Posture.
– Mobilisation de la ceinture
scapulaire.
– Mobilisation en vue d’une réponse systémique (marche-escalierergomètre). – L’intensité doit permettre au patient de parler durant l’effort (Borg environ 3/10)
L’ANESTHÉSIE
impacts physiologiques
• Dépression respiratoire – diminution sensibilité des centres respiratoires • diminution Tonus diaphragmatique (élévation du diaphragme dans la cage thoracique) • augmentation volume sanguin thoracique • Patron respiratoire altéré – Amplitude faible – Ventilation monotone – Soupirs abolis (surfactant)
ANESTHÉSIE Impacts sur la fonction respiratoire:?
Qu’est-ce que ces impacts favorisent?
- diminution CRF
- diminution compliance pulmonaire
- augmentation résistance aérienne
- diminution pression recul élastique
- diminution efficacité d ’élimination du CO2
- diminution débit cardiaque
- augmentation viscosité des sécrétions
- diminution vélocité du transport mucociliaire
- diminution réflexe de toux
Favorisent l’atélectasie
nb: • Changements à leur maximum 48-72 hres postop.
• Retour à la normal habituellement autour de 7 jours.
Intervention post anesthésie, Selon Bartlett, la manoeuvre inspiratoire idéale se décrit comme:
– Pression inspiratoire élevée et idéalement négative et intra thoracique (40-
60 cm H2).
– Temps inspiratoire long (5-15 secondes).
– Volume inspiratoire le plus grand possible (6-10x volume courant).
• L’effet volumétrique durerait 60 min
que se passe-t-il si dlr non contrôlée?
• Si douleur non contrôlée:
– anxiété
– fréquence cardiaque et tension artérielle
– immobilisme
– des complications respiratoires (atélectasie, encombrement bronchique)
– patron de sommeil altéré
avantages du TENS – cas de Thoracotomie et sternotomie?
• Sécuritaire et efficace.
• Ne remplace pas totalement les opioïdes et analgésiques.
• Peut-être utilisé comme adjuvant à la médication.
• Augmente la tolérance aux interventions en physiothérapie.
NB:• Attention aux précautions et contre-indications.
chez pers prob neuromusculaires il y a une augmentation de la dépense
énergétique pourquoi?
reliée à un contrôle moteur déficient.
Nommer des prob
• Neuromusculaires + csq
• AVC – Diminution du contrôle moteur, asymétrie. • Parkinson – Rigidité, syndrome restrictif et obstructif présent. Attention aux bêta-bloqueur. • Sclérose en plaques – Parésie diaphragmatique, altération de la réponse autonome cardiaque, fatigue facilement. • Paralysie cérébrale – Déficit cognitif, positionnement difficile, encombrement bronchique. Blessé médullaire – Variation dans le contrôle moteur des muscles respiratoires, dénervation cardiaque, quadriplégie DIMINUTION toux, DIMINUTION compliance thoracique, compliance abdominale. • Poliomyélite – Réserve du patient vs fatigue. • Dystrophie musculaire – Performance musculaire diminué, ins. respiratoire, fatigue, assistance ventilatoire (nocturne puis permanente).
Nommer problèmes musculo qui augmente la dépense énergétique? csq de ces problèmes?
• Déformations thoraciques – Compression médiastinale (hémodynamie) – Diminution de la compliance pulmonaire –augmentation du travail respiratoire – Peut conduire à ins. cardiaque D • Ostéoporose – La douleur est responsable de la diminution de la mobilité thoracique et s’en suit l’augmentation de l’incidence des problèmes respiratoires.
Nommer problèmes tissus conjonctifs qui augmente la dépense énergétique? csq de ces problèmes?
Tissues conjonctifs • Lupus érythémateux systémique – Dommage inflammatoire multiple, atélectasie fréquente, problèmes cardiorespiratoires +++ • Sclérodermie – Fibrose progressive pulmonaire. diminution CV, diffusion, saturation et compliance pulmonaire. Fibrose cardiaque = problème de conduction électrique. Néphropathies • Spondylolite ankylosante – Rigidité de la cage thoracique = Diminution CPT, CV, CI. Respiration dépendante du diaphragme. • Arthrite rhumatoïde – Plusieurs problèmes cardiorespiratoires associés. Facteurs de risque. Douleur. Usage +++ des corticostéroïdes. Exercices avec ¯ mise en charge. • Ins. rénal chronique – Rôles: métabolique, hémodynamique, contrôle des fluides, transport de l’O2. • Obésité – Répercussions sur mécanique cardiaque et respiratoire. Obésité abdominale = facteur de risque. Apnée du sommeil.
Objectifs de la physio à l’unité de soins intensifs ?
- Retour à niveau fonctionnelle optimal
* Réduire la morbidité, la mortalité et la durée de séjour à l’unité et à l’hôpital.
Interventions fréquentes aux soins intensifs?
- Oxygénothérapie
- Exercices respiratoires
- Hygiène bronchique
- Sevrage du ventilateur
- Capacité fonctionnelle