Chapitre 7 Flashcards
Quels sont les avantages de l’intégration européenne ?/ le marché commun entraîne (développement des échanges commerciaux)
Spécialisation accrue des entreprises européennes. Selon la théorie des avantages comparatifs, importation moins cher et exportation, plus élevé, accès à des biens différencier et moins cher.
Quels sont les avantages de l’intégration européenne (amélioration des conditions de production des entreprises) 
économie d’échelle avec un marché plus grand, financement moins cher ( la libre circulation des capitaux donne accès à l’épargne européenne et non plus seulement nationale pour financer les investissements) , la concurrence accrue sur le marché fait baisser le coût du capital et du travail
Quels sont les avantages de l’intégration européenne ? (  amélioration de la situation des ménages)
croissance de l’emploi (libre circulation du travail) baisse des prix et diversification des produits en faveurs de la consommation
Les avantages du marché unique doivent être renforcée par l’intégration monétaire ( elle facilite encore davantage les échanges commerciaux intra-zone)
baisse des coûts de transaction (pas de frais de change de monnaie) + pas de risque de change ce qui allège les contrainte des touristes mais surtout des entreprises = fonction d’intermédiaire des échanges de l’€
Avantage de l’intégration monétaire, (elle accroît la concurrence par les prix)
- Elle accroît la concurrence par les prix , les consommateurs peuvent plus facilement comparer les prix des produits européens entre eux, cela devait inviter les firmes de chaque pays à privilégier la compétitivité-prix = fonction d’unité de compte de l’€
Avantage de l’intégration monétaire, (elle attire l’épargne étrangère pour financer les investissements des entreprises européennes)
- Elle attire l’épargne étrangère pour financer les investissements des entreprises européennes : l’euro est une monnaie internationale la deuxième devise utilisé pour les échange commerciaux internationaux , elle est utilisé comme monnaie de réserve par les agents économiques étranger = fonction de réserve de valeur de l’euro
Facteurs de la concurrence imparfaite (1)
- une entreprise peut se retrouver en situation dominante du fait d’une innovation qui lui a permis de différencier ses produits
- Une barrière économique comme des coûts fixes élevés empêche de nouvelles entreprises de venir concurrencer celles présentes sur le marché ( c’est le cas des marché de l’énergie ou des transports, ou encore des services sur internet (Google, Amazon) on parle de barrière structurelle
Facteurs de la concurrence imparfaite (3)
- Une barrière réglementaire lorsque les pouvoirs publics réservent le marché à une ou plusieurs entreprises du fait qu’ils délivrent des autorisations d’entrée sur le marché aux producteurs (licence de taxi ou de pharmacie)
Or pour la science économique la concurrence … 
Or pour la science économique la concurrence imparfaite conduits à deux effets négatifs qui réduisent l’optimalité de la situation du marché : les prix sont trop élevés, l’incitation à innover est réduite
L’Union européenne et en particulier…
L’union européenne et en particulier de son commissaire à la concurrence, met en œuvre une politique de la concurrence par l’application effective des règles de concurrence dans les domaines de la législation antitrust, des ententes, des fusions et des aides d’état. Elle dispose de plusieurs instruments pour cela :
Instruments mis neuf par la politique de la concurrence (elle contrôle a priori les fusions d’entreprise )
- elle contrôle à priori les fusion/acquisition d’entreprises , des entreprises souhaitant fusionner peuvent en être interdite par la commission européenne si celle entraîne un pouvoir de marché trop important
Instruments mis en œuvre par la politique de la concurrence ( ententes)
- Elle lutte contre les ententes ( des entreprises se mettant d’accord pour réduire la concurrence entre elle) et les abus de domination dominante ( une entreprise profite de son pouvoir de marché pour imposer des prix élevés ou l’achats forcés de ses produits à ses fournisseurs/clients)
Instruments mis en œuvre par la politique de la concurrence (libéralisation des marchés)
- [ ] Elle force les états à libéraliser les marchés réglementés en privatisant les entreprises publiques en situation de monopole en leurs demandant de supprimer les subventions et aides qu’ils versent à certaines entreprises et en favorisant l’apparition d’entreprises concurrentes sur le marché. Cela a été le cas de la téléphonie , de l’électricité, du gaz naturel et aujourd’hui des transports ferroviaire
Limites de la politique de la concurrence (les monopole sont parfois légitimes)
- Les monopoles sont parfois légitimes
S’ils sont le fruits d’un efforts d’innovation (la rente de monopole shumpeterienne récompense la prise de risque de l’entrepreneur) et ils sont souvent nécessaires pour l’innovation car la recherche-développement requiert des investissements importants que seules les grandes entreprises peuvent supporter
Limite de la politique de la concurrence ( libéralisation des marchés)
- Et La libéralisation des marchés réglementé n’a pas toujours tenu ses promesses de prix plus bas et de services de meilleure qualité . En effet, en présence de coût fixe élevé comme c’est le cas de plusieurs de ces marchés, une entreprise en monopole sera plus efficace que plusieurs entreprises en concurrence égal théorie du monopole naturel.
Cependant, cette politique de la concurrence…
Cependant, cette politique de la concurrence est décriée par de nombreux acteurs politiques, nationaux et des économistes, car si elle est fondée dans la majeure partie des cas, elle ne doit pas être menée de manière aveugle et générale
Politique monétaire de rigueur
Si la Banque centrale augmente son taux d’intérêt directeur, les banques accordent moins de crédits ce qui a pour effet de baisser la demande globale (consommation des ménages / investissement des entreprises) ce qui réduit l’activité économie (effet-quantité) et réduit l’inflotion (effet-prix). Il s’agit alors d’une politique restrictive/de rigueur monétaire, qui privilégie la lutte contre l’inflation au détriment de la croissance économique et de l’emploi.
Politique monétaire de relance
croissance économique et de l’emploi.
elle le baisse, les banques accordent davantage de crédits ce qui stimule la demande globale,
“augentant e
l’omli (effet-quantité) mais générant également de l’inflation (effet-prix). Il s’agit alors
d’une politique expansionniste/de relance monétaire, qui privilégie la croissance et l’emploi mais qui peut risque d’accroître l’inflation.
Les pouvoirs publics utilisent leur budget pour provoquer un effet sur l’activité économique par
- Les prélèvements obligatoires, (cotisations sociales TVA, impôt sur le revenu) Ils peuvent réduire la demande en les augmentant, ou bien la favoriser en les baissant.
- par les dépenses publiques, salaire des fonctionnaires investissements publics, prestations sociales versées au ménage, ils peuvent la stimuler, la demande en les augmentant bien, la freiner en les baissant
Pour les Keynésiens la relance budgétaire…
Pour les Keynésiens , la relance budgétaire a un effet positif sur l’économie, permettant
d’augmenter le PIB
Ils prônent donc des politiques de relance budgétaire/expansionniste massives en
cas de crise économique. Pour les économistes libéraux, il vaut mieux faire de l’austérité . sinon la dette publique va augmenter à cause des dépenses publiques croissantes. Ils prônent des politiques
d’austérité/de rigueur budgétaire.
La théorie de la relance budgétaire repose ainsi sur le principe du multiplicateur keynésiens …
La théorie de la relance budgétaire repose ainsi sur le principe du multiplicateur keynésien. Il considère que l’injection d’une dépense publique supplémentaire dans l’économie provoque un effet plus que proportionnel sur les revenus et le PIB du pays. En effet, cette dépense, par exemple une nouvelle prestation sociale, va générer un revenu supplémentaire pour les ménages qui la touchent. Ceux-ci vont le consommer, ce qui génère un revenu pour l’entreprise productrice du bien acheté. Celle-ci va alors verser des salaires qui seront dépensés, occasionnant une nouvelle dépense et de nouveaux revenus etc… Cet effet est cependant limité par deux « fuites»: une partie du revenu généré peut-être épargnée ou consommée par l’achat de produits étrangers, mettant fin au processus multiplicateur.
La politique monétaire a été unifiée par la création de la monnaie unique…
La politique monétaire a été unifiée par la création de la monnaie unique. Elle est alors conduite par l’Eurosystème (BCE + 19 Banques centrales des pays ayant adopté ‘€ = Conseil des gouverneurs). Elle a un objectif: la stabilisation de l’inflation à un taux de 2% maximum par an = « cible d’inflation ». La BCE est indépendante des Etats et des institutions européennes. Elle ne peut recevoir d’instructions de leur part.
En particulier du fait que ces instructions pourraient être divergentes et que l’objectif est de toute façon fixé, à savoir la cible d’inflation de 2%.
Pour cela elle dispose des moyens de la politique monétaire :
- fixation du taux d’intérêt directeur : si inflation = hausse du taux d’intérêt directeur et inversement.
- gestion des réserves de change : elle peut acheter des devises étrangères contre des € et inversement,
- supervision du système bancaire: fournit en liquidité les banques commerciales, fonctionnement des systèmes de paiement.
Cette objectif de faible inflation est assez rigide…
Cet objectif de faible inflation est assez rigide. Il impose à la BCE une politique de rigueur (hausse
de taux d’intérêt) en cas de forte inflation, au détriment d’autres objectifs macroéconomiques comme la croissance ou l’emploi. Alors que son homologue américaine (la FED) s’attache aussi à favoriser la croissance et l’emploi, la BCE néglige la croissance et l’emploi en donnant la priorité à la cible d’inflation en manipulant son taux d’intérêt directeur.