Chirurgie Flashcards
Acronyme LASER
LASER = Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation
Composition d’un laser (4)
Système
Source d’énergie
Médium
Cavité optique (miroirs)
Temps de relaxation thermique
Temps requis pour un tissu défini afin qu’il perde 50% de sa chaleur via diffusion
Interactions lumière et peau (3)
Réflétée
Dispersée
Absorbée
Termes utilisés pour les paramètres des lasers et leur unité de mesure (4)
Énergie (J)
Puissance (W)
Fluence (J/cm2)
Irradiance (W/cm2)
Propriétés distinctives des lasers (3)
Faisceau
Collimé : faisceaux parallèles
Cohérent : ondes en phases (temps et espace)
Monochrome : émission d’une longueur d’onde unique
Chromophores principaux de la peau (3)
Mélanine
200-800 nm (LV + UV)
Oxyhémoglobine / Hémoglobine (LV + UV)
200-1000 nm
576 nm (oxyHb)
760 nm (Hb)
Eau
> 1200 nm (IR 700-10 000 nm)
Mécanisme des lasers
Action photochimique (principe du PDT)
Action photomécanique (QS / PS : durées très courtes picosecondes à nanosecondes)
Onde de choc = cavitation et élimination transépidermique / phagocytose
Utilisations : détatouage (QS), lésions vasculaires (longs pulses)
Action photothermique (conversion de lumière en chaleur, principe de conduction)
Effet selon TRT (temps de relaxation thermique)
Photothermolyse sélective : «_space;TRT, pas de diffusion, accumulation juste dans la cible
Photocoagulation sélective : = TRT, diffusion 2-3x la zone, chauffage cible
» TRT : perte de sélectivité et transfert ++ d’énergie environnante, risques de blessures et cicatrices
Mécanisme photothermique des lasers
Conversion de lumière en chaleur, principe de conduction
Effet selon TRT (temps de relaxation thermique)
Photothermolyse sélective : «_space;TRT, pas de diffusion, accumulation juste dans la cible
Photocoagulation sélective : = TRT, diffusion 2-3x la zone, chauffage cible
» TRT : perte de sélectivité et transfert ++ d’énergie environnante, risques de blessures et cicatrices
Principaux lasers (10)
Excimer : 308 nm –> protéines
KTP : 532 nm –> Hb, mélanine
QS : tatouage rouge
PDL : 585-600 nm –> Hb, mélanine
Ruby : 694 nm –> mélanine
QS : tatouage noir ou vert
Alexandrite : 755 nm –> mélanine, déoxyhémogbline
QS : tatouage noir ou vert
Diode : 800 nm –> mélanine, Hb
Nd:YAG : 1064 nm –> Hb
QS : tatouage noir
(laser le plus profond)
Er:Glass : 1540 nm –> eau
Er:YAG : 2940 nm –> eau
CO2 : 10 600 nm –> eau
Non laser
IPL : 500-1200 nm (versatile ++)
Utilisations des lasers (6)
Resurfaçage ablatif (vaporisation)
*Requièrent prophylaxie HSV si périoral)
Er:YAG
CO2
Lésions vasculaires
Ordre de profondeur
PDL
KTP
Alexandrite
Diode
IPL (pas un laser)
Nd:YAG
Tatouages et lésions pigmentées (endpoint blanchiment)
QS (RAN)
KTP
Ruby
Alexandrite
Nd:YAG
PS
Épilation
Ruby
Alexandrite
Diode (#1)
Nd:YAG (#1 PoC)
IPL (pas un laser)
Rejuvénation non ablative
Nd:YAG (1320 nm)
Diode (1450 nm)
Er:Glass (1540 nm)
Photothermolyse fractionnée ablative (turnover/remodelage)
Microzones contrôlées (MTZ) : CO2, Er:Glass
Lasers pour rejuvénation non ablative (3)
Nd:YAG (1320 nm)
Diode (1450 nm)
Er:Glass (1540 nm)
Lasers pour épilation (4+)
Ruby
Alexandrite
Diode (#1)
Nd:YAG (#1 PoC)
IPL (pas un laser)
Lasers pour lésions pigmentées (4)
Endpoint blanchiment
QS (RAN)
KTP
Ruby
Alexandrite
Nd:YAG
PS
Lasers pour lésions vasculaires (6)
Ordre de profondeur
PDL
KTP
Alexandrite
Diode
IPL (pas un laser)
Nd:YAG
Lasers pour resurfaçage ablatif (2)
*Requièrent prophylaxie HSV si périoral)
Er:YAG
CO2
Complications et effets secondaires laser (9)
Douleur
Brûlures
Cicatrices
Hypopigmentation ou hyperpigmentation
Spécifiques
Tatouages
Réactions inflammatoires aux particules (eczéma, lichénoïde, granulomes)
Assombrissement paradoxal (oxydation)
Épilation
Hypertrichose paradoxale (phototypes III-IV)
Leucotrichie
Vasculaire
Purpura immédiat (pire PDL)
Apparence honeycomb
*risques oculaires, feu, inhalation matériel organique
Complications oculaires laser (4)
Rétine (Hb ou mélanine) : surtout near IR > 700 nm et QS (LV)
Cristallin (protéines) : spectre UV (excimer)
Cornée (eau) : > 1200 nm (Er:Glass, CO2)
*prévention lunettes de densité optique au moins 4 (OD)
Mécanisme PDT
Photosensibilisation par production de protoporphyrine IX
Range de UV : lumière visible
Voie topique : apoptose
Voie systémique : ischémie
Agents PDT (2)
Acide 5-aminolevulinique 20% (ALA) : lumière bleue fluorescente (417 nm)
Méthyl-levulinate 16.8% (mALA) : lumière rouge LED (630 nm)
Longueurs d’onde PDT (2)
Lumière bleue 417 nm : acide 5-aminolevulinique 20% (ALA)
Lumière rouge 630 nm : méthyl-levulinate 16.8% (mALA)
Indications PDT (2)
Kératoses actiniques non hypertrophiques du visage et scalp (ALA ou mALA)
CBC superficiel (hors zone H et prouvé à la biopsie) (mALA seulement car rouge plus profond)
Off label
Photovieillissement
Verrues
Condylomes
Leishmaniase
Lentigo malin
Acné (lumière bleu fonctionne car C. acnes produit coproporhyrine III)
*D-PDT (mALA, juste kératoses actiniques) : efficacité similaire, moins de douleur
Contre-indications PDT (6)
Hypersensibilité au produit ou composant
Porphyrie
Allergie aux porphyrines
Grossesse et allaitement
Enfants
CBC morphéiforme (mALA)
Modalités de préparation des lésions avant PDT (5)
Curettage / tape stripping
Rétinoïdes topiques
Acide salicylique
Acide glycolique
Microdermabrasion / Laser CO2 fractionné
Efficacité PDT pour kératose actinique et CBC (2)
Kératoses actiniques
PDT = 5FU
PDT > cryothérapie
CBC
Chirurgie > PDT
Effets secondaires PDT (5)
Photosensibilité (évitement stricte soleil x48h)
Douleur
Inflammation / œdème / bulles
Développement d’hypersensibilisation
Réactivation de HSV
Modalités pour diminuer douleur PDT (8)
Réassuration verbale
Distraction / hypnose
Pauses / D-PDT
Éloigner de la source de lumière
Jet d’air froid / ventilateur
Glace / eau froide
Anesthésie en bloc / tumescente
Gaz NO/O2
Types de traitement radiothérapie (3)
RoTx définitive
RoTx adjuvante (réduit le risque de récidive)
RoTx palliative
Modalités de traitements en radiothérapie (4)
Electron Beam Radiotherapy
Traitement de choix pour tumeurs profondes / larges ou complexes
Besoin d’un bolus sur la peau pour protéger cartilage / os
Radionuclide Brachytherapy
Source radioactive dans le tissu puis photons
Traitement pour zones moins vascularisées, dos des mains
Electronic Brachytherapy
Pas utilisé en dermatologie
Radiation superficielle
Photons à faible énergie
Tumeurs peu profondes (absorption en 2 mm)
Contre-indications radiothérapie (3+)
Conditions génétiques
Gorlin
XP
Grossesse
Relatives
Radiothérapie antérieure
Connectivites
Ulcération chronique
Zone moins vascularisée
Traumatisme
Brûlure
Carcinomes verruqueux
Indications radiothérapie (6+)
CBC
Définitive (marges 1-1.5 cm)
Adjuvante (périneurale > 0.1mm, marges +)
CSC
Adjuvante (marges 1-1.5 cm)
PNI >0.1 mm
métastases ganglionnaires
marge +
DFSP
Adjuvante (marges 3.5 cm)
marges+
Merkel
1ère ligne : exérèse ad fascia + marges 1-2 cm, RoTx si haut-risque
Kaposi
Maladie avancée et traitements systémiques impossibles, si extensif : TSEB
Lymphomes
CTCL (MF) : TSEB
CBCL (RoTx)
SLP CD30+ (palliatif)
MM
Radiorésistant
Utilisé LM in situ large ou adjuvant pour MM desmoplasique
Carcinomes sébacés
Angiosarcome
Complications aigues radiothérapie (8)
Desquamation sèche avec érythème
Desquamation humide avec saignement léger
Autres (CME)
Douleur
Mucosite
Alopécie
Perte unguéale
Hypohidrose
Prurit
Complications chroniques radiothérapie (10)
Dyspigmentation
Télangiectasies
Atrophie
Destructions annexes
Fibrose
Télangiectasies
Xérostomie
Nécrose tissus
Ostéonécrose
Néoplasies induites
sarcomes surtout
CSC
CBC
Maladies induites par radiothérapie (5+)
Syndrome EPPER
éruption prurigineuse, polymorphe et éosinophilique induite Rotx
Syndrome EMPACT
EM associé avec Phénytoïne et Cranial Therapy
Maladies bulleuses autoimmunes
Zona
Épargnant site RoTx : éruption médicamenteuse exanthémateuse
Site de RoTx : morphée, vitiligo, radiation recall, LP, LS, Grover
Paramètres électrocautérisation
Courant direct / continu
Pas de circuit : transfert de chaleur via électrode
Voltage bas / Ampères hauts
Avantages : hémostase en milieu mouillé, idéal pour pacemaker, lésions superficielles
Types d’électrochirurgie (4)
Courant alternatif
Électrofulguration
Électrodessication
Électrocoagulation
Électrosection
Paramètres électrofulguration
Monoterminal
Voltage haut / Ampères bas (Voleurs pas bons)
Amortissement marqué (coagulation et dessication)
Utilisation : lésions superficielles et hémostase capillaire
Paramètres électrodessication
Monoterminal
Voltage haut / Ampères bas (Voleurs pas bons)
Amortissement marqué (coagulation et dessication)
Utilisation : lésions superficielles et hémostase capillaire
Paramètres électrocoagulation
Biterminale (ground)
Voltage bas / Ampères hauts (Empereur fort)
Amortissement modéré
Utilisation : lésions profondes et hémostase chirurgicale
Paramètres électrosection
Biterminale (ground)
Voltage bas / Ampères hauts (Empereur)
Non amorti (pour couper)
Utilisation : incision et excision
Indications EDC (2+)
CBC superficiels ou nodulaires
CSCis ou à faible risque
< 1 cm visage
< 2 cm tronc ou extrémités
Contre-indications EDC (5)
Zone H
Poils terminaux
Récidivant
Mal délimité
Grande taille (> 1 cm visage, > 2 cm corps)
Risques avec PMP ou défibrillateur (6)
Inhibition de l’appareil (asystolie / bradycardie)
Déprogrammation
Surdétection
Déclencher un choc
Dommage direct au matériel
Brûlure
Précautions pour minimiser risques chirurgicaux avec PMP (10)
Faire évaluer en cardiologie
Utilisation électrocautérisation (plus sécuritaire)
Brève activité (< 5 sec) et espacée (> 5 sec)
À distance du pacemaker (15 cm)
Voltage et puissance les plus bas possibles
Diriger courant dans sens opposé
Désactivation temporaire (aimant)
Pinces bipolaires (si besoin électrochirugie > électrocautérisation)
Mode asynchrone
Monitoring intra-opératoire
Complications potentielles électrochirurgie (7)
Feu
Brûlures thermoélectriques
Transmission de micro-organismes
Fumée chirurgicale
Saignements retardés
Cicatrices
Interférence avec autres appareils électroniques
Histologie électrochirurgie
Bulle sous-épidermique
Kératinocytes allongés de façon verticale et parallèle
Homogénéisation du collagène
Nécrose épidermique
Mécanisme de blessures induites par la cryochirurgie (4)
Blessure directe (nécrose centrale par formation de glace)
Blessure vasculaire (ischémie par dommage secondaire à l’épithélium)
Blessure par apoptose (températures sub-léthales en périphérie)
Blessure immunologique (antigènes des cellules endommagées déclenchent réponse immune)
Techniques cryochirurgie (7)
Ouverte (vaporisation)
Semi-ouverte (cone)
Semi-fermée (chambre fermée)
Fermée (probe de métal)
Intralésionnelle
Pinces
Coton-tige
Contre-indications cryochirurgie (10+)
Médicales
Urticaire au froid
Cryoglobulinémie
Intolérance au froid
Autres maladies au froid
Tumorales
Pigmentée
> 2 cm
Sites de fusion embryologique
Rebord libre
Nerf superficiel
Mal délimitée
Invasion profonde
Absolues
NMSC récidivants
Lésion nécessitant une biopsie
Indications cryochirurgie (10+)
Bénin (marges 2 mm : prémalignes)
KS
Kératoses actiniques
Acrochordons
Kystes myxoïdes
Acné
Prurigo nodulaire
Fordyce
Infections
Verrues / condylomes
Orf
Leishmaniase
Molluscum
HSV
Chromoblastomycose
Malin (marges 5mm)
CBC
CSCis / kératoacanthome
Kaposi
LM
Mélanome malin (palliatif)
Indications infectieuses cryochirurgie (6)
Verrues / condylomes
Orf
Leishmaniase
Molluscum
HSV
Chromoblastomycose
Temps de congélation des lésions avec cryothérapie (3)
Température : -25 bénin et -50 malin
Ratio gel:dégel 1:4
Lésions bénignes
Kératinocytes (-25) : 1 cycle de 5-10 s
Mélanocytes (-5) : 1 cycle de 3-4 s
Lésions prémalignes
Kératinocytes : 1 cycle de 10-40 s (ou 2 cycles de 10-15 s)
Lésions malignes
Kératinocytes (-50) : 2 cycles de (40 à) 90 s
Effets attendus cryothérapie (6)
Douleur
Urticaire
Oedème
Exsudat
Bulle
Escarre
Complications cryothérapie (10+)
Douleur persistante
Saignement
Hypo ou hyperpigmentation
Cicatrice atrophique
Alopécie
Rétraction
Milia
Hyperplasie pseudoépithéliomateuse
Insufflation sur ancienne lésion
Gélure du personnel
Risque d’hypoesthésie : doigts/orteils, nerf post-auriculaire du cou
Agents utilisés pour cryothérapie (5)
Azote liquide (-196 degrés)
Chlorodifluorométhane
CO2
O2
Hélium
Stratégies pour estimer la profondeur traitée par cryothérapie (4)
Max 10 mm
Palpation
Vitesse de congélation / décongélation
Rayon de la boule = profondeur (si congélation rapide)
Thermocouple (plus précis)
Températures pouvant détruire cellules cutanées (4)
Mélanocytes (-4)
Kératinocytes (-20 à 30)
Endothélium (-40)
Carcinomes kératinocytaires (-50)
Techniques de biopsie (7)
Curetage
Ciseaux
Rasage
Saucérisation
Poinçon
Biopsie incisionnelle
Biopsie excisionnelle
Techniques d’hémostase (6+)
Compression
Sutures
Électrocoagulation / électrocautérisation
Chlorure d’aluminium hexahydrate (vasoconstriction et act voie extrinsèque)
Subsulfate ferrique (Monsel)
Éponge hémostatique (Gelfoam)
Avantages des points matelassés (2)
Matelassé vertical : éversion
Matelassé horizontal : hémostase
Contre-indications à guérison par seconde intention (2)
Relative : fascia ou muscle exposé
Absolue : impossibilité d’arrêter le saignement sans suture
Complications à court terme des biopsies ou exérèses (6)
Douleur
Saignement
Déhiscence
Infection
Prurit / Paresthésies
DCA / DCI
Complications à long terme des biopsies ou exérèses (4)
Dyspigmentation
Cicatrice (atrophiques, hypertrophiques, chéloïdes)
Paresthésies / paralysie
Distortion des structures
Complications des biopsies ou exérèses (10)
Court terme
Douleur
Saignement
Déhiscence
Infection
Prurit / Paresthésies
DCA / DCI
Long terme
Dyspigmentation
Cicatrice (atrophiques, hypertrophiques, chéloïdes)
Paresthésies / paralysie
Distortion des structures
Avantages de sous-miner (5)
Moins de tension sur les berges
Meilleure éversion
Répartition de la tension (vecteurs)
Moins de pincushioning
Facilite l’avancement de lambeaux
Structures à risque lors de sous-minage du visage latéral au-dessus du SMAS (2)
Artère temporale superficielle antérieure ou postérieure (selon niveau)
Nerf sensitif trijumeau
*pas les nerfs moteurs, car ils sont sous le SMAS
Avantages des sutures profondes (3)
Moins de déhiscence
Meilleure éversion
Moins de risque de sérome
Avantage de la plastie en M
Réduit la longueur de la cicatrice
Caractéristiques des sutures (10)
Configuration (mono ou multifilament)
Taille (USP)
Coefficient de friction
Mémoire (tendance à garder configuration initiale)
Plasticité (tendance à s’adapter à nouvelle forme)
Pliabilité
Élasticité (capacité à reprendre sa longueur)
Réactivité tissulaire
Force tensile
Capillarité
Sutures résorbables (6)
Plain gut (#1 réactif)
Gut chromique (greffes et muqueuse : moins réactif que plain)
Fast-gut
Polyglactine 910 (Vicryl) (seul tressé des absorbables)
Polydioxanone (PDS II) (sites haute tension : force tensile prolongée)
Poliglecaprone 25 (Monocryl) (meilleure force tensile initiale et le moins inflammatoire)
Sutures non résorbables
Soie (#2 réactif, le plus parmi non résorbable) (tressé, muqueuses)
Nylon (Ethilon) (grande force tensile, bon pour œdème car élasticité)
Polypropylène (Prolène) (peu de friction et bonne plasticité, bien pour sous-cuticulaire)
Polyester (Dacron) (meilleure force tensile initiale si acier n’est pas compté)
Acier inoxydable
Complications sutures (3)
Strangulation, déhiscence, inflammation
Réaction granulomateuse
polyglactine 910 (Vicryl)
poliglecaprone 25 (Monocryl)
Pustules stériles / infections
Sutures les plus rapidement résorbées (7)
Ordre du plus rapide au moins
Fast gut
Polyglactine 910 rapide (Vicryl rapide)
Plain gut
Polyglactine 910 (Vicryl)
Polyglecaprone 25 (Monocryl)
Polyglyconate (Maxon)
PDS II)
Paramètres de l’aiguille la plus souvent utilisée
Corps 3/8 cercle
Tige
Pointe triangulaire reverse-cutting
Techniques de stérilisation des instruments (5)
Autoclave à la vapeur (facile, sécuritaire, mais rouille)
Chimique (moins de rouille)
Chaleur sèche (plus long, pas de corrosion, rouille)
Froid (glutaraldéhyde : moins efficace pour spores, bien pour instruments sensibles)
Gaz (larges volumes, très toxique)
Lames fréquemment utilisées en chirurgie (4)
#15 (plus populaire) : légère courbure
#10 : plus ronde (derme épais, dos)
#11 : pointue (drainage, milia)
Beaver (ophtalmologie)
Mécanisme d’action des anesthésiants locaux
Blocage des canaux sodiques
Empêche transmission de l’influx nerveux